Montpellier – Lille (0-0) : La Paillade Académie encule Toto et pleure René.

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Loulou et Marcelin, le duo à deux qui double ton salaire.

Quatre ans de vie commune René, et maintenant tu mets les voiles, refuses de partager le lit avec nous et, par dessus tout, tu nous amènes Jeannot Fernandez mes couilles dans le plâtre au musée Grévin. Nous nous sommes tant aimés, pourtant, quand tu nous prenais la main pour nous amener voir Hexagoal, cet espèce de petit empaffé, qui n’avait pour autre mot à la bouche que cette éternelle rengaine : « Mange mon zob et suspends ton vol au dessus d’un nids de couilles sur une commode brûlante». Et pendant ce temps, les esquimaux d’Annie Cordy faisaient tranquillement la chasse aux stylos 4 couleurs mon cul en peau de chamois pour faire la poussière.  Adieu René, et bon vent : puisse l’Angleterre te donner cet air patibulaire mais presque qu’on retrouve dans les Chocapic de Tonton la Chaude-Pisse qui danse la gondole sur un air de Thierry Pastor.

Montpellier – Lille, c’est l’histoire d’un match mortel comme une embrouille à coups de cuter, soporifique comme le cul d’une loutre après excès de Valium, comme une peau de zob tendue en tambour chez les pygmées de Zazouland.  On s’est fait violemment niquer avec Marcelin, à regarder le seul match du soir sans buts, quand il aurait été possible de regarder le multiplexe, et de kiffer la vibe avec Rachid Taha sur une pirogue à cheval sur les baloches de la chatte à Mireille Mathieu. On doit être masochistes, ou plutôt, comme dirait le célèbre poète portugais « aimer chouir chur un tapis de poils à Demiche Rouchoche ». Montpellier a dominé en termes de possession, mais pas en termes d’occasions de buts, en tout cas en première période, et Loulou dans sa loge, fier comme un pélican en gestation d’un trisomique century 21, se tassait au fur et à mesure que l’ennui lui montait comme un symbole de purée.  Heureusement l’expulsion de Pedretti aussitôt entré, a eu le mérite de nous faire sourire : la petite tarlouze, le salopard de simulateur du match aller, qui avait fait expulser Belhanda, était soudainement puni par l’arbitre, et ce pour avoir foutu sa bite sur un pochoir pour faire une fresque phallique sur le mur de la maternelle. On retiendra aussi que la victoire aurait pu revenir à Montpellier, si le sort mais surtout Herrera en avaient décidé autrement. Tant pis, soyons philosophes : cette saison se finit en peau de Boutin mais on a quand même bien rigolé à vous raconter des conneries aussi grosses que la chatte à Marianne James.

Les notes:

Jourdren (3/5) : Il a répondu présent quand il était sollicité et ce, malgré des difficultés évidentes dans la fonction pied gauche-pied droit dans le cul d’une patate-salope, cousine de la betterave-pétasse.

Congré (-800 avant JC/5) : La qualité de centre d’un babouin astigmate ravagé par le syndrome de Carloman, les grelots atrophiés par manque d’activité intellectuelle et le surplus de grattage en règle.

Mézague (2/5) : Y a pas bon les relances qui finissent dans les plantations de bananes plantins. Y a pas bon les duels, faut retou’ner casser des pie »es en chantant « oooooh jesuus » su’ les bo’ds de la voie fe »ée.

El Kaoutari (3/5) : Il n’a perdu qu’un seul duel : de la tête, sur corner, mais c’était sans conséquences et on fait tourner les quéquettes autour de la tête d’alouette de Cyril Linette.

Bedimo (2/5) : Une nouvelle rencontre simiesque, ce n’est pas l’homme qui descend du singe mais le macaque à fesses balbutiantes qui frappe à la porte de l’orang outan calvitiste pour lui demander du sel.

Estrada (3/5) : Maillon essentiel du système de jeu montpelliérain, en attendant Jean Fernandez et son orchestre, en concert à la salle des fêtes de Saint-Laurent-des-arbres, qui porte le nom d’un collabo convaincu doublé d’un pédophile sodomite, le choix de Jeannot semble donc issu d’une longue réflexion.

Stambouli (2/5) : Il a eu du mal à jouer vers l’avant, à se porter vers l’avant en général ; Et ta soeur en vareuse sur le bord de la nationale qui offre son cul en commémoration de l’attaque du Prisunic de Makache-les-trois-oursins.

Belhanda (3/5) : De bonnes combinaisons de ski avec Belhanda,  des passes, des dribbles, réussis pour la plupart. Une bonne façon de dire adieu au public de la Mosson, et une bonne manière de montrer qu’il a le potentiel pour postuler à la déchetterie de Clermont l’Hérault pour trier le verre et le plastique en slip de bain mon cul sur la moquette pour enlever les tâches de schpounz.

Cabella (3/5) : Lui aussi a beaucoup provoqué, peut-être plus encore. Même s’il n’était pas toujours en réussite. Comme dirait Thierry Pastor : quitte tes gants de boxe, Stevie Wonder dans le juke box. La chatte à Sylvie Vartan sur le sofa en train de fumer une 100’S avec Daniel Lauclerc n’aurait pas dit mieux.

Camara (2/5) : Complètement simiesque, nul à chier et moche comme un cheveu de Jeanne Moreau dans la soupe de vermicelles de Maurice Papon.

Herrera (0/5) : Le niveau de jeu d’un escargot asthmatique en fin de carrière. Il n’est pas capable seulement, de pousser la balle au fond, tout seul au second poteau et à six mètres des buts cette chaussette en poils de schneck avariée par le soleil de Satan.

Les remplaçants :

Pitau, Martin, Aït-Fana : Si les cons savaient voler, on aurait là une putain d’escadrille : voici venu le temps de la Triade ostrogothe qui marche sur la bite avant même que l’Homme ne l’ait découverte. Tout n’est pas forcément bon dans les trois petits cochons (sauf un, hallal oblige).

 

Le bisou senghorien,

Loulou la Fraîche et Marcelin Albert.

 

2 thoughts on “Montpellier – Lille (0-0) : La Paillade Académie encule Toto et pleure René.

  1. Perso j’ai pas compris l’expulsion de Pedalretti ! Mon streaming a coupé.. je n’ai vu juste le pied haud de Belhanda ds ses parties.. je croyais que le rouge était (encore) pour lui.
    Apparemment, ce serait pour des mots doux à l’encontre de Pit(bull)au !
    Herrera a résumé sa saison sur son raté;
    Sinon pas du tout d’accord sur Mezague qui m’a vraiment fait plaisir avec ses interceptions et ses montées !
    En mm tps, Lille était amorphe ou alors le MHSC a sorti enfin ses cou.. euh non pas leur couilles, mais un peu de motivation, de dignité et de mouillage de maillot pour faire honneur à leur entraineur !

  2. Oxianor: si tu es là, sache que je voudrais m’excuser de ma vulgarité lors du match MHSC – Lens (1-4 pour les sang et or). Je n’avais pas du tout apprécié les termes employés à l’encontre des lensois et j’avais donc laissé explosé ma colère. Mais il faut quand même avouer que ce n’était pas très intelligent de reprendre les termes de la banderole anti-ch’ti pour nous désigner.

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