Hola a todos.

Ici c’est le Chili. Le Chili, c’est le pays plus long que large, ce qui jusqu’ici est assez logique, mais comme on ne fait pas les choses à moitié, on dira que le concept de largeur est quasiment inconnu du pays. Sa capitale est Santiago, et son homme le plus connu est bien sûr el grande Augusto Pinochet. Ce grand enfant. Et oui, dans Pinochet, il y a hochet. Si tu me lis Augusto, sache que je te dédie cette académie.

Que je présente la sélection ? Pourquoi faire, je ne comprends pas. Oh ! Ici, c’est le Chili, vous connaissez déjà les joueurs, on n’est pas le Honduras, la Grèce ou la Corée.

Disons que Pinochet n’aurait peut-être pas apprécié cette sélection et le match face à l’Australie. 2 buts en deux minutes dans le premier quart d’heure, puis une sorte de suffisance pendant le reste du match qui a fait que la Roja est restée à la merci des australiens et des coups de tête de Tim Cahill.
Être menacé par un joueur de MLS, où allons nous bordel?? Et quel est le con qui me répond au Brésil alors qu’on y est déjà ?

 

Les notes.

Claudio Bravo (5/5): Madre mia, que milagro sur la reprise de Bresciano! Le gardien de la Real Sociedad a été très serein, et sauve clairement le match avec cet arrêt. On lui dit donc un grand bravo. Attention, cette blague risque d’être récurrente.

Isla (3/5): Amis marseillais. Non je rigole. Connards Marseillais tout court, attendez vous à le voir plus souvent à l’attaque qu’en défense s’il vient à l’OM. Il l’a prouvé encore l’autre soir. On m’a dit que parler de l’OM dans un article augmentait fortement sa visibilité, donc je tente.

Medel (2/5): Le stage en Angleterre n’a pas été concluant pour Gary. Tim Cahill l’a mangé tout cru de la tête. Faut dire qu’il s’est trompé le con, il est allé à Cardiff.

Jara (3/5): Bon en fait c’est Tim Cahill qui est trop fort de la tête. Même Jara the hot n’est pas parvenu à le refroidir, ce qui est réflexion faite plutôt logique.

Mena (3/5): Latéral ailier. En mode ultra offensif sur Fifa. On m’a dit de meubler quand je ne savais pas trop quoi dire.

Je vais mettre mon transat chilien ici alors.

 

Arranguiz et Diaz (3/5): Ils ont bien tenu le milieu globalement, même si ce fut compliqué en seconde période avec les vagues australiennes et les surfeurs qui venaient les submerger.

Vidal (2/5): A quoi bon le faire jouer sur une jambe si ce n’est de se le priver pour tout le reste de la compétition? Surtout que s’il y avait bien un match où on allait pouvoir se passer de ses services, c’était celui-ci. Si, la famille.

Valdivia (4/5): Il apparait aux yeux du monde tous les 4 ans pour régaler les spectateurs de sa vista et de sa technique. En plus il a scoré le bougre, d’une finition des plus propres. L’homme au nom de produit laitier a été remplacé par l’homme au nom le plus classe du monde, qui en plus a marqué, j’ai nommé Beausejour.

Alexis (4/5): Casse toi vite du Barça mon petit Alexis. Quitte cette dictature du jeu pour retrouver la liberté que tu as en sélection et dans laquelle tu es si bon. Le mec a facile un Neymar dans chaque orteil.

Vargas (1/5): Merde, il jouait ? Avec son nom de grec, on aurait dû se méfier. Remplacé par Mauricio Pine-la qui n’a pas eu le temps.

Allez, mercredi c’est Roja vs Roja. A quitte ou double pour la Roja. Tous derrière la Roja pour éliminer la Roja de cette compétition, et ainsi rester en course pour la première place du groupe!

 

Chilanalement,

Ivan Zammoranal

1 thought on “Chili-Australie (3-1), la Chili-con-carne livre ses notes

  1. Oh tout à fait d’accord pour Sanchez, monstrueux dès qu’il ne joue pas avec les handballeurs

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.