Salut les fils de traitres,

 

Le FC Metz reçoit le Stade Anal Brestois du copain Mèch, une équipe de quiches bretonnes, qui joue en rouge et blanc, communsymbole des globules de ton sale petit corps de juif sournois mal dans sa couleur de peau olivâtre. Pardon pour cet excès démesuré de violence scripturale, mais c’est juste que Rigobert n’aime pas cet assortiment maudit de couleurs avinées.

 

Le maillot de Brest ressemble comme deux gouttes d’eau à celui de l’ASNL

 

Sinon Brest c’est un aussi un club alcoolique dont l’entraineur s’appelle Dupont -mais n’a pas de moustache-, et dont l’effectif comporte et Bernard Mendy et Trippy Makonda. Logiquement, et bien que venant de l’élite, le Stade Anal Baisse-toi joue le maintien même s’il faut noter les 16 points pris sur 18 possibles lors des six dernières rencontres.

De son côté, le FC Metz ne sait plus jouer au foot mais continue d’engranger. Une victoire contre les Bretons et c’est 11 points d’épaisseur qui nous serviraient de matelas confortable pour la montée. Ce qui est bien. À l’inverse de Pierre Ménès et de son animal mort de compagnie, Hervé Mathoux, à qui l’on souhaite une mort prompte et violente.

 

News :

 

  • Bonjour. Metz aurait racheté le matricule du Royal Boussu-Dour,-Borinage club au nom sexy qui galère en D2 belge, et ce, dans le but de monter le RFC Sérésien (propriété récente du « groupe FC Metz ») directement à cet échelon. Mais à Boussu-Dour ça gueule et Metz chercherait donc à intégrer le club en D3 pour qu’ils ne chignent pas trop non plus. Toujours est-il que l’an prochain, des joueurs du centre de formation, accompagnés d’un troupeau de Sénégalais devraient venir composer un nouvel effectif hétéroclyte dont la base resterait belge et donc huileuse. Le projet étant de faire grimper au plus vite cette nouvelle entité footballistique en Jupiler League. Amen.

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Metz que un match :

 

-2e : Le retour de la bête. Guido Milan n’a pas mangé depuis un mois, et ce soir il jouera sans muselière. Coucou Nicolas Verdier.

4e : Bussmann se prépare à passer la ligne médiane puis se ravise devant tant de pression.

8e : Métanire ne connaît pas la pression, il court à quatre pattes et la langue dehors pour impressionner Lesoimier. Lesoimier vomit.

12e : Guido Milan.

16e : A chaque remise en touche, Métanire a le cerveau en ébullition. Ça chauffe tout le stade cette connerie là.

21e : Bussmann n’est clairement pas venu pour faire du football. Hagard, on dirait un mec qui vient d’apprendre qu’il a échoué sa tentative de suicide.

22e : Ou alors il est socialiste.

28e : Métanire a quand même le chic pour mettre son corps dans des situations ambarassantes.

34e : Guido Milan.

36e : Petite talonnade ambiance scandale danse de vandale de Sylvain Marchal à trois mètres de ses buts. Mais Verdier est tellement nul qu’il ne peut profiter de l’offrande.

41e : Pour Bussmann c’est forcément la drogue, là c’est plus possible.

43e : Dis Sakho, tu veux pas retourner en prêt à Boulogne histoire de te relancer un peu là ?

45e : Bussmann pète un plomb et tente de tirer en tribune. Il y parvient, d’un bel extérieur. Mais c’est la stuppeur, ici à Saint Symphorien. Monsieur l’arbitre est obligé de renvoyer tout le monde aux vestiaires.

Mi-temps. L’occasion de souhaiter un bon courage à Ingrid Bétancourt, toujours retenue et violée en Colombie. Cela fait maintenant 887452 jours et presque autant de viols. Même Brandao ne tient pas ce rythme.

46e : Guido Milan est fou de rage et le fait savoir au tibia d’Alexandre Alphonse. Carton jaune.

46e : Chaud Carrasso relance sur Eduardo qui double coup du sombrero puis laisse N’Gbakoto dégainer la grosse Bertha. Sans filet, elle s’arrêtait à Pont-à-Mousson celle-là. 1-0

55e : Métanire centre au cordeau sans faire exprès, Sakho reprend en taclant, poteau. N’Gbakoto a suivi et marque avant de comprendre que Diafra était hors-jeu depuis le début du match.

58e : Alors qu’on annonce l’arrivée imminente de Manuels Feuille de Choux en Horda pour faire stopper cet antisémitisme radical.

61e : Metz gère, Brest galère, le spectacle est en tribune.

63e : Finalement menuisier c’est pas si mal Diafra Sakho.

67e : C’est en tout cas toujours mieux que la vie de Gaëtan Bussmann qui vient de prendre un tournant hardcore.

70e : Métanire lui au moins quand il est nul il s’en fout, il continue de jouer une jambe par-dessus l’autre et les bras n’importe-où. C’est spectaculaire.

78e : Guido Milan

87e : Fallait bien que ça arrive : Mayoro n’a plus de pile. Ah si il repart l’air de rien. En fait il faisait juste le mort pour échapper à un prédateur. Habile.

90e : Triple changement d’Albert Quartier qui a plus d’un tour à son arc.

93e : De la Liguain au National et vice versa, FC Metz tout ça tout ça.

 

Les notes :

Johann Carrasso, 4/5 : Une douce mélodie pendant la seconde période : « Chaud Carrasso, chaud, chaud, chaud, Carrasso. » C’était beau. Coeur avec les doigts.

Busmannibal Tracteur, 0/5 : Un match en demi-teinte pour le Vosgien hardcore. Des cargaisons de passes en touche, une frilosité de pucelle de 5 ans au Kossovo, une technique de pelleteuse, et un pied gauche à faire vomir Bakary Sagna, le tout dans un corps de légo transgénique.

Romain Métanul, 2/5 : Tout feu tout flamme mais plus nul que son ombre, Métanire est une fuite en avant à lui tout seul.

Guido Milan, 4/5 : Un Pejcinovic dans chaque jambe. Tout le reste dans son énorme queue de cheval. La monstruosité faite homme.

Sylvain Marchiant, 2/5 : Aussi serein qu’un octogénaire au volant, Marchal conduit ses troupes avec la trempe d’un levraut et le charisme d’une none. Heureusement le capitaine messin compense par sa vitesse.

Ahmed Kashi, 2/5 : Chauve comme il peut, et sournois comme il doit, Kashi croque dans le ballon à pleines dents. Après pour faire des passes…

Mayoro N’Doye, 3/5 : Enfant-soldat répond présent quand il faut, avec du cœur à l’ouvrage. Ça shlappe, ça saute, ça miaule, ça tombe, ça tire, au dessus, très loin, du but, c’est triste, de voir, un noir, si frêle.

Bouna Sarr, 3/5 : Roi Bouna de retour parmi les siens a pu dribbler et faire danser Bruno Grougi. « Danse pour moi, Bruno, allez danse » et Bruno dansa. Sinon Bouna a tenté, un peu, et a pointé le bout de son museau dans les petits carnets de son entraineur insensible.

Génie N’Gbakoto, 3/5 : Génial sur ce but en mode guerrier du désert, Yéni reste quand même trop souvent du côté sombre de la force et enquille les ratés aussi vite que Marchal est lent.

Eduardo, 4/5 : A gauche, à droite, en haut, en bas, Eduardo par ci, Eduardo par là. La Brésilienne a bel et bien touché dans le mille en remuant son petit boule de coquine le long de la défense brestoise. Tout en touchés subtils mais avec vigueure, Eduardo a livré un match plein comme un cochon. Par contre avec ce froit, elle risque d’avoir les lèvres gercées.

Diafra Sakhouille, 1/5 : Sakho ne parle plus football sur le terrain. Lent et empoté, même plus si bagarreur, Sakho part en couille et va finalement finir à Esh-sur-Alzette, c’est courru d’avance.

——

Nicolas Fougère, non noté : Un sol-pleureur.

Thibault Fion, non noté : Scandaleux.

Jérémy Choplin, 5/5 : Match parfait, alors qu’il n’est même pas rentré à son poste.

 

 

Un beau but :

Sinon, pour devenir un mec sympa, c’est ici.

 

Rigobert Pirès

2 thoughts on “Metz – Brest (1-0) : La Metz que un Club Académie joue du piano debout

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