Metz – Bretagne (0-2) : La Metz que un club Académie de l’amour des humains multicolores

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Le sens de l’hospitalité

Salut la bien pensance,
Ca va ? Rigobert est au plus mal. Partout où il écrit, tu reviens toujours pointer le bout de ta chatte sale pour lui rappeler qu’on ne DOIT pas utiliser les mots « nègres », « enculé », « arabes », « gros pédé sale », et consorts. Par contre s’il le souhaite, il peut utiliser « pignouf » et parfois « tocard » s’il est vraiment en colère après Kévin Lejeune.
C’est frileux comme un discours de Cartier, pédé comme une relance de Bussmann, et sale comme la coiffure de Métanire. De toute façon, c’est toujours les nazis qui ont le mauvais rôle. Dès qu’on veut expliquer des choses avec une sensibilité un peu plus germanique, tes chiens de garde (souvent de race féminine ou homosexuelle) se dressent sur leurs pattes arrières et aboient si fort que Rigobert est obligé de vomir un arc-en-ciel.
Monsieur Duhamel, Non ! Rigobert a toujours pensé que « c’est celui qui dit qui est » comme disait Momar N’Diaye. Donc c’est toi la sale conne raciste ! Mais plutôt mourir que de se rendre. Derrière Rigobert le nazi il y a aussi un homme. Le nazi n’a-t-il pas des yeux ? Le nazi n’a-t-il pas des mains ? Et si vous le piquez, ne saigne-t-il pas ? Et si vous le chatouillez, ne rit-il pas ? Rigobert est un vieux Monsieur, il a 46 ans, sa vie est derrière lui. Au diable Charlie, vive Guirane N’Daw.

La réaction aux critiques de Rigobert en image

 

Metz-Brest, huitième de finale de la Coupe de la France du Général De Gaulle

Le FC Metz est dernier de la honte. Et à moins de battre les paysans bretons de notre sacré Gwen, c’en sera cuit comme un bon juif à l’ancienne. Aussi, la coupe de France devient dans ce contexte délicat, la bulle d’oxygène qui permet aux supporters messins de ne pas trucider sauvagement Albert Cartier, roi des Andals et des Premiers Hommes.
Dans cette perspective, Tonton Albert a prévu un semi-roulement. Exit les gros bourrins qui tirent en l’air, place aux pattes fines : une victoire, du pain et du jeu ; le joli programme qu’a demandé cette semaine Bernard Moustache Paternaliste Serin dans la presse. Sinsinf’ va ainsi pouvoir découvrir le petit letton fan de Kyo, le Tunisien pas roux et voit ressortir du congélateur un Serguey Krivets qu’on dit réchauffé ces derniers temps.
Le match de la honte, épisode 1 :
Rigobert pensait faire une académie en bonnet difforme pour la réception de Brest. Mais c’était tellement de la pisse de vautour que ce sera finalement sous forme de quelques remarques anales.

– Le FC Metz = deuxième abonnement le plus cher de toute la Liguain. Ce qui n’empêche pas le FC Metz de faire des prix de vilaine petite salope pour la réception de Brest. C’est encore plus sale qu’une académie du Gwen.
– Malgré tout, plein de supporters messins. On sait pas d’où ils viennent ni ce qu’ils espèrent mais ils sont là. Contrairement aux burnes de Cartier et son 4-5-1 audacieux.
– Heureusement qu’en contrepartie y’a les pitchs.
– Les supporters de Brest sont tous venus. Ils sont donc zéro.
– Célébrer des buts imaginaires. Voilà le moyen qu’ont trouvé les Messins pour survivre au FC Metz avec le sourire.
– PAS UNE SEULE SALOPERIE D’OCCAS EN 120 MINUTES ! L’étau de la honte se resserre autour des testicules d’Albert le cinquième mousquetaire Cartier.
-Dans le froid comme dans la honte, les supporters grenat forcent le respect. Sinsinf’ n’est que 6000 mais Sinsinf’ aura chanté tout le match.

Les notes :

Johann Carrasso, 2/5 : On a beau l’exhorter à un peu de chaleur, Carrasso reste bien froid dans ses cages trop grandes. Et n’a jamais arrêté de pénalty depuis qu’il est au FC Metz.
Romain hula hoop Métanire, 3/5 : Ok, Métanire est nul. Mais tout ce qu’il ne dépense pas en talent, il le rattrape à la course, en zigzag, avec ou sans ballon, les cheveux lisses et gominés dans le vent et la langue pendue. Avec quelques petits festivals par-ci par-là en mode toupie.
Jonathan Rivièrez, 1/5 : Rivièrez à gauche, c’est comme Ingrid Bétancourt en liberté. C’est non.
Sylvain Marchal, 2/5 : Capitaine en déroute qui fait des têtes. Et des passes, latérales. Dans le meilleur des cas.
Jérémy Choplin, 4/5 : La rage dans le ventre et le couteau entre les dents, Choplin a livré un match de costaud et a signé certaines chevilles brestoises en cadeau bonus.
Ahmed Kashi, 1/5 : Kashi c’est fini. Trop chauve.

Ferjani Sassi, 3/5 : Des promesses de pases à Sinsinforien. Sassi devrait donc finir en CFA rapidement.
N’Gbakoto, 0/5 : Sorti à la mi-temps, N’Gbakotal n’a plus rien d’autre du Génie que la coiffure. Remplacé par Sido par humour.
Janis Ikaunieks, 2/5 : Quelle technique ! Dommage qu’il ait huit ans. Remplacé par Falcon, obèse.
Sergay Krivets, 3/5 : Dix milliards de fois plus actif que pendant son hibernation, le Biélorusse donne les premiers signes d’une rédemption. Même si on dirait toujours qu’il n’a pas dormi depuis deux ans. Remplacé par Lejeune, pour être sûr que les CPA soient mal tirés en fin de match
Modibo Maïga, 1/5 : Rigobert aurait aimé avoir la force de ne pas tomber dans l’insulte facile mais Maïga est trop puissant et fait craquer Rigobert, qui se se contentera cependant d’un « fils de pute » presque amical pour le Sénégalais Malien horsjeu.

 

Metz – En avant Guingamp : match de la dernière chance

Prolégomène : Des nouvelles d’Albert Baning

 

-15 : Sinsinf garni à plus de 20.000 spectateurs. Meilleur public du monde.

-7 : Le FC Metz démarre en 4-4-2. Cartier est donc sous coke.

-5 : Lejeune et Bussmann titulaires.

-3 : En revanche, le retour de tonton Guirane dans l’entre-jeu fait durcir Rigobert.

-2 : Maïga est déjà signalé horsjeu.

1 : C’est parti à Sinsinforien où les Messins tenteront l’impossible : battre l’En Avant Guingamp, ogre du football français.

4 : Bussmann joue la peur au ventre et le short plein de pisse. Rigobert en est presque mal à l’aise.

7 : Guère mieux côté tribune nord, où Métanire ressemble de plus en plus à un gribouillis vivant. Franchement, Métanire empaillé ça se place au Pompidou tranquile

11 : Marchal tente de courir mais on voit bien que c’est trop tard

14 : Crampe au bras droit de l’assistant qui n’en peut plus de signaler Maïga horsjeu.

21 : Mandanne lance vive-attaque vers le but de Carrasso mais perd son duel grâce à une sortie ravissante du portier lorrain. Sisi, un vrai bel arrêt. De Carrasso. Oui Monsieur. Rigobert ne ment pas.

24 : Jérémy Pied lance un appel de phare à Bussmann qui s’endormait dans son couloir. Le défenseur messin se réveille en sursaut et ne peut contrôler son colon qui lâche prise.

27 : Le défenseur messin plein d’excréments doit maintenant courir en écartant les jambes. Cet handicap aidant, l’homme bus laisse à Jérémy Pied le loisir de centrer sereinement vers le petit Mandanne qui rôdait loin du marquage de Marchal. Une tête plongeante plus tard et voici Metz dans la panade. 0-1

32 : Sassi fond en larmes se demandant encore pourquoi il n’a pas signé à l’Ajax ou même à Gueugnon tant le FC Metz sent le cadavre. D’ailleurs on apperçoit des corbeaux au dessus de la tribune Nord…

33 : Ah non c’était juste Elie Baup, au temps pour Rigobert.

Même sans sa casquette, Elie Baup ne passe pas inaperçu quand il rôde autour d’un club.

 

37 : Lejeune est tellement à côté du vrai que même la tribune sud réservée aux riches moustachus commence à insulter sa mère

40 : Ballon anodin pour un Bussman au bord de la noyade, qui se vautre dans une flaque de ses propres déjections et tombe le nez dans sa misère, laissant Jérémy Pied pourlêcher le poteau de Carrasso avant que le ballon ne s’enfonce plus profondément dans l’antre anale des Messins. 0-2

42 : Désormais c’est tout Sinsinf qui essaie d’articuler des phrases à l’encontre du mal qui habite le FC Metz. c’est bruyant mais inaudible.

45 : Les deux kops tant critiqués par les beaufs et les afficionados de Pierre Ménès continuent eux d’abîmer leurs cordes vocales à la gloire de leur club et avec l’énergie du désespoir.

Mi-temps. Images exclusives du discours de Cartier aux joueurs à la mi-temps.

46 : Cartier met fin à la mascarade et sort le bus tragique, pour faire entrer un footballeur royal de type Bouna Sarr. Kévin Lejeune assurera donc au poste d’arrièré gauche.

49 : Bouna Sarr a déjà dribblé plus d’adversaires que Lejeune dans toute sa vie.

51 : Sassi fond en larmes et demande le changement suite à ce centre télédéguidé de Métanire.

55 : Entrée de Kwamé N’Sor à la place de Sylvain Marchal. Metz finira donc le match en 2-5-3 avec Lejeune en défense.

Albert Cartier ne paraît plus totalement lucide sur son banc.

 

58 : Bussmann ne se remet toujours pas de la quantité de stress accumulée en première période et commence à s’étouffer dans son vomi. Le médecin du club intervient rapidement et met l’homme bus en Position Latérale de Sécurité, deux roues en l’air.

61 : Guirane N’Daw est un génie. Là dessus y’a pas débat. Mais 10 c’est vraiment pas son poste Monsieur Cartier.

64 : 256ème Horsjeu.net de Modibo Maïga.

68 : Les supporters du FC Metz demandent explicitement à Bernard Serin de chanter une chanson ou de se suicider. Le président paternaliste messin s’exécute.

72 : Par contre les « Cartier démission » laissent Albert de marbre, trop content du match que livrent ses joueurs pour remarquer quoi que ce soit en tribune.

74 : Ahmed Kashi jouit du spectacle, bien ancré sur le banc de touche pour le reste de sa vie.

75 : Roi Bouna est chaud patate et fume tout le monde. Chacun de ses raids solitaires finit certes par un horsjeu de Maïga mais Sinsinf vibre un peu.

78 : Kwamé N’Sor s’essaie à la demi volée en déséquilibre.

85 : Les supporters messins n’essaient désormais plus vraiment d’encourager les Grenat mais tentent de faire passer d’autres types de messages.

88 : Tous avec un mouchoir à la main scandent maintenant « Fiasco » vers la corbeille présidentielle. Bernard Serin agite la main avec le sourire.

90 : Sinon y’a Krivets qui est entré en jeu. Pourquoi ?

Fin du match. Bernard Serin adresse finalement ses salutations les plus distinguées aux supporters messins.

 

La réaction d’Albert est splendide :

La réaction de Rigobert aux déclarations d’après-match d’Albert Cartier n’est pas excessive.

 

Les notes :

Carrasso, 2/5 : Violé à chaque match dans son âme impuissante de gardien un peu gros du FC Metz, Carrasso avait pourtant réalisé l’arrêt vaginal du week end en début de match pour relancer les siens. Dommage que les siens sont à la relance ce que Cartier est au coaching : des incapables

Métanire, 1/5 : Footballeur vomi aux bras trop longs pour être vrais, Métanire a le mérite d’essayer tant bien que mal de faire ce qu’il peut avec ce qu’il a : une tête de guignol sur un corps d’invertébré. Le rendu n’est pas brillant bien que spectaculaire. Mais globalement, Métanire est nul.

Bussmann, 5/5 : L’Homme-bus du match. Une passe décisive de la honte pour Jérémy Pied, un visage qui n’exprime rien d’aure que la peur, un niveau à faire pâlir un esthète comme Romain Inez (à qui Rigobert passe le bonjour où que soit ce chien de la casse), cette fois c’est sûr, le futur arrière gauche de l’équipe de France des aveugles est possédé par le malin, au mieux. Au pire, Bussmann est juste un tas de carrosserie sans âme que Rigobert vendrait bien à une bande de Roumains peu à cheval sur l’éthique.

Marchal, 1/5 : Marchal, c’est comme Thomas Voekler en fin de mont Ventoux : l’expression manifeste des limites du courage face au manque de talent. Et encore Rigobert demande pardon à Voeckler qui ne lui a rien fait du tout pour cette comparaison inique tant le capitaine messin ressemble plus à un mort qu’à un vivant. Même une plante a plus de fougue.

Palomino, 3/5 : Saignant, le défenseur argentin doit faire seul le boulot de deux, parfois de trois quand Bussmann est en mode bande d’arrêt d’urgence. Le tout avec la barrière de la langue qui empêche ce tas de muscle d’insulter de tous les noms ces collègues honteux de défense fantôme. Normal donc qu’il y ait quelques imprécisions. Mais si Rigobert pouvait multiplier Palomino par quatre, le FC Metz resterait en Liguain.

N’Daw, 2/5 : Egérie de la violence, parangon de la puissance rustaude du nègre vénère, N’Daw est brillant dans ce qu’il fait. Loin du foot donc. Malheureux que ce soit lui qui doive si souvent dépasser sa fonction de sentinelle sanguinaire pour faire des passes, parce que c’est pas son rôle putain !

Sassi, 3/5 : Ô rage, ô désespoir, ô FC Metz ennemi, n’ais-je donc tant vécu que pour cette infâmie ? Seul joueur de football à savoir faire « Croix » dans ce FC Metz insalubre, Sassi est tombé tout en bas, dans le foutre et dans la fange, sous les ordres d’un militaire sans talent qui a perdu le ton, loin des promesses de son avenir, proche de la Ligue d’eux et de la grave blessure. Le suicide est une option.

Lejeune, 1/5 : Dégueulasse mais content de lui, Lejeune continue d’empiler les matchs immondes avec la bénédiction de son coach et protecteur, tonton Albert Cartier. Mais si Kévin frise avec l’immonde lorsqu’il joue au milieu, Rigobert est tenté d’avouer qu’à l’arrière, Lejeune s’est avéré bien plus acceptable qu’une roue de secours et bien au dessus de la flaque d’huile Gaëtan Bussmann.

Doukouré, 1/5 : Mettre un récupérateur/relayeur/noir à droite, voilà un nouveau coup de maître du Tonton, maudissant ainsi le retour de Doukouré après sa CAN victorieuse. Applaudi gentiment par Sinsinf’, Doukouré reste cependant une promesse de jours meilleurs.

Falcon, 1/5 : Trop gros, trop frileux, Juan Falcon aurait dû être l’attaquant espéré par le FC Metz et en avait le potentiel. Une blessure au mauvais moment et une mise au ban plus tard, la confiance du Vénézuélien contaminé par la petitesse de couilles ambiante au sein de la maison grenat, et voilà un Falcon empoté et empâté, qui ne prend plus d’autre profondeur que celle de la lose.

Maïga, 0/5 : Vile petite salope qui était censée remplacé Sakho, Maïga s’avère n’être rien d’autre qu’un grand noir guindé et indolent, individualiste et prétentieux. Un jour Modibo se fera couper la tête ou les couilles, et Rigobert sera dans la foule pour applaudir.

 

Remplaçants :

Sarr, 5/5 : Monstrueuse entrée du Roi Bouna qui a pulvérisé plus d’un rein, secouant des Guingampais qui n’avaient jusqu’alors plus besoin de courir. Dans un autre contexte, Bouna aurait pu être (tout comme Génie) une révélation qui aurait enchanté la Liguain, le FC Metz et Rigobert. Au lieu de quoi, Bouna sera mauvais pendant une mi-temps lors du prochain match, sera sorti et blâmé par son coach à la psychologie martiale et pourrira quelques matchs de plus en CFA avant de quitter le FC Metz pour de bon sans un regret.

N’Sor, hors barème : N’Sor dépasse tous les cadres classiques, transcende les catégories du bien et du mal, du beau et du bon, pour n’être évaluable qu’à l’aune de l’humour et du pittoresque. Déboussolant pour les spectateurs de Sinsinf venus voir du foot et qui se trouvent finalement les yeux plongés dans ce pantomime burlesque et ridicule. Un ballet tout en déséquilibre, qui fait de N’Sor un joueur à part, splendide. Rigobert en viendrait presque à ne plus souhaiter sa mort.

Krivtets, non noté : Cartier ne fait semblant quand il choisit de salir quelque chose, il le fait bien.

Tonton Albert : Il a remonté le club des flammes de l’enfer, mais s’avère finalement être le vers qui le ronge pour l’y replonger avec plus de force. Tonton Albert, merci pour le poisson, mais désormais il faut faire son baluchon.

Serin :

Et pendant ce temps-là, alors que Sinsinf’ devient un espace VIP, où les supporters ont de moins en moins le droit d’exister et de s’exprimer, tandis qu’Albert Cartier villipende leurs derniers espoirs de Liguain, Bernard Serin continue son petit bonhomme de moustache de chemin vers la première marche du podium dans le concours du plus bel ******* 2014-2015.

 

 

Pour insulter publiquement Rigobert c’est ici ou . Shalom.

 

Rigobert Pirès.

3 thoughts on “Metz – Bretagne (0-2) : La Metz que un club Académie de l’amour des humains multicolores

  1. Rigobert espionne tous mes faits et gestes. J’avais déjà fait le mélange Shylock/nazi dans un mail à un ami, et j’étais très fier, et voilà qu’un messin me prend mon idée.

  2. Su-perbe. J’en viens à souhaiter encore des défaites au FC Metz pour retrouver la prose enragée de Rigobert.

  3. Putain ! Le loup-garou de Londres en tribute. Quel film. Hey Francky ! J’t’envoie le lien, tiens moi au courant pour la bouffe de vendredi.

    Ok, désolé de faire le keum moyen passant à la téloche pour mes annonces personnelles. Continuez comme ça les Chavroux-boys, ça nous laisse un espoir à nous toulousains pour se maintenir.

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