Une soirée de Clasico n’est pas une soirée comme une autre. Alcool, bonne bouffe, rigolade entre amis, débauche, tels sont les maitres mots qu’un vrai passionné de football se doit de respecter.

Vos académiciens ne dérogent pas à la règle.

L’un passera la soirée chez un « ami » à lui en compagnie de deux supporters madrilènes, l’autre dans son bar préféré du coin de la rue. Le premier car l’ami en question possède un rétroprojecteur, des toilettes à jet anal et que sa douce est le sosie de Keeley Hazell, le second pour éviter un nouveau Clasicogate (triste épisode où il brisa, sur un but de Raul, l’urne funéraire de la mère de l’amie chez qui il était invité), depuis il regarde les Clasicos seul.

L’un boira trois bières, deux scotchs et un Martini  l’autre engloutira quatre Cuba Libre et un Mojito.

L’un mangera une salade de tomates-mozarella, un  risotto de veau et une tarte aux myrtilles, l’autre avalera un carpaccio de saumon, un poulet braisé et un Flamby (qu’il avait discrètement caché dans la poche intérieure de son anorak, le pingre) .

L’un, sur le but de Benzema, criera « Oh bordel de merde ! », l’autre essaiera de retenir ses larmes.

L’un collera discrètement un mickey sur le canapé de son ami, l’autre ira déposer un bronze dans les toilettes de ces dames.

L’un ne verra pas le but d’Alexis, trop occupé à prouver à ses amis qu’il pouvait réussir à enflammer un de ses pets, l’autre non plus, trop occupé à plonger ses yeux dans le décolleté de la serveuse lui amenant son Mojito.

L’un rotera quatre fois puis s’arrêtera lors d’une remontée gastrique mal  maîtrisée, l’autre lâchera cinq caisses surtout lorsque la serveuse ne seb trouvait pas à proximité.

L’un, sur le but de Xavi, fera cinq fois le tour du salon avant de mimer un coït avec le canapé, l’autre embrassera son maillot floqué Xavi qu’il avait discrètement glissé sous sa chemise en tweed rose.

L’un se grattera l’anus et fera sentir son doigt à l’un de ses amis, pour la déconne, l’autre se grattera l’anus et sentira son doigt, pour le plaisir.

L’un, sur le but de Fabregas, biflera ses deux amis jusqu’à s’en faire saigner le prépuce, l’autre roulera une pelle à la serveuse.

L’un finira la soirée à se vider la couille gauche dans un verre de Porto devant le film érotique de TMC, l’autre fera l’amour à une côte d’agneau qu’il dégustera par la suite avec des pommes de terre sautées.


Les compos :


L’Empire anciennement galactique

Soucieux de ne pas prendre la vague au milieu du terrain, le Mou dégaine son 4-2-3-1.
Monsieur Casillas est dans les buts pour faire face à Messi, sa bête noire.
En défense Coentrão (consommé par Claude Pèze sans modération) est à droite. La charnière est composée des deux mecs au QI négatif : Pepe l’animal et Sergio Ramos la salope.
Petite parenthèse pour signaler que ce dernier me sort littéralement par les yeux. Qu’il ait une tête de con et une coiffure de merde passe encore, c’est loin d’être le seul dans le football. Mais je trouve son attitude sur un terrain tout à fait déplorable tant il est la synthèse de ce qui peut se faire de pire niveau état d’esprit. Râleur, tricheur, méchant, casseur, fouteur de merde… Sergio, tu ne me liras jamais (d’ailleurs, tu ne sais sans doute pas lire), mais je te conchie allègrement. Voilà, c’est mon opinion personnelle, on peut en débattre dans les commentaires.
A gauche, c’est Marcelo, joueur que j’estime à peu près autant que le tocard suce-cité.
Au milieu on retrouve la paire de défensifs Xabi Alonso – Lass’
Devant eux, une ligne de trois avec Di Maria à droite, Özil en meneur, et Cristiano Ronaldo à gauche.

En attaque, Karim jouera tranquillement seul en pointe.


L’Alliance rebelle

Le schéma tactique aura pas mal bougé au cours du match, mais au coup d’envoi, c’est le 4-3-3 qui est de sortie.
Valdés peint dans les bois (et boit dans les pins comme dirait l’autre Trenet).
Alves occupe le côté droit de la défense, Abidal le côté gauche, et entre les deux on retrouve Puyol et Piqué.
Au milieu c’est un trio Busquets-Xavi-Sex.
En attaque, on a Alexis, Iniesta, et Messi dans l’ordre que tu veux vu qu’ils n’ont pas cessé de dézoner.
D’ailleurs, c’est l’ensemble de l’équipe qui a été en mouvement. Mais ça, je laisse à Hristo le soin de te l’expliquer. Et laisse-moi te dire qu’il va te faire ça comme il faut.

 

Analyse tactique :

De la 1ère à la 10ème :

La question était sur toutes les langues depuis bientôt 15 jours : « Mais dans quel schéma de jeu Guardiola va-t-il se rendre à Bernabeu ? ». Même une heure avant le coup d’envoi, le onze de départ sous les yeux, Hristo, comme Fernando, n’avait aucune idée de l’organisation tactique que le technicien catalan avait concoctée. Il faut attendre le coup d’envoi pour enfin se rendre compte que ce sera le 4-3-3 qui sera adopté, simple, basique (pour Barcelone) mais efficace. Une défense à 4, un récupérateur, un organisateur, un percuteur, deux faux ailiers et un électron seront opposés au 4-2-3-1 mourinhesque des madrilènes.

Les oppositions se forment rapidement : Alves-Cristiano, Benzema-Piqué, Messi-Xabi, Lass-Fabregas, Iniesta-Coentrao, Alexis-Pepe, Di Maria-Abidal. En 10 minutes les duels prennent forme et les madrilènes marchent sur des catalans repliés dans leur surface de réparation. Le pressing madrilène effectué par le quatuor Benzema, Di Maria-Ozil-Cristiano étouffe la défense catalane, preuve en est le but du français après 25 secondes de jeu. En 10 minutes, les Catalans n’investiront jamais le camp madrilène.

 

De la 10ème à la 30ème :

Suite au but et au pressing madrilène devenant trop intense, Guardiola se doit de réagir. Une sorte de 4-4-2 se dessine alors peu à peu. En décalant Puyol sur le flanc droit de la défense et en faisant redescendre Busquets d’un cran, Guardiola permet à l’équipe de respirer. La récupération se fait plus rapidement et les phases de transition entre la défense et l’attaque, orchestrées par Xavi et Fabregas, sont tout de suite plus fluides, plus directes. Alves, lui, a pour consigne de pourrir la transition Marcelo-Cristiano ce qui coupe totalement le portugais du reste de son équipe. Devant, Messi est au soutien d’Alexis tandis qu’Iniesta étire la défense madrilène sur le flanc gauche. Les aller-retours des attaquants madrilènes s’allongent : la fatigue commence à se faire sentir.

 

De la 30ème à la 45ème :

Suite au but de Sanchez, Guardiola décide alors de lâcher les chevaux. Alves joue désormais comme un véritable ailier droit se repliant lorsque le danger est apporté par Marcelo. Alexis, lui, est repositionné sur le flanc gauche de l’attaque à la manière d’un David Villa, sa nouvelle position lui permettant de rentrer dans la défense sur son bon pied. Mais là où la bataille tactique est gagnée par Guardiola lors du dernier quart d’heure de jeu de la première période c’est lorsqu’il réussit à installer le trio créateur placé au cœur du jeu. Une ligne de tikitakesque est mise en place (Xavi-Iniesta-Fabregas) permettant à l’équipe catalane de moins subir les coups de boutoir madrilène, de monter d’un cran et de jouer enfin au ballon dans le camp madrilène. La toile d’araignée prend forme.

 

En seconde période :

C’est alors que la mélodie retentit peu à peu. A 1-1, voyant les Madrilènes sur le point de craquer, Guardiola passe dans le 3-4-3 du début de saison qui asphyxie littéralement la Mou-Team. Avec le seul trio Abidal-Piqué-Puyol derrière, Guardiola envoie un message clair à son homologue portugais : « Cette seconde mi-temps sera mienne ». Pendant que Xavi et Busquets se chargent d’organiser le jeu sur la largeur du terrain, Fabregas et Iniesta, eux, effectuent les transitions pour les « ailiers » Alves et Alexis tout en s’occupant de la verticalité des phases offensives. Messi, lui, dézone toujours plus pour apporter le surnombre au milieu de terrain et ainsi noyer le trident adverse Xabi-Khedira-Ozil en venant récupérer les ballons à hauteur de Busquets. Les Madrilènes sont aux abois.

Le coaching de Mourinho de transformer son 4-2-3-1 en 4-2-2-2 ne fera qu’aggraver la situation. On connait la suite. Les Catalans planteront une première puis une seconde banderille avant de finir le match en roue libre et de s’amuser avec la baballe jusqu’à rendre son adversaire complètement chèvre.

Tactiquement Guardiola a étalé toute sa classe : les 4 schémas de jeu catalan ont eu raison des 2 madrilènes. La partie d’échec se solde par un mat net et sans bavure.

 

Les buts :

25ème seconde : Le Barça donne le coup d’envoi et joue vers l’arrière. Le ballon atterrit dans les pieds de Valdés qui foire totalement sa relance. Di Maria, récupère et veut lancer Benzema qui avait fait son appel tranquillement. Busquets s’interpose, mais le ballon revient sur Özil qui frappe. Busquets est à nouveau sur la trajectoire mais dévie sur Karim qui fusille Valdés à bout portant. But le plus rapide de l’histoire des Clasicos pour l’attaquant français. Tranquille. 1-0.

30ème minute : Messi hérite du cuir près du rond central et place une accélération qui dépose 3 joueurs. Il lâche le ballon à Alexis qui se l’emmène bien, résiste au retour de Pepe et place une frappe croisée à ras de terre en pleine course imparable. 1-1.

53ème minute : Après une action côté gauche consécutive à une touche, le ballon est repoussé dans l’axe. Xavi cible Marcelo et reprend de volée. Le ballon est dévié par le défenseur et Casillas est pris à contre-pied. 1-2.

66ème minute : Iniesta s’arrache pour sortir le ballon de son camp et donne à Messi qui accélère dans l’axe. Il fixe la défense et décale Alves à droite qui centre au second poteau pour la tête de Sex. 1-3.

 

Les notes :

Les mecs qui ont réveillonné avant l’heure

Valdés – 1/5 : Un but pour sa pomme au bout de 25 secondes de jeu, une trace de pneu dans mon caleçon à chacune de ses relances au pied. VV était à peu près aussi serein qu’un vendeur de kebab devant un contrôle des services de l’hygiène. Prévisible vu ses dernières performances, mais ça ne m’empêchera pas de lui envoyer ma facture de blanchisserie. Il se sauve du 0 en sortant un bel arrêt sur une frappe de Kaká et en repoussant presque tous les corners madrilènes.

Alves – 4/5 : Dani a joué deux matchs en un, comme un symbole de lessive, ou de lubrifiant spermicide. Lors du premier, il était latéral dans le 4-3-3 de départ. Visiblement ça l’emmerdait alors il n’a rien branlé défensivement. Puis Pep a décidé de sortir le 3-4-3 et Dani a eu une révélation. Repositionné en ailier, il est allé taquiner son compatriote Marcelo avec brio (c’est qui brio ? me demanderas-tu avec facétie). Plus percutant que Long Dong Silver en plein coït, il décoche un centre magistral pour la tête de Sex sur le troisième but. Au départ je lui avais mis 3 because sa branlette défensive, et Hristo lui avait collé 5 rapport à son gros match devant. Allez, 4 et tout le monde est content.

Puyol – 5/5 : Tout le monde s’est extasié sur le match tout en tranquillité de Benzema. Mais si Karim décrochait autant et revenait défendre très bas, c’est avant tout parce qu’il voulait éviter Puyol. Carles, c’est le Big Boss, le mec qui se révolte et harangue ses partenaires après le but du Real, celui qui rentre dans le ballon et les attaquants comme Hristo dans une prostituée japonaise mineure, celui, qui enfonce le nez de CR7 dans ses propres déjections, celui qui continue à donner des ballons à Valdés pour lui montrer que l’équipe est encore avec lui. Le mâle Alpha. Juste comme ça, je te balance ses stats : 14 ballons gagnés, aucun perdu, une seule faute commise.

Piqué – 4/5 : Propre dans ses interventions, il s’est également appliqué à soigner la relance malgré l’énorme pressing madrilène en première mi-temps. Ses longs ballons ont quasi systématiquement trouvé preneur. Cependant, il laisse Benzema en jeu sur le but merengue en se positionnant de manière totalement inutile et se prend un grand pont de Kaká. Du coup, Hristo voulait lui mettre 3. J’ai refusé en espérant que Gerard me laisse tâter de sa colombienne.

Abidal – 4/5 : Abidal est à la défense ce que Benzema est à l’attaque : tranquille. Quelques relances hasardeuses en deuxième mi-temps, mais il a dans l’ensemble été més que serein. Il ne se jette jamais et vient intelligemment suppléer ses centraux quand ça chauffe dans l’axe. Balèze.

Busquets – 4/5 : Difficile de le blâmer pour le but madrilène sur lequel il essaye de s’interposer deux fois sans réussite. Ensuite, il a fait du bon Busquets : pas de simulation (ou presque), pas de provocation, un placement impeccable et un pressing constant qui a empêché Özil de lancer ses attaquants. Il a de plus été présent dans la construction, faisant jouer sa technique sans en rajouter. Propre comme une rainette (copyright Jean-Pierre Coffe).

Xavi – 4/5 : Normalement, les gros matchs, c’est son truc. Là il a laissé l’animation du jeu à ses copains et s’est contenté de remonter les ballons, souvent de manière brillante. Honnêtement, vu je m’attendais à souiller le recto de mon calbute à chacune de ses touches de balles (Valdès se chargeant du verso), j’ai été relativement déçu. Mais au final il a fait un gros boulot pour se sortir du pressing madrilène. Certains mécréants (dont un fameux coach portugais) diront que son but est chanceux, moi je pense qu’il avait tout calculé. Marquer et bizuter Marcelo sur la même frappe, ça tient du génie.

Sex – 4/5 : Personnellement, j’essaye toujours de comprendre son placement et ses permutations. Comme d’hab’, il est moins présent que Messi ou Iniesta à la construction, et comme d’hab’, il plante. Rarement génial, souvent décisif. Moi ça me va.

Iniesta – 5/5 : Le genre de mec qui pourrait te chier dans la bouche et s’essuyer avec tes cheveux que tu lui dirais merci en en redemandant. La classe à l’état pure. Il ne donne jamais l’impression de forcer, même quand il s’agit de pulvériser l’anus de Coentrão encore et encore.

Messi – 3/5 : Insupportable. Des rushs droit dans les défenseurs, des ballons perdus inutilement, un repli défensif une fois tous les 36 du mois… T’imagines même pas le nombre de fois où j’ai ragé intérieurement parce que j’avais l’impression qu’il n’en branlait pas une. En plus de ça, il finit le match en marchant, complètement carbonisé. De quoi lui mettre un 0, sauf qu’il fait une passe décisive pour Alexis pour l’égalisation et est à l’origine du troisième. Exaspérant mais indispensable.

Alexis – 5/5 : Quand t’es défenseur, il y a deux types de joueur qui te cassent les couilles : les mecs techniquement au-dessus qui te pètent les reins sur le moindre contrôle (comme Iniesta), et les mecs qui n’arrêtent jamais de bouger, se déplaçant sur tout le front de l’attaque et multipliant les courses jusqu’à ce que t’en aies plein le rectum de les suivre. Alexis entre dans la deuxième catégorie. Il a maintenu les arrières madrilènes très bas avec ses courses dans profondeur, est allé demander des ballons à droite, à gauche, dans l’axe, et n’a pas hésité à relever le défi physique face aux intellectuels que sont Ramos et Pepe. Son but est une merveille.

 

Les mecs qui étaient pas invités au repas mais qui sont venus pour le digestif.

Keita (pour Sex) – Non noté : Est rentré pour assurer le score et pour foutre la merde. Mission accomplie.

Villa (pour Alexis) – Non noté : S’est montré une fois lors d’une combinaison avec Iniesta. Trop altruiste, il rate la dernière passe.

Pedro (pour Iniesta) – Non noté : Semble maintenant condamné aux fins de matchs.

Vu que j’ai toujours du mal à conclure (les nanas m’appellent Jean-Michel Peineàjouir), je laisse le mot de la fin au beau Hristo.

 

Conclusion :

Alors au final, que retenir de la rencontre (en toute objectivité) :

–          que Mourinho et Guardiola n’ont pas le même tailleur.
–          que Cristiano a épuisé sa réserve de fond de teint (ou que Coentrao lui a volé son stock).
–          que l’Editeur a tout appris de la belhommitude auprès de Xavi Hernandez.
–          que Cristiano devrait figurer dans la liste pour les nominés au ballon de plomb.
–          que Sergio Ramos est une catin.
–          que si Guardiola était un Jedi alors Mourinho ne serait qu’un Padawan (elle est pour les geeks d’Horsjeu.net celle-là, c’est-à-dire à peu près tout le monde)
–          que la serveuse était réellement bonne.
–          que les Ultra Surs sont des abrutis.

 

La bise Clasicanale.

Hristo et moi on est pas des mecs biens, mais on te file quand même les images du match

Ah merde, j’ai oublié de te dire, tu peux me retrouver sur Facebook. Par contre laisse moi t’informer que tu me verras jamais sur Twitter. Y’a que les pédés et les taureaux qui vont sur Twitter.

Je ne vais pas non plus te laisser filer sans te recommander l’excellente page de la Blaugrana Académie co-animée par Hristo et mézigue. Il arrive même qu’on y parle football.

En parlant de Hristo, tu peux le retrouver ici. Il te fera des trucs avec sa moustache.

29 thoughts on “La Blaugrana Académie note Real-Barça (1-3)

  1. Très bonne idée de l’académie en double décalé (Gravelaine aurait dit en losange inversé). on pourrait pas avoir une photo de la serveuse plutôt que les compos ?

  2. Je l’ai attendu cette académie, tellement attendu que j’ai plus rien à dire.

    J’espère que vous êtes content!!

    ps: Ramos est une belle salope.

  3. snif> deux académiciens, deux fois plus de caca. Logique implacable.

    Omario> merci de ton intervention, je pense que maintenant le débat est lancé.

    Roland> Hristo ne veut pas la faire tourner. Il a réussi à souiller le .jpg

  4. J’ai « googlé » Keeley Hazell , y’a du matos !!!
    et svp Leave S Ramos aloooone !!!

  5. Après le match, Pep aurait offert lui-même un coussin anti-hémorroïdes à son homologue qui n’aurait pas demandé « por qué? »

    P.S. Non Yannick, les hémorroïdes ne sont pas un produit dopant, juste une conséquence.

  6. Insulter deux adversaires dans une académie : heureusement que Xavi a mis le niveau de classe du Barça assez haut.

    Sinon, plus sérieusement, pour ne pas apprécier Marcelo, joueur que je détestais avant, faut pas avoir vu objectivement un match du Real ces 15 derniers mois.

    Voilà, le débat est lancé, parce que jusqu’ici, les seuls commentaires étaient pro-Barça.

    Ah, et bravo pour avoir noté toutes les évolutions tactiques du Barça, ce n’était pas simple (même si j’ai l’impression qu’en deuxième mi-temps, Sanchez était beaucoup plus central avec Messi juste derrière lui qu’ici indiqué)

  7. Ouais beau boulot sur les évolutions de compo, tout ça en matant les seins de la serveuse.

    Comme toi CCCP, Marcelo me semble moins nul que lorsqu’il est arrivé au Real. Mais je le trouve quand même très léger dès qu’il y a du répondant en face. Facile de s’amuser face à Réveillère, un peu moins face à Puyol ou Alves.

  8. CCCP> Oui je déteste Ramos, j’assume. Apparemment, Hristo aussi. Mais ne te méprends pas, quand je l’appelle tocard ou salope, c’est le joueur que je prends en grippe, pas l’homme. Je le trouve juste infect sur un terrain, pas seulement contre le Barça.

    Pour Marcelo, j’avoue que je n’ai vu le Real qu’une paire de fois cette saison en Liga + la LDC. Reste que son tacle sur le Sex en Supercopa m’est resté en travers de la gorge. Et sur le match je ne l’ai vraiment pas trouvé énorme.

  9. Ah, moi aussi, j’avais pas trouvé Messi au top, mais Gilles Verdez et FootMercato m’avait fait douté.
    Moi, sur le 2ème but, je me suis fracturé le doigt contre une poutre… VDM
    Moké : pfff ! Si un arbitre de Ligue 1 avait mis un carton comme ça, tout le monde l’aurait insulté en fustigeant un manque de psychologie. Si il l’avait mis à un mec du Real (au hasard, Ramos), ça aurait été un coup des juifs francs maçons communistes anti portugais.

    Bref, c’est beau de voir le Barca gagner, c’est beau de voir le Real perdre, alors tout ça dans le même match, c’est vraiment classe.

  10. Fernando,
    voilà c fait je l’ai lu et je vous aime encore plus!
    j’étais tellement stressée avant ce match faute à tout mon entourage pro machin que depuis la fin de la partie je suis sur un nuage.
    Toutes les notes c’est très bieng mais moi j’aurai mis un 6/5 à Puyol; il les vaut bien non? et puis un 5/5 à Xavi; Porqué? parsque c’est Xavi et aussi pour ce deuxième but (chanceux) qui met Marcelo ds la m.. et place l’équipe sur orbite.
    Sinon un merci spécial à Hristo qui m’a rassuré dans mes moments de doute.

  11. Marcelo, rien que pour la manière dont il défend, c’est à dire en tournant son cul, c’est interdit.

    Oui, il est moins nul qu’avant, mais à part pour mettre des boites et attaquer… Faut se méfier des médias qui disent qu’il est devenu un cador. Si on les écoutent, le Real devait battre le Barça, c’était « l’année du RM », sauf que ça fait deux ans qu’ils nous le sortent ces cons.

  12. Excellente académie. Je pense que Fernando et Hristo devrait écrire plus souvent des académies en conjointure conjoncturelle.

    Sur ce match, Valdès a joué son rôle de laxatif à doses non contrôlées. Obiwan Valdès est de retour… Quand même pas.

    Taper du Réctal de Madrid même quand on joue pas bien, ça fait inéluctablement plaisir. J’en suis tout émoussé, et j’ai, comme tout « culé » qui se respecte, tapé du madrilaine jusqu’à ce qu’ils n’aient plus d’yeux pour pleurer toute les larmes de leurs corps recroquevillé.

    I’m Happy.

  13. Je vois que Hristo est un maître en matière de lapalissade: sergio ramos, catin ; ultra surs , abrutis.
    Sinon,je suis d’accord avec Fernando N., sergio ramos à autant de courage qu’Albert Brennaman devant une femme.
    Je préfèrais largement des mecs comme Roy Keane ou Effenberg qui charcutaient mais qui assumaient que ce genre de types.

    J’ai toujours détesté le Real , mais l’un des joueurs que j’admirai le plus était Fernando Redondo,ce genre de joueurs qui pue la classe, l’entraineur actuel à la même odeur,de quoi faire flipper Milan Baros.

  14. >Jade de Koh Lanta
    Hristo peut faire bien plus que te rassurer…

    >El Loco
    Il faut marteler les dogmes espagnols de l’autre côté des Pyrénées afin de les faire rentrer dans les têtes.

  15. Hristo
    j’en doute pas mdr mais je préfère m’en contenter;
    j’au eu assez de sensations fortes pour cette semaine et voir les merdilénes au supplice c’était énorme.
    alors merci encore et bisous

  16. Belle fientes les amis!

    Je vous dis bravo. Tout d’abord si le sosie de miss hazell, et si en plus elle était maké (non pas toi Claude MC) avec de la meringue, il fallait la remplir de tout ce qui était possible.
    Ça c’était pour l’aspect classe et glamour.
    Maintenant coté match, Pep est maître yoda et mourinho n’est que ce crétin de jar jar binks.

    Bref, mise à part la petite chiasse de VV, l’equipe à sorti sa panoplie de plombier moustachu, comme un hommage à Hristo, et à bien bourré le tuyau de Ramos et ses copains.
    Tout ça pour dire que j’étais chez une meringue pour voir le match et j’étais bien content de chier dans la bouche de mon témoin

  17. Je confirme, Sergio Ramos est bien une salope.

    Voila je pense qu’on peut clore le debat maintenant.

  18. Ahhhhhh malheur (Merci Hristo ;) )!!!

    Mon mulet, qui a osé couper mon mulet !!!!!!!!!

    Encore un complot signé Vivel dop…

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