Metz – Arles-Avignon-Thonon-Gaillard (1-0) : la Metz Que Une Club Academie, mais en vrai.

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Garanti sans phrase de conclusion

 

Salut les couilles de zèbres,

 

Metz que oune interview :

Aujourd’hui, Rigobert va tâter de l’interview dans le sale. Dans le très sale : Mécha Bazdarévic, entraîneur emblématique du FC Rien du tout, président de l’Association Internationale des Perdants Pour Toujours, inventeur du footbanal champagne, et inspirateur de nombreux grands entraineurs tels que Rodrigo Hunedeu (Vittoria Setubal, U15 C), Djamel Lachtabal (Prison de Marrakech), et Maxime Leforestier (chanteur bientôt décédé). Entretien en VO.

 

Bonjour Mécha, comment allez-vous ?

Moi pas bien. Nous avoir perdou encore match. Désolé.

 

Vous êtes encore sur un banc ?

Non plus coach professionnel, coacher enfants dans jardin mais encore perdre contre voisins. Et voisins avoir presque que des filles. Mécha avoir très honte.

 

Votre dernière expérience de coach pro c’est donc Al-Wakrah. Racontez-nous.

Qatar pas vouloir Mécha à PSG. Mécha aller directement à Qatar. Stratégique. Mais mal passé et Mécha viré.

 

Vous commencez à avoir l’habitude non ?

Yah, mais faire toujours triste. Très triste. Mécha beaucoup pleurer dans coussin la nuit. Beaucoup de larmes. Mécha malheureux.

 

En même temps, vous n’aviez pas un bilan fameux à Al-Wakrah avec 1,18 points par match, malgré la longueur du nez de Pierre-Alain Frau en attaque.

Oui, mais nous toujours proposer football spectacle. Très important.

 

A Sochaux c’était le spectacle ?

Oui beaucoup spectacle. France entière aimait Sochaux voir jouer !

 

Si vous le dites. Ce soir, Metz affronte Arles-Avignon-mes-couilles-sur-ton-visage : n’aviez vous pas été pressenti pour entraîner ce club ? Il vous correspond bien non ?

Oui, très beau club avec beaucoup joli football. Mécha aimer ce club mais pas contacté. C’est Faruk, fils de serpent, qui avoir poste. Mécha très triste. Encore beaucoup pleurer dans coussin la nuit tout nu.

 

Faruk Hadzibegic avait en effet pris les rênes d’Arles, pour la réussite que l’on connait. Sinon Mécha, dites-nous, quand nous reverrons-vous dans le championnat de France ?

Mécha espérer bientôt rebondir dans club Ligue 1, comme Istres ou Laval. Mais très dur entrer dans clubs ambitieux. Mécha avoir concurrence grands entraineurs comme Rodrigo Hunedeu. Très très triste Mécha. Beaucoup pleurer.

 

Eh bien on vous souhaite beaucoup de courage et on espère vous revoir bientôt. Vous manquez au footbanal français.

Merci. Vous très gentil Rigobert. Mécha heureux connaître vous.

 

Plaisir partagé. Adieu.

 

Metz que oune contexte :

Eh oui, car pendant ce temps-là, Metz a perdu. Puis a encore perdu. La première fois en Coupe Moustache à Caen (2-0) et la seconde en déplacement au Portugal, à Créteil, pour un match de champianal (3-2), avec un but dans les dernières minutes grâce à la patte folle de Métanire et sa parcelle de cerveau en moins, qui a permis à un Cristolusitanien noir de pousser la balle au fond.

Le lendemain, des bruits de couloirs ont évoqué une prise de bec entre joueurs et avec staff. Rigobert s’en branle pas mal l’asticot de ces histoires de gamins mal bâtis et préfère prendre les matchs les uns après les autres, répondre sur le terrain et rester concentrer sur son jeu. Car ce soir, c’est match. Et pas n’importe quel match, non : ce soir c’est match de ligue d’eux ; et pas n’importe quel match de ligue d’eux, non : ce soir c’est la réception d’Arles-Avignon-Thonon-Gaillard. Soit, le club le plus moche du football moderne, ex æquo avec l’ASaNaL.

Autant dire que s’il n’y a pas trois points ce soir dans la besace, ça pue la bite de nègre pour cette saison balbutiante. Et du côté grenat, on est que moyennement optimiste, puisque Carrasso s’est esquinté dans la semaine (entaille de la vésicule biliaire avec points de suture, mais Rigobert n’y mettrait pas son zgeg à couper), et que le FC Metz compte quand même pas mal de joueurs plutôt nuls à vomir.

J3-compo

Metz que oune match : (déconseillé -12 ans)

-4e : Compo étrange : Cartier se prive de tous ses petits noirs et préfère les remplacer par des grands blancs pas très doués. Discrimination négative.

-2e : Plus de 12.000 manants sont venus voir Métanire faire du sexe avec le ballon. Ils ne repartiront pas déçus.

1e : Sans fleur au fusil, Metz n’attaque pas tambour battant pour ne pas blesser Marchal.

4e : Marchal tente quand même la blessure en sprintant dès la 4ème minute.

12e : Kashi a déjà fait 6 kilomètres. Dont 6 à tourner autour de lui-même pour se morde la queue : technique de chauve nul.

30e : Corner du vieux et but de Sakho de la tête. Comme une vraie équipe de foot et tout et tout : 1-0.

35e : Sakho et Fortès entament un cent-mètres épaule contre épaule. Assez impressionnants ces combats de nègres. (NDLR : En vrai Rigobert n’est pas raciste mais c’est juste qu’il déteste les noirs ; merci de votre compréhension).

38e : Métanire tente de battre le record du monde de lancer de javelot sur cette touche longue. Ballon aux Provençaux.

42e : Métanire tente maintenant de battre le record du monde 100 mètres papillon sur ce débordement. Ballon aux Provençaux.

 

Mi-temps.

 

48e : Rigobert pense sincèrement que Lejeune est né dans une décharge. C’est là qu’il a appris à mettre beaucoup de déchets dans son jeu.

50e : Fauvergue est le meilleur attaquant fantôme de ces cent dernières années.

58e : Grand pont d’Avignon de Bourgeois.

62e : Sébastien Cantini s’emporte contre un ramasseur de balle pas assez pressé à son goût. Si vous croisez ce semi-homme semi-sudiste, merci de lui uriner votre dédain sur son visage rougeaud de beauf pastis-pétanque.

64e : Son semi-marathon terminé avec succès, Kashi décède en silence.

67e : Entrée d’Inèz. Non, je déconne.

73e : Ça y est, Marchal est chaud.

78e : Le duel Sakho-Fortès est la chose la plus impressionnante qu’il ait été donné de voir à Rigobert.

81e : C’est la 81ème.

84e : L’inventeur du corner à la rémoise devait avoir un tout petit pénis.

88e : L’inventeur du triple tacle six pieds décollés devait lui en avoir un gros.

Fin du match : 3 poings.

 

Les notes :

Anthony M’Fa, non noté : Le meilleur dribbleur du FC Metz a un nom de famille bizarre.

Romain Métanire, 4/5 : Avec un Usain Bolt dans chaque jambe, une endurance de Kényan illettré et trois pieds gauches, Métanire est une sorte de footballeur chelou coincé quelque part entre l’homme et l’animal.

Gaëtan Bussmann, 3/5 : Une gueule de huitième de la classe, un physique de boulanger letton, vous voilà en face de Gaëtan Bussmann, et vous ne passerez pas ! En tout cas pas toujours.

Jérémy Choplin, 3/5 : Dans la continuité de sa première réussie, Choplin continue de griffer la ligue d’eux de sa patte tranchante et élégante.

Sylvain Marchal, 2/5 : Clairement en difficulté dans les 34 premières années de sa vie, Marchal a choisi de se reprendre vers la 70ème pour finir en costaud.

Ahmed Kashi, 2/5 : Un petite gueule de crotte de nez qui court en rond, gratte quelques ballons avant de rater sa passe. Mais seul véritable chauve de l’effectif donc +1.

Romain Rocchi, 4/5 : En mode diésel, le milieu de terrain a augmenté progressivement le rythme jusqu’à devenir un monstre physique, rayonnant dans l’entre-jeu et parfois sur les chevilles des Arlésiennes pour le plus grand plaisir du Gobert.

Kévin Lejeune, 1/5 : Le tricoteur avait laissé aiguilles et tricot au vestiaire ; ainsi que condition physique, intelligence de jeu, marquage, envie de gagner et quelques autres outils du bon footballeur. Son corner qui amène le but messin le sauve d’un gros zéro et d’une belle chiffonade.

Thibault Bourgeois, 2/5 : Placé milieu droit par colonel Cartier, Bourgeois a fait de son mieux pour un petit cochon mal à l’aise. Très sérieux dans son rôle défensif, Bourgois a en revanche laissé l’ombre de lui-même faire le boulot offensivement.

Nicolas Fauvergue, 1/5 : Malgré beaucoup d’envie, Fauvergue a étrangement ressemblé à un ballon de baudruche hors-jeu.

Diafra Sakho, 5/5 : Encore une prestation classée X pour le meilleur buteur de ligue d’eux. En plus de son coup de crâne gagnant, Diaf’ s’est battu comme un chiffonnier avec Fortès pour ce qui fut le plus beau duel du match. Après un tel match de notre buteur, D’Onofrio va pouvoir abandonner la piste Luis Suarez.

 

Puis, nous avons aperçus :

Génie N’Gbakoto, non noté : Être convoité par Lille et Bordeaux et être remplaçant au FC Metz #ironie du sort #Hitler avait raison.

Mayoro N’Doye, non noté : Bisous Mayoro.

Bouna Sarr, non noté : Deviens titulaire Bouna s’il te plaît, tu verras, Lejeune sur le banc c’est agréable.

 

Les phrases de conclusion c’est comme prendre un éclair à la vanille ou une glace au yogourt : un gros truc de pd. Rigobert n’en fait donc pas.

Adieu.

 

Rigobert Pirès.

3 thoughts on “Metz – Arles-Avignon-Thonon-Gaillard (1-0) : la Metz Que Une Club Academie, mais en vrai.

  1. Et alors, il donne quoi D’Onofrio en directeur sportif? Vous en êtes content?

    Et en fait, (le regretté) Palmerin c’est ton/ta mère/père/cousin/double ou je me trompe?

  2. D’Onofrio donne que le recrutement est moins sale que les années passées. Il a l’air d’avoir un gros réseau.

    Palmerin était cool en effet, mais il n’avait aucun lien avec Rigobert. Pas même sexuel.

  3. La Metz Que Un Club Academie ou les articles qui m’ont le plus fait pleurer de rire en 28 années. Penses tu que Mécha pourrait entraîner quelques abeilles, moutons et chevrots ? En a t-il le potentiel ? Pourrait-il recruter un dauphin ?

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