Montréal – New York RB (3-0) : L’Impact Académie livre ses notes

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Le saviez-vous ? Le Nom de la Rose a été écrit en hommage à Nacho Piatti

Dans la chatte à Felipe Martins, y’a le Capitaine Caverne qui sodomise Giovinco avec un bec Bunsen rouillé. Voilà de quoi bien débuter cette Académie.

Bonjour à tous, bienvenue dans « Niquez-vous, cette année c’est pour nous », le magazine hebdomadaire de l’Impact de Montréal. Après avoir sciemment profité de la vulnérabilité de Vancouveroises pré-pubères à l’ouverture de la saison de la chasse, le club québécois accueillait dans une antre béante et garnie de 27 500 spectateurs des Taureaux Ailés new-yorkais qui rentrèrent chez eux comme de vulgaires vaches à lait, dans les égouts de la Grosse Pomme qu’on appelle le New Jersey.

L’alignement 

Les castrateurs.

Pas de surprise dans l’alignement. Bernier et Donadel out, on fait avec les moyens du bord face au milieu fourni de New York. Devant, synthétique (quoiqu’on se demande encore si c’en est vraiment) oblige, Didier est dans les tribunes.

Le Matchauricio

Viens, découvrons toi et moi, les plaisirs démodés. Ton coeur contre mon coeur, malgré les rythmes fous, je veux sentir mon corps par ton corps épousé… Dansons, joue contre joue. Oh oui Nacho, dansons joue contre joue… Les passions ardentes n’ont commencé qu’après 45 minutes de patience. Il fallut attendre qu’un poteau contrarie Ontivero et que Piatti règle la mire. Mais après… Ah après, ce ne fut qu’intense émoi.

Les belles photos de @PabloJinko sont à voir ici.

Bien aidé par l’analité toute particulière des Red Bulls, notamment de leur défense menée d’un anus de maître par le mal-nommé (Camelus) Baah, l’Impact a corrigé les fieffés américains comme il l’avait fait avec les Colombins britanniques la semaine passée. Oduro, bien servi par Venegas, Piatti, par Toia, puis Jackson-Hamel, par Shipp, offraient aux béotiens que nous sommes une joie méritée et non contenue. Cette année, c’est pour nous. Touche à ton cul.

Un pack de Montréal

Evan Bush (4/5) : J’continue mon trajet, j’arrive vers le Stade Olympique. Quand arrive un gars qui dit s’appeler Bradley Wright-Phillips. Il me dit : « Evan Bush, tu veux que j’transperce ton box ? » Ses hématomes étaient plus gros qu’les seins de Samantha Fox ! Je lui ai fait : « Bush de là ! B-b-b-Bush de là ! » Directement, j’ai passé le ballon à Piatti, qui aime les crochets intérieurs et humilier ses ennemis. Il me dit : « T’aimes quand je plante des buts, toi mon super Bushy ? » J’ai dit : « Oui j’adore, mais je préfère ton zizi. » Il m’a fait : « Bush de là ! »

Ambroise Oyongo (3/5) : J’aime à croire que la performance anale que je lui ai collée la semaine dernière aura servi de choc psychologique. Le Camerounais a largement élevé son niveau de jeu et son attention contre New York. Des débordements plus incisifs et une couverture défensive crédible ont vite lassés les latéraux des Red Bulls. Voilà typiquement le genre de gars qui peut se sentir trop facile, mais qu’une veste peut remettre dans le droit chemin.

Laurent Ciman (4/5) : Général Ciman. J’aimerais le mettre dans l’utérus de madame, qu’il colle des tacles à tous les spermatozoïdes essayant de la féconder. Il a été tellement rassurant derrière qu’on voudrait toujours l’avoir à ses côtés quand on monte dans le train fantôme. D’ailleurs, les New Yorkais ont rapidement laissé tomber l’idée de le passer, pour s’essayer du côté de Cabrera. Sans vraiment plus de réussite.

Victor Cabrera (3/5) : La complémentarité avec Laurent Ciman commence vraiment à être intéressante, comme un couple qui commence à s’entendre sur ses préférences sexuelles. Un peu moins tout fou-fou que le Belge sur ses tentatives d’interception, il couvre les espaces quand ce dernier se décide à monter. Auteur de deux jolies fautes, il peut remercier l’arbitre de ne pas être revenu sur l’une des deux, qui l’aurait envoyé à la douche en solo.

Donny Toia (3/5) : Il s’est fait plaisir dans son couloir, au point d’aller offrir la virginité des Red Bulls à Piatti sur notre deuxième but. Défensivement, rien à redire. Son match est très sérieux et son coffre impressionnant permet à l’ailier devant lui d’avoir plus de liberté offensive. Je regrette toujours de n’avoir pas vu une lourde en deux matches. J’essaye de ne pas être inquiet.

Calum Mallace (2/5) : Il en fallait bien un, le voici ! Une demie anale pour Calum, pour son demi-match. Ah qu’il fut énervant en première période. Un grand gaillard comme lui avec la capacité physique d’une débutante en turling-bâton, je n’y crois pas trop. Je pense surtout qu’il manque d’engagement et de confiance en lui. C’est sa deuxième période qui le prouve. Au fur et à mesure que l’Impact prenait le match en main, il est monté en puissance pour faire une dernière demi-heure vraiment bonne. Mais bordel sors-toi les doigts du cul et arrache du mollet. Comme sur cette action, qui aurait pu nous coûter l’égalisation mais qui se conclut par le but de Piatti, où il doit franchement démonter Kljestan et se contente d’une intervention bien trop soft à mon goût.

Soft Mallace… Putain mais arrache-le ! Comme… ben comme Cabrera tiens.

Eric Alexander (3/5) : Un match bien plus complet que la copie rendue à Vancouver. Certes, il y a du déchet technique, des approximations, comme lors des premiers rapports fiévreux, mais la consistance qu’il a su donner au milieu de terrain – à côté de Mallace et en l’absence de Donadel – fut très importante. Son travail de l’ombre a offert des espaces à Shipp et Piatti et il a su couvrir les faiblesses de Mallace à la récupération.

Harry Shipp (4/5) : Oh ces petits ballons glissés dans les espaces, ces passes millimétrées piquées entre deux défenseurs… Si aujourd’hui, j’ai des courbatures dans la verge, c’est en partie à cause de lui. La variété qu’il apporte aux abords des trente mètres va être primordiale et s’accordera parfaitement avec le jeu de Piatti. Allez, je lui donne encore une paire de matches avant qu’il ne gratte une performance internatianale.

Nacho Piatti (4/5) : J’ai reçu un message de Nacho qui disait : « Dis-moi petit enculé, je mets deux buts et une passe dé contre Vancouver et tu files la performance internatianale à Evan Bush ? Je vais te sodomiser violemment ! » J’ai bien entendu répondu à l’Argentin que je n’attendais que ça, avoir son gros phallus dans mon fondement. Alors j’ai préféré taire le fait que je lui donnerai le titre cette semaine, pour pouvoir sentir son membre turgescent caresser mes muqueuses. Mais que dire : encore un but, encore des passes et des dribbles déterminants, encore ce sourire qui fait fondre mon cœur.

Lucas Ontivero (3/5) : Il me fait penser à un corps étranger lancé dans une folle course intra-utérine. Virevoltant au milieu de ses congénères, il tente tant bien que mal de se frayer un chemin vers la lumière. À deux coups de queue de la trouver en première demie, mais il se heurte à une paroi infranchissable. Petit défaut : une autonomie très limitée, de l’ordre d’une grosse cinquantaine de minutes. Ce qui me fait dire qu’il se parvenait à s’implanter dans l’oeuf, ça risquerait de nous donner un morveux à qui il manquerait un bon quart d’heure de cuisson.

Dominic Oduro (4/5) : « Dom… Dom Dom Dom Dom Dom… Dom… Dom Dom Dom Dom » Vous avez reconnu ? Putain vous ne faites aucun effort, vous ne me méritez pas. C’est l’air de la remise des diplômes bordel, c’était pourtant facile. Et c’est peut-être même une médaille qu’il faudrait donner à Oduro, tant ses énormes testicules velues prennent toute la place dans la calbuta de l’Impact en ce début de saison. Un goal, encore une activité folle et une nouvelle coupe de cheveux improbable. Quel homme.

Les substituts

Johan Venegas : Moins virevoltant qu’Ontivero, mais sans doute plus altruiste (à Saint-Tropez). Après avoir remplacé l’Argentin, victime une nouvelle fois de crampes, le protégé montréalais de Kimberly a offert une passe décisive à Oduro au bout de quelques minutes passées sur le terrain. Il aura également été très utile en fin de party pour conserver le cuir, comme tout fétichiste qui se respecte, en occupant à merveille l’aile droite.

Kyle Bekker : Presque-Boris a fait le taf pour ses dix petites minutes de jeu. Propre au milieu, une bonne entrée, au bon moment du match il faut le dire.

Anthony Jackson-Hamel : Entré à la 93e, buteur à la 94e. Après son poteau à Vancouver, qui dans ma tête est entré et compte comme un but, ça fait un beau petit bilan pour un mec qui a joué 38 minutes en deux matches.

L’entraîneur-chef

Mauro Bielhomme : Ça ne sera pas là une rubrique récurrente, mais il faut dire un mot sur le beau Mauro. Privé de Donadel et Bernier, des patrons au milieu, il concocte un duo sans expérience et sur le papier potentiellement flippant Mallace-Alexander. S’il n’a pas encore réussi à tirer le maximum du premier, le deuxième est pratiquement irréprochable. Ontivero victime de crampes, il fait entrer Venegas qui colle une assist’ direct.

Dans les arrêts de jeu, c’est Jackson-Hamel qui plante un pion après 30 secondes passées sur le plastique du Stade Olympique. Et ce n’est pas que de la moule. Mauro a insuflé une vraie âme à cette équipe, que l’on sent mentalement capable de poutrer n’importe qui, comme votre serviteur après quelques Tequila Sunrise, bloodshot eyes. Et putain que ça fait du bien.

Le tableau

Class man. Top of the pop.

Galaxie Drogba

Didier continue son périple à travers l’Amérique ! Après Tampa, Saint-Petersburg, Montréal, le voilà à Sacramento pour s’entraîner sur une vraie pelouse et humilier le gardien local.

Juste au-dessus, dommage.

Didier est également retourné au Québec voir ses copaings dépouiller les Red Bulls et il semble avoir apprécié. Moins que l’attentat en Côte-d’Ivoire (pas celui de Siaka Tiéné, l’autre). Même si à la vue de l’article de 20 Minutes, on peut en douter. Prochaine étape, Didier sur le terrain du FC Dallas pour expliquer aux Texans que Trump est une mauvaise alternative à coups de frappes en lucarne ? Suspense, et rendez-vous le 19 mars.

Becs anaux,

Mauricio Vincello.

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3 thoughts on “Montréal – New York RB (3-0) : L’Impact Académie livre ses notes

  1. Les Vancouveroises pré-pubères elles t’enculent. Et pis Dwyer aussi tiens. Monde de merde.

  2. Il s’entraîne sur de l’herbe et devrait jouer, du moins il est dans le groupe, le match à Dallas ce week-end.

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