Les cieux étaient contre la Roma. C’est le deuxième déluge que se farcissent les giallorossi (cf Parme) en deux semaines. Fabio prend ça pour un signe. Allez zou, le tchèque, tu trisses.

En fait, l’offensive c’est lassant quand elle est orgiaque.

Perdre contre une bande de calvities avancées (bradley c’est autre chose. C’est limite scientifique), de poilus dodus et de gueules de roumains nourris aux cannellonis, ça fout les boules à Fabio. A part Klose et à un degré moindre Hernanus, c’est super limité. De l’aigreur, évidemment mais Fabio n’en a cure car il aime ces rejets de bile qui lui gâche l’existence

Donc un 3-2 qui devient syndical… Et des larmes rien moins que monacales pour que Fabio se plaise sous le déluge.

Goicochea : Bon bé voilà il s’est chié dessus. Copieur. Vermine. Sabine Paturel.

Piris : Là vaut mieux en rire. J’ai jamais vu un gars aussi à l’ouest défensivement. Le deuxième but des laziale est pour sa pomme. C’est pas le premier? Ça sera pas le dernier. Oh, et puis non, Fabio pleure.

Burdisso : Ça n’a jamais été un grand défenseur. Or, pour survivre aux schémas de la clope humaine, il en faut. Mais Il l’est pas. Vous comprenez?

Marcos : Peut-être finalement la meilleure pioche du mercato. Aucune erreur individuelle malgré la mer démontée, les cieux pisseux et riri, fifi et loulou à ses côtés

Balzaretti : Pas un centre potable. Mais pas un seul. Gros lard. La malédiction des arrières gauches humoristes pas drôles continuent.

De Rossi : pfff. Fabio ne lui en veut pas. Même avec lui, la Roma aurait perdu. C’est dire… Quoi? Non, mieux vaut rien dire. Il a des cernes, on a l’impression qu’il porte des couilles de yéti en-dessous chaque œil. Il va vraiment pas bien. Fabio le sait car il est pareil. En fait, plus il chie, plus Fabio l’aime car c’est la douleur et le mal-être qui suinte. Et ça, c’est sa came.

Florenzi : Sélectionné en Nazionale, il a pourtant pataugé. Il a du coffre mais il n’est pas non plus le sauveur. Il n’y en a pas. Il n’y en a plus. Par contre, quand on a des oreilles comme çà, fils, faut éviter justement ce genre de coiffure.

Bradley : Rien à voir avec la prestation contre Palerme mais Fabio apprécie le joueur. Un milieu box-to-box du pauvre. Tu sens le soldat qui se défonce. Il manque un chouilla de justesse technique pour être plus décisif.

Lamela : L’a encore mis. Pour le reste, il est retombé dans ses travers. Peut-être aussi moins frais physiquement. Et puis c’est lui qui a sauté après l’exclusion. Question de statut.

Totti : Encore une passe décisive. Le beau continue d’emballer les cadeaux. Mais lui aussi en difficulté physiquement.

Osvaldo : Que de déchets, de ratés et de cacas nerveux. C’était le coté obscur. Dommage que cela arrive pour l’un des deux matchs de l’année.

La panchina

Panagiotis : Il est quand même très lent

Marquinho : Toujours pareil avec un léger poids offensif supérieur à la moyenne

Pjanic  : Gros coup de chatte sur son coup-franc et quelques mots doux à son banc. Une déclaration d’amour?

Oui, vous avez bien vu. Il n’y a pas de notes. C’est l’un des deux matchs de l’année. Soit la Roma gagne et ses joueurs sont des dieux et ils ont tous 5. Soit la Roma perd et la honte envahit les cœurs et les alcôves et ils ont tous 0. Contre la Lazio, c’est un derby. C’est tout ou rien. Ça a été rien. Amen et vaf’enculo.

Rome c’est ça

Il baccio di dietro

Fabio Labello

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