Salut les Pécores,

Il fut un temps où on en menait pas large avant de devoir aller jouer un match de football à Nice. Sa terrible enceinte surnommée « Ray » sentait le traquenard pour ne pas dire que ça puait la merde. On retrouvait du vieux briscard comme Cyril Rool (le plus connu d’entre eux) et on savait qu’on risquait fortement de perdre la rencontre et même deux ou trois tibias.

Ça, c’était avant. L’époque où tout le monde à part les Evianistes-Thononois-Gaillardais détestaient ce club mais le respectaient quand même un minimum. Aujourd’hui, ça pue trop dans son zizi. Forza Puel fait jouer ses enfants légitimes mais aussi les autres, dans un stade immense qui a un nom ridicule, moitié allemand, moitié rital, 100% estrosien (ce qui fait penser à estropié). Son président à l’allure d’agent immobilier a même poussé le vice jusqu’à ritualiser avant chaque l’envol d’un aiglon dans l’enceinte, sur le modèle benfiquiste, comme si ça pouvait être une bonne idée d’imiter des Portugais. Rajoutons à cela que le volatile en question s’est vu attribuer le nom tout naze de Méfi, pour dire « méfie-toi con, l’OGC Nice est dans la cepla ». Ce qui tend bien à montrer que tout ça, c’est plus que de la gueule. Vous avez déjà vu des gens prévenir « attention, on va te tendre un traquenard ? » Ben non, parce que le but du traquenard, c’est quand même de surprendre l’ennemi.

Bref, l’OGC Nice est toujours aussi détestable, mais le club n’a en plus plus rien de respectable. Et il n’y aura personne pour le pleurer en fin de saison quand il sera victime à son tour de l’étrange malédiction qui frappe les nouveaux stades (à moins qu’il ne se sauve in extremis aux dépens des Lillois, la question reste posée).

C’est donc sans trembler que nos courageux Rennais allaient se rendre dans le 06, quelques jours seulement après avoir battu le voisin monégasque, comme un saint bol de cidre de victoire inévitable.

 

Konpozision

Privé de Gelson, suspendu, Guy-Gilbert a décidé de profiter de la nullité de l’adversaire pour faire tourner son effectif. Ola-Sex Toivonen et Abdoulaye Doucouré sont sur le banc, et la compo ressemble donc à ça :

On notera particulièrement la première titularisation de Cristian Brüls, prêté à Nice l’an dernier, mais non conservé parce que fils de son père et non de Claude Puel.

En face, justement, on notera que Grégoire Puel, fils pas unique, n’a pas été aligné. Son Forza de père ayant parfaitement compris qu’il serait à jamais traumatisé après une soirée passée avec Paul-‘Guy’-Georges Ntep comme on l’appelle dans le métier. C’est donc Palun qui réalisera ce soir qu’il ferait mieux d’arrêter le football rapidement.

Notons également les titularisations de Dario Vistabitch, de leur ancien ultra Bosetti, et de leur principale recrue estivale Hult, qui malheureusement ne se prénomme pas Hank.

 

Ar Matc’h (version courte)

OH OUI GAGNÉÉÉÉÉÉ !!! LE QUA-TRA-LA-SUIIIIITE !!!! Quoi de mieux qu’un petit Julien « Michael Keaton » Lepers pour introduire analement la quatrième victoire de rang du Stade Rennais ? Alors que ce déplacement chez l’équipe la plus détestée de France après Nantes avait tout du piège (dernière victoire là-bas en 2010-2011), les Rouge et Noir ont une fois de plus fait montre d’un réalisme et d’une solidité auxquels on commence à prendre goût. Les Rennais ont livré un match moyen, comme souvent à l’extérieur, mais à défaut d’être flamboyants, ils se sont à nouveau appuyés sur une défense costaude, ont su annihiler le jeu niçois et saisir leurs rares chances. En bon supporter du SRFC, on peut aussi se dire que le but encaissé en fin de match et la panique chiasseuse qui s’est ensuivie éviteront aux joueurs de prendre la grosse tête et leur rappelleront d’où ils viennent. Il faut aussi noter qu’en l’absence de plusieurs titulaires habituels, l’équipe n’a pas coulé comme on aurait pu le craindre. Cette victoire dans le Sud est donc une excellente opération sur tous les plans et mène les Rennais à la quatrième place. Les Bretons en sont désormais à 8 matches sans défaite, une série digne de Francis Heaulme ou Émile Louis.

Si on pouvait gagner autre chose qu’un dictionnaire des engins agricoles en fin de saison ce serait bieng

 

-5′ Je sais plus pourquoi parce que je m’en fous, mais les supporters niçois sont privés de virage, du coup ils sont disséminés un peu partout dans le stade. Résultat, autant d’ambiance qu’à Louis II, on sera pas gênés.

-3′ Le commentateur de BeIN nous annonce qu’en bord de terrain, un certain Chris se pignole. Ah non pardon, c’est Christophe Pignol et ils nous parlera de la pelouse.

-2′: Pas fait gaffe à l’envol de Méfi. Quoi qu’il en soit, ce stade est aux ¾ vide, c’est grotesque, mais c’est sans doute pour mieux se préparer à la L2.

-1′ Pas besoin de Christophe pour constater que la pelouse de l’Allianz Riviera est comme la peau du visage de Seal : elle a de gros problèmes.

Les morceaux plus sombres indiquent l’emplacement des cadavres des victimes de Pejcinovic ou des derniers tacles de Souleymane Diawara

2′ C’est vraiment la saison de la rédemption pour Armand : après une relance manquée, Papy course Cvitanitch et le chausse proprement. Yapafaute.

12′ : Purée, à peine eu le temps de me servir le 2e verre de cidre que Rennes ouvre déjà le score ! Excellent travail d’Habibou côté droit, qui adresse un superbe centre fuyant, empêchant Hassen de s’emparer du ballon, mais pas d’essayer. Ntep n’a plus qu’à pousser de la tête le ballon dans le but déserté (pas tout à fait comme à Reims non plus). Première occaz, premier but. Rennes est actuellement invincible, c’est tout. Notons également l’intervention de ce fion de Bosette.

Le bras bien tendu, sans doute un réflexe après plusieurs années passées avec les Ultras de Nice

 

13e : Réponse niçoise sous forme de salade avec une frappe à ras de terre de la pute argentine qui frôle le poteau de Costil. Corner d’après M. l’arbitre.

15e : L’arbitre siffle une faute de Danzé sur Cvitanich. Simulation donc.

16′ Si Bosetti avait encore un semblant d’honneur, il l’a définitivement perdu avec cette passe au mur sur coup franc, suivi d’une humiliation sur un double contact de Brüls.

19′ Armand dégage un centre de la tête, Carlos Eduardo envoie une frappe écrasée plein axe sur Costil. Les Aiglons récupèrent plus haut, on a de moins en moins le ballon, attention.

20′ Belle intervention sur twitter du footXduSRFC qui signale qu’un portrait de Kévin Anin est diffusé sur les écrans géants du stade et qui se demande comment  les Niçois pourraient tenir la route avec ça… 

21′ Intervention sereine et sérénissime de Mexer sur un centre de Cvitanitch à ras de terre que le Mozambicain dégage du pied, alors qu’Eduardo était seul aux 6 mètres.

25′ : Ntep git au sol après un contact avec Palun ou en tous cas un mec de son crew. Il doit sortir. Pajot fait une petite faute dans les 5 secondes qui suivent et Claude Puel crie comme un putois sur Monsieur Castro (fils unique, les autres se laissent pas crier dessus, même par Forza Puel).

26′ : Le bluff puelien a marché. L’arbitre siffle une faute de Konradsen, bien que cela défie toutes les lois de la physique.

28′ : Bon centre de Palun, mais Mexer intervient majestueusement pour expédier le ballon loin du but de Billy. Sur le contre rennais, carton jaune pour Pat Flocage qui fit faute sur Habibou.

32′ : nouveau centre qui part de la gauche de la défense rennaise, mais Mexer intervient royalement pour pallier à tout danger.

34′ : faute de petite catin sans aucune élégance de Cvitanich sur Mexer.

36′ Mexer est tellement à l’aise pour repousser les moult centres niçoisqu’ en 45 à Dresde il aurait été en terrasse à siroter un coca.

37′ Habibou talonne astucieusement pour Pajot qui décale Moreira un peu trop fort, l’ailier ne peut redresser son centre, capté par Hassen Céhef.

39′ Bosetti est lancé dans la surface, Armand tacle en corner. Sur celui-ci, Mexer l’effleure, suffisant pour soulager nos intestins.

40′ : Corner niçois que personne n’a pu toucher et qui a donc fini en touche. C’est presque la meilleure occasion niçoise de ces 45 minutes.

43′ : Bosetti tente de faire perdre son slip à tout le côté gauche rennais. Ça marche sur Mbengue, moins sur Ntep qui peut envoyer le ballon en corner.

45’+1 : Cvitanich tente de faire croire à Costil que ce dernier lui a arraché une cote en réalisant une sortie aérienne impeccable. Mais Costil s’en fout.

Mi-temps donc sur ce score de 1but à 0 pour le Stade Rennais, qui aura marqué sur sa seule occasion diront les mauvaises langues. Les bonnes insisteront surtout sur le fait que cette occasion était de toute façon difficilement manquable, et que les Niçois auront eu plus de mal à ne s’en créer qu’une demi.

Ca devient n’importe quoi la mode dans le Sud

47′ Retour in extremis de M’Bengue sur une percée de Bosetti dans la surface.

49′ : Purée, à peine le temps de déboucher la 3e bouteille de cidre, que Rennes double la mise. Coup-franc de Brüls, Anders Konradsen, toujours aussi invisible est libre de tout marquage et reprend victorieusement au premier poteau.

50′ : Franchement, c’est cruel ce but de Konradsen. Ce ne serait pas l’OGC Nice, j’en éprouverai peut-être même de la pitié pour l’adversaire.

56′ : Habibou se bat bien et lance PG qui part à toute berzingue vers le but niçois, avant d’être séché à l’entrée de la surface. Sachant sans doute qu’il va sortir, le Rennais se fait plaisir et allume le tifo azuréen en tribunes.

60′: Il ne se passe plus grand chose d’intéressant. L’affaire semble pliée. Les Niçois peinent toujours autant à inquiéter Costil, invaincu depuis le match à Nantes, où il a fallu qu’Armand s’y reprenne à deux fois pour que Billy cède.

62′ : Brüls bouscule Vistabitch qui ayant le vice dans le sang en profite pour tenter de blesser Danzé en lui tombant sur le genou. Le capitaine breton se tord de douleur, mais se relève rapidement, sachant très bien que les Médecins de Nice ne sont pas dignes de confiance.

65′:  Pajot a pitié de Costil et dévie un coup franc de Bauthéac vers son propre but, histoire que le gardien rennais ne prenne pas froid.

67′ : Habibou tente une belle frappe enroulée en lucarne. La frappe passe à moins de 8m du poteau adverse, c’était bien tenté.

72′ : Mexer manque le csc. Costil s’empare tranquillement du ballon dans les airs. Même quand il rate un geste, notre Mozambicain le réussit.

74′ : Hj justement signalé par M. Castro (puisque le replacement défensif de Mbengue ne compte pas). Bosetti s’énerve un peu et s’en prend à un panneau publicitaire en bon ultra qu’il fut.

75′ : Bon centre mais un peu fort au zérotième poteau d’un Niçois. Malheureusement aucun Niçois n’avait anticipé en se plaçant à la réception du ballon, boulevard Estrosi.

76′ : Belle tête défensive de l’épaule d’Habibou dans la surface de réparation niçoise. Le danger est écarté après un excellent centre de Pedro Henrique. Le meilleur qu’il ait encore jamais fait.

78′ : Franchement quand ton excuse pour cette nouvelle défaite, c’est l’absence de Digard faut se remettre en question.

80′:  Sur son banc, Claude Puel a la tête des mauvais jours. Non, des bons jours. Non, des mauvais jours. Non, des…

83′ : Scheisse comme on dit dans la famille Estrosi ! but superchatteux de Cvitanich (ou un autre, peu importe) sur corner. Tiré au deuxième poteau, repris de la tête par un aiglon, le ballon atterrit sur le pied de l’autre salope et finit sa course au fond des filets. Attention.

87′ : C’est la panique à bord, il y a plus de chiasse dans les shorts rennais que dans 2 Girls 1 Cup. Les Niçois prennent le but breton d’assaut et sur un coup franc d’Esseyric, Buthéac claque un ciseau sur le poteau.

89′; Corner niçois qui touche la barre. Je transpire plus qu’entre deux Turcs à poil dans un hammam.

89′ : passe à chier en retrait de 80m de Pedro Henrique pour Costil, obligé de dégager en touche. Sachant que je refuse de changer de slip depuis notre victoire contre Lorient, il serait dommage que les gars du Stade me poussent à le faire.

90′ : frappe de Mendy, au-dessus. Direction Avenue Morlino.

90’+1 ; beau mouvement mais centre dégueu d’Amavi au zérotième poteau. Nice reprend un peu de la plume du volatile, mais pas suffisamment pour espérer s’envoler vers un match nul.

90+4 : C’est fini. Le Stade Rennais s’impose pour sa première rencontre disputée dans l’Allianz Riviera. Invaincu depuis 8 rencontres, les Rennais s’emparent provisoirement de la 4e place.

 

Les gars du Stade

Costil 4/5 : Les grands gardiens ont de la chance dit le théorème Arconada. 1 montant touché par Bauthéac contre 1 but ultra-chattounesque des Aiglons plus tard, nous voilà guère plus avancé sur le talent réel de Billy.

Danzé 4/5 : Au top du top en ce moment. Il maîtriserait n’importe quelle artillerie lourde, et comme c’est pas un tank, Hult, il n’a guère eu de peine à annihiler toutes les tentatives puelliennes dans son couloir. Vu qu’il enchaîne les performances de haut niveau, les Anti-danzistes ces temps-ci se planquent mieux que la famille Zemmour sous Pétain.

Mexer 4/5 : Meilleur défenseur central de l’histoire de la ligain depuis Kader Mangane. Sauf qu’il n’a pas besoin de casser des jambes pour faire respecter son autorité. La stratégie niçoise consistant à avancer lentement vers le but adverse avant de centrer vers les attaquants qui font maximum 1m75 est peut-être également à revoir.

Armand 3/5 : Bon match de l’ancêtre dans l’ensemble. Mais son statut fait qu’on attend de lui qu’il apporte de la sérénité dans les dernières minutes, quand ça commence à sentir un peu le roussi. Seul bémol dans une rencontre qu’il a sinon bien gérée.

Mbengue 3/5 : On peut pas trop lui en vouloir, parce qu’on sait qu’il est quand même limité. Mais baisser son froc devant Bosetti, ça craint quand même de la saucisse

Konradsen 3/5 : Il a appris à bien utiliser son don d’invisibilité en marquant son 2e but de la saison, encore une fois en étant (forcément) libre de tout marquage. Les mauvaises langues diront que ça reste quand même un boulet pour l’équipe, mais c’est sans doute son côté fantôme qui veut ça.

Pajot 4/5 : Alors qu’il est plutôt un bon faire-valoir lorsqu’il joue avec Doucouré et Gelson, il a préféré rapidement lâcher l’affaire en jouant avec Konradsen et Brüls pour prendre ses responsabilités et tiré son épingle du jeu. Ce qui veut notamment dire « plus de fautes que d’habitude », mais ce n’est pas un reproche dans mon clavier quand on joue contre Nice.

Brüls 3/5 : C’est la reprise pour lui, alors on ne sera pas trop exigeant. Surtout que le jeu rennais d’un soir, principalement constitué vers Habibou ne l’a guère trop aidé à se mettre en valeur. Retenons plus que sa faute sur Vistabitch qui aurait pu péter la jambe de Danzé, sa première passe décisive de la saison, faite comme un saint bol de cidre val de Rance dans son ancienne enceinte.

Moreira 2/5:  Autant le placer ailier droit à l’extérieur quand l’équipe adverse a un bon arrière gauche, ça se comprend, autant face à Nice, ses joueurs prépubères et leur centre au zérotième poteau, cela n’était pas forcément nécessaire.

Ntep 4/5. +1 pour son but, mais PG n’avait clairement pas les jambes, sur ce match. Montanier l’a d’ailleurs préservé en le sortant à l’heure de jeu.

Habibou 3/5. Notre guerrier masaï  a montré qu’il n’avait pas qu’un physique avec ce joli centre sur le but de Ntep. Sa présence athlétique a été précieuse, il a souvent décroché et a réussi à faire quelque chose des parpaings qu’on lui adressait en début de match. En revanche, il semblait cramé dans la dernière demi-heure, bizarre.

 

Les entrants :

Pedro Henrique (60′, pour Ntep). 3/5 A dynamisé un peu l’attaque, mais a failli dynamiter son propre camp avec cette passe en retrait débile.

André (70′, pour Moreira) 2/5 Très discret. N’a même pas sorti un drapeau corse de son slip après la victoire pour donner une ambiance de fête à l’Allianz Riviera_ça te barbera.

Doucouré (77′ pour Pajot) 3/5 . Dès son entrée il a percuté. Une capacité à casser les lignes impressionnante. Mais un peu trop de nonchalance quand même. Au point de se faire engueuler par Danzé quand même, fallait y aller.

 

Les autres apparitions

Méfi l’aigle Non noté : J’ai raté l’attraction débile du nouveau stade niçois plus télévisuel sans doute, mais sans doute pas non plus quand il est aussi peu rempli.

Simon Pouplin Sur le banc/5 : Le plus important c’est qu’il ne soit pas au chômage. Peut-être la seule raison qu’on voit à ne pas souhaiter la descente de Nice en fin de saison. Il finira par se taper une réputation de chat noir le pauvre.

 

La non-apparition

Gelson Fernandes 2/5 : Presque un mal pour un bien puisque le Suisse s’est blessé le lendemain à l’entraînement. Gageons que Pajot et Konradsen ait pris suffisamment de confiance et de repères pour les 3 matches à venir qui, remercions les cieux, ne seront pas non plus les plus compliqués de la saison.

3 thoughts on “Nice-Rennes (1-2), la Breizhou Académie livre ses notes

  1. C’était bien sec au milieu sans Fernandes et Doucouré quand même. On avait du mal à casser les lignes, Ntep a quasiment pas touché un ballon, Moreira est bien en latéral remplaçant, en ailier titulaire, je suis moins convaincu.

    Comme en face, bah c’était pas glorieux glorieux, la pelouse n’aidant pas, on s’est quand bien fait chier. Une grosse dédicace à Habibou qui a réussi à créer le peu d’occasion en foutant quelques torgnoles aux nissarts récalcitrants.

    Enfin bon, la victoire et l’efficacité sont là, on crachera pas dans la soupe (dieu sait qu’on sait ce que c’est les défaites contre les fin de races de la Ligain) ça fait longtemps qu’on a pas été aussi bien.

    Pour finir, je cacherais pas que le fait que Bosetti ait été sifflé à sa sortie m’a fait assez plaisir. Avec un peu de chatte, plus personne ne l’aime en France et il finit sa carrière à Strasbourg.

  2. Oui on aime Nice pour des raisons Historiques, par contre Bosetti pour cette déclaration, je l’incinèrerait bien.

    Alexy Bosetti (à propos de l’arrêté anti-drapeaux de Christian Estrosi) : « Je pense que Christian Estrosi a raison, il ne faut pas non plus abuser. On est en France. L’Algérie, l’Allemagne… Si tous les pays gagnent et qu’on descend dans la rue, c’est n’importe quoi. On descend pour la France et pour Nice, et puis c’est tout ! » (Surface Mag, 04/12)

    Source cahier du foot.

  3. Pascal, j’avais déjà pas besoin de ça pour ne pas l’aimer mais alors là… Sympa le mec !

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