Lyon – Montpellier (5-1) : la sale soirée de la Paillade Académie

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Gourcuff homme du match. Non, ne riez pas.

 

Ouais Marcelin… Ouais c’est moi… Putain, Gerland c’est vraiment le quartier des putes, ça je confirme; qu’on me parle pas des transsexuels épars de Perrache, fatche non! Les mecs je les ai nargués avec mon écharpe de la Paillade, dans leur chenil de bad Gones mes couilles, et à part deux trois blagues qu’est-ce qu’ils ont fait?? RIEN, NADA, OUALLOU, circulez y a rien à voir! Ça joue les bad boys sur la PlayStation ça encore! Derrière ça nous met 5-1, derrière ça veut chambrer, mais ça soutient même pas ton regard inquisiteur dans le métro B! Petites bites de japonais! Psy prend un selfie devant la Tour Eiffel! Elle est belle la France!! 5-1 mais au final ça fait 0-0, parce qu’on leur a mis le même tarif la saison passée, et dans le même lieu en prime! « On est quittes… 1 partout la balle au centre… » Et mes couilles sur ton nez, ça fait le dindon??!!!!! On a une défense à caguer, CERTES, mais on a été bons pendant au moins 15 minutes, pas comme vous bande de pd Gones y a un an de cela! En plus vous avez pris un but de Tiéné, bande de putes! Mettez-vous carrément une plume dans le fondement que vous serez pas plus indignes! Marcelin, t’es là? Merde je te parle même plus à force d’insulter ces pd! Ces banlieusards qui rêvent de joindre le centre : Saint-Étienne! Avec leur joueur star dont je voudrais même pas aux puces de Porte-de-la-chapelle! Yoyo l’asticot! Le pédé qui frôle les murs en présence du Quasimodo de l’islam c’est-à-dire Francky! Allez va, je te passe le salam, Saladin, envoies-moi tes infirmières je suis chiropracteur! Le bonjour!

 

Il est fou, mon Loulou, mais son coup de fil m’a séché ces larmes qui perlaient à mes yeux au coup de sifflet final. Oh pas de tristesse, je ne suis pas nîmois, je te vois venir petite salope prête à ricaner devant mes contradictions. Non, c’était bien de la colère, de la rage à peine déguisée devant ce piteux spectacle. Tu vois, je crois que le pire de toute cette histoire, ce n’est pas d’en avoir pris cinq. Bon, quatre en fait, il y en a un hors jeu. L’horreur absolue, le mal suprême, la carotte plus longue que la plus longue de tes copines, c’est le doublé de l’autre tantouse à poils bruns, aux yeux charbonneux et au teint halé.

Merde quoi. C’était bien la peine de se faire saucer la pelouse et de venir chialer dans les bottes de la Moustache pour obtenir l’inversion du calendrier si c’est pour aller se faire tailler le cul en toblerone du côté du Rhône (ici au pays on dit Raaaane). C’est quoi cette manie de toujours surprendre en matière d’anal ? Vous vous prenez pour des acteurs de films gardois ?
Marre de ces non-matchs défensifs où tout coule comme une semaine de courante qui correspond avec celle du pantalon en velours côtelé. Marre de ces quèques qui s’affolent comme des lapins le jour d’ouverture de la chasse dès qu’un ballon franchit leur alignement. Et encore, l’alignement… Y a toujours un guignol pour couvrir, un autre pour s’emmêler les aiguilles et se retrouver à tacler sur le copain, pendant que les autres danseuses achevaient leur petite valse au fond des filets. J’ai bien cru qu’on allait en prendre dix de plus à un moment, je m’étais préparé à la tôlée de nos beaux jours, à la série de bois vert qui va bien.

Comme c’est la mode, je m’en vais glisser une petite crotte sur le pif du corps arbitral. Dis, tatounette, tu l’avais perdu ton carton rouge ? T’avais joué à gratte caca avec tes claudettes et tu l’as laissé dans l’anus d’un teneur de drapeau ? Non parce qu’à un moment, les tacles aux gencives ça va bien. Un match avec des trucs comme ça, c’est à la limite de la faute professionnelle s’il finit à 11 contre 11. Et là, pardon hein, mais du côté des Gonettes, y en avait bien un ou deux qui aurait dû finir le match dans les douches à devoir se toucher le poireau pendant que les potes finissent sur la pelouse. Mais enfin bon, je pourrais le gueuler dans le cul d’une poule que ça serait bien pareil.

 

Les notes :

Jourdren (1/5) : se faire pilonner le trou pendant quatre-vingt-dix minutes, passe encore. Mais quand ce sont les potes qui t’écarte les sinus anaux pour te préparer à la matraque, là, c’est dur.

Tiéné (2/5) : oui, il passe un coup franc sensass, redonnant un peu d’espoir à la famille. Mais il se chie dessus en défense, et ça, pour l’espoir, c’est pas super tip top.

Hilton (2/5) : un début de première assez solide, puis plouf, dans le café. Ses pas de petite pute reine de la samba sur tous les contres lyonnais ont achevé de jouer du xylophone sur mes pauvres petits nerfs.

El-Kaoutari (1/5) : vaudrait mieux pas qu’on se croise dans un couloir, je serai capable de faire une connerie. Un type comme ça, c’est à l’asile ou la voirie.

Congré (0/5) : bah voilà, sans tuteur, il a sombré. Il aurait dû prendre mille fois rouge pour ses interventions de frappadingue, et il mérite bien une petite guillotine, pour virer sa gueule de vieille antillaise sous botox déjà, et puis aussi pour ses cagades en collier qu’il a enfilées tout le long de la partie.

Martin (2/5) : pour ceux qui ne le savaient pas déjà, on vous a rappelé que c’était un 10 de formation. J’aurais plutôt tendance à enlever le 1, moi.

Sanson (3/5) : le seul à avoir pris l’initiative, même si cela n’a duré qu’une grosse vingtaine de minutes. Allez, plus un.

Bérigaud (2/5) : une jolie passe. C’est quoi ces conneries de le foutre en meneur de jeu ? Il a un talent caché ou on veut vraiment passer pour des gros glands de manière péremptoire ?

Lasne (1/5) : ah bah dès qu’on joue plus les dernières places avec des types de seconde zone on… attendez un petit peu. Ouais non rien.

Mounier (2/5) : à part se faire affranchir la gueule au tarif en vigueur, je vois pas trop ce qu’il a fait. Ah oui non, putain c’est vrai… Je recommence. Mounier (NN/5) : je refuse désormais de noter un type avec une coiffure pareille. Voilà. Merde.

Barrios (-55 000/5) : mais comment peut-on décemment rater ça ? comment ?

 

Sont entrés en jeu :

Camara (2/5) : et mes couilles sur un mur, qui picotent du pain dur ? Picoti, picota ? Sur ma queue et puis s’en va.

Montaño (2/5) : du coffre, de l’ébène, du crâne qui détonne. Caca.

Deza : t’as tes papiers ?

 

 

Le bisou vigneron, 

Marcelin.

3 thoughts on “Lyon – Montpellier (5-1) : la sale soirée de la Paillade Académie

  1. @Roro : Kamoulox?
    J’ai vu que la 1er et c’est vrai que Congré, ben, sérieux vous avez pas un jeune qui a gagné la gambardella ou un tennis ballon? Juste un tennis ballon car vire le Dany ça ira mieux.

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