Angers – Guingamp (0-0) la Paysan Breton Académie livre ses notes.

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Virilité par l’arme à feu. Feu à la volonté. (NSFW)

Qu’est ce qu’on trouve en cherchant sous la blouse de la Paysan Breton Académie ?

Après un nouveau week-end sans défaite face à Lille, Guingamp se déplace à Angers, inattendu dauphin du championnat pour une rencontre au sommet. Sauf que s’autoproclamer dauphin ou pire encore Angevins c’est un truc de pédés. Et les pédés ça mérite de tâter du gros fer de Benjamin Angoua à mon humble avis.

Ouaiiiiiiiis on est deuxieme de la ligue 1. PÉDÉS. PÉDÉS PÉDÉS PÉDÉS.

Le point positif de la présence d’Angers en Ligue 1 c’est que le Stade Rennais aura enfin son derby avec un club de sa région.
Pour contrecarrer les plans des pédérastes de Maine-et-Loire, Gourvennec déboule avec une artillerie défensive à faire pâlire Anthony Gauthier ce gros leucémique :

Lössl – Lévêque Sorbon Angoua Jacobsen – Salibur Diallo Mathis Bénézet – Sankharé Briand.

La bataille

L’un sait l’autre capable de tout les exploits, l’autre se méfie du bon classement de l’un. Ce qui donne un début match de gros frileux entre Angers et Guingamp. Jimmy Briand doit se démener tout seul devant pendant que Younousse Sankharé se prend pour l’électron libre qu’il n’est pas. Younousse inscrit d’ailleurs un but à la 26ème minute, refusé logiquement pour une position d’horsjeu de Nicolas Bénézet le passeur.
La plus belle occasion guingampaise est l’oeuvre de Diallo qui tente de reprendre de la tentacule sur un corner de Bénézet mais Butelle se détend superbement peu après la demi-heure de jeu.
Ensuite plus rien. un immense néant. Un néant aussi grand que l’air qui comble l’espace vide de l’encéphale de Sissoko. L’Angevin chausse Diallo quelques minutes après son entrée et récolte un carton rouge sans passer par la case départ et sans empocher 20000 francs. Réduit à 10, Angers obtient tout de même l’occasion la plus franche de la rencontre par l’intermédiaire de Ndoye et de sa grosse tête sur la barre en toute fin de match. On tentera bien de les poignarder dans le dos à la dernière minute mais Butelle reste solide face à Briand et repousse.

Je ne pense pas qu’il faille d’avantage s’attarder sur une rencontre contenant quatre frappes cadrées.

Les Paysans notés

Lössl (3/5) : Entre cordonnier pour femme tronc et conseiller pôle emploi, le poste de Jonas se pose comme sérieux candidat au job le plus fictif du moment. Deux frappes cadrées de fiottes. RAS.

Lévêque (3/5) : Même s’il me fait toujours du boudin et qu’il a les cheveux plus gras que la couche de graisse qui occupe la totalité du cerveau de cet étron de Loïc Féry, il a livré une belle partie avec des chevauchés cheveux aux vents et tacles salvateurs au programme.

Sorbon(3/5) : Dans un fauteuil. Jérémy pourrait presque défendre en télé-travail.

Angoua (4/5) : Si Benjamin paraît calme en apparence c’est généralement mauvais signe. Possédé, l’Ivoirien a déversé un torrent de haine sur le front d’attaque Angevine, en distribuant les pains à tour de bras. Virilité par l’arme à feu. Feu à volonté.

Je veux tuer. Tuer, tuer, tuer.

Jacobsen (3/5) : Un sauvetage devant l’oppression angevin a illuminé sa terne prestation.

Diallo (3/5) : Moustapha est la monster cock de l’En Avant. Gonflé, il a régné dans l’entrejeu avec beaucoup de virilité et de sang sur les chaussettes de ses adversaires. Sanctionné sur la seule action où il ne fait pas faute. Dommage.

Mathis (2/5) : Pas au top, le captain’ a été coupable de relances malheureuses et a été trop souvent mal placé pendant les incursions adversaires.

Sankharé (1/5) : Dommage, il a les qualité pour jouer aussi haut mais lorsqu’on lui offre l’opportunité de jouer en soutient de l’attaquant il se prend pour ce qu’il n’est pas. Nullissime, hautain, le Younousse qu’on ne veut pas voir.

Salibur (3/5) : J’ai apprécié ses dribbles plein de vices, son incessante activité, mais on peut regretter sa maladresse. De nombreux mauvais choix, de nombreuses passes américaines et une ribambelle de frappes dévissées.

Faut dire que Yannis s’inflige la pratique du football avec une contrainte supplémentaire.

Bénézet (2/5) : Il est volontaire, il percute, ne rechigne pas à aider son latéral dans les phases défensives mais il est trop frêle pour la Ligue 1. Il s’est souvent fait bouger. Muscle ton jeu Robert.

Briand (3/5) : Il récite le football plus tendrement qu’une levrette avec une lycéenne sur Karma Police. De bien belles prises de balles, de beaux contrôles mais un manque d’ambitions flagrant face au but. Peu accompagné, peu inspiré, Jimmy a été en mal de réussite.

Les paysans qui pelaient des châtaignes :

Coco : Bonne entrée, même s’il peut plus.

Privat : Rendez-nous Ronnie Schwartz. Au moins il été drôle. Physiquement déjà.

Gwen Tagrenmer

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