La Raide et Vile Academy présente le Manchester United version 2012-2013

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Sous réserve d’un changement d’avis de Berbatov

Yo.

Tu l’auras compris à la lecture du titre, voici un petit billet un peu inhabituel pour la Raide et Vile Academy. Un peu un hors-série, sauf que celui là, tu l’as quand même avec ton abonnement. Comment ça t’es pas abonné ? T’es un malade toi. Et comment va faire l’éditeur pour soigner ses hémorroïdes si tu le finances pas ? Les salons de massage thaï, c’est pas remboursé par la sécu et Moké ne fait pas de réductions. Pas de sentiment dans les affaires.

Bref, je suis là pour te parler de l’inter-saison des Red Devils. Bafoués par la perte d’un titre à la différence de buts la saison dernière, humiliés par les « noisy neighbours », nos Mancuniens à nous, les seuls, les vrais, entendent bien passer une meilleure saison ce coup-ci. Parce que faut quand même se rappeler qu’on a fait une année vierge et que ça ne nous était pas arrivé depuis 7 ans. Donc cet été, Sir Alex a fait fumer la carte bleue et couler le Glenmorangie. Ça va bien de se faire enfler par le faux playboy italien à écharpe, mais pas deux fois de suite. Ça non.

Alors allons-y pour une revue d’effectif en nous concentrant sur les principaux mouvements « mercatesques » (un mot qui curieusement n’existe pas, pas plus que « mercatile »).

Ils sont revenus.

A lire en écoutant ça .

Parce qu’avant de parler des nouveaux ou de ceux qui nous ont quitté, certains sont aller se faire les dents ailleurs pour mieux revenir et nous aider à reconquérir la couronne. Ou pas.

Frédérico Macheda : Plus chronique que mon intoxication aux huitres à Noël : les retours désespérants de l’ex futur star de l’attaque mancunienne. C’est pourtant pas faute d’essayer de le fourguer à droite à gauche, mais ni la Samp’ (16 matchs, 1 but) ni QPR (6 matchs 0 but) n’ont voulu le garder. Et le gamin a pourtant clamé plusieurs fois qu’il voulait rentrer dans son pays natal. Rien n’y fait, à 21 ans, alors que les promesses semblent s’être évanouies depuis longtemps, l’Italien squatte toujours le banc (au mieux pour lui) ou la réserve (au mieux pour nous). Putain de crise en Italie.

Bebé : La mauvaise blague bis. Alors lui je dois bien t’avouer que je l’avais oublié jusqu’à ce qu’il resurgisse sur une feuille de match pendant la préparation estivale. Merde, le challenge turque (un prêt à Besiktas) c’était trop dur pour lui ? Visiblement oui, puisqu’il n’a joué que 4 matchs là bas, sans trouver le chemin des filets. Donc voilà, le colis (qui nous a coûté 8,5 millions d’euros on le rappelle) est revenu à l’expéditeur. En plus il a planté lors de la tournée d’avant-saison et certains se sont mis à croire qu’il allait nous apporter quelque chose. Non mais sans déconner… Il va passer sa saison à faire mumuse avec Macheda, c’est tout ce qu’il peut espérer.

Tomasz Kuszczak : Le concurrent le plus sérieux de Wojciech Szcz?sny au challenge du nom le plus chiant à écrire en Premier League nous revient d’un prêt à Watford. Mais on ne va pas s’éterniser sur lui parce qu’il est reparti aussi sec.

Ils nous ont quitté.

Bon, là, tu vas écouter ça et à te mettre la voix de Frédéric Mitterand dans la tête. Merci de ne pas applaudir.

Tomasz Kuszczak (Brighton & Hove / une bouteille de whisky frelaté) : Petit polonais, l’Europe a peur. De toi et de ton peuple de plombier. C’est la crise et le vieil homme a du faire un choix. Trop de gardiens. Trop de concurrence à ton poste. Trop d’incertitudes. Tu as le droit de plier bagage. Ton physique disgracieux, sûrement le plus Van der Saresque de l’effectif n’aura pas suffi à te garantir une place parmi l’élite des Red Devils. Sir Alex t’a préféré un espagnol à crête, un danois qui ronge son frein sur le banc et un roux. Triste fin de tes rêves, Tomasz, mais nul doute que ton nouveau club de Brighton & Hove, en troisième division anglaise se rapproche plus de ton niveau et surtout te rapprochera de ton ferry en cas d’éclatement de l’Union Européenne. Vie de merde, monde de merde, mais courage à toi.


Ritchie de Laet (Leicester / 0 euro environ) : Il paraît que la Belgique a une génération dorée. Ritchie n’en fait pas partie. A 23 ans, il part tacler à l’échelon inférieur, sans avoir pu s’imposer à Norwich la saison dernière.


Park Ji-sung (Queens Park Rangers / 3,5 millions d’euros) : Il était temps de lâcher l’affaire. Sept saisons au plus haut niveau, plus de 200 matchs pour les Red Devils et voilà déjà la fin de la route. Park, tu as été un bon milieu de terrain. Tu n’as jamais pu être un grand, car il te manquait cette étincelle de génie dans ton jeu… Mais bon sang ce que l’on a apprécié ta tenacité, ta témérité, ta polyvalence, ton envie de tout arracher pendant ces années passées à Old Trafford. Tu étais un mec discret, droit et constant. Tu as même réalisé l’exploit d’être le grand pote de Patrice Evra pendant toutes ces années. Un mystère pour des millions de gens. Comment peut-on supporter l’arrogance du vice capitaine et son égo surdimensionné ? Simplement parce que vous vous complétiez, toi, le discret, lui l’égocentrique.
Las! La saison dernière a sonné le glas de ta carrière au plus haut niveau. Tes tacles ne déchiraient plus que le vent, tes passes ont trop souvent fini en touche, tu n’y arrivais plus… Et pourtant tu courrais, toujours, encore, partout, increvable, insatiable. Tu aurais mérité de partir sur une victoire, mais ce n’est pas sur un happy ending que s’écrivent les histoires les plus bouleversantes, c’est bien connu.
Aujourd’hui, il te reste un sacré palmarès et une belle expérience dont tu dois faire profiter tes nouveaux coéquipiers à Queens Park Rangers. Ce ne sera pas chose aisé. Peut-être aurais tu mérité de rentrer mourir au pays du matin calme, plutôt que sur un tacle d’Armand Traoré à l’entraînement. Mais la vie est une salope. Bonne chance Ji-sung, que la force soit avec toi.


Dimitar Berbatov (Fulham / 4 à 6,5 millions d’euros) : Un autre départ douloureux, mais logique. Le George Abitbol du football s’en est allé. Quatre saisons au club, dont une qu’il achèvera en tant que meilleur buteur du championnat (2010-2011) et pourtant il retournera faire banquette la saison suivante, barré par Hernandez et Welbeck. Pourquoi ? Comment ? On ne comprend pas vraiment les choix faits par Sir Alex sur la saison dernière, alors qu’un attaquant aussi expérimenté que lui nous aurait sûrement sorti de matchs difficiles. Le vieux maître écossais s’est peut-être lassé de la nonchalance assumée de son poulain. Oui, parfois Berba ressemblait au parfait branleur sur un terrain. Mais quand on a un toucher de balle comme le sien, on a envie de tout lui pardonner. Il est impossible de parler d’échec si l’on fait le bilan des quatre ans du Bulgare à Manchester, mais on ne pourra pas non plus s’empêcher de penser qu’il aurait pu faire encore mieux bien que l’on n’ait jamais pu lui offrir ce qui lui fallait : une équipe bâtie autour de lui.
Par contre Dimitar, si ton départ était bel et bien inéluctable, laisse moi te dire que t’a déconné grave. Fulham. Non mais sérieusement, Fulham. Alors oui, le stade champêtre du club te convient bien et on a hâte de te voir fracasser les défenses adverses, une tige de blé coincée entre les lèvres, mais quand même. Tu aurais pu jouer à la Fio et là ça aurait pu avoir franchement plus de gueule. Un club d’esthètes pour un championnat romantique et toi au milieu qui aurait mis tout le monde d’accord. Même la Juve qui te faisait tout autant les yeux doux n’aurait pas été un choix si dégueulasse (même si Michel Panini ne voulait pas de toi).
Alors Fulham en définitive. Fulham. Au moins, je sais que je te reverrai plus fréquemment. Et c’est bien là ma consolation.

Ils sont arrivés :

Avec un petit coup de ça dans les oreilles.

Nick Powell (Crewe Alexandra / 5 millions d’euros + primes possibles) : Les transferts de United ont donc démarré par la venue d’un gamin de 18 piges en provenance d’un club de quatrième division. Violence. Reste quelques petites choses. D’une son ancien club a du toucher plus en un transferts que tous les autres clubs de son ancienne division sur les 10 dernières années. De deux, il a apparemment surnagé toute la saison derrière en championnat et traine une réputation de gamin technique et surtout habile quand il s’agit d’allumer les gardiens adverses.
Un pari de plus donc de la part de Ferguson qui a laissé entendre qu’en dépit de son positionnement habituel en milieu offensif, le jeunot devrait être utilisé dans un rôle plus en retrait. Un candidat de plus pour la nouvelle émission « A la recherche du nouveau Paul Scholes ». Reste à voir ce qu’il grappillera question temps de jeu.

Shinji Kagawa (Borussia Dortmund / 20 millions d’euros) : Jean Colère en pleure encore et on le comprend quand on voit les premières performances de son ancien chouchou chez les Red Devils. Pur meneur de jeu, Kagawa est le genre de joueur qui te met en branle n’importe quel défense en une passe. Léger et gracieux quand il se déplace (avec ou sans le ballon), il promet d’être un vrai régal à voir jouer toute la saison. Surtout, il peut se montrer plus que décisif, j’en veux pour preuve les 23 buts claqués à Dortmund l’an dernier en une cinquantaine de match. Oui on attend beaucoup du prodige japonnais, oui je vais vous saouler avec du jeu de mot nipponisé et des comparaisons avec Olive et Tom toute la saison. Ça va être bien.

Robin Van Persie (Arsenal / 30 millions d’euros) : Alors là… Alors là… Que dire ? C’est le genre de transferts qui provoque des érections et des larmes. Chez les Gunners comme chez les Red Devils. Les supporters de l’Emirates pleurent la perte d’un joueur et la naissance d’un traitre (la bonne blague). Tonton Arsène se frotte les mains. 30 millions pour un mec de 29 ans à qui il restait un an de contrat… Même Bernard Madoff, génie du montage financier bien connu, n’aurait pas osé un coup pareil. A Manchester on a plongé tête la première. Parce que sur le papier, faut bien le dire, c’est enfin un nom ronflant que l’on recrute au sommet de sa carrière. Le capitaine d’Arsenal, le meilleur buteur de l’exercice précédent, la grande classe dans le jeu, tout ça tout ça. Reste deux ou trois choses qui tempèrent l’euphorie. D’abord et on ne le redira jamais assez, son prix. Parce qu’ajouté au salaire mirobolant (grosso modo le même que Rooney), c’est quand même un putain d’investissement. Ensuite, sa forme physique. Non parce qu’on le connaît le phénomène, il est souvent partant pour se vriller un genou et vu que l’an dernier les pépins physiques l’ont épargné, on craint le pire pour cette année. Ou alors il est vraiment guéri… Mais vu les prouesses de notre staff médical, on n’est jamais à l’abri d’une catastrophe. Enfin l’égo du néerlandais volant : on a bien vu ce que ça donnait à l’Euro avec Sneijder et Robben. Alors, pour lancer un débat footmercatanalesque, y aura-t-il assez de place pour lui et Rooney devant ? On a quand même envie de dire oui, Wazza ayant réussi à côtoyer Ronaldo pendant plusieurs saisons, soyons optimistes. En tout cas, s’il y a bien un pari risqué, c’est celui-ci. Et connaissant le lectorat du site, je sais que vous êtes nombreux à attendre qu’il se vautre. Son premier but avec United vous aura amené un début de réponse, les enfants.

Alexander Büttner (Vitesse Arnhem / 5 millions d’euros) : Pour concurrencer Patrice Evra et ses 1000 matchs par saison, le staff de Man U nous a sorti de son chapeau un illustre inconnu venu du pays de la tulipe (oui et des putes je sais, mais je voulais pas sombrer dans la vulgarité). Paraîtrait qu’on le supervisait depuis des années. Ouais, ça ressemble quand même à une maigre consolation suite à l’échec du transfert de Baines. On va pas se mentir, on ne connaît pas grand chose de lui, si ce n’est qu’il faisait partie du groupe élargi pour l’Euro 2012 au sein de la sélection oranje (sans être retenu au final, ce qui n’était pas forcément un mal) et que les vidéos youtube sur de la house moisie nous le présentent comme un mec rapide, offensif et un brin foufou. « Wait and see » comme on dit.

Angelo Henriquez (Universidad de Chile / 3,7 millions d’euro) : Il y a eu un faux suspense concernant sa venue, mais il est finalement bien là, son permis de travail ayant été accordé. Voici donc venu un nouveau « petit prodige » sud américain, pour aller se foutre dans les embouteillages en attaque. Oui, car si l’on fait le total et en comptant Macheda et Bebé (n’ayons peur de rien), on a donc 7 joueurs pour aller faire trembler les filets. A Man U on a un seul arrière droit, les gens supplient Sir Alex de chopper un vrai numéro 6, mais voilà qu’il préfère quadrupler les postes devant. Prends ça la logique. Alors certes, à 18 ans, Henriquez a claqué la bagatelle de 11 buts en 17 matchs la saison dernière, ce qui est plutôt joli, mais est-ce que l’on ne s’emballe pas un petit peu trop vite ? Qu’est-ce qu’on va en faire ? Ben je vais te faire une pirouette pourrie pour finir : l’avenir nous le dira. Désolé. Ah tiens, des buts en mauvaise qualité j’allais oublier…

Quel schéma tactique pour Manchester United (et non pas pour Wigan, on s’en fout ici) ?

Le plus gros casse tête, celui qui a émergé dès l’arrivée des rumeurs Van Persie, c’est bien entendu de comment associer tout ce beau monde sur un terrain de football. Rooney faisait office de 9,5 et remplissait à la fois le rôle de meneur et de buteur. Avec l’arrivée de Van Persie et Kagawa, titulaires indiscutables son rôle n’a plus de raison d’être. D’où le questionnement sur l’intégration de tout ce beau monde et surtout de l’entente sur le terrain entre Wazza et Robin.

Le schéma logique : le 4-2-3-1 :


« Logique » parce qu’il permet en théorie de mettre tout ce beau monde sur le terrain.
Ici Rooney serait donc utilisé comme un ailier. On me souffle à l’oreille que Van Persie est polyvalent et pourrait aussi se déporter sur l’aile. Reste que Rooney « déformé » par des années à un poste hybride n’a plus forcément cette envie de rester « scotché » au plus haut de l’attaque, comme l’ont montré les quelques matchs l’an dernier où il était placé seul en pointe (oui les matchs en 4-2-3-1 de l’an dernier que l’on a presque tous perdus et mal joué) et dézonait plus qu’un Anelka.

Alternative :


Ici Rooney retrouverait l’axe et un rôle d’électron libre, permettant même le cas échéant une mutation rapide en 4-4-2 si cher à Sir Alex en cas de besoin. Mais ce nouveau schéma force à reculer Kagawa… Donc, Cleverley, pourtant le joueur que l’on attend de voir briller, retrouverait le banc et surtout, la paire à la récupération serait défensivement réellement affaiblie, le japonnais ayant des velléités autrement plus offensives que le jeune Tom. C’est joli sur le papier, mais risqué en pratique, vu comme on peut vite souffrir au milieu de terrain face à joueurs autrement plus physiques.

Un 4-3-3 :

 

Reculer Kagawa mais ne pas écarter Cleverley de la compo, c’est possible. Rooney et Welbeck retrouveraient ainsi le front de l’attaque en compagnie de Van Persie. Mais adieu Young et Valencia (qui a dit Nani ?). Après et c’est là le plus grand bonheur dans notre malheur, il va de toute façon falloir se mettre en tête que certains joueurs qui ont de quoi prétendre à une place de titulaire vont aller se réchauffer avec Hernandez sur le banc cette saison. Sinon on ne serait pas là à balancer les stratégies possibles. Ce schéma rappelle pas mal le premier 4-2-3-1 exposé, mais dans une version sans doute plus offensive et moins ouvert au jeu sur les côtés évidemment, Evra et Rafael n’étant plus vraiment (pour l’un) et pas encore (pour l’autre) capable d’assurer les montées fracassantes et les retours défensifs irréprochables.

Miscellanées :

Si on jouait à Fifa :

Si on était des oufs :

Si Pablo Correa débarquait à Old Trafford :

Et toi, tu jouerais comment chenapan ?

Inferanal Kisses,

Luke Seafer

Luke Seafer peut désormais te faire la morale, puisqu’il est passé de l’autre côté : Si tu veux que Horsjeu.net survive, que ton académicien préféré puisse être fourni régulièrement en jeunes vierges et en litres de Bloody Mary jusqu’à plus soif, par l’Editeur, ce bel homme, alors tu peux faire un geste en versant une maigre contribution financière mensuelle (Satan te le rendra) ou même un don unique qui n’engage à rien.Clique ici.

Sinon, la Raide et Vile Academy est maintenant sur Facebook,  Luke Seafer  aussi, et il veut des amis, plein, parce qu’il était toujours tout seul dans la cour de récré et personne ne venait lui parler. Peut-être à cause de la chauve-souris sur son épaule, de ses briques de sang pour le goûter… On ne sait pas trop. Mais viens lui faire coucou, ça lui fera plaisir.

Et tiens, il est aussi sur Twitter et il trouve que c’est une invention de Satan un truc aussi addictif, donc n’hésite pas à lui faire coucou.

 

9 thoughts on “La Raide et Vile Academy présente le Manchester United version 2012-2013

  1. Mais Nani dans tout ça ? y a un truc que j’ai pas compris, puissant diable vauvert…

  2. Peu importe comment je joue, Fletcher serait sur le terrain, enfin si ses problèmes de fion le laisse au calme.

  3. Je m’insurge : Pablo tape dans le 4-4-2 ou le 4-2-3-1, voire même le 4-3-3 avec un seul récupérateur comme la semaine dernière.

  4. Mais pourquoi tu le met pas sur tes schémas. Malgré sa tête à claque il me semble valoir Young… Je peux me tromper, hein…
    En tout cas, offensivement, c’est une vraie orgie votre truc. C’est là que tu vois que tout le pognon du monde te fait pas gagner une champion’s league en deux ans

  5. @Toufik : Nani j’ai fini par perdre patience à cause de son irrégularité. En talent pur, Nani vaut sûrement Young, mais il m’exaspère. Young n’est là que depuis un an, donc je préfère lui faire confiance pour l’avenir.

    @Dirk : C’est pas mal non plus. Je retiens.

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