OM-PSG (2-4), La Canebière académie tire le rideau

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C’est quand, déjà, la finale ?

Ni apothéose, ni embrasement. Juste la ruine qui se poursuit peu à peu…

Aïoli les sapiens,

Qui l’eût cru ? Il y a plusieurs jours, nous nous refusions à placer trop d’espoir dans cette finale, certains que le PSG ne ferait qu’une bouchée de notre équipe de branquignols démotivés. Nous nous forcions à y croire, plus par devoir que par raison.

Puis le Jour est arrivé, la passion est redevenue passion, notre OM est redevenu OM. Aussi délabré soit-il, notre club était en finale et c’était bien ce qui comptait le plus. Sauver la saison, gagner un titre, l’enjeu cédait la place à cette excitation pure, celle pour laquelle on aime le football. Ce matin où « C’est aujourd’hui la finale » précède le « bonjour ». Des maillots un peu plus nombreux que d’habitude dans les rues, les titres des journaux un peu plus larges. Un peu plus de bières achetées au supermarché ; pas d’autres courses pour ce soir, on commandera une pizza. Jouer avec les enfants l’après-midi, veiller à la sieste, « Il faut que tu sois en forme si tu veux regarder la finale ».

19 heures, le départ au ravitaillement. Au camion, « Michel Pizza » est débordé, comme un symbole. « Pas avant 9 heures, tout le monde a déjà commandé, je suis à bloc. » Pas grave, Poujado pizza, l’autre camion tarasconnais, est délaissé comme d’habitude, il fera bien l’affaire. Et de toute façon, ça y est, le moment approche et tout ce qui ne concerne pas l’OM te passe au-dessus de la tête. On s’était pourtant promis de ne pas trop en faire, promis de ne pas trop s’énerver, surtout pour être déçus à la fin. Impossible. On n’est pas serein quand on est Marseillais.

Pizzas, bière, Dromadette a même sorti son drapeau et s’apprête à voir sa première finale. L’occasion de lui raconter la mienne, j’avais 11 ans et JPP faisait la bise au Président. 2016, c’est la première fois que j’écrirai sur une finale, tiens. Le Mad Professor l’avait fait auparavant. Il est avec nous.

Que dire de ceux qui « montent à Paris » ? Dépenser de l’argent alors que tout concorde à ce que notre équipe favorite reçoive une branlée, est-ce rationnel ? Certainement pas, mais on s’en fout. On les envie, même, ceux qui dans le stade chantent, hurlent, sifflent, font vivre la tribune. Ils sont le club. A défaut de talent, ce sont 117 ans d’histoire qui animeront nos joueurs.

Au stade, au bar, devant la télévision, c’est tout Marseille qui vous encourage. On a pu vous prévenir qu’une victoire n’effacerait pas la honte de cette saison. Balivernes. Bien sûr qu’on vous pardonnera, bien sûr qu’on fera la fête en vous voyant soulever la coupe. On a envie de dire qu’on vous aime, bande de cons. Il est 20h55 et vous n’êtes pas une bande de demeurés fumeurs de chicha, vous êtes l’OM. Nous sommes là. Il est 21 heures et l’histoire n’appartient plus qu’à vous.

Vous nous avez chié à la gueule.

Ce match du pardon, vous l’avez saboté. A l’exception d’un, Florian Thauvin, vous avez montré dans ce match crucial le même engagement que vous placiez dans des Marseille-Nantes de milieu de saison. Vous étiez censés pousser le grand favori dans ses retranchements, vous lui avez offert trois buts. Ils n’ont pas eu besoin de bien jouer pour nous marcher sur la figure, mais une figure, en avez-vous seulement une ? Regardez-vous dans une glace Messieurs les joueurs, dirigeants et entraîneurs, regardez-vous bien et longtemps. Contemplez-y vos gueules de traîtres, vos têtes de lâches, gravez-les dans vos mémoires pour y puiser la petite étincelle de fierté qui pourrait éventuellement sauver vos carrières de pleutres, pour peu que ce reflet vous dise « plus jamais ça ».

Dromadette s’est endormie à la mi-temps. Comme d’habitude cette saison, la première chose qu’elle va me demander en se levant, c’est si l’OM a gagné. Comme d’habitude, je lui répondrai non, et je mentirai, je la rassurerai en lui en disant que vous avez livré un valeureux combat contre des adversaires bien plus forts, et que l’honneur est resté sauf. Parce que nos gosses ne méritent pas que leurs rêves d’OM soient détruits par des ordures telles que vous.

 

L’équipe

Alessandrini et Nkoudou trop justes pour être titularisés, Diarra et Isla de retour, Barrada prend place à gauche. Diaby est blessé, tandis que Silva et De Ceglie ne sont pas sur la feuille de match, l’occasion d’avoir une pensée pour ces joueurs que nous ne reverrons plus sous nos couleurs.


Voilà qui est fait.

De leur côté, les Parisiens proposent un étrange milieu Stambouli-Rabiot, mais peuvent compter sur leur atout maître,  le Scarface des surfaces, le fils de pute des zones de but, la terreur des sanibroyeurs, j’ai nommé l’étron arbitral préféré de Gwen Tagrenmer : le sombre et infâme Clément Turpin.

 

Le match

Le temps pour Barrada de faire illusion avec une frappe au ras de la lucarne, et notre défense montre rapidement que ce match aura tout d’une course à handicap. La coordination motrice de Stephen Hawking, l’activité mentale de Vincent Lambert, et voici nos joueurs éparpillés sans que les adversaires aient grand-chose à faire. Mendy en visite touristique, c’est Rekik qui vient feindre de s’opposer au centre de Di Maria. S’ensuit une faille dans la défense centrale compensée par Isla comme on colmaterait une fuite de gaz avec du chewing-gum : avec deux mètres d’avance, Matuidi marque en rigolant (0-1, 2e).

Après une telle entame, le PSG accomplit ce qu’il sait faire le mieux : gérer le match avec une désinvolture proche du je m’en foutisme. L’OM combine au milieu sans grosse percussion, jusqu’à ce que Thauvin soit trouvé aux abords de la surface. Il pivote autour du défenseur et décoche une frappe honnête sans être dangereuse au-delà du raisonnable. Curieusement en train de se poignarder le cul avec une merguez, « une guez’ » comme dirait Pascal Praud s’essayant à imiter le langage jeune, Sirigu reste inexplicablement scotché sur ses appuis pour l’égalisation surprise (1-1, 12e).

Le match s’équilibre, même si de longs ballons pour Ibrahimonvier font passer les déplacements de notre charnière centrale pour une copulation de viers marins. Une série de coups de pieds arrêtés tend légèrement nos slips, surtout quand une frappe à bout portant d’Ibrahimovic est sauvée par Florian Thauvin au prix d’une main énormissime. Clément Turpin ne siffle pas le pénalty qui s’impose, aussitôt critiqué par tous ceux pour qui le respect des décisions arbitrales n’est qu’une vue de l’esprit. Si je puis me permettre une digression, il serait vraiment temps de sévir contre tous ceux qui insultent la profession d’arbitre, surtout quand l’on parle ici de M. Turpin, l’un de ses représentants les plus compétents et intègres.

Revenons à nos péripéties. Malgré une défense plus lacérée qu’Abou Diaby dans un bloc opératoire, le score est équilibré à la pause. Le PSG se place dans sa configuration habituelle, à savoir en foutre le moins possible pour assassiner l’adversaire à dix minutes de la fin sur sa seule accélération : et si pour une fois, ce plan trop régulier était contrecarré ?

Eh ben mes amis, pour contrecarrer, on a contrecarré. Si je puis me permettre une audace, on se l’est même contrecarré dans le fion tous seuls. 2e période, 25 secondes de jeu, gros loupé de Rekik. Le centre de Rabiot est trop long, mais est récupéré par Cavani, qui trouve Matuidi en retrait dans la surface. Le milieu parisien est isolé sur le côté et va probablement tenter de déborder, il est aisément contrôlable, il y a juste UNE connerie à ne pas faire… Bingo : dans un accès de battages de couilles somptueux, Nkoulou n’essaie même pas de faire semblant de sortir de sa flemme et se contente de tendre la jambe. Le pénalty est si évident que personne ne songe à insulter Clément Turpin pour l’avoir accordé, ce qui n’est pas loin d’être un cas unique dans la carrière de cet arbitre. Comme d’habitude, Ibrahimovic prend Mandanda à contre-pied (1-2,  47e).

Thauvin, seul olympien dont la combativité est à la hauteur de l’enjeu, parvient ensuite à caser un petit-pont pour déborder et centrer en retrait pour Bakayoscot, dont le plat-du-pied-sécurité-mon-vier échoue piteusement hors du cadre. Jugeant que cette phase de jeu nous offre encore trop d’espoir, Mauricio Isla prend ensuite sur lui d’offrir le ballon aux Parisiens aux abords de notre surface. Prise à revers par cette perte de balle imbécile, notre défense n’a même pas besoin d’être nulle pour laisser Cavani creuser l’écart (1-3, 57e).

Passi réagit en faisant entrer Cabella pour Fletcher, histoire de mieux maîtriser le milieu – où figurent Rabiot et Stambouli, je le rappelle. Les lamentables tripotages individuels de Rémy ne changent pas grand-chose à la situation, si bien que la fin de match finit par symboliser la lente déliquescence de notre club. Les « Labrune démission » fusent peu après l’heure de jeu. Le genou de Barrada lui donne ensuite l’occasion de quitter l’armée en déroute, remplacé par Dja Djédjé en position d’ailier droit. Oui, dans notre effectif doté de soixante ailiers droits, c’est Brice Dja Djédjé qui occupe ce poste en finale de Coupe de France, avec les résultats que l’on imagine en termes de qualité de centre.

Thauvin sort à son tour sur blessure, avant que nos défenseurs ne se prennent pour des journalistes sportifs français et adressent une ultime pipe au roi Zlatan. Appel en profondeur, alignement de ganchous, but (1-4, 82e). Le temps pour Michy d’y aller de son but inutile après avoir repris une frappe de Mendy mal repoussé par ce zguègue de Sirigu (2-4, 87e), et notre morne saison s’achève. En guise de fête à tout casser, ou à la rigueur d’une nuit passée en lamentations et imprécations après une défaite concédée sur une maladresse fatale ou une injustice arbitrale, nous nous contentons de voir notre club tomber un peu plus en ruines. Le PSG encaisse son trophée dans une cérémonie dépourvue de la moindre espèce d’émotion, il est 23h30 et nous sommes déjà au lit. Au stade, la colère légitime contre Labrune se voit détournée par quelques idiots plus ou moins utiles, dont le seul acquis sera de justifier un peu plus de répression après avoir brûlé des sièges : une pertinence dans l’action qui n’est pas sans rappeler celle des anarchistes attaquant des gardiens de la paix faute d’avoir les couilles d’égorger Pierre Gattaz.

 

Les joueurs

Mandanda (non noté) : Il l’a lui-même dit, il n’a pas été aussi décisif que l’événement l’aurait commandé. Mais comment lui en vouloir, lui qui en guise de jubilé s’est vu offrir une trahison défensive constante. Grand et sincère bravo Steve, merci pour tout, et bon vent.

Nkoulou (0/5) : Je pense encore avoir un doute sur le message que tu nous as envoyé. Tu ne voudrais pas te torcher avec le maillot ou pisser à la Bonne Mère, pour qu’on soit définitivement sûrs ?

Rekik (1-/5) : Pas de mauvais esprit à dénoncer chez lui, il a simplement été nul.

Manquillo (2+/5) : Constant dans la moyennitude.

Mendy (1+/5) : Il n’a pas commis d’erreur défensive spectaculaire. Le fait qu’il se soit souvent placé à 10 mètres de l’endroit où il aurait dû se trouver y est sans doute pour quelque chose.

Diarra (1/5) : Tu nous prends pour ton marchepied, tu fais une demi-saison excellente pour une seconde partie merdique, ce match inclus, et c’est nous qui devrions te remercier ? Va chier où tu veux, à l’échelle du club tu es insignifiant.

Isla (0/5) : Et maintenant, ce sans-face va tout déchirer à la Copa America. Il va se la jouer héros viril alors que sous nos couleurs, il s’est fait violer par un milieu de puceaux. Et encore, s’il s’était contenté de jouer à l’économie, mais en outre il a saboté le match. De quoi donner envie de lever son option d’achat, tiens… si par extraordinaire il reste, il aura beaucoup à se faire pardonner.

Barrada (1+/5) : On comptait sur lui au pire pour coller quelques tacles de pute nous rappelant les plus beaux OM-PSG. Mais même dans ce domaine, c’était mou.

Dja Djédjé (70e) : Comme d’habitude, aussi impliqué qu’imprécis.

Thauvin (4/5) : N’ergotons pas sur sa difficulté à tenir la durée du match : dans l’état d’esprit, ce fut le seul irréprochable, avec de beaux gestes et un but à la clé.

Nkoudou (81e) : En manque de rythme, il ne pouvait pas faire de miracle alors que le match était déjà plié.

Fletcher (1/5) : cf la note de Karim Rekik : gentil, mais pas bon. Que ce soit lui ou un joueur dans son genre l’an prochain, il sera du style à se faire insulter toute la saison pour finir adulé après avoir inscrit le but du maintien à l’ultime journée.

Cabella (60e, 1/5) : Cet homme comprend-il seulement quelque chose au football ?

Batshuayi (1+/5) : Ecrasé par la défense parisienne, ni plus ni moins. Il mesure le chemin restant à parcourir vers le très haut niveau.

 

L’invité zoologique : Serge Auriéctérope

Erreur de la nature, insulte au bon goût, meilleur au football que Karim Rekik, l’oryctérope était bien l’invité approprié pour commenter ce match contre le PSG.
Les autres : Une main dans le slip, ils ont ramassé les cadeaux offerts sans se fouler. Ils auraient eu tort de forcer : pas une seule altercation, quasiment aucun mauvais geste, nous avons représenté un affront aux notions de rivalité et de combat. Winston Churchill se laissant prendre en levrette à Yalta.
Les images : A chaque fois qu’un de nos joueurs ramènera sa grande gueule, je propose de lui envoyer ces images de l’infamie.
La page abonnement: Pour que vive l’Alterfoot cananal historique.
Les réseaux : ton dromadaire préféré blatère sur Facebook et sur Twitter. Padls remporte le concours zoologique. Résultats du classement général bientôt en commentaires, si je suis motivé pour recompter.
L’au-revoir : C’est donc la fin de cette académie. Il est peu probable que je puisse sortir une compilation des 56 épisodes, à l’image de l’an dernier. La prochaine saison sera moins dense, absence de Coupe d’Europe oblige, mais non moins pourvue d’émotions avec la lutte contre la relégation qui s’annonce… à moins qu’un inconscient ne parvienne à racheter notre club ? Merci à tous de votre fidélité et de vos commentaires, que nos bises anales vous accompagnent tout l’été.
 

L’ultime pensée de cette Canebière académie 2015-2016 sera pour Vincent Labrune. Même si l’accomplissement de cette saison fut une œuvre collective, il restera à jamais celui sans qui rien de tout cela n’aurait été possible.

Bises massilianales,

Blaah.

31 thoughts on “OM-PSG (2-4), La Canebière académie tire le rideau

  1. Bravo pour cette saison lou Cameliou. Ce match est un bon résumé de la saison : on espère, on se fait cueillir à froid, on y croit, on se saborde et à partir de là on rejoue l’intégrale de Sophocle mise en scène par Jean-Marie Bigard.

  2. Des barres de rire toute la saison, le bonheur masochiste de me lever pour lire ton académie les lendemains de dèfaites. Merci!! Et à l’an prochain

  3. Sur le match : je n’ai pas vu totalement la même chose pour Isla (bonne première où il allait bien au contact) et Diarra (revenu en patron sur une action de Rabiot et GROS soutien/sentinelle dvt la défense, mais trop bas pour bien construire). Sur l’esprit et la concentration j’aurais mis Fletcher devant Michy qui était ailleurs, qui n’a pas eu la balle souvent car HJ tout le temps.

    Sur la saison. Une tendre pensée, une poignée de main virile et une accolade longue et humide de rire et de tristesse, tu m’as fait tellement plaisir cette saison jusqu’à cette ultime photo. Merci mon chameau.

  4. La seule raison de supporter ce club de mongoliens cette saison était de savoir qu’on te lirait chaque semaine, du rire aux larmes…
    Bonnes vacances, tu les a bien méritées…

  5. Une saison pourrie qui confirme ton talent. Les joueurs voulaient-ils éprouver ton génie ? Labrune est-il un étron de vier ? Le club va-t-il être cédé à un milliardaire ou à un pécore sans envergure
    ? Vivement l’an prochain, et merci.

  6. Ca y est j’ai la liste des vainqueurs pour chaque match. Y en a je sais pas qui a gagné (d’où le ?) je suppose que c’est Blaah. Je vous laisse

  7. Padls
    Didier A.
    Padls
    Babas
    Didier A.
    Dromadame
    Babas
    Didier A.
    Didier A.
    Rémi M.
    L’Ours à Collier
    Dromadame
    Padls
    Sans vainqueur
    Padls
    Didier A.
    Padls
    Babas
    Mech Tuyot
    Padls
    Marius – Rookie of the Year
    George Cloonesque
    Didier A.
    Padls
    Eric T.
    Jacques Z’Oie ?
    Marek Bakochon ?
    Padls
    Laezh Dour
    Fabio Coendou ?
    Abel Tamanoir
    Karim Rekyste
    Didier A.
    Elan Osorio ?
    Didier A.
    Homerc
    Bas Dost
    François Bélouga : Didier A.
    Serge Aurélia ?
    Monsieur Lapin ?
    Luissette
    Adrien Regathon
    Jérémy Rondelle
    Abel Tamanoir (1e apparition) – Johny Kreuz
    Cladie T.
    Gwen Tagrenmer
    Rémi M.
    Didier A.
    Vincent Béchat ?

  8. Merde j’ai oublié le ? pour le deuxième Abel Tamanoir et pour Karim Rekyste… ah la la c’est le bordel…

  9. Et pareil il manque le ? pour Adrien Regathon et Jérémy Rondelle. Au fait j’ai été viré de mon poste de comptable.

  10. Jouir deux fois des défaites de l’OM. Le soir même du match, et en lisant cette académie d’excellente facture.

    Vous me rendez presque ce club sympathique (j’ai dit presque).

  11. Didier A. : 10
    ? : 9
    Padls : 8
    Babas : 3
    Dromadame et Rémi M. : 2
    Sans Vainqueur, L’Ours à Collier, Mech Tuyot, Marius, George Cloonesque, Eric T., Laezh Dour, Homerc, Bas Dost, Luissette, Johny Kreuz, Cladie T.,Gwen Tagrenmer : 1
    Hors Concours Tellement ils sont Hauts (HCTISH) : Monsieur Lapin et Abel Tamanoir n°2
    Rookie of the Year : Marius

    Je vais me prendre un petit café moi.

        1. Vas y fonce, et surtout demande à JPRJEANPIERREROMAIN de faire la légende histoire que ce soit bien clair et limpide pour tout le monde

    1. Malgré tout ce que j’ai apporté au site, je n’ai pas gagné une seule fois ce concours? Génération ingrate…

  12. La saison de l’OM résumée en un morceau.
    https://www.youtube.com/watch?v=Nbn8MEu1D_I

    Merci Blaah de nous avoir accompagné durant cette saison semée d’embûches. L’OM Comedy Club a été très compliquée à supporter cette année, difficile d’imaginer que la saison prochaine soit pire que celle-ci, et pourtant…

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