Tchéquie – Turquie (0-2) : la Spartasš Pilsse Académie livre ses notes

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Un retour tchèque qui a donc été bien bref. Ça tombe bien, moi non plus j’arrivais pas à suivre le rythme.

Ahoj les francouszky,

eh bien si on m’avait dit que la Tchéquie était aussi faible… Zéro ambition, peu de jeu, et de toute façon pas le talent nécessaire pour espérer quoique ce soit. Se faire battre par les Turcs qui semblaient encore plus nuls que nous, ça fait chier. Je n’ai regardé les matchs que d’un œil, suffisant pour voir l’ampleur de la désolation. Le point miraculeux contre la Croatie se sera donc révélé comme le seul moment jubilatoire de cet Euro, pour le reste on préférera se souvenir de la bière.

Je ne vais pas tenter une analyse plus approfondie, pas besoin de faire semblant. Les éliminatoires n’avaient pas été dégueux, mais le groupe n’était pas particulièrement relevé finalement (coucou les Pays-Bas). On avait quand même de l’espoir. Participer à la fête des matchs à élimination directe. Se remettre à vibrer. Répandre le trouble. Mais non, c’est certainement la petite fin d’une génération, les cadres n’ont plus que quelques années dans les jambes, qui ne devraient pas marquer l’apogée de leur carrière. Sbohem les bohèmes !

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Tomas… Putain Tomas… On t’aimera toujours.

Les notes, pour les deux matchs contre la Croatie et la Turquie

Cech (2/5) : Comme deux buts encaissés par match. Géant impuissant, son casque protège mieux sa tête qu’il ne protège ses buts.

Kaderabek (1/5) : Je le désigne comme tête d’affiche pour illustrer la souffrance de l’équipe.

Sivok et Hubnik (2/5) : Forcément faillibles, et trois matchs devant les yeux de l’europe pour le montrer. Le foot est une pute.

Pudil (2/5 contre la Croatie) : Quelle idée de ne pas mettre titulaire ce magnifique salaud de Limbersky !

Limbersky (2/5 contre la Turquie) : Quelle idée de mettre titulaire ce gros connard de Limbersky !

Darida (2/5) : Ne pas manger de gluten… Au pays de la bière !!! Au cachot.

Plasil (1/5) : Mettons une note bien basse à celui que tout le monde connaît, histoire que le désastre soit bien compris.

Rosicky (Amour): Tristesse. Juste tristesse. On t’aime, tu nous manqueras. Supporters d’Arsenal, rejoignez-nous et pleurons ensemble.

Pavelka (2/5 contre la Turquie) : Si on mélange français et tchèque, ça donne pas grand. Pas un grand euro, nan.

Krejci (2/5) : Il a fait des différences ? Tout décrépi.

Skalak (2/5) : Et comment je fais ma vanne de la skalachnikov à buts ?

Lafata (5/5 contre la Croatie) : Le meilleur joueur tchèque de tous les temps que je connaisse.

Necid (3/5) : Surtout pour son penalty en force contre les Croates. Le meilleur moment de l’euro depuis le début de la compèt’.

Les autres qui sont venus :

Skoda : Sûrement le plus beau but depuis le début de la compèt’.

Sural : Le spécialiste des entrées en jeu. Quel panache !

Kolar : Superbe remplacement de la 90ème minute à 0-2 pour la Turquie.

Tristanec

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