Bon appétit Pelé bien sûr : le jambon-beurre

Eh béé, bonejoure,

eh bée oui, le service publication qui m’envoie déjà à la décharge municipale. Mais je me suis mal exprimée. Je pars, mais pas tout de suite. Je regarde avec vous le match de l’équipe de France, on taille le bout de gras et on boit un canon. M’enfin, on va se manger une connerie aussi. Sur le pouce. C’est pourquoi, aujourd’hui, en ce jour de qualification de l’équipe de France au second tour de la coupe du monde, on va rendre hommage aux bleus et on va se manger un casse-dalle, bien d’chez nous.
Mais avant cela, rebondissons sur vos, toujours plus pertinents, commentaires de la veille :

Pascal Diot-Maid : Voilà, typique du gars qui regarde les autres faire à manger, son verre à la main, qui dit « moi j’aurai pas fait comme ça » et qui se casse. Mais purée, j’ai dis que vous pouvez y ajouter tous vos ingrédients, même du caca ! Ça veut dire qu’on peut se permettre beaucoup de chose, mais que je m’arrête sur une façon de faire.

The Spooner :  Mes liens sont immondes? Tout comme vos lunettes de soleil, monsieur ! Je ne vous permet pas de m’agresser de cette manière. Vous êtes un odieux personnage.

Goyito : Ah mais en plus d’être chiant sur la bouffe, vous êtes casse-pied sur la musique. J’ai hésité avec Zucherro et ceci. Cela vous plaît d’avantage ?

Boko Haram : Eh bé ! Tout ça ? Que dire de la votre ? Qu’elle mérite de finir dans un goulache à la bière géant.

Lavezizi : Du coup j’ai essayé, j’ai pas senti de différence mais merci pour votre conseil.

Rojito : Bah du coup jamais, vu qu’ils sont éliminés ça n’apporte pas d’intérêt.

Slaven Stilobic : Je reviendrai

Bon vous êtes casse-bonbons, passons à la recette si vous le voulez bien. Le casse-dalle bien de chez nous, c’est le meilleur. Le jambon-beurre = la vie.

Pour cela il vous faut :
– 1 baguette bien d’chez nous
– 2 tranches de jambon (ou plus) bien d’chez nous
– du beurre, bien d’chez nous
– de l’emmental bien d’chez nous.

Pensez à sortir votre beurre quelques minutes avant, afin qu’il soit mou et que le tartinage soit simple.
Coupez en deux parts égales votre baguette, puis coupez dans le sens de la longueur votre moitié de baguette. Beurrez votre pain, ajoutez vos tranches d’emmental et vos deux tranches de jambon (ou plus).

Et c’est tout ! Ceux qui veulent peuvent ajouter de la salade des tomates ou la voisine :

Je vais conclure ce rendez-vous cunilaire en répondant au plus beau d’entre tous, au seul qui me laisse de gentils commentaires : Rhinit
Oh Rhinit, votre commentaire m’a remué. La simple vision de votre corps brûlant me chevauchant dans le séchoir à saucisson me fait hurler. Je ne voudrais pas m’arrêter ici avec vous, je veux le faire, et recommencer derrière la grange. Je veux vous appartenir. Je veux sentir la sueur salée de votre organe au creux de mes hanches. Je veux vous sentir frétiller dans ma bouche quand notre plaisir commun laissera échapper votre doux nectar au creux de ma gorge. Je veux vous sentir au plus profond de mon être, que ma grâce soit bousculer par votre puissance. Qu’elle créé des vagues, des ouragans de passions sur mes hanches au rythme des claques données et des râles animales entonnés.
Je veux chanter l’hymne du bonheur sur la mélodie du clapotis de vos burnes contre mes fesses quand vous viendrez par surprise effeuiller la marguerite que je serais à vos yeux, en me soulevant la robe et en m’arrachant la culotte pour me marteler avec votre bite d’africain, dans la cave d’affinage des tommes.

Bon appétit bien dur,

Parie-Maule