Everton – Burnley (0-1) : La Caramel Anglais Academy part en exil

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Surprise motherfucker

Bien le bonjour cher amis ! Aujourd’hui, jour où nous commémorons Alan Ball, les Blues d’Everton reçoivent Burnley, loin devant au classement.

Pour les plus jeunes Alan Ball est un joueur ayant gagné la League avec Everton et la Coupe du monde avec l’Angleterre, autant dire en héros national. Bon, ok je n’étais pas né, mais c’était visiblement un grand monsieur, alors je fais comme si…

Encore une fois décevant en Europe et à domicile, nos Toffees vont devoir se reprendre face à une formation solide défensivement et comptant une victoire face à Chelsea (contre qui Everton a perdu 2-0) ainsi qu’un nul contre Tottenham (contre qui Everton a perdu 3-0) et Liverpool.

La compo :

Cette fois si, c’est fait ! Oumar titulaire ! Hâte de voir ce que cela peut donner au côté de Calvert-Lewin, grappillant de plus en plus de temps de jeu (pour rappel Oumar Niasse, c’est 1 but toutes les 20 minutes cette saison). Une autre surprise, la titularisation de Vlasic, ayant fait d’excellentes entrées récemment. Vous noterez mon analyse parfaite sur ce joueur pour lequel je prédisais très peu de temps de jeu. Et pour le reste ? Pas de surprise hormis le retour de blessure de Keane… Bon et le maintien de Williams à ses côtés au lieu de Holgate, aussi. Mais il est capable de faire un bon match pour une fois alors pourquoi pas ?

Le déroulé du match au passé simple :

Le match commencOUHHHHH l’occasion pour Everton d’entrée de jeu ! Oumar Niasse reçoit une déviation de Sigurdsson mais sa frappe n’inquiète pas le gardien. Je disOUHHHH la frappe de Sigurdsson, de nouveau bien arrêté par le gardien ! Bien. Cette fois, ce fut bon, mon cœur palpitait, le match avait commencé avec beaucoup d’intensité et le public, endormi, se mit à chanter. À peine 10 minutes et déjà quatre occasions pour les Toffees. Que se passait-il ? Je ne reconnus que la maladresse devant les buts, l’équipe semblait transformée. Mais que, que vois-je ? Après une forte domination d’Everton, Burnley a l’audace d’enchaîner quatre passes dans la défense d’Everton qui n’a visiblement pas travaillé sur cet aspect du football à l’entraînement, et ouvre le score. 1-0 pour Burnley (21’). Le match se poursuivit de la même manière qu’il avait commencé : possession pour Everton, frappe ratée, possession pour Everton, grosse occasion en contre pour Burnley. Quand soudain, quelques minutes avant la mi-temps, un fait de jeu, Williams rate son dégagement et Arfield récupère avant de s’écrouler dans la surface. L’arbitre siffle une simulation, heureusement pour Everton.

La deuxième mi-temps repris sur un tacle de Cavert Lewin dans le dos d’un joueur de Burnley, carton jaune. Mon cœur saignait de voir Everton autant en difficulté, mais je gardais espoir, les Toffees avaient dominé la première mi-temps, un retour au score était possible ! Les minutes passèrent, mais toujours rien. L’entrée en jeu successive de Rooney (63’) et Davies (69’) avaient nettement amélioré les performances de nos joueurs. Cependant, le manque de réalisme effarant nous poussait vers un funeste destin, celui de la défaite (eh oui). Les attaques s’enchaînaient, la bataille au milieu de terrain faisait rage, mais le score restait le même. L’entrée de Sandro en fin de match (82’) ne changea rien, le sort de ce match était scellé, la défaite d’Everton prononcé.

Les gentlemen:

Pickford (1/5) : Fortement critiqué par les analystes cette semaine, il subit surtout la très faible défense d’Everton. Il le paie encore sur ce match. Tous les buts qu’il concède sont à bout portant, pas grand-chose à faire, il n’est pas Neuer. Il faut néanmoins admettre que sur ce match, son gros manque de confiance s’est fait remarquer sur ses interventions et dégagements.

Baines (1/5) : Il était l’ombre de lui-même, aucun centre réussi, néant défensif.

Williams (1/5) : Je comprends mieux. 

Keane (1/5) : Son retour était attendu, il a pris exemple sur son collègue. Au marquage d’un papillon sur l’ouverture du score.

Cuco Martina (1/5) : D’habitude si utile offensivement, il a été faible dans tous les compartiments du jeu.

Gueye (3/5) : Très bon à la récupération, très présent offensivement, il a été un des meilleurs joueurs d’Everton. Quelques pertes de balles inutiles qui baissent sa note.

Schneiderlin (1/5) : S’est illustré en première mi-temps sur une tentative de frappe ratée, c’est la seule fois qu’on l’a vu du match avec sa tentative de contre sur la frappe menant au but.

Vlasic (3+/5) : Très bon offensivement, il a aussi été plus présent défensivement que Martina. C’est qu’il serait capable de grapiller des places dans la hiérarchie ce con.

Sigurdsson (3+/5) : Excellent en première période, il s’est éteint peu à peu, tout comme le reste de l’équipe.

Calvert-Lewin (2/5) : Quelques bonnes inspiration en première mi-temps. Et c’est tout.

Niasse (3+/5) : Comme Sigurdsson, il a été impeccable en première mi-temps. Trop individualiste en seconde période,  son manque de réussite a aussi coûté à Everton. Mérite d’être de nouveau titularisé.

Les gentlemen sur le divan :

Rooney (2/5) : Entrée correct, il est descendu très bas, la nostalgie de son époque milieu de terrain à United.

Davies (3/5) : Comme d’habitude très actif, son jeu vers l’avant a fait beaucoup de bien dans une période plus compliqué.

Sandro (NN) : Il fallait bien faire un troisième changement.

Sir Layton Baynessi

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