Le onze mondial de la semaine

Cette semaine, le coach mondial a écouté Flo Toniutti, et s’est laissé tenter par un 3-5-2 plutôt original.

Ndy Assembé (Guingamp, 4/5): Je jute. Un putain de match, l’arrêt devant Hunou en première mi- temps j’ai encore du mal à y croire tant ma prostate c’était préparée à l’ouverture du score Rennais au regard de l’action. De mieux en mieux.

Mc Auley (West Brom’; 4/5) : Je dis « OUI » !

Wandrille Lefèvre (Impact Montréal, 4/5) : Les matches s’enchaînent et les bonnes performances de Wandrille avec. Solide, hargneux, bien placé. L’inverse de Matteo finalement.

Stambouli (Montpellier, 4/5) : « Il concède un penalty non sifflé par l’arbitre ». Et mon cul; l’arbitre a toujours raison quand il me donne raison. À côté de ça Benjamin a été un échassier au milieu de butors, un arrosoir, un tomahawk sur l’armoire. Et il a été décisif sur le premier but.

vdW (PSG, 4/5) il va enfin devenir indétrônable. Sa sélection en équipe nationale lui donne des ailes, et il nous en fait profiter. Quand il est appliqué, il est capable du meilleur, comme sur ce centre au cordeau adressé à Maxou pour l’égalisation.

De Rossi ( AS Roma, 4 qui vaut un 6 mais qui feinte le 5 pour éviter de squatter le onze mondial /5) : A ce niveau-là, plus de confusion possible. Stone et Charden peuvent retourner cueillir des pissenlits à la pension Tête de cul et bite en bois de Palavas les flots. Y a un seul Jonathan Hart. C’est lui et tout le stade s’appelle Jennifer.

Mathis (Guingamp, 4/5): Il a pris son jaune après six fautes et c’était mérité. Il a dégoûté Féret tellement il était brise burnes avec ses taquets même si au début du match Makoun et Féret avaient pas mal d’espace.

Matuidi (PSG, 4/5) BLAISE! *clap-clap-clap* BLAISE! *clap-clap-clap* BLAISE! *clap-clap-clap* BLAISE!

Cabella (Montpellier, 5/5) : Voilà une fort belle manière de faire taire les critiques – c’est mieux en tout cas, que d’aller pleurer sur Facebook en faisant des fautes d’orthographe à chaque émoticone – : deux buts, deux passes décisives si mes calculs sont bons (faut comprendre on a trop marqué).

Totti (As Roma, 5/5 ) :Des fois, Fabio se demande s’il le surnote. Et toutes les fois qu’il le voit jouer, il se fouette avec un radiateur pour avoir douter. Des buts encore, des passes, des fautes, de l’arbitrage etc… Tout a été déjà dit mais juste un conseil : regarder le troisième but et l’action qui est au démarrage du contre…. Juste pour ça, il peut avoir tous les 5 du monde.

Diabaté (Bordeaux, 5/5) : Deux buts, un péno provoqué et des terreurs nocturnes pour Zouma et Kanté. Il confirme qu’il est aussi dangereux sur le terrain qu’en conférence de presse.

Le banc

Mignolet (Liverpool) : Non noté. RSA. Ah non. RAS. Pardon, question d’habitude.

Kerbrat (Guingamp, 4/5): Rarement pris à défaut il a dégoûté Oliveira. Les seules fois où il était en difficulté c’est quand Sankoh était débordé. Christophe nous a gratifié de quelques tacles « école Koscielny » pour repousser les sexions d’assauts adverses.

Romain Rocchi si Frédi,(FC Metz, 4/5) : Rocchi avait choisi d’attendre la venue du château des rouquins pour étaler son énorme paire de couilles au milieu de terrain, ratisser large, distiller juste et gueuler fort. Un match classé X pour le vice-capitaine grenat.

Rabiot (PSG, 4/5) il va bousculer la hiérarchie de plus en plus, et c’est tant mieux, surtout avec la suspension de Marco et Thiago au prochain match. Je propose de lancer le hashtag #Rabiot2014 pour un appel en sélection lors de la coupe du Monde au Brésil (si on se qualifie).

Amalfitanus (West Brom’, 4/5) : Encore une passe décisive, faut que ça continue. Remplacé (pour l’ovation) à la 89^ème par Brunt (non noté)

Januzaj (Man. U, 4/5) : La séance de fapping qui a suivi sa performance ô combien précieuse ne doit pas faire oublier un paquet de choses :il en fait souvent trop comme Nani, il se met à plonger comme Young, Macheda nous a offert un titre, lui il nous a préservé de la honte. Bref, c’est très bien gamin, continue comme ça, la route est encore longue.

Montaño (Montpellier, 5/5) : Que dire à part chanter « le buteur de la Paillade c’est Montaño »? Son jeu en pivot, ses appels croisés et son sens du but ont fait de lui l’un des atouts majeurs de Montpellier sur ce match.