METZ – CAEN (3-2) : La Metz que un Club Académie sans voix ni loi

Bonjour Mesdames.

Cette semaine, c’était Coupe Moustache. Et le glorieux FC Metz se déplaçait chez Alexys Bosetti et son club de gitans surcotés. Pas de quoi défrayer la chronique, mais de quoi s’amuser un peu un mercredi à 18h30 en écoutant hurler Manu Petit et son arabe de compagnie. Nonobstant leur récente victoire 7-2 à Guingamps, les Niçois sont nuls. Et ça, Albert le cinquième mousquetaire Cartier l’a bien compris et affiche donc logiquement une équipe B pour ce match gagné d’avance. Ce match n’est tellement pas pris au sérieux côté grenat, Tonton Cartier se permet même d’envoyer au front Sylvain Marchal dès le début de la rencontre. Ultime provocation du chef scout messin, Thibault Fion, titularisé en attaque aux côtés de Modibo Maïga…

Et tellement Nice n’a rien dans le sac, avec les remplaçants des remplaçants le FC Metz s’amuse sur la côte d’azur et mène 3-0 au bout de 20 minutes (Palomino, N’Gbakotal, et Fion). Magnifique, jouissif. Voir le visage de Bosetti après une telle entame n’avait pas de prix. Seul bémol : aucun blessé côté côté niçois. Sauf que, cerise sur le gâteau anal, Didier Digard, le roi des Salopes, se blesse à ce moment précis. Rigobert ne peut contenir toute la joie qu’il ressent et éjacule un arc-en-ciel en la mémoire de Grégory Proment.

La suite du match est écrite par la scénariste des Cordiers Juges et Flics. Metz se fait remonter petit-à-petit grâce notamment à un Carrasso savonneux. Les prolongations n’apportent rien de bon. Au bout du bout, les tirs aux buts viennent couronner les Messins, notamment grâce à un Carrasso moins savonneux. Ainsi Metz se qualifia donc pour les huitièmes de finale de Coupe Moustache et se remit tout doucement en confiance avant de recevoir le Stade Mauvaise herbe de Caen.

Contexte de merde :

Alors que le FC Metz réussit son entrée en matière en Liguain, que l’ambiance de Sinsinf’ est totalement retrouvée et n’a pas été aussi bonne depuis que la Terre est ronde, que décide de faire Monsieur pas Serin et sa bande de sodomites aigües ? Interdire un groupe de jeunes supporters (Gruppa), interdire les tifos, banderoles et tout autre message dans le stade, renforcer la haine du fumigène, violer des gosses, annuler l’édit de Nantes et mettre Brandao dans un zoo.

Via un communiqué insalubre, aussi mal écrit qu’inutilement polémique et violent, le FC Metz choisit donc de se tirer lui-même un balle de bazooka dans le pied de Kévin Lejeune, juste pour le kiff. Si Monsieur pas Serin excelle ces derniers temps dans sa gestion sportive du club, son attitude paternaliste et fils de putiste avec les supporters mérite qu’on lui rase la moustache et qu’on lui crève un œil.

Le FC Metz ne lui appartient pas (il appartient à Guirane N’Daw). Rigobert appelle donc toutes les âmes charitables à mener une action sans précédent pour protester contre la direction du club : tuer des juifs. Trouvez des juifs dans la rue, dans des synagogues, attrapez-les, ligotez-les, et mutilez-les. Il n’y a que par la haine des juifs que nous pourrons faire avancer les choses. Les juifs eux-mêmes sont contents de servir de bouc-émissaire, c’est une sorte de passion qu’ils ont depuis l’Antiquité moyen-âgeuse et ce serait incroyablement malsain de leur refuser un bon petit massacre à l’ancienne…

Metz – Caen :

-8 : Malgré un intérim convaincant, Anthony M’Fat retrouve le banc. Classique.

-7 : L’homme-bus étant au garage, c’est l’étalon argentin, José Luis Miguel Vincent Thonon Gaillard Palomino qui le remplace en qualité de latéral gauche un peu gros.

-3 : Le FC Metz sans supporter, c’est un peu comme une Nigériane sans SIDA : insipide.

-1 : Un jeune arbitre est invité à donner le coup d’envoi communsymbolique par Monsieur Rainville. Suicide-toi !! Suicide-toi tant qu’il est temps !

1 : Quitte à ne pas avoir d’ambiance, est-ce qu’on pourrait demander au roi des fils de pute qui sert de speaker d’arrêter de faire comme si tout le monde était de bonne humeur ?

4 : Caen démarre bien mais ne marque pas. Rigobert n’est pas inquiet parce que dans le staff de Caen, il y a ce qu’on appelle Xavier Graveleine. Et Xavier Graveleine ne peut pas gagner. Caen est donc condamné à la relégation.

7 : Guido Milan montre à Mathieu Duzemel combien il chausse.

10 : Malouda retourne son couloir et centre. Maïga trébuche sur ce ballon qui traîne. 1-0

11 : Putain, il déchire le nouveau public de Sinsinf’.

18 : Trop de mouvements partout, N’Daw reprend le match à son compte.

20 : Voldemort envoie une praline délicate en pleine barre de Rémi Vercroute.

22 : Nangis pousse un ramasseur de balles, trop lent à son goût. Le public de Sinsinf’ lui tousse dessus.

23 : Nangis permute donc avec un autre petit noir similaire. Le public de Sinsinf’ tombe dans le piège et tousse sur l’autre petit noir similaire.

27 : Choplin tente de tacler de l’oeil.

37 : Guido Milan s’amuse avec Mathieu Duzemel.

39 : Guirane N’Daw endort le match.

44 : Kévin Lejeune est toute remuante. Finalement l’opération générale l’a peut-être désanesthésié.

Mi-temps. Serin, une chanson !

50 : Percée éclair de Kévin Lejeune qui transmet vers Falcon. Mais c’est Maïga qui rode encore dans les parages et qui la pousse du bout du zgeg. 2-0.

54 : 2-0 à domicile. Il y a une semaine, ç’aurait été ça.

55 : Aujourd’hui c’est ça.

61 : La joie de vivre de Joël Müller s’abat sur la rencontre.

65 : Juste avant de céder sa place, Kévin concède une faute à 20 mètres. Jean Calvaire se charge du reste et permet à Carrasso de mettre en valeur son récent surpoids. 2-1

68 : Palomino se met à dégager en l’air dès qu’il a a le ballon. C’est marrant mais c’est pas très bien joué.

78: Mais au final, il est bon ou pas Modibo Maïga ?

80 : Saint Symphorien pousse son équipe. De toute façon Bernard Serin vient d’interdire les encouragements pour cause de migraine à l’anus.

83 : Dans le calme plat, Koita profite d’un centre parfait de Rastapopoupentino et plante le second de la tête. 2-2.

88 : Ballon qui traîne dans la surface normande. Vercoutre tente de l’intimider du regard et n’intervient pas. Maïga le chipe et s’écroule avec un gros Yahia sur ses épaules. Pénalty !

90 : Florianne Malouda se rappelle qu’il a survécu à la Turquie, prend ses testicules entre ses mains et la plante au fond. 3-2.

92: Bon ben Metz gagne.

Les notes :

Note à Béné : Rigobert note plus tranquille t’as vu que d’habitude, parce que c’est pas évident de jouer à Louis II tout le match.

Johan Carrassaute plus haute, 3/5 : Un peu gros et un peu juste sur le coup-franc de Jean Calvaire, le Carrasso junior s’est toutefois fendu d’une prestation rassurante après sa diarrhée de milieu de semaine. Pas de quoi encore nous faire oublier Anthony M’Fat, mais encourageant pour la suite.

Romain Métanhydre-avion, 4/5 : Métanire commence franchement à avoir le niveau Liguain. Certes, ça fait un peu flipper pour la Liguain, mais ça fait plaisir pour le Métanire et ses jambes en fusion nucléaire, tant le bonhomme galope sans jamais s’arrêter. C’est con, parce qu’il va sans doute mourir d’une rupture d’anévrisme contre Reims en 2016, mais on en aura bien profité.

José Luis Palominal, 3/5 : Allez, un petit 3/5 bien dosé pour le gros argentin qui n’a certes pas livré une copie parfaite, mais qui a quand même fait le job avec sérieux et malgré un gros cul de cheval de trait. Un bon match de stoppeur des années 80, mais dans le couloir gauche.

Jérémieux Choplin, 3/5 : C’est pas encore du gros Choplin vénère, le buste haut et la bite en l’air, mais c’est déjà plus mieux que quand c’était moins bien.

Guidooooo Milan de Chine, 4/5 : Guido Milan a appris la politesse à cette petite salope effrontée de Mathieu Duzemel. Avec le poings, le torse, ou même le chignon, Guido a une nouvelle fois prouvé qui était le patron.

Ahmed Kashi, 4/5 : Cette frappe de gitan sur la barre de Rémi Vercoutre ! C’eût été le but du siècle de l’année. Par ailleurs, un gros match de chauve aux dents longues pour l’Ahmed.

Guirane N’Daw, 3/5 : Il ne court pas. C’est à peine s’il se déplace, mais toujours le gros Guirane pas content distille sa science du jeu et son expérience tactique, tantôt à coups de petites passes nègres et affûtées dans les intervalles, tantôt à coups de gros ballons verticaux en une touche, qui faute d’être esthétiques, cassent bien les couilles aux défenses adverses.

Kévin (presque Stéphane) Lejeune, 4/5 : Oui monsieur. 4/5 pour le Kévin. Communsymbole du gros match sans peur (ou presque) et sans reproche du détonateur messin, avec en prime, une passe décisive et une autre, du droit, qui méritait de l’être, sur la tête foncée de Modibo. Les félicitations sont à venir au prochain trimestre, mais déjà nous vous mettons les encouragements, Monsieur Kévin.

Florianne Malouda, 4/5 : Chaud patate le pré-retraité ! Des passes (une décisive), des tirs, des dribbles, des accélérations (FAUX), et un péno victorieux avec le posage testiculaire qui va avec. Le Guyanais souriant a régalé la chique ce soir.

Modibeau Maïga, 4/5 : La quenelle du Maïga au méchant public de Sinsinf’ ! Sifflé lors de sa dernière sortie, Modibeau a envoyé du lourd tout seul devant, avec un doublé pour preuve, et un supplément champignon qui pèse lourd dans la balance : ce péno provoqué à la 89ème.  Ne reste plus que son premier sprint et l’on pourra dire Maïga sur le retour…

Les remplaçants :

Génie N’Grosdodo, non noté : Yéni et son football laissé à la maison.

Chèque Doukouré, non noté : Oui. Non. Va savoir.

Thibault Fion, non noté : Petit anus cherche temps de jeu en Liguain désespérément.

Le FC Metz c’est bien. Avec des supporters c’est mieux. Merci de votre compréhension ou de votre suicide.

Rigobert Pirès.