Notre footballologue analyse de Brésil-Hollande

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Notre Footballologue explique les mystères cachés de la sexualité d’un quart de finale

Démasquant le « bourgeois » derrière l’infâme « consommateur », l’anarchiste de bistrot fait personnalité de vivre avec 500 euros par mois.  Ailleurs, Bettencourt retire 50 000 euros semaine comme frais divers et fixe le cours de l’amitié à 1 milliard. Plus bas, Domenech-éducateur se veut smicard de sélection, à 862 000 euros la prime de Noël. En France, la moitié de la population gagne moins de 1500 euros par mois (chiffres 2007.) Au café, stylo, bloc, écran géant et florio…peu importe l’impuissance, pourvu qu’ils aient l’ivresse.

Comme sus évoqué précédemment, le Brésil de Dunga tient plus du braquemard de Kid Bengala que du tanga samba de Fabiane Thompson, l’anti sœur de Danièle. En effet, la bite à Dudu fait 40 mètres de large pour 60 de long, Juan-Lucio et Gilberte and Felipe au décimètre pliant que prolongent Dani Alves en retrait d’un K² au service de Robinho et Luis Fabiano. Loin d’un castrat, Dudu dispose d’une belle paire de gonades dissymétriques, Bastos cotant un demi Maicon à la Bovespa. L’engin a explosé les précédents séants et personne n’ose miser son « revolving or » sofinco sur l’adversaire néerlandais. Ce dernier présente un 433,  la charnière Heitinga-Oojier restant le point faible derrière De Jong en sentinelle, Van Bronckhorst et Van der Wiel sur les flancs, Van Bommel en soutien de l’omniprésent Sneijder, serviteur des Kuyt, Van Persie et Robben. Spectateurs avisés des gonzos du Dudu, la pays-basserie reste sur sa réserve, refusant le pressing de peur de s’empaler sur un os. Las ! La chair juteuse excite et le ranger brésilien saute les préliminaires pour mieux rentrer dans le vif. Dani Alves côté gauche sert Robinho sur la droite pour l’ouverture du score invalidée pour hors jeu, la position des joueurs révélant leur inversion.

Se refusant à presser, les oranges se retirent dans leur camp, Kuyt-Van Persie-Robben veillant à la médiane tandis que les latéraux s’alignent sur la charnière. Les relances s’effectuent en passes courtes mais mutent en jeu long trop rapidement, livrant les attaquants au casse-pipe face à six brésiliens. A la 33ème, une action arrêtée entre Van Bronckhorst et Sneijder sur le côté gauche face à Dani Alves et Maicon illustre les intentions bataves : aspirer l’adversaire par des combinaisons en passes courtes puis profiter des brèches ainsi créées. Trop lent face à un adversaire prudent, le piège de séduction échoue durant la première période. A contrario, la bite à Dudu laboure la pelouse, mécanique bien huilée faite de courts échanges ax 30 mètres entre les décimètres pliants tandis que montent les gonades jusqu’à déclenchement d’un jet long et précis dans l’espace libre. Copiant les grands anciens, le fascinus auriverde penche tantôt à gauche, tantôt à droite, que vous soyez multiplication de combinaisons sur petit périmètre ou grands à-coups longs dans la pronfondeur. En effet, Bastos, K², Robinho et Luis Fabiano (30ème) combinent à gauche tandis que Maicon ou Dani Alves arpentent le flanc droit. Paradoxalement, c’est sur une ouverture axiale de Melo pour Robinho que le Brésil fait tilter la grosse boule : 0-1, 10ème. Opposant deux équipes aux intentions identiques, le reste de la mi temps tourne à l’affrontement, les néerlandais ne parvenant pas à accélérer le rythme tandis que le Brésil, à 6 dans ses 30 mètres, espère breaker sur un coup de pied arrêté.

Mi temps : « Les femmes enceintes n’ont plus le respect de l’homme…elles mettent des strings ; Imagine euch’gosse i passe euss’main ! En plus, avec la pollution, quand tu fais un chuch muraille…l’mayo elle a tourné… »

Changement de café, changement d’ambiance.

Spectres embrumés d’une aurore hellsterdamoise, les bataves redressent leur vertébrale Van Bommel-Sneijder-Van Persie, rassemblent Kuyt et Robben et convoquent Van Bronckhorst et Van der  Wiel pour mieux s’empaler sur le contraignant méta national brésilien. Certes, l’Orange s’excite mais « la défense brésilienne bouche tous les espaces » (Olivier « the connasseur » Rouyer) tandis que le gland titille le bord par K² pour Robinho puis Luis Fabiano (51ème.) Faute de jus, ça bande et branle mou avant que Robben, en ballet avec Robinho, ne s’appuie sur Sneijder qui centre pour la mésentente Julio César-Felipe Melo : 1-1, 52ème. Pourtant habitué à prendre un doigt en quart, la seleçao fait l’étonnée et retire Bastos pour Gilberto Melo, fils de synthèse de Gilberte and Felipe. Kuyt condamné à la largeur face à Maicon et Dani Alves, les hollandais pénètrent par la droite, où trois Van et deux meringues avariées procèdent à l’ablation de la gonade gauche. Bem Dotados désormais monocouille, Dunga fait l’amère expérience des limites de la sexualité masculine, fragile mécanique prisonnière de la réitération du même, impuissante face aux fureurs utérines de bataves sanguines.

65ème , long dans la profondeur pour Van Persie côté gonade atrophiée, corner de Robben dévié au premier poteau par Kuyt, Sneijder jaillit aux 6 mètres : 2-1, headfucking intériste. Joueuse, la Batave manie l’ironie jusqu’à retourner la stratégie du braquemard (jeu long en profondeur, obtention de coups francs…comme ce corner de la 25ème dévié au premier par Dani Alves sur la tête de Juan aux 6 mètres) contre son propriétaire. Le choc est rude et les nerfs sont endommagés, aussi les décimètres pliants lâchent et Felipe Melo voit rouge (72ème.) Dick Kuyt termine Maicon dans ses 25 mètres (75ème), Dudu peut remballer sa mi mollette bleuie alors que le geste grave, alors que, le regard fier, Van Marwjik ramène les Bataves, jusqu’en pleine lumière.

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