Parce que nous aussi on veut faire dans le commercial et mettre nos plumes en avant, nous créons pour vous,  un face à face unique en son genre, le onze contre onze.

C’est très simple, afin de tirer vers le haut nos académiciens et les footballeurs notés (ils se ruent sur les notes d’horsjeu.net afin de connaitre leur réel niveau ; les connivences d’avec L’Equipe font que leurs notes ne valent plus rien, et ils le savent),  les gros membres choisissent chaque semaine les meilleurs et les pires performances avec les meilleurs et les pires commentaires de nos académiciens.

Le Onze Mondial :

Disposé en un agréable 4-1-3-2 équilibré avec le Pirlo français… non ça craint réellement cette expression, avec Jordy devant la défense la plus imperméable du monde (si, si) permettant de lancer la fusée à trois étages Cristiano-Ronaldo-Eto’o en attaque. Le milieu ne peut que faire des étincelles puisque la coupe de cheveux de Zanetti est une nouvelle fois présente.

Le coach de la semaine : c’est évidemment Claude Puel pour sa résistance et son demi-sourire. Forza Puel.

Carrasso, Bordeaux (5/5) : Encore une fois le meilleur Bordelais sur le terrain et ça inquiète. Des arrêts et des sorties de grande classe pour l’homme en forme (rond c’est une forme) du club. Ne peut absolument rien sur le but stéphanois.

Eboue, Arsenal 3/5 A vite dû passer arrière gauche avec la blessure de Gibbs et a tenté beaucoup de pénétrations en faux pieds (ne tapez pas ça dans google), certaines intéressantes.

Squillaci, Arsenal, 3/5 Toto le Toulonnais (représente) a tenu la baraque comme il pouvait derrière pendant que Djourou faisait le mongol alentours. C’est dire.

Coulibaly, Auxerre 4/5 Comme un roc, ensemble comme un roc, en ce lieu comme un roc, boosté à bloc.

Maicon, Inter 4/5 Bon bah voilà : c’est le retour du meneur de jeu arrière droit. Et ça fait mal ! Le bougre était partout côté droit, et il a même failli marquer.

Pedretti, Auxerre 4/5 The brain a été très présent et intelligent dans ses déplacements. Le rajeunissement du public du parc des princes aurait pu conduire les stadiers à le ramener dans les tribunes.  Belle ouverture (une de plus) sur le but de Quercia.

Pjanic, Lyon 3/5. Son activité débordante lui a fait toucher presque tous les ballons offensifs, le tempo assez percutant de l’OL est aussi en partie dû à son oeuvre et ses commandements, mais cela reste encore trop brouillon pour rivaliser avec un Gourcuff. Bon, ok, pas le Gourcuff de ce soir, oui, oui, il était sur le terrain… Il a presque tout fait ce soir, sauf marquer. Au final, c’est ce qui coûte le plus cher aux Lyonnais. On pourrait utiliser une surabondance de « comme un symbole » en décortiquant son match, mais on n’est pas à l’Equipe ici, on essaie d’être pertinents nous, vu qu’on n’est même pas payé, même quand on se farcit en une semaine Lizarazu (contre le Benfica) puis Gravelaine et Lauclair…

Nasri, Arsenal 5/5 : Gros cul a lâché la charrette. Insultez-moi si vous voulez mais je suis fan. Buteur, passeur décisif, je dirais même que sur ce match, le Minot a largement partagé le rôle de métronome d’un Cesc sur le retour.

Javier Zanetti, Inter  A+/5 L’endigueur relanceur a fait le taf, et avec classe. Comme d’habitude en fait. Comment Maradona a pu lui préférer … n’importe qui ?

Cristiano Ronaldo, Real Madrid (5) : Le Ronaldo chaud ! Le portugay, a inscrit un quadruplé , bien aidé par une défense quasi inexistante. Pas loin du quintuplé . Finira surement pichichi. Homme du match et peut repartir avec le ballon.

Eto’o, Inter 5/5 15 buts en 13 matchs. Des questions ?

Les remplaçants de luxe :

Szczesny, Arsenal 3/5 : Warren avait hâte de le voir car il vous en parle depuis un an. Et bah pour sa première titularisation il a été servi, même pas un quart d’heure de jeu une sortie à la Fabianski, heureusement que Ranger (l’attaquant de Newcastle à l’étrange nom de famille qui le prédestinait à un autre club) foirait sa frappe. Dans la même minute un fantastique arrêt sur un missile de 25 mètres d’Alan Smith. Le reste du match a été ponctué d’arrêts très sérieux et s’est terminé sur un combo duel gagné face à Caroll et une sortie au poing au point de penalty au point. Débuts très encourageants. Voir ici.

Suarez, Ajax (3) : 10 matchs 10 barres, pas en réussite sur ce match, frustré de ne pas avoir marqué,moi aussi. Pas pris de carton jaune, moi content. Moi pas mettre sujet verbe complément.

El Hamdaoui, Ajax (5) : Inspiré sur son premier but et la plupart de ses mouvements, il a surtout régalé avec sa reprise de volée sur le deuxième.

Retrouvez ici leurs adversaires pourris du Onze anal.

5 thoughts on “Le Onze mondial

  1. Pedretti dans la même équipe qu’Eto’o! Même dans PES (ou FIFA 11), j’oserais pas!

  2. Christian Jean Pierre aka Jean pierre Patrick éjaculerait verbalement s il devait commenter un match de cette équipe. Mais CJP qui commente cette équipe, ce serait comme un étron sur une religieuse…

  3. CJP n’a pas besoin de cette équipe pour cela, CJP n’a pas besoin de grand chose pour cela …

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