PSG / EAG (4-2) – La Porte de Saint-Cloud sait honnorer ses dames

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40 à la suite

Au nom du Prince, de Nass, et du Saint Unaï, je vous salue amis parisiens, et autres provinciaux.

Bonjour beaux spécimens!

Comme promis par Georges, on va tâcher de suivre la cadence infernale imposée par nos supérieurs.

Geroges, qui revient sur l’événement de l’année du côté du club amateur de Rhône-Alpes.

psg/eag
Ceci n’est pas un montage.

 

Allez, pour digérer, on va retrouver notre sport favori : la coupe nationale, celle qui éveille tes émotions, celle qui te fait oublier les blessures éternelles, celle qui fait que t’es toujours coach alors qu’on te met au niveau de Tyron Lue.

Bref, pour l’occasion, on réceptionne les protégés de feu Gwen Tagrenmer, mais surtout les soldats de Casque d’Or, jadis champion d’automne ici, welcome back.


Compo :


Quand t’entends Unaï, y a 4-3-3 qui va avec, Trapp y avec, Yuri Berchiche y va avec.

C’était la touche musicale de l’acad, turn over général :

Nos 2 attardés de latéraux laissent place à notre SBS maison et notre indépendantiste au regard viril.

Lo Celso et Rabiot au milieu, puis une sale odeur de football avec un trio Draxler/Pastore/Di Maria pour ambiancer le Parc, sous le contrôle de Cavaniette.

Casque d’Or pose un 4-2-3-1 véloce pour se calquer sur Unaï, et pour foutre le bordel à chaque contre.


La mètch :


Cavani, voilà l’objectif du match des parisiens, offrir à Edi le but du record, le scalp de la danseuse suédoise (oui oui, moi aussi je sais lever la jambe, mais je m’invente pas une prétendue ceinture noire).

Bref, Paris s’empare du ballon, et démarre une partie de cache-cache entre Cavani, et les autres. A croire qu’il a décidé d’attendre le bon moment pour marquer l’histoire (vous le voyez venir ?), mais on ne s’éternisera pas sur Cavani, je m’occuperai de lui plus tard.

Sinon, ben on domine, on s’amuse, mais on transpire sur les contres de Coco-Blas, et Guingamp donne du boulot au petit Trapp en début de rencontre, ce qui aura le mérite de le fatiguer, au point d’offrir un penalty à Ngbakoto, que Thuram, fils d’un autre grand défenseur de notre passé, glissera sans pression (33e)

Entre temps, Di Maria, déposera un corner sur la tête de Rabiot, après avoir tenté son corner direct matchuelle (oui, je sais), et un coups franc sur le pied de Deaux pour remettre notre cher CSC dans la course pour le tophée de meilleur buteur (21e et 25e)

Le Bretons sont accueillis, on offre le caviar pour les CSC, et le penalty pour le suspens. Tout le monde rentre content à la mi-temps, Lass Diarra travaille déjà ses automatismes avec Verratti et Motta en tribune.

Pour être honnête, on offre le penalty, mais Guiguamp joue bien, : la vitesse sur les côtés emmerde Meunier. Yuri nous lâche de gros tacles bizarres, on adore.

Bon ils jouent bien, mais dès que ça combine de notre côté, avec la concentration de football au mètre carré, les gars se rappellent que la semaine ça se bourre la gueule au cidre et ça se prépare plus au salon de l’agriculture qu’à prendre le Parc des Princes.

Et heureusement qu’ils ont un gardien qui connaît son boulot en face, sinon j’aurai déjà coupé cette académie.

Mais bon, comme la soirée était plutôt cool, on attendait cet évènement, on était tous en train de se ronger les phalanges pour voir ça, autour de notre streaming sponsorisé Europorc et leur diffusion de merde, tout le monde était prêt à rugir, et à la 64e, il jaillit, Javier Pastore, pour le troisième but, d’un coup de tête plus maîtrisé qu’une sortie de Lopes.

Meunier, toujours en galère pour se retourner lorsqu’il n’est pas sur l’hippodrome de Longchamp s’en va croquer Coco dans notre surface (aucun rapport avec le personnage pourri créer par Gad Elmaleh), et Trapp plonge encore à l’envers (75e).

Marquinhos, en bon capitaine termine le travail à la 89e, alors que tout le Parc attend un but de Cavani pour rugir, mais c’est un homme compliqué, alors la soirée se terminera sur cette victoire, avec un goût d’inachevé pour certains, et une victoire satisfaisante pour d’autres.


Les notes :


  • TRAPP (2):
    Areola t’offre gentiment la place de titulaire, tu commences bien, et puis t’offre un penalty, Meunier te propose de te rattraper, et tu plonges encore du mauvais côté! Vous le dites de suite si aucun des 2 ne veut du poste.
  • MEUNIER (2):
    Offensivement, c’est rodé, défensivement, ça a subi face aux accélérations des Bretons. La dernière fois qu’un joueur t’as plié comme Coco, c’était Neymar, on peut pas mettre 200M sur chaque mec qui nous salit !
  • MARQUINHOS (3):
    Je retire ce que j’ai dit sur ton bouc, couplé à ce brassard, c’est un magnifique hommage à Capitaine Raï
  • KIMPEMBE (2):
    Bien hein, mais trop de fautes, faute de lecture de jeu, mais ça va venir, quand t’auras fini ta croissance, en attendant, continue de bouffer tout ce qui bouge.
  • YURI (2):
    J’aime Yuri, mais je ne sais pas quoi dire sur ces performances, il est pas mauvais, mais pas bon. Mais il m’a fait marrer sur des tacles bizarres, même les attaquants taclent mieux.
  • LO CELSO (2):
    Quand on a le ballon, c’est un délice de le voir: nettoyage, essorage, repassage, cycle de 90min. Quand faut défendre, il pâtit de son physique valbuenien contre les joueurs tant appréciés par Sagnol.
  • RABIOT (3):
    Il s’est fait plaisir, est allé se balader au gré du vent s’engouffrant dans sa chevelure noble et soyeuse.
  • DRAXLER (2):
    Nul contre Lyon, il a l’air d’être plus à l’aise dans l’axe, là où on voit mieux sa classe balle aux pieds. Bon, c’est pas brillant non plus faut l’avouer, il a le mérite d’offrir un but à Javier, entre esthètes, on se comprend.
  • PASTORE (3):
  • En parlant de classe balle aux pieds, Javier a joué 90 minutes, une première victoire, Javier s’est amusé, Javier a marqué.
  • DI MARIA (4):
    Di Maria semble atteindre son pic de forme au début des années civiles. Donc il bouge partout, tente, loupe, mais produit beaucoup.Un très bon match de l’elfe du Parc. Continue et t’auras le droit d’aller voir ailleurs à la fin de saison.
  • CAVANI (1):
    C’est quand tu veux que je remplace mon tatouage du Z par ta tronche de psychopate.
  • NKUNKU (-1):
    Faut qu’on parle de ta coupe.


Sinon:


  • Le CUP a demandé pardon à Neymar
  • Lass débarque au club avec 1 an et demi de retard
  • Unaï n’aime toujours pas les changements

 

RDV samedi à 17h00 pour faire sauter le verrou de la Paillade Académie.

 

PAPUS

 

 

2 thoughts on “PSG / EAG (4-2) – La Porte de Saint-Cloud sait honnorer ses dames

  1. Ça évoque de plus en plus le basket sur HorsJeu, chaque jour qui passe fait de nous sommes de meilleurs hommes.

  2. Effectivement, très étonnant – et plutot pénible – cette réticence pour les changements.

    Quant à Di Maria, Pastore et Draxler ils ont du faire un pacte pour rester, c’est incroyable d’alterner aussi rapidement les matchs où ils sont décisifs et les matchs pourris. Résultat, on ne sait plus lequel on veut voir partir.

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