Le stagiaire autiste décrypte téléfoot

Coucou, c’est moi le stagiaire autiste. Vous connaissez déjà Maman. Et mes palettes aussi. Mais comme j’ai également beaucoup d’autres centres d’intérêt dans la vie que Maman et les pelouses, je regarde tous les dimanches téléfoot deux fois. D’abord à la télé le matin, ensuite, je regarde le replay dans la soirée, parce que Maman ne veut pas trop que je regarde le CFC vu que ça passe en même temps que sept à huit. Titre judicieusement choisi, au moins au temps que huit à huit si leurs épicerie fermaient autant à huit heures qu’elle n’ouvraient à huit heure pour que la boucle d’or soit bouclée dans la cave des ours.
Je me suis dit que je devais peut-être créer une nouvelle rubrique, dont voici le one-chiotte.

Exceptionnellement, je n’ai ps pu regarder le replay de téléfoot parce que Maman et Tatie Rolande qui me fout les glandes avaient réservé la soirée pour la décoration du sapin Perlimpin et de l’élaboration  de la crèche lorraine. ça tombait d’autant plus mal  que…

Zut, crotte dans le fut’ où tu joues de la flûte, j’ai exceptionnellement raté le début de téléfoot. Je m’ai couché tard la veille à cause de Luke Seafer qui m’a fait découvrir la saison de saint-seiya oméga, ce dont je lui serai éternellement reconnaissant même si c’est tout pourri, et que ça ne nous rendra pas Persus Argol ni même colargol.

Mais la première partie de téléfoot, c’est un peu comme le petit déjeuner. Les gros membres m’ont souvent répété qu’à partir d’un certain âge, on ne mangeait plus rien au petit déjeuner. Ça doit être un peu ça alors.

On se retrouve donc tout de suite après une page de pubs.