J’ai rien compris mais je trouve ça formidable d’avoir dessiné le traducteur de Bielsa, Fabrice Osloklokowski, pour dénoncer avec courage le système Labrune et les commentateurs sportifs.
Scène émouvante de Doc et sa mère sur la fin. PADLS se dévoile personnellement à travers cette scène, et nous livre par cette approche Freudienne sa vie, son oeuvre et ses tourments. C’est beau et triste à la fois.
C’est une heure pour publier une académie, ça ?
OH-MY-GOD
Superbe, j’en ai envie de manger de la bouillabaisse.
J’ai rien compris mais je trouve ça formidable d’avoir dessiné le traducteur de Bielsa, Fabrice Osloklokowski, pour dénoncer avec courage le système Labrune et les commentateurs sportifs.
Lorsque le commentateur crie « po » continûment, il a une tête de cul. Coïncidence?
On reconnait bien Cuillère.
Comme quoi, tous les stereotypes ne sont pas faux
J’ai eu une vision postmonitoire d’un OM invaincu et invaincu et invainqueur
Le mec en costard c’est censé être Stéphane (grâce à qui tu es de retour, est-il nécessaire de le préciser) ?
C’est évidemment un hommage à Stéphane en tant qu’homme mais aussi en tant que concept
Tu peux refaire la même avec des oursons ?
tu parles du dessin que j’avais promi de faire il y a deux ans ? Je l’ai presque terminé
Le tir d’une extrême mollesse, c’est génial, on s’y croirait.
Vous êtes bien des petits bâtards.
J’ai ri malgré tout.
Pourquoi dans l’antépénultième case le commentateur se soulage-t-il sur l’épaule de son collègue ?
Parce qu’il se tri-pote
Je peux savoir quel est le FDP qui modifie les commentaires ?
Je trouve que ce dessin en noir et gris se fond à merveille avec le nouveau site.
Quel œil M. Padls!
Ce strip c’est un gris dans la nuit
Merci.
Les tactiques passent les académies passent, les matches de merde restent.
Encore du très joli travail.
C’est donc ça, un comics-tripes ?
Best Padls Ever
Bravo !! (Comme d’habitude)
Meme monsieur Padls s’est motivé.
Et il y en a encore pour critiquer ma démarche…
AH ! je lui laisse croire que c’est grâce à lui mais il ne voit même pas que j’ai fait exprès de mal dessiner le micro. IRONIE TOTALE !
Scène émouvante de Doc et sa mère sur la fin. PADLS se dévoile personnellement à travers cette scène, et nous livre par cette approche Freudienne sa vie, son oeuvre et ses tourments. C’est beau et triste à la fois.