En allumant ma téloche, j’apprends assez vite que malgré la titularisation de Gomis, Lisandro aurait marqué son territoire en attaque. Connaissant le bonhomme, c’est à prendre au sens propre : il est allé pisser contre les poteaux. L’animal est là, tapi dans une tribune, l’œil noir et craintif mais le poil brillant, la mastication nerveuse. Malabar et costard, c’est pas le meilleur mélange pour celui qui a cédé à la mode des diamants aux oreilles. Pour tenter de charmer Maradona ?

Le match n’est pas commencé que Jean-Michel Larqué nous avertit déjà : « ATTENTION ! » Il prévient qu’il va regarder Planus attentivement. Donc Marc t’as pas intérêt à rater un contrôle ou une passe dans les 15 premières minutes, sinon c’est le bûcher.

Le ciel violet / indigo fait un peu arrière-plan Windows ou ciel d’une affiche de campagne présidentielle. Le maillot bordelais est cannelé devant, pixelisé derrière. Lyon, érigé ces dernières saisons en référence du mauvais goût, s’en sort bien avec un maillot bleu nuit/noir brillant.

Avant de commencer, notons que trois stars de cinéma américaines se sont glissées dans le match.

Trémoulinas est Mowgli, l’enfant sauvage.

Delgado ratiboisé, et dévoilant un front proéminent rappelle la créature de Frankenstein jouée par Boris Karloff.

Källström, lui aussi passé chez le coiffeur, révèle combien il ressemble à Macaulay Culkin.

6e min : Toulalan déborde sur le côté droit (si si, enfin il essaye le Jérémy, fente avant sur fente avant). Plutôt que relever le caractère rare de l’action, Lizarazu, consultant « latéraux » de TF1, nous assure que le contre de Cissokho qui concède une touche, est « le geste idéal pour un latéral ». Eh ben, ils ont pas des exigences élevées, les latéraux. C’est des mecs simples, des mecs vrais.

Jussiê, véritable cimetière à ballons jusqu’ici, entreprend systématiquement de grandes courses dans la diagonale.

Premier centre de Trémoulinas qui maîtrise drôlement bien ces ballons. Normal, c’est lui qui les a cousus à la main. Le ballon lui obéit.

Coup-franc pour Bastos aux 40m. Carrasso transforme son stress en colère en engueulant ses défenseurs comme du poisson pourri. Ses défenseurs ont toujours pas compris comment il le veut son mur ? Lizarazu, dans le secret des dieux, affirme que « ça ne lui fait pas peur de frapper de là ». Jean-Mimi annonce déjà la couleur : « cou de pied, cou de pied, oooh cou de pied !! » La grosse rafale de Bastos frôle le cadre. Sinon, sur la faute bordelaise, j’ai cru à la reformation du groupe corse I Muvrini sur le banc lyonnais, en fait c’est Puel, Bats, et Vercoutre qui protestent.

13e min : Sur un corner lyonnais, Gomis, au deuxième poteau, place un coup de tête à côté et rugit un « putaiiiin », bien capté par les micros de TF1 mais pudiquement qualifié de « rage » par Christian Jeanpierre.

Réveillère a un tatouage « Marion » sur l’avant-bras.

Lizarazu, au tableau noir, nous décortique le jeu bordelais : Gourcuff et Chamakh sont ceux qui donnent l’impulsion offensive et la vitesse au jeu des girondins, et s’ils sont « sevrés de ballons », Bordeaux n’y arrivera pas.Wow.

Banalité suivante, sous forme de boutade : l’arbitre espagnol, laissant (à raison) les actions se dérouler, aurait en réalité une carte d’identité anglaise. Effectivement, ça serait poilant Bixente. Mais les arbitres anglais sont-ils donc incapables, en Ligue des Champions, de s’adapter aux consignes d’arbitrages de l’UEFA ? Sont-ils à ce point marqué par le football pratiqué dans leur pays ? Cette théorie assez fumeuse et proche d’une caractérisation raciste des peuples est difficile à vérifier. L’arbitre du soir, espagnol, n’est pas la « mitraillette des cartons » (Lizarazu) qu’il devrait être, tord le cou à cette légende.

Sané a un strabisme, on dirait qu’il est en train de pousser très fort.

18e min : Coup-franc bordelais, qui suscite la fébrilité dans les tribunes, impatientes d’assister à l’ouverture du score. On entend des « Allez bordel ! Allez bordel ! ». Wendel dépose donc un ballon sur la tête de Gourcuff qui frappe au lieu d’effleurer le ballon. Ce dernier passe largement au-dessus du but. Sexy_boy_du_33 ne cadre pas non plus son coup de pied de dépit, qui s’écrase sur le poteau de Lloris.

Chamakh travaille « dans son rôle obscur » (Jeanpierre). C’est vrai qu’on parle pas beaucoup de lui ni de son influence sur son équipe.

Jeanpierre est pris de sympathie pour le petit Maxime Gonalons, qui, il est vrai, montre beaucoup de personnalité au milieu du terrain. « C’est un client ! Extrêmement dur-au-mal (sic) ! Parfois impulsif dans ce genre de matches… » C’est sûr qu’avec 5 matches de Ligue des Champions au compteur, et à peine plus en Ligue 1, on peut commencer à tirer des conclusions.

Gourcuff – Toulalan, le duel continue ; et c’est toujours le premier qui s’amuse avec le second. Partant de très bas comme souvent ce soir, il fixe le jeune papy lyonnais d’un double passement de jambes et l’élimine, façon cadrage-débordement. Quand il s’engouffre sur l’aile gauche, Sexy_boy n’entend pas la prière de Larqué, qui lui souffle « Talonne ! Talonne ! Talonne ! ». Pour un commentateur qui n’aime pas les joueurs « playstation », Jean-Mimi…vous avez du culot.

Corner lyonnais consécutif à un centre de Delgado, bien trouvé sur l’aile par Källström. « L’embrouille (sic) change de surface » « On a 8 joueurs sur 1m² ». Christian Jeanpierre hallucine façon bowling. Le corner ne donne rien.

Occasion lyonnaise ! Sur un centre de Trémoulinas, Chamakh remporte son duel avec Boumsong et frappe du gauche. Il est sanctionné d’une main. Le ralenti montre en réalité que les deux joueurs ont fait main. Lizarazu tranche pourtant : il y a main de Chamakh.

Lizarazu est décidément content de lui : « Quand je vous dis que ce garçon a une qualité de centre classe mondiale, je ne me trompe pas ! ». Wow. Mais c’est quoi au juste la classe mondiale ? Et puis ça sert à quoi d’avoir la classe mondiale dans un seul compartiment du jeu ? Moi mon boulanger, Jean-Guy, il a des contrôles de la poitrine classe mondiale, Bixente.

Larqué dit « l’Olympique de Lyon ».

Cissokhaux, pas dans son assiette, intervient avec le pied un peu haut. L’arbitre ne goûte pas le french-cancan et c’est un coup-franc pour Wendel. Diarra se déplace par petits pas pour tenter de se démarquer mais Cris l’imite et les deux gaillards semblent danser un tango, sans les mains. Gros cafouillage, « coup de billard sur le tapis vert » (Larqué). Un but très bordelais, en trois bandes, est évité…

Avantage laissé par l’arbitre. Delgado, décidément chouchou de Larqué, qui malgré tous ses défauts n’a pas si mauvais goût question joueurs… hérite du ballon et feinte fort joliment le centre. Planus avait mordu dans la feinte, les têtes s’étaient tournées, le stade tout entier, la ville de Bordeaux, l’estuaire de la Garonne et la Dordogne, les Landes, tous avaient mordu dans la feinte et c’est toute la Gironde, prise d’un vertige, qui avait fait un quart de tour et amorcé une révolution autour de Chelito. Planus, remarquable pour un match de reprise et autant loué par Larqué que Ciani fut descendu à l’aller, se rattrape et parvient à contrer la créature.

Une stat arrive à l’écran : Chamakh n’a touché que 15 ballons… « C’est pas beaucoup… enfin si c’est beaucoup pour attaquant central après 30 minutes de jeu » se reprend J-M. Larqué. En effet, les milieux bordelais évoluent dans le giron d’un Chamakh distribuant ses remises à peu près où il veut, et ce malgré une opposition féroce de Cris et Boumsong, vivant un des points culminants de leur saison face au gaillard.

Wendel remplace Fernando dans le rôle du second arbitre. « M’sieur l’arbitre, M’sieur l’arbitre ! ». Sur une poussée certes condamnable (mais même pas bien réalisée…) de Cissokho, décidément pas dans son assiette, le brésilien plonge et roule par terre, (« Ola-ola-ola-ola » (Larqué)) demandant un carton qu’il obtient immédiatement. Le joueur, suffisamment talentueux, n’a vraiment pas besoin d’utiliser ce genre de ficelles pour faire gagner son équipe…

Delgado, fin dribbleur adoubé par un Larqué (« Aïe aïe aïe, olala le grand pont ! »), comme toujours très attentif aux contrôles et aux conduites de balles, élimine un Plasil en pleine course. L’action échoue toutefois.

Chamakh et Cris s’envoient en l’air dans un coin de la surface façon lutte gréco-romain ou judo. « Y’a ippon »  pour Lizarazu. Pas sûr… A quand la vidéo dans le judo ? Aidons les arbitres…

Wendel amplifie sa chute sur une nouvelle intervention maladroite de Cissokho et recherche le rouge. Il indique à l’arbitre que ça fait la deuxième fois. Le brésilien a visiblement décidé de faire expulser le néo-international… Sa déception face à l’impassibilité de l’arbitre, assez démesurée, équivaut à une occasion ratée… Décidément, attitude détestable…

Sur un coup-franc de Macaulay Källström, Gourcuff prend le ballon dans le bide. Larqué aussi vise le bide en piquant la vanne préférée de Lizarazu, occasionnellement consultant muscu’, sur les 3000 abdos de Cristiano Ronaldo…

Boumsong a trouvé la parade pour les duels aériens face à Chamakh. Il saute et d’une  main, s’appuie sur la tête du bordelais. Selon TF1, Boumsong apprécie les matches face au marocain, dont il apprécie le fair-play… Effectivement, si Chamakh se laisse faire, y’a de quoi kiffer.

But pour Bordeaux ! Jussiê, d’un appel vers le côté gauche, ouvre l’espace à Trémoulinas et lui glisse le ballon entre les jambes de Réveillère. Le centre de Mowgli, d’abord dévié par Plasil voulant tacler dans le but, arrive dans les pieds de Chamakh qui pousse le ballon au fond malgré la présence de Cissokho, qui vit un de ces soirs où tout ne va pas pour le mieux, où tout part en couille, tout soûle… Mi-temps, dans une belle ambiance.

Liza-rockeur, blouson de cuir marron, est la touche sexy choisie par TF1, au milieu d’un Jeanpierre grisonnant et d’un Larqué au physique déjà ingrat, qui, il faut bien le dire, était déjà plus très frais en 1982. Bref, le Lizarazu nous explique que Bordeaux, avec Planus et Diarra, c’est quand même mieux… Pour Jeanpierre, à l’enthousiasme enfantin, la seconde mi-temps s’annonce « énormissime ». C’est décidément son mot préféré.

46e min : Dès la reprise, Gomis résiste à un Planus qui sur l’action ressemble tout de suite plus à Julien Rodriguez, élimine un Carrasso sorti cueillir des trèfles , mais qui a raison de laisser le lyonnais tirer : il ne peut redresser le ballon. Ou plutôt, il le redresse trop puisque Trémoulinas intercepte. « Oh non non non Planus ! Oh que c’est chaud » s’exclame-t-on dans la cabine.

49e min : Dans le désespoir d’obtenir une faute plutôt que rendre une touche aux lyonnais, Sané, dans son duel avec Cissokho, se jette au sol et fait un « plat », semblant ne pas savoir qu’il est à 10 cm du sol.

Chamakh a « un port de tête altier » (Jeanpierre, poète). Mais qui oublie peut-être que le mot suggère l’orgueil plus que l’élégance. A moins que Jeanpierre trouve que Chamakh se la pète, vraiment… Mais pour un joueur dont on souligne l’abnégation et l’humilité, ça colle pas trop. Attention Christian, je te surveille.

Alou Diarra veut envoyer une deuxième volée mais Maxime Gattusons, vicieux à souhait, retient son pied. Le jeune lyonnais s’autorise une frappe dans les minutes suivantes. « Putain c’est pas vrai ça ! » s’exclame Puel.

Sané, peu à l’aise à droite, laisse filer toutes les passes en touche.

Cissokho fait une faute sur le jeune bordelais mais l’arbitre « ne bronche pas ». Sur le contre, Bastos frappe, et Ciani, courageux ou complètement suicidaire, dévie de la tête. « Ca peut basculer des deux côtés », affirme Lizarazu. Ca peut, ça peut…

Gourcuff élimine Gonalons sur un double-contact, mais le jeune lyonnais se laisse pas faire et attrape la jambe du bordelais. Coup-franc bordelais, à 45m excentré. Tout les grands montent, et Gourcuff met le ballon sur le seul joueur du mur. Moment de grande frustration à Chaban-Delmas et de ridicule pour Sexy_boy. Sortie d’Alou Diarra, triste, colère…

C’est au tour de Wendel de vendanger un coup-franc alors que tout le monde est monté.

Cris, sûr de son fait, couche Chamakh comme un piquet de slalom. L’assurance du défenseur lyonnais, pourtant uniquement disposé à bousculer Chamakh, ne laisse pas de place à l’idée d’un pénalty dans l’esprit de l’arbitre.

Gouffran et Bodmer sont rentrés. Bordeaux fait courir le ballon d’une aile à l’autre mais les centres sont pour le moment contrés par des lyonnais encore fringants dans le replacement défensif.

Källström percute Planus ; le coup-franc de Gourcuff plonge au point de pénalty. C’est dégagé par Bodmer. « Bien joué Bodmer ! » s’exclame Larqué. On voit sur le ralenti que le dégagement du lyonnais est à l’opposé du geste qu’il voulait réaliser, et que ce geste réussi était donc plus aléatoire qu’un contrôle en pleine course de Djibril Cissé. Sur le corner bordelais, Sané en bout de course au second poteau pique une tête mais elle n’est pas cadrée. Le bordelais convulse à terre et serre les poings de rage.

Lyon veut conserver le ballon. Chalmé n’apprécie pas et charge Pjanic. Le bosniaque obtient une touche mais prend un coup sur la lèvre et interpelle son adversaire, reparti se placer : « Hey Chalmé ! ». Pas de réponse…

87e min : Tête du champignon Wendel sur lequel un centre de Chalmé vient s’écraser. Lloris, avec beaucoup de hauteur de précision, claque le ballon hors de son but. La vesse-de-loup fulmine. Eloges (méritées) pour « Hugues Oloris » (Jeanpierre). « Ex-cep-tion-nel ! »

Jeanpierre, qui porte regard original sur les choses ce soir, affirme : « 3 minutes, c’est 200 secondes quoi ». Veut-il dire que c’est beaucoup ou pas assez…? Et d’ailleurs, c’est 180 secondes, Christian. Alors pourquoi cette affirmation ? Mystère…

Les derniers centres bordelais sont captés par un Lloris imperturbable. La conservation de balle de Delgado est diabolique : le milieu lyonnais tient tête à trois bordelais déchaînés. Obtenant une touche, l’argentin adresse un sourire aux tribunes, mélange de fierté et de satisfaction. Cette dernière possession lyonnaise signifie que la qualif’ est dans la poche.

Jeanpierre nous annonce que ce sera probablement le dernier match de Chamakh en Ligue des Champions avec Bordeaux, une stat dont je me fous comme de ma première chaussette… et je ne pense pas être le seul. Laurent Blanc, probablement très déçu, se relâche complètement et commence toutes ses phrases par « Je crois que bon… ». Il faudra que quelqu’un se dévoue pour lui dire.

Lloris n’a pas de lèvres et n’enlève jamais ses gants même en interview. On le sait parce qu’il a tendance à se gratter les joues et les oreilles. Hugues Oloris montre une humilité et un respect pour l’adversaire qui lui valent de nouveaux compliments de la part des commentateurs. Le ciel est désormais noir, et Obispo, les yeux dans le vague, est effondré. Il ne verra pas ses protégés se venger du Bayern Munich en demi-finale ; c’est triste. Mais Pascal, c’est ça être fan…

23 thoughts on “Le stagiaire live a regardé Bordeaux-Lyon

  1. C’est malin ça, à chaque fois que je regarde Trémoulinas, je repense à ta phrase lors de la finale de la Coupe de la Ligue

    « Nouveau tampon de sur Trémoulinas (vraiment trop mignon ce petit enfant indonésien avec son petit air triste). On espère qu’Angelina Jolie regardait le match ce soir et fera un geste. »

    Il m’inspire de la compassion, c’est incroyable !

    Très beau résumé complet, j’aime bien noté les erreurs de CJP et je les ai toutes revues ici !

  2. « Occasion lyonnaise ! Sur un centre de Trémoulinas, Chamakh remporte son duel avec Boumsong et frappe du gauche. Il est sanctionné d’une main. Le ralenti montre en réalité que les deux joueurs ont fait main. Lizarazu tranche pourtant : il y a main de Chamakh. »

    –> c’est pas une occasion bordelaise plutôt ? Y a pas un adulte pour relire le pti jeune ?

    Y a un truc qui m’a presque choqué : Larqué et Liza ont pas arrêté d’utiliser l’adjectif « intelligent ». J’ai pas fait les comptes, mais en très peu de temps, ils l’ont cassé 7 ou 8 fois…

    Concernant les 3 minutes d’arrêts de jeu et les 200 secondes restantes, je pense que CJP a englobé les dernières secondes réglementaires dans les 200 secondes. Il faudrait le ralenti pour voir si le calcul est juste. Bertrand Renard serait sur le coup.

  3. « Sur un coup-franc de Macaulay Källström, Gourcuff prend le ballon dans le bide. Larqué aussi vise le bide en piquant la vanne préférée de Lizarazu, occasionnellement consultant muscu’, sur les 3000 abdos de Cristiano Ronaldo… »

    J’ai vu une bastos de….??

  4. … et personne non plus sur sexy_boy_33 et son regard vertical sur ses chaussures au moment du coup de sifflet final? ca m’avait tout l’air d’une reflexion profonde:

    « alors 3-1 a l’aller, 1-0 au retour, attends, on est qualifié ou pas? attends, j’ai un doute avec cette histoire du but a l’exterieur… ah non merde »

  5. Excellent : Cissokhaux.

    Sinon y en a marre de parler encore des maillots jaunes fluo de l’année dernière !

    Quid de ceux du Barça et des oranges fluo ou pulls jacquart de l’OM ?

  6. « Premier centre de Trémoulinas qui maîtrise drôlement bien ces ballons. Normal, c’est lui qui les a cousus à la main. Le ballon lui obéit. »

    t’es vraiment un sale gosse occidental meprisant… mais c’est ça qui est bon.

  7. Et rien sur Jean-Mimi qui nous fait sa version personnelle de si ma tante en avait on l’appelerait mon oncle?
    Ben oui, je vous rappelle qu’il a quand même dit « Si j’étais supporter lyonnais, enfin, si je voulais que Lyon gagne, (sic!) je ne serai pas rassuré par cette équipe lyonnaise qui n’attaque pas! ».
    Ou comment casser un peu plus une équipe qu’on ne peut pas blairer et qu’on dénigre à longueur de commentaire.

  8. Par ailleurs, je plussoie (nouveau mot) Jack Nicholson, c’est Stosseba qui défonce l’abdomen de sexy-boy-33.

  9. Si. « Hughes Oloris » (Larqué) a des lèvres.

    C’est juste qu’il veut pas qu’on les voit et qu’il les serre tout le temps, peut-être parce qu’il n’aime pas (il aurait tort, le chouchou) montrer son sourire à l’écran. Comme l’histoire des gants, ça aussi on le sait parce qu’on entend toutes les trois phrases, sa respiration à travers sa bouche qui veut pas s’ouvrir.

    Sinon, Stagiaire Live adoré, j’aurais bien aimé que tu rappelles aux excités et excitées dont je fais partie, à quel point ce même « Ugoyoris » (Lizarazu) a encore été moyen sur ses dégagements, hier soir. Notamment quand il a remis sur les tresses de Gomis pas super bien et par trois fois, si ma mémoire est bonne.

  10. C’est vrai qu’il est assez maladroit au pied… je l’avais dit au match aller mais c’était moins notable cette fois-ci.
    S’il pouvait avoir le jeu au pied de Mandanda…

  11. Hugo Lloris est tellement mauvais sur le jeu au pied que même Toulalan se fout de sa gueule pour ça, c’est dire…

  12. J’espère que t’as eu ta ration de fraises Tagada et de smoothies framboise-coco gamin, tu m’as fait monter le palpitant, comme à chacune de tes chroniques. Galopin, va.

  13. @Pascal : Cissokho + intervaux (Ils ont pris les intervalles, euuuu… les intervaux » Cissokho )

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