Nancy-Valenciennes (1-0) La Chardon à Cran s’en contente bien.

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Victimisons du nordiste dans la joie.

Salut les pipes,

Étant donné la proximité du prochain match, je vous gratifie d’une acad’ rapide à l’aide d’une plume trempée dans un mélange de bile noire et de bave de varan de Komodo : on ne va quand même pas changer ses habitudes.

Nancy reçoit Valenciennes, 18e de Ligue d’Eux, à Picot, quelques jours après une élimination honteuse, mais aussi soulageante, par les troupes inferanales du sergent instructeur Cartier, l’homme se complaisant à jouer au foot vautré dans la boue, et seulement après avoir bu le sang d’un nouveau-né Lorrain fraîchement égorgé.

Pendant que tout un tas de fils de putes déplore la fausse défaite de Philippot, on s’apprête à fêter une vraie victoire, et certains faibles d’esprit en appellent déjà de leurs vœux de culs-bénis attardés le fameux « tarif » administré à domicile par nos hôtesses de caisses drapées de blanc et rouge : les trois buts, et pis Julien Cétout.

Seulement ces tristes mongoliens en ont oublié, le jugement sûrement altéré par un trop-plein de confiance et de picabelle, que l’ASaNaL ne demandait rien à personne, et encore moins un pécule de manant diplômé de l’ICN Lorraine ou de toute autre école de commerce miteuse pour enfant de cadre sup’ aimant porter des chaussures à bout carré. Personne ne doit rien à Nancy, et l’équipe au chardon ne fait pas payer ses victoires à qui que ce soit. Elle offre au contraire de bon cœur la virée dans un stade mythique, la confrontation avec des vrais joueurs de foot, le chauffage dans les vestiaires, l’ambiance dans les tribunes, et même une nuit d’hôtel en présence de quelque charmante hôtesse triée sur le volet à la sortie du GEC. Attention à l’hémophilie : c’est de la bourgeoise.

Pour essayer tout de même d’offrir les mêmes trois buts qu’aux autres (c’est du bonus : on n’est pas radin), Pablo a repris ses esprits, et placé de vrais hommes sur la feuille de match, contrairement à la dernière fois où la présence d’Albert Cartier sur le banc adverse l’avait incité à envoyer quelques lémuriens fidèles, mais complètement décérébrés, dans la bataille.

Ndy fait son retour dans les buts, et personne ne peut nier que cela soit un soulagement, à part les ignares qui négligent encore la présence sur terre, et dans les rangs de l’AS Nancy Lorraine, de Brice Samba, seul gardien de l’univers à encaisser des buts avec le sourire.

et sous l’œil moqueur de Ndy, ce qui n’est pas loin d’être l’humiliation suprême.

En défense centrale, la paire Clément Lenglet – Michael Chrétien est toujours là, toujours debout, toujours intraitable. À Gauche, Vincent Muratori, sobre, généreux dans l’effort et le tacle au genou. À droite, nouveauté : Geoffrey Cuffaut occupe la place habituellement dévolue à la superstar internationale Julien Cétout, qui vend plus de maillots que Issiar Dia et Kim réunis en Lorraine. Un match de coupe nous a permis de voir que le remplacement ne serait que provisoire, mais s’il pouvait apporter ne serait-ce que la moitié du boulot de l’habituel titulaire, le Geoffrey serait bien gentil. À défaut d’avoir un prénom acceptable.

Au milieu, le trio indéboulanable de Pablo est titulaire, et l’on peut affirmer sans trop de risques qu’il ferait baver d’envie n’importe quel coach de ligue deux, voir Un (mais tout le monde n’a pas la chance d’avoir Allhayxïs Romao ou Benjamin Stambouli dans son entre-jeu) : Youssef Aït Bennasser, Diablo Guidileye, Benoit Pedretti.

En attaque, Anthony Grobic démarre à droite, tandis que Loïc Puyo s’occupe du côté gauche. Junior Dalé prend l’axe.

EUL’MÔTCH

-15 Alain Roche est cette fois au commentaire sur Boghossian TV. Au jeu des sosies, il est dans mon top 3 des Mourinho du pauvre.

-10 La Lorraine a mal. Elle a perdu son conseil régianal pseudo-socialiste, et sa souveraineté par rapport à l’Alsace. Ainsi que la séparation de corps avec la voisine qui fournit le monde en champagne et en consanguinité. Mais la Lorraine a un totem, un écrin de douleur dans lequel elle vient cathartiser sa vie de merde, malgré le froid, les matchs le lundi de leur mort et la présence toxique de Stany, la mascotte pédophile de l’ASaNaL : Picot. 14 000 spectateurs.

Stanofeu ne sort jamais sans sa Pédo-ball, pour capturer de nouveaux enfants.

-5 Miss Nancy donne le coup d’envoi fictif, d’un coup de pied tout aussi fictif. La parité dans le football est quelque chose qui m’arrache parfois de grands soupirs de ravissement.

1 Nancy engage. À peine le ballon perdu, Pedretti prend un petit pont. Certaines équipes ont le chic pour me révolter d’entrée de jeu.

2 Robic enchaîne un contrôle de bonhomme de l’exter’ dans la course avec une percée dans la surface nordiste et se fait descendre, mais c’est beaucoup trop tôt : 6 mètres.

4 Valenciennes, en plein Massacreur, ne tente que des petits ponts. Bon, ils en ratent trois sur quatre.

5 Muratori écarte les jambes pour appâter de l’adolescent attardé, et le piège se referme sur le Valenciennien qui voulait tenter de passer le ballon dans cet orifice accueillant. Le malheureux se fait emplafonner sèchement, et se retrouve au sol, ko direct. Authentique. On rigole d’autant plus de voir que Vincent échappe au carton, et que Valenciennes accuse déjà deux joueurs au tapis en cinq minutes.

8 Sur un coup-franc de Poyo, Geoffrey Faucut a l’occasion d’inscrire le but estampillé #Cétout2016 du jour, mais humblement, il sacoche à côté de toutes ses forces.

11 Aït commence à faire sa loi.

13 Reprise de volée stratosphérale de Puyo. Je sais que ce mot n’existe pas, mais si j’écris « stratosphérique », vous allez croire à un piège à clic de Footmercato.net, et surtout vous n’allez pas comprendre le vrai rapport à la stratosphère de cette frappe.

14 Robic fait des talonnades. Aït aussi. La confiance.

16 Robic subit des fautes, aussi. Confiance arbitrale.

20 Corner. Rien.

22 Corner. Rien.

24 Corner. Rien.

26 Corner. Rien.

30 Puyo tente des choses parfaitement improbables, comme des frappes décentrées de 35 mètres au 8e poteau, ainsi que des frappes verticales. Impressionnant à quel point ce garçon à de l’imagination.

33 Robic gratifie encore Picot d’une talonnade qui lance parfaitement Cuffaut au terme d’un très beau jeu à trois. La frappe du latéral remplaçant est contrée.

35 Aït Bennasser veut lui aussi innover, et prend l’exemple de Poyo, sur cette frappe à la trajectoire quantique. Certes après avoir dribblé neuf adversaires, ce que Poyo ne sait pas faire. C’était donc le neuvième tir pour l’ASNL, contre un seul pour VA. Ce qui n’officialise rien du tout, car nous les savions déjà fort nuls.

41 Des plaintes horrifiées se font entendre descendant des tribunes. C’est vrai que vu la violence des mecs d’en face, on préfèrerait que Pablo jette l’éponge. Perdre trois points maintenant vaut mieux que six joueurs, même à un match de la trêve.

42 Mais Pablo s’en contre-carre, et intime à ses troupes l’ordre d’attaquer. Ce qu’elles font, en se procurant une double occase, entre lesquelles se glisse une main valenciennaise. Les plaintes se muent en sifflet et autres quolibets sympathiques à l’adresse de l’arbitre.

44 Ce dernier adresse un jaune mérité à Tamerez après que les cœurs de l’armée rouge et blanche l’ont gratifié du plus bel unisson sur son tube planétaire : « Arbitre enculé ». À retrouver en cassette audio et cédé deux titres sous le sapin pour vos joyeuses fêtes, messieurs les hommes en noir.

46 Poyo ne transpire jamais. Je crains qu’il ne sente la basse-cour, en revanche.

Mi-temps.

46 VA engage. Mal.

48 Vraie relance de Ndy. Oui.

49 Pedretti distribue des caviars à l’approche des fêtes. Cœur avec les doigts sur la bite à la main. Euh, c’est pas ça l’expression de jeune ?

52 Poyo et Aït, en bons pédagogues ouvrent l’atelier « une-deux » devant la surface nordiste. Les Valencienistes admirent le beau mouvement, mais l’un d’eux a tout de même la présence d’esprit d’enlever le ballon à Poyo au moment de la frappe.

54 Chrétien devise doctement avec un adversaire à propos de sa préférence pour une morale de la conviction, plutôt que pour une morale de la responsabilité. Son vis-à-vis n’est pas d’accord, et s’empresse de manifester sa désapprobation par un tacle fort peu déontologique. Le sermon de notre défenseur est d’une véhémence sans nom, si bien que l’arbitre est obligé d’intervenir pour calmer les duettistes.

56 Manifestement pas rassasiés de violence, les Valenciennois viennent tout de même chercher le jaune qui leur était dû. Cela conforte Chrétien dans ses convictions.

57 Maintenant c’est la violence gratuite qui remplace carrément le foot pour les nordistes. Coup-franc. Chrétien pense aux Caves du Vatican, pendant que Robic vendange l’occasion.

62 Aït est donc beaucoup trop fort pour la ligue d’Eux. Robic, en revanche est  au niveau.

63 Youssouf Hadji le Magnifique remplace le sus-nommé Anthony Grobic.

65 VA joue tout de même tous les coups à fond, avec ce centre à peine assez dangereux pour que Ndy sorte pour la première fois de la zone du gardien.

68 Et c’est un deuxième centre de Valenciennes ! On peut dire qu’ils sortent la tête du sac à foutre ? N’oublions pas qu’ils sont tout de même en ligne droite pour le Natianal.

69 Guidileye décoche une frappe brutale et sauvage des 25 mètres, que le gardien adverse repousse difficilement, et surtout dans les pieds de Youssouf Hadji. Ce dernier se précipite, et à environ 80 centimètres du but, tire à côté comme un gros busard.

70 Au top physiquement, et avec une intelligence tactique hors-norme, Valenciennes se ménage gentiment cinq bonnes minutes d’arrêts de jeu en fin de match, avec ces crampes d’un raton laveur peroxydé qui en rajoute des caisses.

71 Et voilà le jeu reparti. Nos adversaires affichent un niveau de jeu tellement bas, qu’on se prend à penser qu’ils mériteraient pire que perdre. Peine perdue pour leurs sœurs, Youssouf est sur le terrain.

72 Hadji puis Cuffaut butent encore sur le gardien de Valenciennes, qui reste le seul homme apparemment valide de l’équipe.

73 Coulibaly entre à la place de Pedretti. Sachant que Valenciennes joue à vingt mètres de son but, un récupérateur-relanceur ne sert effectivement plus à grand chose.

74 Hadji se rate encore sur un centre parfait de Coulibaly. Sa tête passe de peu à côté.

78 Plus en état de rien, les Valenciennistes ratent même des remises en jeu. La touche est rendue à Nancy.

79 Quelqu’un a vu Dalé ?

80 Ah, le voilà : il centre depuis la droite pour Hadji qui tente cette fois une reprise aérienne à bout portant. C’est pas facile, c’est beau, c’est sorti par le gardien.

82 Afin de rester le héros du match côté nordiste, leur gardien cède le dégagement à l’un de ses défenseurs, qui prend donc un jaune honteux pour gain de temps.

83 Puyo adresse à son tour un petit pont, mais à ce jeu là, les nordistes sont mauvais perdants. Le poulet impudent se fait vivement savater. C’est lui-même qui tire le coup-franc, et un magnifique auto-contre de Lenglet permet à Valencienne d’obtenir un renvoi aux 6 mètres.

85 But de Dalé ! Enfin. Puyo lance Coulibaly depuis la gauche. Dans l’axe, ce dernier résiste au pressing de deux défenseurs et décale Muratori, complètement seul dans son couloir. Vincent lève la tête, voit la course de Junior et lui adresse un centre en retrait plein d’amour, que l’heureux récipiendaire se charge de convertir en orgasme d’un beau plat du pied. 1-0.

87 Rémi Walter remplace Puyo.

88 Désormais ce sont les Nancéiens qui traîne pour ramasser les ballons sortis en touche, laissent tourner la montre et parlent politique au moment de remettre en jeu. Les mœurs du footballeur sont assez fascinantes sur le terrain, je ne vois vraiment pas pourquoi d’autres s’intéressent à leurs vies privées.

90 Allez donc mettre un but à une équipe coachée par Pablo Correa tout en étant Valenciennes, maintenant. Essayez, au moins. Qu’on rigole.

92 Coulibaly centre depuis la droite, et Hadji ajoute un raté tout pété à sa collection (bien garnie aujourd’hui). Mais Dalé, toujours à l’affût, arrive derrière pour assassiner les nordistes. Le poteau s’interpose, tel une petite foutze.

93 Muratori enchaîne un sombrero défensif sur un adversaire, puis une relance en profondeur meurtrière. Picot apprécie, et le fait savoir.

Fin du match.

LES NOTES

Ndy 3/5 : Les Valenciennois se sont mis en mode sous-merdes afin de tenter de l’amadouer (on ne fait pas de mal à ce qui vous ressemble), mais ils n’ont pas dû avoir le mémo du début de saison : désormais, Ndy est gardien de métier.

Cuffaut 4/5 : Forcément au centre de l’attention alors que Julien Cétout achevait de prouver par d’autres moyens que le football que cet homme est un génie en allant faire le con dans le kop Piantoni, le Geoffraie a assuré. Des montées enragées, quelques occasions provoquées ou dont il était à la conclusion, et pas de signes de fatigue en fin de match, preuve qu’il s’entretient bien malgré son inactivité chronique le reste du temps.

Chrétien 3/5 : À la fin de la discussion, le Valenciennois conséquentialiste est venu s’excuser en reconnaissant qu’un peu plus d’impératif catégorique n’avait rien de dogmatique, et qu’il allait lui-même chercher à mettre de l’ordre dans sa vie sous peu. En signant ailleurs, sûrement.

Lenglet 3/5 : Capitaine et vrai leader, le jeune ne brille pas par le spectacle qu’il propose. En revanche, il irradie la Lorraine par son admirable régularité, et c’est bien tout ce qu’on lui demande.

Muratori 4/5 : Vincent est un romantique, arborant sur son blason l’amour et la violence, de part et d’autre d’un chardon qui pique, mais aussi qui fume ses adversaires grâce à des tacles savoureux, et administre des centres à ras de terre décisifs. C’est la chardon qui fait ça ? Non, c’est Vincent.

Aït Bennasser 4/5 : Chut. Il est nul. Cassez vous les recruteurs, il est nul, on vous dit. À braire. À passer ses couilles au blender. Il vient de Toul, en plus : ingéranable. Barrez vous. Passez votre chemin. Retournez à Newcastle.

Guidileye 3/5 : Du bon Guide. Pas aussi sauvage que d’habitude, mais l’opposition ne l’y a pas trop forcé. C’est bien gentil de vouloir jouer physique, mais quand tu es trop loin du ballon pour que ça ait le moindre sens, ça ne vaut pas le coup… et le Guide était la plupart du temps en avance, dans ce match.

Pedretti 3/5 : Il a donné dans le classique. Même quand ce n’est pas facile de faire jouer sa science de la passe face à un bloc aussi regroupé, il y parvient tout de même. On attend toujours une équipe qui le fera déjouer. Remplacé par Coulibaly (73e).

Robic 2/5 : Le gros Tony a entamé le match ventre au plancher, puis il a traîné ses tripes bouffies sur le synthétique au bout de vingt minutes. Avant de commencer à marcher dessus au bout d’une heure. Remplacé par Hadji (63e).

Puyo 3/5 Si chacune de ses frappes hors-cadre rapportait un emploi à la Lorraine, les tours de la Défense seraient démontées pour être déplacées à Bar-le-Duc. Heureusement, il s’applique plus sur les passes. Remplacé par Walter (87e).

Dalé 4/5 Quatre comme quatre buts (pour nous – je ne tiens pas compte de son csc face à Sochaux) en quatre matchs. Junior a ses périodes, celle-ci est particulièrement bonne.

REMPLAÇANTS

Hadji NN Youssouf ne veut pas marquer autre chose que des beaux buts. Il tente toujours l’impossible, et de préférence, dans une position improbable. Les masses sont incrédules, et certifient qu’il est cuit. Mais quand il ramènera le prix Puskas sur l’étagère à trophées, le monde saura. la Lorraine sait déjà.

Coulibaly 3/5 Entrée pleine d’activité, et pour une fois, d’habileté.

Walter NN Binge-drinking : il a eu six minutes pour côtoyer l’ivresse. A vomi, son jeune foie n’est pas habitué.

NOTE ARTISTIQUE DE L’ÉQUIPE : 4/5

Pas facile de pénétrer l’épaisse carapace du pachyderme qui s’est aventuré à Picot pensant y trouver le même confort peinard que dans sa mare de boue naturelle. Il a fallu que nos petits chardons le travaillent sans repos jusqu’à ce que ses gesticulations féroces de bête blessé mal éduquée cessent, et qu’il accepte enfin son triste sort dans le respect de la défaite, qui est, somme toute, son milieu naturel.

Nos vaillants guerriers ont évité la blessure, chose inacceptable, quoique tout à fait menaçante en ces temps de froideur et de violence nordiste. Remercions tout de même Volkswagen pour cet hiver tempéré.

Remercions aussi l’arbitre d’avoir assez protégé nos chardons des assauts virulents des crampons aiguisés à la meule de leurs adversaires, et d’avoir protégé le malheureux crétin qui a voulu se risquer à un combat à mort contre Michale Chrétien. Nu. Au couteau. En Forêt de Haye. Non, la misère est déjà bien assez grande en Nordie pour qu’on y ajoute en plus une disparition malheureuse.

Remercions Pablo, enfin, qui a réussi à contenter à la fois sa grande mansuétude, et à la fois son sens tactique aigu, en faisant entrer Coulibaly, qui est à la base de l’action victorieuse. Remercions-le encore de savoir quand cesser la gentillesse, et de préparer une dernière victoire contre son ancien club pour clore 2015, victoire qui fera de nous le champion d’automne, et nous permettra de partir vider des bouteilles de mirabelle et vomir dans les coins l’esprit tranquille durant les fêtes.

Je crois en Pablo Correa.

Marcel Picon.

2 thoughts on “Nancy-Valenciennes (1-0) La Chardon à Cran s’en contente bien.

  1. Techniquement, la bourgeoise n’a rien à faire ici. L’aristocrate, plus probablement, oui. Et cet atavisme sanguinolent n’a rien à voir avec les filles de l’ICN qui, de la plèbe au Pinacle, ont toujours su porter haut les couleurs de l’École et se faire lever les vits de tout un chacun.

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