Les chiens font pas des chats,

Les Brestois font pas d’exploits,

Les Montpelliérains font Cabella,

Miaou.

La porte des chiots

Les notes :

Jourdren (3/5) : Sollicité par des artificiers qui n’étaient pas Gokan Inler, Geoffrey de Meaux la demi-crevette qui veut se faire aussi grosse que la langouste, est intervenu comme il fallait. Il a même été l’auteur d’une bonne sortie, dégagement au pied enchaîné à un boulet Benoît Poelvoorde. C’est clair comme de l’eau de roche, paye ta dégaine en joguinge.

Congré (2/5) : Auteur d’une relance directement dans les pieds de Ben Basat, Dany le flan est d’ores et déjà le meilleur passeur du Stade Brestois 29 (comme deux fois « Treize-culs » plus Troyes), sur l’ensemble de la saison 2012-2013.

Yanga-Mbiwa (3/5) : Montre les muscles, les pectoraux, les fessiers… ça va les Nîmois, on tient le coup ? Bon. Essuyez-vous le gland, on reprend. Montre les muscles etc, fait une deuxième période parfaite, mais une entame en revanche assez médiocre. Heureusement les erreurs commises n’ont pas été préjudiciables.

Hilton (4/5) : Assurance home-jacking en pleine possession de ses moyens, c’est un comble comme pour deux œufs d’être brouillés. Oui c’est moi Éric Antoine, grand comique de la TNT. Dédicace à Marcelin.

El Kaoutari (3/5) : Allégorie de Saucisse et Treize-culs, n’en jetez plus, je divague tel Napoléon III l’opiomane qui tripotait allégrement des enfants nubiles en veux-tu en voilà. Soyons clair. Riri, Fifi, cessez d’importuner Loulou, qui, par la présente sommation, apporte une preuve supplémentaire de sa schizophrénie – le shit, les trous dans le t-shirt de la Saint Louis, tout ça. Beaucoup d’application pour défendre, une seule tentative en revanche, pour apporter le surnombre dans le camp adverse. Après tout nous jouions à l’extérieur.

*

Estrada (3/5) : Je reprends ici après ma pause branlette. Elle avait beaucoup trop de poils à la chatte cette salope. Un match globalement positif ; tout allait bien jusqu’en 1956, saloperie de Khrouchtchev le révisionniste crypto-sodomite. Comme d’habitude il a plusieurs fois allongé le jeu, et ce n’était pas une mauvaise idée compte-tenu des circonstances : terrain dégueulasse comme à la Mosson, adversaires dégueulasses comme à la Mosson samedi dernier.

Pitau (3/5) : Taillable et corvéable à merci, il a pris au mot la contrepèterie, et est allé jusqu’à lécher le singe après l’avoir lavé. À cause d’une mauvaise chute, il n’a pas fait long feu toutefois, et a été remplacé par Dabo à la 47e minute.

Belhanda (4/5) : Deux bonnes performances de rang, passe décisive à la clé. Une troisième contre Bastia et Younès fait une Canto à Robert, Gévaudan, travée P rang 5.

Cabella (4/5) : Dans tous les bons coups et décisif sur les deux buts montpelliérains – préciser « montpelliérains », ce n’est pas évident pour tout le monde, et surtout pas pour Dany le flan – Rémy Cabella est tellement important cette saison. Vite, une statue, Place des Grands-Hommes en face du MHSC Store.

Utaka (3/5) : Il a commencé par marcher sur le ballon comme un éléphant du cirque, avant de se rattraper en deuxième période. En étant, notamment, l’auteur du but de la victoire.

Camara (2/5) : Bon ben au cas où vous en douteriez encore, ce n’est pas Falcao. C’est Cacao. Pardon, les blagues racistes n’ont pas droit de cité ici.

Sont entrés en jeu :

Dabo : C’est bieng.

Herrera : À Ostende je tire au stand, je gagne des otaries.

Bonus « le C.A.T de Mèze vous souhaite un joyeux Noël » :

La bise méridionale ma couillasse !

Loulou

2 thoughts on “Brest-Montpellier (1-2) : La Paillade Académie ivre ses notes

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