Team USA Academy presents : the 23 guys who’ re going to kick ass

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Et débarquent sur tes plages ce printemps

Intro :

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Hey wé Bro, si t’es là, c’est un peu grâce à nous. Si t’es à la World cup, c’est parce qu’on a bien voulu t’aider à botter le fion des Schleux et qu’on a bien niqué les Russes en leur retirant 90% du mérite et en se l’attribuant. Alors, pour les services rendus, tous les 4 ans on s’invite à la World Cup histoire de rappeler que les Boys savent aussi se jeter par terre comme des merdes à chaque faux impacts. On préfère forcément notre football US, mais comme on a trouvé personne pour jouer contre nous, on n’a pas le choix…

Pour se faciliter la tâche en qualif, on a réussi à se faire inscrire dans une zone pour le moins easy. Ben wé bro, si t’es nul, autant se simplifier la tâche. Quand on voit ces blaireaux d’Européens se bastonner la gueule pendant 2 ans en qualif alors qu’il nous suffit de sortir d’un groupe de qualif « Jamaïque, Guatemala et Antigua & Barbuda », ça nous fait bien marrer.

Ensuite, car pour la déconne, la CONCACAF, c’est 4 tour d’éliminatoire, prends ça la Jupiler League. Pour le suspense, on est sorti leader du tour 4 tout en réussissant le combo : défaite contre le Honduras, défaite contre le Costa-Rica, hold-up au Panama (victoire 3-2 là-bas avec 2 buts dans les arrêts de jeu) et envoi de ces connards de Mexicains en barrage. Les mecs avaient la haine, ils ont du jouer en Nouvelle-Zélande pour le barrage. Paie ton affiche de pauvres. Évidemment, on est sorti 1e de la zone, devant le Costa-Rica et le Honduras, en ayant gagné 80% de notre match par un but d’écarts. POSEY BWO.

 

Du coup, nous voilà, avec Coach Jürgen au Brésil. Bon par contre, on risque d’en chier un peu maintenant, vu qu’on se coltine les Schleux, les Portos, et le Ghana.

Évidemment, l’Allemagne, on connait, on les a même déjà battu. En 44 déjà. Puis aussi en 2013 (4′-3 pour les boys). Les Portos aussi on connaît, on les a tranquillement sortis des poules en 2002 ( victoire 3-2). Pis tu penses bien qu’un Américain n’a pas peur d’un mec qui bosse au black comme maçon et dont la femme vend des serviettes. Sérieusement.
Par contre, le Ghana, ça fait chier, car eux, on les a joué 2 fois en coupe du monde, pour 2 défaites. (2-1 à chaque fois).

Avant de t’expliquer comment on va réussir à sortir derniers avec 0 points de cette poule, petite revue d’effectif :

Coach : Jürgen Klinsmann.

Klinsmann

Passons sur les méthodes moult fois décrites, décriées et critiquées du grand blond. De toute façon, les mecs qui critiquent sont des mecs qui aiment le soccer. Les mecs qui aiment le soccer sont à 90% des Européens, et les Européens sont des cons. Fin du débat.

A noter quand même que ce connard a décidé de se passer de Landon Donovan, The Legend, a-k-a le seul mec qui a su un jour jouer au soccer au pays. Un peu con, même si Donovan a connu l’arrière grand-père de Javier Zanetti tellement il est vieux.. Mais on n’est pas ici pour critiquer, sinon on serait Français. Corporate BWO.

Pour compenser, Freddie The Arnaque Adu reste également au Belhambra Club pour les vacances. Faut pas déconner non plus. C’est le Brésil certes, mais ces gens-là souffrent assez avec leurs maladies et leurs saloperies de serpents pour qu’on leur refile toutes nos merdes. On a Monsanto pour ça.

Du coup, on part avec une équipe qui a le mérite d’être complètement débarrassée de ses indéboulonnables, dont personne ne sait rien et dont les 3 autres équipes, réputées pour leur melon ne se méfieront pas. Là est notre principale chance : l’effet de surprise. Pour le reste, 4-4-2 losange ou 4-2-3-1, peu nous importe. Tactiquement, Jürgen n’est pas un peintre. Faut juste qu’il accepte le fait que la moitié des gars jouent en MLS contre des pré-retraités…

 

The Boys :

Keepers :
Tim Howard, Everton.
Certes 34 piges au compteur, mais avec la concurrence en face, difficile de se passer de lui. Pis quand tu vois les blazes des keepers ghanéens ou portugais, tu te dis qu’on n’est pas si mal armé que ça. Objectif pour Tim : dépasser les 100 sélections, ça voudra dire qu’on a passé les poules.

Brad Guzan, Aston Villa, Le mec qui réussit à être numéro 2 derrière Brad The GrandFather Friedel et Nick Rimando, Salt Lake City couperont les oranges. Ça va lui faire tout drôle à Nick de passer des mormons aux trans danseuses de samba, mais rien que pour voir sa gueule, ça vaut le coup de l’emmener.

The Defense :
On devrait logiquement se retrouver avec un quatuor Beasley( FC Puebla)  – Cameron (Stoke City) – Gonzalez (LA Galaxy) – Johnson (Offenheim FC) titulaire. Ça n’envoie pas forcément du rêve, mais ça devrait suffire à tenir la route si le milieu ne cède pas trop vite.
En guest, Klinsmann embarque 3 petits jeunes pour s’aguérir :  les 2 expatriés en Bundesliga Chandler ( Nüremberg) et Brooks (Hertha Berlin) plus DeAndré Yedlin du Sounders de Seattle, déjà vainqueur du Award du prénom le plus classe de cette World Cup.

 

Midfielders :
Dempsey peut être positionné plus bas dans le 4-2-3-1 mais on devrait le retrouver en pointe dans le 4-4-2 losange.
Bradley (Toronto) – Jones  (Besiktas) -Davis (Houston Dynamo)  -Suzi (Sporting Kansas City) tiennent la corde pour le 11 majeur, avec des subsitutes un peu faiblards. Là sera la clé de notre parcours, car faute de réelles solutions de rechanges ( Bedoya, from the fucking Canaries of FC Nantes, Diskerud de Rosenborg ou Beckerman), la moindre blessure ou suspension risquent de remettre un peu en cause l’équilibre de l’équipe.

 

Strikers :
Mine de rien, notre attaque a de la gueule. Dempsey a cartonné en éliminatoires et représentera le principal danger pour les défenses de merde du Ghana, du Portugal et de l’Allemagne. En pointe, Altidore, le mec en vacances à Sunderland essaiera de nous rappeler qu’il a été un moment le grand espoir du foot US, perdu qu’il est depuis son départ de l’AZ. Wondolowski (San José Earthquake), le mec qui met des triplés contre le Belize et surtout Aron Johansson, le buteur de l’AZ Alkmaar constituent une belle alternative offensive.

 

En bref :

Ce qu’on fera : Rien, enfin ça c’est ce que tout le monde croit.
Ce qu’on attend de nous : Rien, tout le monde au pays se branle su Soccer. Moi-même je m’en carre, c’est dire.
Pourquoi on va tout déchirer : parce qu’on les USA mec, et qu’on va pas se faire niquer par un putain de pays Africain une 3e fois d’affilée ou une équipe de putain de maçon que personne aux States ne sait positionner sur une carte du monde. Pis aussi parce que Jürgen va vouloir niquer les Allemands, et qu’il va y parvenir.
Comment on va représenter: Comme ça :

imagesEt chez nous, y’a pas une vieille bite qui se cache dans la culotte.

On se retrouve pour Ghana-USA, et quelque chose me dit qu’on va les Ghanaïser cette fois.

9 thoughts on “Team USA Academy presents : the 23 guys who’ re going to kick ass

  1. Le ton de cet article est d’une telle justesse qu’on ne saurait dire autre chose qu’il est d’une telle justesse.

  2. Si vous voulez nique les allemands, il faut terminer 2ème de groupe, ne pas gagner le Portugal.

  3. Ca donne envie, vivement le premier match.
    Un bémol toutefois, pourrais-tu être un peu plus xénophobe ?

  4. Le prénom le plus classe, c’est peut-être DeAndré, mais le combo le plus classe, ça reste de s’appeler DeAndré Jordan et de jouer au basket.

  5. J’avoue.
    Après, la concurrence est également plus élevée en NBA niveau « noms classes ». Quand tu vois que t’as des débiles qui changent leur nom pour « Metta World Peace », la barre est haute.

    A quand un DéAndré Zidane ou un DéAndré Pelé?

  6. Roooh pauvre MWP (son nom sur son maillot), il se fait déjà suivre par un psy, sur sa demande, c’est qu’il se rend compte que ça tourne rectangle dans sa caboche.
    En NBA, y a les pires prénoms, c’est vrai, mais également les noms/prénoms les plus classes…

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