Metz – Paris (2-1) : La Metz que un club Académie figue mi raisin

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Les LusitaNoirs montent en puissance, Rigobert aussi.

Bonsoar,

 

 

Rigobert que revoilà. Tout content qu’il est d’aller se jeler les miches à Sinsinf, avec 8000 connards et quelques vrais gars, pour regarder les fausses touches de Métanire entre autres manquements graves à la civilisation. Comme vous l’a dit le Doc’, dans un match aux confins du sublime, le FC Metz a glané la semaine passée 3 petits points  de son déplacement en Corse, relevant ainsi le col, avant d’entamer un coude à coude du tonnerre avec l’ASaNaL pour savoir qui sera le plus champion d’automne. Ce sera Metz.

 

Quoique. Palomino suspendu, ça sent assez fort le Gros Turc sauce blanche comme titulaire en défense centranale.

Guido, Mille ans pour se remettre sur pied

 

Rigobert a beau se rendre tous les jours au chevet de Guido Milan, le géant argentin ne revient pas à la compétition… Pire encore, d’autres y vont à sa place. Place donc au Gros Turc de ses morts, violeur d’Arménien et faiseur de miracles. C’était déjà catastrophique sous la tutelle palominale, alors – sans vouloir lui faire injure – sous celle de Rivierez, Rigobert ne préfère pas imaginer. Quoique, si moins et moins ça fait plus, éventuellement Rivierez + le gros Turc, va savoir…

 

D’autant que Metz s’apprête à recevoir à la maison le Paris Football Club à ne pas confondre avec le Paris Football Gay, qui est dévolu aux tanches de toutes races, même celle de Vikash, pourtant pas facile à cerner. A ne surtout pas confondre non plus avec le Paris Saint Germain, club réservé aux Juifs, qui n’est pas une race mais une religion qui mérite le respect et la considération. LOL. Autant dire qu’il ne reste plus grand monde pour supporter le Paris Football Club non Gay. Mais ne vous découragez pas aficionados du PFC, vous êtes quand même plus turbulents que les quelques 600 000 fils de putes qui encouragent chaque week-end Germain le Lynx et sa bande.

 

Metz – Paris :

 

La compo black blanc beur.

 

Bref résumé de la 1ère mi-temps.

 

Résumé complet de la seconde mi-temps.

 

Le classement.

Les mercenaires :

David Oberhauser, 4/5 : Eh mais c’est qu’il commence à devenir légitime cet Oberghaufduher qui non content de délivrer un match tout à fait acceptable, s’est aussi signalé dans un rôle inhabituel en délivrant une passe décisive à la sauce Pirlo. Rigobert retire donc tout ce qu’il a déjà dit depuis qu’il est né sur le gardien remplaçant du FC Metz, qui a finalement largement le niveau CFA !

Ivan Balliu, 2/5 : Rigobert ne remettra pas en cause le choix de la capitale lettone de mettre la petite adolescente espagnole fragile titulaire plutôt que Métanire, dans la mesure où Balliu a un cerveau là où Métanire n’a que des grandes jambes vitaminées, permettant ainsi au FC Metz de gagner en sécurité et en maîtrise. Seul problème, c’est qu’en contrepartie, les Grenat perdent considérablement en couilles et en langue pendue, en déboulés d’aborigènes et en centres rigolos. Chacun ses méthodes.

Tiago Gomes, 2/5 : Le chignon sur pattes a alterné le bon et le médiocre, l’esthétique et l’emprunté. Gomes, ça reste quand même assez propre là où Bussmann nous avait habitués à l’extrêmement sale. En d’autres termes, si Metz n’a pas perdu au change niveau foot, les supporters messins ont perdu de franches marrades sur fond de Bussmann les roues en l’air et le visage hagard, violé une nouvelle fois par un Africain quelconque. Bussmann c’était nul, mais c’était quand même drôle.

Le Gros Turc sale, 2/5 : Rigobert a du mal à comprendre comment cet Uruk-hai d’Istambul a pu devenir footballeur. Aussi chauve que possible, inapte à certains mouvements élémentaires du mammifère, primitif dans ses déplacements et dans ses attitudes, lent, gros, laid, avec deux spatules à ciment en guise de pieds. Franchement Aimé Césaire Ozmen, mets-toi à la lutte. Ou plus adapté encore, tue des gens et file en prison où tu pourras enfin rencontrer des congénères qui comme toi n’étaient pas vraiment adaptés à leur espèce sur le plan cognitif.

Jonathan Rivierez, 2/5 : Latéranal de carrière, repositionné dans l’axe face à la crise des centraux que traverse le FC Metz, Rivierez fait le boulot avec professionnalisme et implication en mode bon gars sur qui tu peux compter. Ce qui fait de lui le premier noir fiable de l’histoire. Chapeau l’artiste.

André Santos, 2/5 : Santos a le mérite d’être à beaucoup d’endroits en peu de temps et souvent à propos d’ailleurs. Santos a le tort de ne pas vraiment convenir au rôle de gros milieu défensif violent et engagé que la Ligue d’eux exigerait qu’il soit. Santos a une science tactique digne d’un bon milieu de terrain. Santos a une peur bleue du sang et du contact. En somme, Santos serait sans doute la meilleure joueuse de l’histoire du Portugal féminine si Dieu n’avait pas été si cruel en l’affublant d’un pénis vulgaire. Santos est une fille.

Sassi la Famille, 3/5 : Grand, Arabe donc technique et voleur, véloce, un peu lent donc esthétique, et pas totalement con sur un terrain. Petit à petit Sassi sans famille commence à retrouver les siens, pour le plus grand plaisir de Rigobert et des supporters grenat qui n’ont pas manqué de saluer la sortie du Tunisien d’une belle ovation méritée. Remplacé par Djorges Mandjeck, gros black moins véloce et moins habile. Mais black.

Stéphane Lejeune, 3/5 : Une première mi-temps excellente, qui de percussions habiles, de disponibilité, de justesse technique et de combativité a fait de Lejeune un élément fort, oui Rigobert n’a pas peur des mots, d’un jeu messin bien plus fort en couilles, et dont son capitaine n’est pas étranger. Sa seconde mi-temps ressemble plus à une longue traversée du désert, à une célébration physique de la mort et de la désolation, à un retour du Kévine qu’on connaît, les jambes en moins. Rigobert ne retiendra que le bon.

Daniel Candéias, 3/5 : Rigobert a d’abord dû se pincer les seins pour y croire : oui c’était bien Candéias, le chef des mercenaires portugay du FC Metz, qui avait tenté un dribble. Puis la suite ne l’a pas détrompé, Candéias, en jambes, plutôt motivé, a couru, a défendu avec abnégation, a attaqué sans toujours user de brio, mais avec un certain culot. Une première mi-temps en bonnet duforme qui revigore un poil la cote de popularité du Lusitanien, malgré ses tentatives de la seconde période pour perdre derechef le crédit fraîchement acquis. Remplacé en toute fin de rencontre par Janis Ikaunieks qui a pu se doucher avec les grands.

Génie N’Gbakoto, 4/5 : Gros génie de l’espace, N’Gbakoto a surfé sur la vague du succès, dès l’entame, avec des courses tonitruantes et une agressivité offensive rafraîchissante, récompensé sur ce centre en plein dans le dos (ce bon vieux Bill) d’un Parigot qui finit au fond, puis sur cet enchaînement classe mondiale qui entérine le succès des Grenat. Hommages.

Jean Manuel Falcon, 3/5 : Vénézuélien trapu mais extrêmement friable, Falcon tombe pour un oui ou pour un non, parfois même sans motif, juste par plaisir d’aller écraser sa face de latino sur la pelouse bien verte de Sinsinf’. Si ce n’est ce comportement étonnant, Falcon force au respect par les kilojoules de combativité et d’efforts plus ou moins inutiles qu’il accomplit, les quelques ballons joliment grattés, un jeu dos au but en progrès et une petite tête de sainte ni touche à faire fondre les cœurs. Et les tribunes de continuer encore un temps de clamer Falcon, Falcon, Falcon ! Escroc va. Remplacé en fin de rencontre par Célestin Djim, l’homme qui court moins vite que son ombre et qui ne presse pas. Fils de pute.

 

 

Rigobert vous salue bien bas. Shalom.

 

Rigobert

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