Le Onze Anal Historique de l’Olympique de Marseille

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La Bonne-Mère sait que le bâton de merde était épais à Marseille. Mieux qu’un cierge pascal.

Le Mad Professor et son fidèle assistant se sont rendus dans ce bar olympien qui a connu beaux jours et déceptions, pour parler de l’OM au sein du clan. Entre anciens et jeunes pousses, on observe aisément que les avis divergent pour trouver 23 verges, le club de nos cœurs ayant eu, il faut bien l’avouer, un impressionnant quota de chèvres.

Après les cris et verres de pastis jetés aux visages, le Mad et son protégé ont retenu un groupe « riche » qui sent mauvais comme un baiser sur les fesses de Fanny après humiliation. Un effectif finalement assez récent, les piètres résultats d’une ère pas si lointaine démontrant ainsi une certaine logique ou une mémoire vacillante, à vous de juger…
Il est évidemment indéniable qu’en 110 ans d’histoire, l’OM n’a pas attendu les années 2000 (ou proches) pour s’offrir un Onze Anal. Néanmoins cette quête pour un titre et 17 ans de diète de trophées, mêlés à une pression médiatique et une attente de résultats encore plus grandes suite à cette fameuse Ligue des Champions gagnée pour la première et unique fois par un club français, forcent à croire que de mauvais choix furent pris à la va vite, sans étude de marché sérieuse et que, de ce fait, le noyau dur d’anus a illuminé cette période. De plus, chaque poste offre une liste non exhaustive. C’est douloureux mais vrai…


Gardiens :

Stéphane Trevisan (1999/2001): d’abord doublure de Porato avec des performances louables, sa seconde partie de carrière à l’OM en tant que titulaire (2000/2001) sera un fiasco total : bourdes en pagailles tel un Edel blanc, Stéphane ne supportera plus la pression d’une relégation proche et les bruyants « ho hisse enculé » du Vélodrome, indices prémonitoires de sa présence dans ce onze anal. A noter que même lorsqu’il jouait à Guingamp il n’avait à la bouche que sa performance contre Chelsea. Un passéiste total dépassé par les événements. Prendra du recul de lui-même, un beau geste de sa part, dommage qu’il n’en ait pas fait plus dans ses cages.

Remplaçant (s) :

Stéphane Porato (1998/2000): Véritable Mister « une cagade par match », il a cru qu’opter pour un crâne rasé suffisait pour devenir Barthez. Il ne partagera pas grand-chose avec le divin chauve si ce n’est un goût pour les mannequins et pour les insultes d’arbitres (« fils de pute », « renégat » et « bâtard », tiercé gagnant pour un seul homme en noir dans le même match qui lui vaudra 3 matches de suspension). Autre point important sur son tableau de chasse : Il fut le tout premier gardien marseillais à avoir droit au « oh hisse enculé » de la part de ses propres supporters. Si ça, ce n’est pas anal…


Furent également cités et sujets à débats :

–          Jérôme Alonzo, avis du Mad qui n’a jamais compris comment un gardien de handball avait pu s’octroyer une carrière dans le football.

–          Jeremy Gavanon, « parce que même s’il fait « officiellement » 1m80, il avait autant d’autorité dans sa surface qu’un cloporte sur une autoroute. Son entrée en jeu à Goteborg fait certainement partie des pires moments de ma vie. » L’assistant du Mad a lui aussi ses têtes.

–          Lemasson / Claudio Gentile, et sa voiture / Andrade / Runje (« désolé le 3-0 au Vélo contre Paris avec but de 30m de Leroy j’ai pas digéré » le disciple deviendra teigne…).

Défenseurs:

Arrière gauche – Koji Nakata (2005/2006): En japonais son nom signifie “bêtisier”. Arrivé à l’OM en janvier 2005 sur une idée lumineuse du sorcier blanc Philippe Troussier, l’exotisme de ce choix pour remplacer le fuyard Lizarazu (qui aujourd’hui donne des leçons de bravoure derrière un micro) a laissé plus d’un supporter dubitatif. Du Japon, Boli n’avait pas dit grand-chose finalement, même pas le montant de son compte en banque…. Mais Koji dissipera (confirmera) rapidement les interrogations avec ce match mémorable contre Saint-Etienne dans un chaudron tout blanc. Le Japonais n’aime pas la neige et la neige le lui rend bien. Entre inventions de gestes techniques encore dans les mémoires aujourd’hui, CSC contre le PSG et replis défensifs hasardeux illustrés de son regard vitreux, le sushi aura bien des soucis en terres marseillaises et partira un an plus tard se cacher dans le trou de Bâle.

Défenseur central – Stefano Torrisi (2001/2002): 2 matches et pas un de plus à l’OM pour ce joueur italien qui gagnera sa place de titulaire dans ce Onze en seulement 45 minutes de jeu. Ancien de Parme et de ses piqures, club décidément douloureux, l’hypothèse d’un flashback affectif à la vue du maillot jaune nantais pourrait expliquer ses deux CSC marqués en une mi-temps le 3 février 2002 à la Beaujoire. C’est tout d’abord d’une frappe contrée puis d’un superbe lob que Torrisi posera sa pierre sur l’orifice anal marseillais face à un Runje dégouté. La légende raconte que le portier croate lui aurait dit à la pause : « Va niquer ta mère va, il y a trois jours que je bouge ton cul pour toi. Fils de pute va, t’es nul »

Défenseur central – Ronald Zubar (2006/2009): Aucune stat ne sera utile pour justifier ce choix, les souvenirs de colères suivis d’une rancœur encore présente suffisent pour argumenter ce doigt pointé sur Ronald. Certes, il n’était pas défenseur central de formation et les « réussites Mbia » ne sont pas nombreuses, on pourrait donc discuter du choix obstiné de Gerets, mais il n’empêche que Ronald a semblé manquer de tout lors de son passage à l’OM : technique, mental, communication…
Magnéto Serge.
(Sur cette vidéo, Zubar manque son pénalty en finale de coupe de France contre Sochaux. Il faut toutefois souligner que Ronald a pris ses responsabilités ce jour là, contrairement à un certain Franck Ribéry…)

Pape Fall (1987/1988) : Qualifié par Tapie comme étant le meilleur arrière droit du monde. Trop occupé a vouloir essayer de marquer des buts, il n’avait ni technique, ni frappe de balle, ni savoir faire au niveau du placement. Un petit exemple ? Pas de problème : La demi-finale de la Coupe des Coupes contre l’Ajax Amsterdam où il découvrit l’amour anal avec un des frères Witschge au point d’être remplacé à la mi-temps. Un porno qui a coûté une télé pour le Mad, les nerfs du moustachu ayant aussi leurs limites. Pape Fall ou une version 0.0 d’un Taiwo jouant à droite. Est maintenant un des adjoints de Franck Dumas et continue de dire qu’il n’y est pour rien dans ce triste souvenir. « Moi, je n’ai jamais été débordé, mais quand les centres sont arrivés, l’équipe a été prise à contre-pied et j’ai été devancé par l’ailier néerlandais. Après, on m’a tout mis sur le dos, j’ai servi de bouc émissaire, mais c’est toute l’équipe qui avait sombré, ne supportant pas la forte pression de l’enjeu. » Un bouc émissaire, une chèvre, sur un malentendu…

Remplaçants :

Christanval (2003/2005) : Annoncé très tôt comme le nouveau Laurent Blanc, il a plus connu le banc blanc de l’infirmerie ou de touche (était il déjà chauffé à cette époque ?). Les rares fois où il foulait la pelouse, sa gentillesse dans les duels et sa lenteur pouvaient presque faire penser à une intelligence de jeu et une vision anticipée. Mais en fait non, il était juste mauvais.

Albero Malusci (1996/1998) : Présenté par Marcel Dib comme étant le nouveau Baresi. S’est fait prendre de vitesse par un Robert Pires messin. Qualité : se recoiffait très bien et plus vite qu’il ne se replaçait.

Elamin Erbate (2008/dec. 08)« Je suis très content d’être là. Ça fait trois mois que je suis en contact avec l’OM et, malgré l’intérêt d’autres clubs français et anglais, je suis vraiment satisfait d’avoir choisi l’OM, qui est une très bonne équipe. J’espère, inch’allah, m’imposer à Marseille même si je sais qu’il y aura beaucoup de concurrence. Mais c’est normal dans une grande équipe » Dieu ne peut pas tout faire tout seul Elamin…Jouera 5 matches puis s’en ira, un peu partout mais surtout nulle part…

Chris Makin (1996/1997) : A voulu être comparé à Waddle car anglais et identifié par le même prénom. 1ère arnaque : jouait (ou essayait de pousser le ballon) au poste d’arrière droit. 2ème arnaque : a mis moins de but que Tyrone Mears pour le même poste. Mais lui au moins, il connaissait la nationalité de son père.

Juan Angel Krupoviesa (2008) : un prêt de six mois en provenance de Boca pour démontrer que prendre un rouge c’est mieux que deux jaunes. Ne pouvait donc pas réussir à Marseille, pays du pastis.

Furent également cités et sujets à débats (ou pas) :

Edouardo Berizzo qui a quitté l’OM car il y avait trop d’homosexuels et non pas à cause de son niveau en fait…
Bixente Lizarazu, un vrai compétiteur qui se barre quand il ne s’entend pas avec son patron pour retourner pleurer chez sa maman bavaroise.
Lilian Martin, inaugurateur du fameux loft. Il est venu sur une supposée terrible frappe de balle. On attend toujours.
Fred Déhu son phrasé et ses relances parfaites dans l’axe…

Julien Rodriguez qui mange à l’oeil en regardant « Incassable » en boucle depuis trop longtemps
José Anigo : lorsqu’ il taclait, le ballon passait mais pas la jambe de l’attaquant. Et puis, c’est quoi « débordement » ?
Mears qui a fait rire sur et hors du terrain en ne sachant pas vraiment quel maillot d’équipe nationale porter.
Bocaly qui a réussi à parler plus que Valbuena sur ses futures performances, Demetrius Ferreira ou encore Sébastien Perez ont également offert leurs lots de peine sans oublier,  Jean-Pierre Cyprien aussi bon que le film du même nom (Jean Pierre était à la défense ce qu’est Elie Seymoun à la chanson), Meité, Pierre Issa, Lamine Diatta, Zoumana Camara (oui oui, le même), Blondeau, Fischer, Franck Dumas ou le surnom donné au nul dans les souvenirs de cour de récré de l’assistant du Mad, petit enfant qui a connu la fougue de la balle en mousse et les buts encadrés de 2 pulls…C’est mignon et mérité pour Franckie.

Milieux :

A ce moment de la discussion, l’assistant a été bavard, personne ne sait vraiment pourquoi. « On » le soupçonne néanmoins d’être lui aussi souvent au « milieu », mais le Mad n’en dira pas plus…
Votre serviteur a choisi de le laisser s’exprimer, c’est ça l’OM anal : Le partage et la tolérance.

Milieux défensifs :

« Entre Pedretti (2004/2005) pour sa gueule de con (pas le physique on a dit, ou je t’envoie chez Loulou, ndM) et son départ à Lyon et Deruda (2005/2007)…. Je reste malgré tout persuadé que Pedretti a beaucoup souffert du départ de Drogba qui lui aurait permis de faire briller son jeu long. Sinon puisque Deruda n’était pas très crédible de toute façon (et que là aussi, la vie du Mad peut être en jeu, demandez à Fernandez), Eduardo Costa (2004/2005) est un candidat crédible. Ignoble de bout en bout. Il arrivait à être transparent malgré sa dégaine de mangeur d’enfants et son volume physique auparavant conséquent. »

Mais aussi et surtout :

Modeste M’Bami (2006-2009) : Capillairement parlant, Modeste est le Taribo West du pauvre mixé avec Tracy Chapman mais sans la révolution. Footballistiquement, c’est une sorte de salmigondis de milieu défensif oscillant entre le flegmatisme d’un Edouard Cissé, le tranchant d’un bouchon de liège et la puissance d’une Lada montée sur quatre parpaings. S’il fut titulaire à de nombreuses reprises au sein de l’OM, il le doit à la polyvalence de Cana et aux capacités de Givet et de Rodriguez. Un joueur par défaut quoi.

Remplaçant (s) :

Wilson Oruma (2005-2008) : Champion olympique et métronome de Sochaux avant d’arriver sur la Canebière, le nigérian s’est distingué par sa capacité à pourrir le ballon malgré une technique au-dessus du lot. Capable de lâcher le jeu comme on lourde une ex trop tripotée, Wilson et sa naturelle nonchalance sont parvenus à nous offrir trois longues saisons de dépit et un DVD de mouise.

José Delfim (2001-janvier 2005 puis 2005-2006) : cousin portugais de Julien Rodriguez présenté par Bernard Tapie 2.0 en tant que nouveau Didier Deschamps. Tapie parlait sans doute de la période à Valence de notre actuel coach. Apte à jouer durant 32 matches et un but en C3 en tout et pour tout, sa pure technique de milieu relayeur n’aura pas impressionné grand monde au Vélodrome à l’inverse de sa capacité à émietter ses vertèbres, véritable chef d’œuvre d’une vie dixit le professeur Di Meglio, cadre de l’équipe de chirurgie orthopédique de La Timone. Par la suite, le Tug deviendra un pion parait-il essentiel des Young Boys de Berne avant de faire les trophées UNFP et de rejoindre Naval pour relancer sa carrière.

Furent également cités et sujets à débats :

Klas Ingesson, sa tête de fou, ses cartons jaunes, sa demi-saison terne.

Salomon Olembé, la formation à la nantaise, son passeport édelien…

Flamini le traitre.
Milieux axiaux « offensifs »:

Adriano (2000/2001) : dit Gabiru, le « rat noir ». Un rat qui a quand même coûté 25 millions de francs à l’époque pour ne rien faire de bon. Le jeune se souvient : « Premier match de la saison, contre Troyes. Nouveau maillot (celui avec la grande croix). But magnifique de celui qui nous est évidemment présenté comme un grand espoir du football brésilien. A ce moment là, j’entends « et ben celui là, il va manger gratuit à Marseille pendant un moment! ». Alors je ne sais pas s’il a abusé de ces menus avantages, mais ce qui est sûr c’est qu’il a complètement disparu, et qu’on n’en a plus jamais entendu parler. Marcelinho, lui, a au moins eu l’intelligence d’aller briller en Bundesliga. »

Remplaçant (s) :

Raymon Keruzoré (1972/1974) : grand talent breton seulement fait pour la Bretagne et pour Laval. Taxé de gauchiste par ses contemporains, il était surtout perdu sur le terrain. Est ensuite devenu un grand entraineur breton.

Hector Yazalde (1975/1977) : Il est arrivé soulier d’Or, international argentin… Grâce à ça, il a pu passer plus de temps à marquer les boites de nuits qu’à faire trembler les filets.

De la Pena (1999/2000) : « parce que je l’ai attendu avec plus d’impatience que mon dépucelage. Et que l’un comme l’autre, ils ne sont pas venus. Mais bon j’ai eu une fille en plastique, et, en l’occurrence, un homme en cristal. »

Furent également cités et sujets à débats :
Yordan Lechkov, encore trop populaire avec la WC 94…

Akalé et n’a jamais redémarré.

Belmadi que l’assistant ne supporte pas à cause de sa pompe envoyée dans la tribune après un match mouiseux contre Strasbourg. Une fois de plus hors cadre, elle touchera un gamin de huit ans. Le Mad n’oublie cependant pas les efforts de Djamel pour éviter la relégation…ça se discute donc.

Dmitri Sytchev, Marcelinho, Reynald Pedros pour ses passes millimétrées pour personne et sa dépression.

Attaquants :

Gimenez (2005/2006): Machine à planter dans le championnat suisse alors qu’il jouait à Bâle (27 buts en 31 matches pour la saison 2004/2005), l’Argentin inscrira 2 buts sous les couleurs de l’OM. Un but de la tête contre Ajaccio et un contre Metz en cdf. Du lourd donc. What else ? Bah rien du tout. Signera ensuite au Herta Berlin pour marquer 13 buts en 30 matches. Mais une saucisse au Herta, c’est déjà plus logique.

Mendoza (2005/2006) : « El Condor ». Peut s’écrire en deux mots si on s’arrête à sa tête de drogué qui ferait passer le regard d’Andrade pour celui d’un mec sain. Nouvelle recrue de grande qualité (mais prêtée ouf), il marquera un but en 20 matches. En coupe Intertoto. Affligeant tout comme son seul supporter et sa vidéo.

Bakayoko (1999/2003) : « a ma’qué pou’ la famill’ ». 34 buts en 4 saisons (135 matches) à l’OM quand Drogba en a mis 32 en une seule ; il faut avouer que les dédicaces aux proches n’étaient pas souvent au rendez vous. Le joueur a d’ailleurs perdu beaucoup de contacts avec les membres de sa famille suite à ses fameuses « Bakayokades » (loupé monumental) et autres coups francs envoyés dans les tribunes. A eu le mérite de planter quand même pour éviter la relégation mais mérite sa place rien que pour sa légende et ses commentaires d’après match.

Remplaçant (s) :

Andrew Tembo (1994/1995) : sa seule réussite ? Avoir réussi à échapper au terrible accident d’avion qui avait décimé son équipe nationale (la Zambie). En hommage, il envoyait tous ses ballons au ciel. A été l’objet d’une des meilleures vannes de Cascarino qui avait voté pour lui afin qu’il soit le capitaine de l’OM

Koke (2003/06) : Lorsque le bonhomme débarque à l’OM, l’hypothèse d’un espoir en attente d’explosion est plus que proposée. Et ce fut juste. De l’attente il y en a eu, en vain, l’Espagnol s’avérant être très irrégulier. Aujourd’hui en Grèce, Sergio déclarait il n’y a pas si longtemps ne pas pouvoir sortir de chez lui tant il est apprécié là bas. Durant sa période marseillaise, personne ne le dérangeait sur le Vieux Port…

Lamine Sakho (2002/2003 puis 2004/2005 en réserve…) : Au-delà d’un passage plutôt discret à l’OM, c’est surtout l’après Marseille qui conforte l’idée que Lamine de son crayon a commencé à sentir la merde sous le soleil marseillais. En gros, sa carrière était foutue et il n’a plus jamais planté à haute dose.

Habib Bamogo (2004/2005 puis 2006/2007): Venu des plaines de Loulou Nicollin (heureusement que ce n’est pas de l’oral), Habib et son visage Kaboréen arrivent à Marseille après avoir claqué 16 buts la saison précédente. Enième victime du syndrôme du Vélodrome ayant frappé a peu près tous les attaquants phocéens des années 1999-2004. Habib au delà de sa continuelle maladresse a dans le coeur des marseillais une place particulière étant données la hargne et la volonté qui l’habita pendant l’année et demie où il ne fut pas prêté. Non on déconne, on ne pouvait plus le voir malgré 11 buts en 27 matchs.

Titi Camara (1997/1999): Titi Camara c’est l’histoire d’une escroquerie à grande vitesse. Très grande vitesse, tout le monde disait de lui qu’il avait les capacités intrinsèques de Ronaldo mais putain il ne cadrait jamais, sauf face à Barthez époque monégasque. Gentiment refourgué par Lens avec seulement 14 buts en 63 matchs, gageur de sa fraicheur d’ailier Akalien, le numéro 13 guinéen nous offrira la bagatelle de deux buts en 31 matchs pour sa première saison… Ouaip. Heureusement l’OM se qualifie pour la C3, permettant d’exposer ses talents dont Aboubakar, miraculeusement acheté par Liverpool en 1999 coaché alors par le génial Gérard Houllier. Arnaque toujours, il est à présent ministre.

Christophe Dugarry (1997/1999): Le Mad n’a pas un souvenir si pittoresque de ce moment de vie olympien (les résultats furent  bons d’ailleurs mais gâchés par un final PSG/Bordeaux entre autres), mais ce n’est pas le cas de tout le monde.
La parole est à l’assistant, après son 9ème pastis sans eau, debout sur sa chaise et très énervé voire extrémiste: « (…) parce que ok, y avait la Bakayokade, mais il y avait aussi le grand Dugâchis. D’une inefficacité terrible, son bon match lors du fameux 5-4 contre Montpellier le sauverait presque de la calomnie. Mais non content d’avoir été particulièrement indigeste durant son passage à l’OM (ah, son fameux « passement de jambe au ralenti – ballon piqué dans l’axe »), la petite crotte est revenue pour marquer au Vélodrome avec Bordeaux (alors que ça n’a jamais été son truc) et pourrir les Marseillais de son box Canal+. On se rappellera du Bordeaux-OM de début 2010 (qui lui vaudra un accueil chaleureux au match suivant), mais aussi de ses leçons données à Brandao ou plus récemment Gignac, des joueurs qui ont pourtant une efficacité déjà plus grande que l’homme au serre tête. » C’est beau, c’est argumenté, ça se défend donc. Et encore, il n’a pas parlé de son seul but en 40 matches au Qatar… Le Mad est sacrément fier de sa descendance, il a qu’ça qu’à dire.

Furent également cités et « sujets à débats mais en fait non, ils sont bien pourris, il n’y a pas à chier mais t’es quand même un peu dur avec lui »

Mido le petit prince du rien.

Grandin le petit prince des boites, véritable Franck Dumas de l’attaque.

Samassa « ma ma coo sa ».

Fiorese, Cavens, Kaba Diawara, Pascal Nouma, Adriano, Arthur Moses, Montenegro, Calendria, …il y en a tellement…Fill the blank…

Organigramme du club anal:

Proprio: Jack Kachkar « hit the road Jack and don’t you come back no more, no more »
L’un des plus gros “fake” de l’histoire de la ligue 1 et des images d’un canado-libano arménien dansant sur une table de vestiaire qui resteront gravées à jamais. Kachkar ou le « viens chez moi j’habite chez une copine » du football. Heureusement, RLD a eu du pif et n’a pas cédé l’OM au fan de Charles Aznavour.

Président : Jean Claude Dassier (pour son ratio temps/conneries de grosse qualité)
Si récent dans le métier mais avec déjà tant de casseroles…Un Parisien qui veut être plus Marseillais qu’un Marseillais ça donne quoi ? Un gars qui en fait trop et tout le temps. Ne pas être un local pure souche n’est pas le problème, mais faut-il encore pouvoir assurer et connaitre, par exemple, son effectif. Enfin… Le Mad est dur, Jean-Claude connait les visages mais pas les noms (comme son pote Villeneuve lors de son passage au PSG). On a pu donc, par exemple, découvrir que M’bow est Samassa. Et ça, M’bow lui-même ne le savait pas avant de rencontrer Jean-Claude…
A cela vous ajoutez un désir de controverse toutes les 5 minutes pour tout et souvent pour rien, et vous obtenez un président qui entache plus l’image du club qu’autre chose. Pourtant, il pourra se vanter d’avoir, lui, gagné des titres, un doublé même, qui a fait blanchir Pape Diouf en deux semaines.
Pour conclure sur le spécimen, JCD qui balbutie à l’OM, c’est un peu « L’Américain » avec Lorant Deutsch ou « Il était une fois dans l’Oued » avec Julien Courbay (non, pas Zorro, l’autre.) On est loin du grand art donc.

Entraineur(s) : P.Troussier pour ses transferts de haute qualité, Courbis pour la saison 99/00 cauchemardesque, Kurt Linder,  Abel Braga, Javier Clemente et son français parfait entre deux clopes, Tomislav la dépanne Ivic, José Anigo, Bernard Casoni, Albert Emon, Fernando Riera, Franz Beckenbauer

A noter la saison anale 1973/74 qui verra se succéder 4 entraineurs.

Si vous désirez plus d’infos sur les rapports entraineur/présidents, souvent chauds à l’OM, une petite visite ici vous rafraichira la mémoire.

Pour conclure, ce Onze Anal restant bien sûr subjectif (sauf pour les cas perdus), libre à vous de le modifier à votre guise, d’ajouter des oublis, l’assistant du Mad vous répondra avec plaisir.

Sur ce, le Mad Professor se retire et vous propose de lire le Onze Mondial historique de l’OM ici.


NB : Le Mad et ses amis n’étant pas des Philippe Doucet, ils se sont aidés de wikipédia et autres sites. Houellebecq a bien reçu un prix Goncourt comme ça, alors pourquoi se gêner ?
Mention spéciale pour piedskarrés.free.fr et om4ever.com un site historique très complet qui ravira tous les supporters de l’OM de plus de 30 ans (et les autres).

70 thoughts on “Le Onze Anal Historique de l’Olympique de Marseille

  1. Un onze plein de souvenirs qui font mal à l’anal.
    Il y aurait pu avoir côté attaque Cyrille Pouget celui qui n’emballa personne sur la Canebière.

  2. Le Mad, je compatis, un Onze Anal sur l’OM, purée tu vas t’en ramasser du gamin pas content… J’attends avec impatience les commentaires de jeunots réclamant la titularisation de Drogba dans le Onze Historique.
    parce qu’il avait fait une énorme saison…

     » franchement, les autres c’est de la préhistoire qu’est ce tu fais mois j’suis né en 92, t ‘y connais quoi au football… ?Marseille for ever dans nos coeurs. »

    La bise anale

  3. Ali Baba, deux points Godwin Okpara en moins de 5 minutes, tu rentres dans les annales de ce site. Bravo.

  4. Bravo, beau boulot!

    J’en voudrais toute ma vie à cette truffe de marcelinho qui avait mangé 3 fois la feuille dans un match contre paris qu’on avait finalement perdu.

    Mais je garde de la sympathie pour ce brave Titi, ne serait-ce que pour l’invention du grand pont sur 1/2 terrain en C3 contre le werder, et les « Titi titi » qui agitaient le stade avant son entrée.

  5. Courbis et ses choix scandaleux (Kopke, Blanc, out). Anigo ne serait-ce que pour avoir fait sortir Meriem et pas Marlet en finale en 2004 et ainsi détruit les déjà très modestes chances de son équipe en la coupant en deux (et je dis rien sur son boulot de directeur sportif, pour le moins inégal). Emon avait le mérite d’être audacieux, mais jouer avec un coeur de jeu Cana-Ribéry-Nasri, ça fait passer Rhinus Michels pour Helenio Herrera. Et faire jouer Taiwo avant-centre, même pour essayer, enfin…

    Ali Baba, sors de ta caverne un peu (POUM), l’exercice est complètement subjectif, et le Mad mérite le respect. Ne serait-ce parce qu’il se tape des Evian-OM à noter, ce qui est l’équivalent de coucher avec sa mère pour beaucoup de supporters. Enfin ça dépend de la mère, si elle parle du ballon d’or après quelques bières dans un pub de république… Enfin bref.

  6. Merci au Mad et à son assistant, j’attendais ce Onze Anal avec impatience et je me suis bien poilé au souvenir de certains.
    Je soutiens à 100% l’argument de l’assistant du Mad pour ce qui est de Dugachis, j’ajouterais même qu’il a sa place en titulaire anal vu la mentalité.

  7. Moké va avoir du boulot pour faire régner l’ordre si les Ali Caca et Dandycool ne lisent ni les intro (« Il est évidemment indéniable qu’en 110 ans d’histoire (…) période ».) ni les « sujets à débats ou pas ».

    Bakayoko n’était pas terrible mais il avait l’air sacrément sympa comme gars.

    Note pour le Mad et l’éditeur : Si ça vole trop bas, Moké ne bronchera pas. Il n’a pas que ça à foutre.

  8. Et inversement je garde Bakagol à tout jamais dans mon coeur; à l’époque on avait le grantattakan qu’on méritait.

  9. Bien joué le Mad! Que de grands noms qui illustrent de si affreux souvenirs de l’OM! La triplette Mendoza-Gimenez-Bakayoka est tellement magique ainsi mise sur le papier!
    Bien que supporter de Paris en France, j’admire la dextérité de nos 2 clubs à enchainer les transferts-casseroles depuis 2000. Tu imagines si Gérard Houllier était venu à Marseille?
    Comme Warren, je te souhaite bien tu courage pour les commentaires.

  10. Dur d’aller piocher avant la fin des années 80 tant le passé récent de l’OM, tant anal qu’historique est riche.

    Petit bémol pour ma part : je placerais Tapie dans l’Anal et l’Historique pour des raisons que toi même tu sais (Valencienne, quoi, et pourquoi pas Evian-Thonon tant qu’on y est ?)

    En tant que fan du Pérou (je fais partie des cons qui pensent qu’aimer un pays c’est aussi supporter son équipe de foot, fatale erreur) j’ai gardé un souvenir ému de Mendoza. Il m’a bien fallu deux mois pour comprendre qu’il jouait effectivement comme un péruvien.

    Le meilleur dans l’exercice c’est se rappeler tous ces joueurs improbables et ces entraîneurs fous : ce onze anal tient largement la comparaison avec celui du PSG à mes yeux. Désolé les gars mais dans le mauvais c’est aussi nous les meilleurs.

  11. N’empêche les « d’accord/pas d’accord » qui naissent sous les onzes, c’est un peu la relation Deschamps/Anigo. Comme un symbole.

  12. C’est presque un sans faute pour le Mad, j’aurai été moins dur avec Baka qui nous a gratifié de quelques beaux gestes que Brandao ne pourra jamais reproduire même à l’entrainement…Belmadi a toujours eu le mérite de mouiller le maillot dans une période compliquée pour l’OM, il a même parfois porté l’équipe à lui seul…
    Sinon c’est une belle collection de pieds carrés, des imposteurs à la pelle, beaucoup trop d’erreurs de casting…
    Au niveau de l’organigramme, c’est un sans faute…Kashkar et Dassier auraient fait une magnifique doublette, et au niveau des entraineurs, on a que l’embarras du choix!
    Très beau travail du Mad, ça mérite un 18/20!

  13. Suis-je le seul à trouver la présence de M’Bami en tant que titulaire très sévère?
    Il nous a sortie son lot de matchs énormes quand même.

  14. Dans 10 ans on retrouvera Leyti N’Diaye arrière droit, ou milieu défensif, ou défenseur central dans le Onze Anal du Mad..Pauvre de lui..

  15. @cleming : doucement malheureux on a pas le droit de critiquer le choix des académiciens

  16. Au contraire Cleming et Humphrey, tous les onzes sont ouverts à débat. Celui là c’est même marqué dessus.

    Si on ne peut pas critiquer sur horsjeu.net on le fait où alors ?

    En plus Humphrey ton pseudo excite le policier

  17. A propos de Trévisan :
    « Prendra du recul de lui-même, un beau geste de sa part, dommage qu’il n’en ait pas fait plus dans ses cages. »

    Justement il a déjà pris du recul dans ses cages.

    Avec le ballon.

    Sur une frappe lointaine anodine.

  18. En ce qui concerne M’Bami je le trouvais monstrueux avec le PSG. Et tout à coup beaucoup moins bon chez nous, mais peut-être que sa titularisation ici est sévère, oui.

  19. Mouais. mbami c’est quand même le gars qui insiste pour frapper un penalty et le loupe lamentablement lors d’un match contre strasbourg avec qualification ldc en jeu. Et puis cette voix! Et ces cheveux – capillairement parlant, je ne vois guère que cyprien qui puisse rivaliser dans ce onze anal.

  20. Je suis le seul ou Blanc je l’aurais mis dans l’Anal juste pour sa tête -de con- défensive contre Parme en finale de L’UEFA???
    Je l’adore mais mon premier jet de télécommande a été à ce moment là…

    Pour finir, Mad, je trouve tes 11 vraiment pas mal car tu ne te limite pas à citer quelques joueurs mais balance pêle-mêle des noms qui nous ravivent de bon/mauvais souvenirs. C’est ca aussi le but de l’exercice je pense, se rememmorer!

    Comité: serait-il possible de faire un honze de tous les temps (toutes équipes confondues) ou serait-ce trop demander???

  21. Je te trouve dur avec M’Bami qui avait mis un but trés important contre Troyes pour la qualification en ligue des champions. Nous avons eu bien pire.
    Oruma c’est pareil. Il a fait une première saison plus qu’honorable.
    Il y a largement de quoi faire avec l’incroyable nombre de joueur ridicule que l’on a eu entre 2000 et 2004.
    Et en attaquant mais où est Chapuis? Il était pire que bakayoko le coté sympathique en moins.

  22. Du très bon, merci le Mad.

    « Andrew Tembo (1994/1995) : sa seule réussite ? Avoir réussi à échapper au terrible accident d’avion qui avait décimé son équipe nationale (la Zambie). En hommage, il envoyait tous ses ballons au ciel. »

    Über-hilarant!

  23. Bravo ! C’était un exercice pas évident du tout. Dans les attaquants, j’aurais ajouté Cyril Chapuis.

  24. M’Bami c’est aussi celui qui veut « tourner la balle » et c’est le drame…http://www.laprovence.com/article/om-a-la-une/mbami-je-plaide-coupable?page=7. Donc ça reste crédible.

    De toute façon, si je comprends bien, au milieu le choix n’est pas arrêté. Deruda mérite pour son côté mauvais et en plus ses sorties « je ne comprends pas pourquoi je ne joue pas c’est une honte ». Il gueulait partout où il allait d’ailleurs. Mais en ne jouant pas il a fait moins de conneries que Bami, c’est sûr…

    Ilyas tu penses à qui toi ? Oruma c’est quand même le gars qui fait de la merde en souriant.

  25. Ouais, sinon on peut privilégier une solution plus technique, en remplacant les monstres physiques Mbami et Costa par un ticket Celestini (cap.) – Johansen, pour un jeu anal bien léché.

  26. Que des noms de rêve pour ce 11 anal !! Que de souvenirs à supporter une équipe qui se sauve grâce à une meilleur différence de buts !!
    C’est vrai qu’un Pouget, qu’un Cyril Chapuis ou même un Gregorini n’aurait pas été de trop !!

    En tous cas beau travail de recherche !!

  27. Heureux de ne pas voir figurer ici l’ami Ravanelli par contre déçu de ne pas trouver l’ excellent Skacel!

  28. Ouais mais Skacel a le record de buts consécutifs en championnat d’Ecosse, peu après son départ il avait réussi à marquer lors des sept premières journées. Un défenseur reconverti milieu offensif qui a un record de buts, c’est tip top classe.

    Vachousek par contre…

  29. « De plus, chaque poste offre une liste non exhaustive. C’est douloureux mais vrai… »

    Les commentaires confirment en effet. Putain quelle tristesse…

  30. Haha c’était exactement ça dans la cour de recré (la « Dumas »).
    Une petite pensée pour Edson aussi, qui à part sa frappe n’a rien fait (les latéraux déjà cités en titulaire ou remplaçant sont hors concours).

    A quand un onze capillaire (un trio Bruno Germain, Brando Marcel Dib au milieu ça aurait de la gueule)?

  31. Ribéry aurait mérité une place de titulaire pour sa déclaration d’amour pour Lyon avant de partir à Munich.

    Dassier n’est pas cité mais il n’est pas sur le terrain.

    Et puis, Brandao, Gignac, N’Diaye…

    Et le vieux port, la bonne mère et Gaudin ?

  32. dandycool, c’est vrai quoi, il est ou eydelie ?

    Titi camara, c’est dur, il faisait des rushs qui t’enflammait un stade, bon au mieux on obtenait une touche.. puis y avait aussi son but a Bastia, un peu de romantisme, non ?

    Baka, je crois que j’ai jamais autant insulte une personne de ma vie

  33. Ce début d’années 2000… Haute densité anale. Je pense qu’elle n’est pas sur-représentée dans ce Onze.
    Quelqu’un à des nouvelles de Wilfried Dalmat?

  34. Moses n’a pas beaucoup joué, Grégorini non plus et ce n’est pas à l’OM qu’il a fait ses plus mauvais matchs. J’ai trouvé Franceschini plus convainquant que Civelli (c’est à dire plus efficace défensivement qu’offensivement) Malusci et Gavanon ont été cités, Leyti N’Diaye est une belle promesse pour Arles Avignon et Wilfied Dalmat joue en Belgique. Celestini et Johansen n’était pas les pires (je me souviens de supporters et de journaleux qui demandaient qu’on essaient Johansen en équipe de France…)

  35. Je vous trouve dur avec Celestini , vu les services qu’il vous a rendu. Sinon, les gars, personne n’a parlé de Paganelli le pote de « Baka » , ah,il est pas du club? Pourtant il est plus souvent dans les vestiaires que Rodriguez les jours de match…

  36. Souvenirs souvenirs…

    Becanovic dill en attaque me semblent en effet oublies.
    fernandes recruté a rennes aurait eu sa place aussi.
    fisher issa porato martin dos santos (le dernier cité s’est racheté) ont reussi a en prendre cinq a chaque titularisation commune, mais je comprends qu’avec du torisi en quatre dur de s’imposer.
    on oublie aussi un peu mouret, libbra, tartarian, wacouboue qui ont joué a mes cotés.

    Rivera et alfonso perez c’était pas de la gnognotte non plus.

    Enfin bon, des chevres moi aussi j’en oublie tant, merci pour ce rappel douloureux. ah et personne pour parler de ariel montenegro qui doit etre au mexique aujourd’hui.

    Juste je voudrais défendre bocaly qui a fait un match énorme au parc avec les minots et titi aboubacar camara qui en voulait.

  37. Pas tout à fait d’accord quand même pour Emon, il a avait fait du bon boulot lors de sa première saison quand même, et avait vraiment l’amour du club, ce qui me semble assez important quand même…

  38. Me souviens d’avoir vu un match avec Becanovic en pointe. Vous l’aviez récupéré de Lille.
    Une belle recrue anale ^^

    Bon boulot en tout cas, j’ai bien ri^^

  39. Aaaah, en tant que gamin (20 ans), ce sont ces joueurs qui m’ont fait connaitre l’OM ! Ce qui était le pire, c’est qu’en bon jeune supporter on croit quand on nous dit que Sytchev est un futur très grand attaquant, que Torrisi est un vrai défenseur comme les italiens en ont longtemps fait, que Koke est un espoir espagnol, puis quand on est petit, on veut même croire que Celestini sera un grand meneur de jeu… !

    On aura connu de la vraie graine de footballeur tout de même dans ces années 2000…

  40. Quelqu’un se souvient de Pierre Issa ? Ah je vois qu’il a été cité. Je me souviens l’avoir entraperçu dans une équipe sud-africaine lors d’une coupe du monde et j’avoue que j’avas du mal à y croire.
    Et puis bon quand j’ai vu le niveau du reste de l’équipe ça allait, en fait.

  41. Merci, professeur!
    Les années a venir vont renforcer notre équipe anale. Ce n’est qu’un début, continuons la lutte!
    Allez l’OM! Snif…

  42. Zubar.
    C’était mon poulain. Je me suis déshonoré dans des bars en le défendant alors que tout le monde l’insultait.

    On a réussi à finir sur le podium avec une charnière Civelli-Zubar… Vive l’OM!

  43. Anigo, comment dire….il décoiffe, c’est çà, il décoiffe!!!

    Merci pour ce Onze Anal, vraiment merci!

  44. nique ta race sale batard ! t’as perdu combien de temps à rédiger ça ? va baiser ta femme salope ! et n’oublie pas : tu finiras égorgé !

  45. Moi dans tous sa j ai q un mot a dire marguerita s il te plait renvoye le a consolat ce anigo

  46. Moké, en fait, t’as que ça à foutre alors ?

    Sinon, moi, j’aurais mis Glassmann. J’dis ça, j’dis rien

  47. « El Condor ». Peut s’écrire en deux mots si on s’arrête à sa tête de drogué qui ferait passer le regard d’Andrade pour celui d’un mec sain.

    Comment peut-on avoir l’air plus malsain qu’Andrade après la troisième titre de l’OM en Coupe de la Ligue.

  48. ne pas oublier les saison 1999/2000 et 2000/2001 avec des changements d’entraîneurs à tout va.

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