Napoli-Roma (4-1) : L’Accademia Piemontese trouve un prétexte à son incontinence

4-1 DANS VOS GUEULES ! 4-1 DANS VOS GUEULES ! 4-1 DANS VOS GUEULES ! 4-1 DANS VOS GUEULES !

Titolari :

De Sanctis (4/5) : Il a dégoûté les attaquants romains quand ceux-ci avaient, en prime, des croissants à la place des pieds.

Campagnaro (4/5) : Grâce à de bonnes anticipations, et, plus généralement, un bon placement, il a multiplié les interventions décisives dans les vingt-cinq derniers mètres. Contribuant ainsi au succès napolitain, et envoyant chier les critiques par la même occasion.

Britos (3/5) : Mister Spoke pour les intimes. Osvaldo lui a posé beaucoup plus de problèmes que Destro, en plus d’avoir tiré sur le président Kennedy.

Gamberini (3/5) : Il a usé de son expérience pour contenir les attaquants romains venus s’aventurer dans sa zone, tels des papillons attirés par la lumière. Aniello Califano n’a qu’à bien se tenir tout raide dans sa tombe.

Maggio (3/5) : Il a passé le contrôle technique : si Balzaretti l’avait pris plusieurs fois en défaut, Christian aurait été bon pour la casse. Et, contrairement à d’autres, il n’était pas trop marteau pour être le clou du spectacle.

Behrami (4/5) : Toujours aussi agressif dans la récupération, parfois trop même, si l’on se fie à l’arbitre – grave erreur en l’occurrence. Cet homme est une bénédiction bien qu’il semble partisan du mariage pour tous.

Inler (3/5) : Ben ouais on est des vieux cons réactionnaires. Mais tu feras moins le malin quand avec tes impôts on donnera des sous à Jocelyn, veuf de Philibert, propriétaire d’un appartement de 80 mètres carrés dans le Marais, en fait de pension de réversion. Ouais on avait pas grand chose à dire sur Inler.

Zuniga (4/5) : Discipliné, il n’a pas renâclé aux tâches ingrates, et a aussi régalé la chique par moment, faisant étalage de sa technique dans le camp adverse.

Hamsik (3/5) : Précieux dans la construction, il a cependant manqué de lucidité, de spontanéité aussi, dans les vingt-cinq derniers mètres.

Pandev (4/5) : Auteur de trois passes décisives, il pourrait marcher sur les mains qu’on ne l’aimerait pas malgré tout. Allez va, prends ton 4 et barre-toi.

Cavani (5/5) : On a jamais rien compris à la loi du hat-trick parfait, mais quand on en met trois coup sur coup, pied droit, pied gauche et de la tête, c’est bon ? Dix minutes de plus et il marquait avec la bite.

Sostituzioni :

Dzemaili : Pour donner des coups à Francesco « sucre » Totti.

Mesto : Impliqué sur le dernier but napolitain, avec un long ballon à destination du buteur Maggio.

Insigne : Il a eu l’occasion de marquer. Une fois. Non nous ne sommes pas belges.

Baci a tutti,

Mangiacaca e Fistoculo