Salut à tous !

37è et avant-dernière journée de Premier League à Old Trafford, nos rouges diablesses de Manchester United recevaient les Gunners de Tonton Arsène afin de rétablir l’équilibre précaire entre forces du mal et du bien sur terre dimanche à 17h.

Ce match comptait comme seul véritable enjeu de laver l’affront qui nous avait été fait lors de la dernière confrontation entre les deux équipes chez nous. C’était en Cup, et pour rappel, Arsenal avait remporté la victoire grâce à un but du paria Danny Welbeck, bien aidé il est vrai par une passe décisive exquise de Valencia, qui n’avait pas remarqué que son partenaire ne jouait plus en rouge (enfin, pas avec le bon rouge sur le dos, là il est passé d’un beau rouge Chevrolet tout à fait bling-bling, dans l’air du temps, à un rouge Puma terne et livide, sans joie, pété.)

Chez les plus optimistes, il était aussi de bon ton de croire encore à la troisième place du classement en cas de victoire, place faut-il le rappeler, qui permet la qualification automatique en Ligue des Champions. Alors, à ceux qui regardent Manchester United de manière trop exclusive (ou la ligue 1) et qui ne savent plus vraiment de quoi il s’agit, je rappelle que la Ligue des Champions est une compétition organisée tous les ans, au sein de laquelle les clubs champions de tous les pays européens sont invités à se battre afin d’augmenter le prestige et la reconnaissance internationale du FC Barcelone et du Real Madrid. À l’échelle domestique, cette compétition n’a donc pour unique fonction que de faire oublier à des pécors crevant la dalle que dans le compte en banque de vingt deux gugusses, il y a assez pour faire vivre la moitié des provinces du pays pendant douze ans. À l’échelle internationale, sa fonction est plus simple : faire croire à d’autres clubs -mêmes riches- que le football se joue et se gagne selon une égalité de principe contre des équipes dont l’une est interdite de recrutement mais qui se paye un joueur à 100 millions par an, et l’autre n’achète que des attaquants, de préférence les meilleurs aussi, malgré une dette qui pousserait un banquier Athénien à se dire que la Grèce est en fait un pays de Cocagne.

Nous avons donc grand espoir de la remporter la saison prochaine, et c’est pour ça qu’on a acheté des joueurs dans le style de DiMaria ou Marcos Rojo : faut que ça cause espagnol, didiou !

Mais revenons-en à nos moutons de Panurge. Pour bon nombre des disciples de la Van Gaalerie, la saison est d’ores et déjà terminée. Parmi eux, Michael Carrick, Wayne Rooney, Luke Shaw, Rafael (saison terminée depuis deux saisons), Angel Di Maria, Robin Van Persie. Rien. Que. Ça.

C’est pourquoi on se dépêche d’en inviter plein d’autres en ce moment, afin de remplacer certains d’entre eux qui sont très bien pourtant, et pas du tout blessés. Pour cela, comme Manchester United est un club sans grande visibilité, et qui n’attise pas du tout la vénalité de gens aussi avides de pognons et peu scrupuleux que, tiens, au hasard…des joueurs de foot (et leurs agents véreux, eux aussi convoitant le moindre pécule pouvant leur revenir dans les fouilles sous forme de commission) en clamant haut et fort qu’ils ont la bagatelle de 200 (deux cents) millions de brouzoufs à claquer cet été (!), un allier de poids s’empresse de venir proposer son aide : la presse footballistique. Aaaah, qu’il est doux de voir associer à son club de cœur les noms les plus ronflants d’Europe et d’Amérique du Sud pendant toute la saison. Qu’il est mignon de lire des articles commençant par « comme nous vous l’annoncions dès le mois de mars… » sur des sites comme Footmercato (alors que la signature de Dimitri Payet ne pouvait pas ne pas avoir été annoncée par ces blaireaux, puisque tels des Pierre Ménès pour l’équipe de France, ils ont annoncé TOUS les joueurs qui ont marqué plus de 5 buts/et ou donné 6 passes décisives dans la saison chez nous. Même en défense, ils les ont annoncé. Même dans nos cages.)…Qu’il est agréable de recevoir des textos annonçant la signature de Gundogan dès le mois d’avril, pour apprendre deux jours plus tard que non, en fait, peau de zob.

Le monde du football a beau être étrange, et surtout, il a beau donner une impression persistante et tout à fait surprenante d’amateurisme la plupart du temps, rien ne vaut la presse qui s’est donné pour mission de l’entourer.

Je reviendrai peut-être sur ces simagrées mercantiles lors d’un prochain point sur les transferts, ou lors du bilan de fin de saison (qui ne vaudra rien à côté de celui de Teenage kicks, évidemment). Pour autant, ne comptez pas sur moi pour rester neutre : même le service transferts d’horsjeu.net en prendra pour son grade.

Mais revenons en une bonne fois pour toute à nos rouges diablesses, et avant de dresser le moindre bilan, consacrons nous à ce match sans vrai enjeu.

COMPOSITION

Voilà, le (c) à côté de Smalling signifie « charrette », bien évidemment.

En l’absence de Rooney, c’est bien ce qui avait été entrevu la dernière fois lors de la sortie prématurée de l’attaquant qui se réalise : Smalling a donc été promu vice-capitaine de Manchester United, oui, c’est confirmé. Après Cantona, Beckham, Giggs, Ferdinand, Vidic, Evra, Rooney, on a donc le grand Chris avec le brassard au bras. Je commence à saisir un peu mieux les discours enragés des fans hardcore qui ne cessent de hurler à qui veut l’entendre que notre club de cœur a perdu son âme…

Toujours est-il que le Roo est remplacé par Falcao au pied levé, et que cela s’apparente de très près à une dernière chance de se montrer avant rapatriement chez les Grimaldi pour le Colombien.

Pour le reste, c’est du classique.

LE MATCH

En première mi-temps, Manchester dégage une impression de maitrise assez confortable, sans dominer de manière outrancière non plus. Encore et toujours le même problème : la possession est nôtre, la récupération n’est pas vraiment haute (le gegenpressing n’a pas l’air d’être la tasse de thé de VG), le jeu passe surtout par les côtés.

Stéréotypé, le jeu de MU ? Pas vraiment, mais nos diablesses manquent de vitesse d’exécution dans les phases de combinaison, tout autant qu’elles ne sont pas efficaces à la conclusion.

Chaque côté a ses lacunes, et ses qualités : à gauche, Young est les deux à la fois. Alors qu’il est capable d’éliminer et de faire passer un sale après-midi à un mec encensé de toutes parts comme Bellerin (le pauvre a vraiment pris cher – ce petit pont à la 32è, ça va ta dignité ?), Ashley est très agaçant quand il privilégie systématiquement la solution individuelle alors que son latéral lui passe derrière le dos et qu’un centre sans opposition paraissait possible. Quand c’est Rojo et sa précision d’outre à Tequila, je ne dis pas, mais quand c’est Blind et son toucher de velours ou Shaw, qui ne demande qu’à bien faire, c’est énervant. À côté de ça, Ashley nous fait quand même une sacrée fin de saison : la qualité d’un vrai impact player, donc (denrée rare depuis quelques temps à Old Trafford), mais aussi une qualité de centre retrouvée (passeur décisif sur le but de la Herrera), ainsi qu’une frappe pas dégueulasse font de lui un de nos meilleurs joueurs du moment. Par ailleurs, son coffre lui permet de procéder à de salvateurs mouvements défensifs (retour et tacle superbe à la 13è), ce qui explique surement pourquoi Di Maria et Januzaj jouent à celui qui fait le plus briller son siège avec son cul depuis un certain temps. Oui Luke, je sais, c’est difficile à admettre.

À droite, le problème est plus collectif : si le triangle hispanophone Mata Herrera Valencia (pas d’acronyme, Comité, promis) sait cumuler de très belles séquences, il perd en efficacité dès que la connexion est rompue, surtout entre les deux premiers. Ayant compris que Valencia ne sert qu’à balancer des ballons au troisième poteau quand il est en position de centre, Van Gaal paraît avoir demandé à l’Équatorien de rester en couverture et de n’apporter le surnombre que dans le rôle d’un soutien pour que les deux autres puissent faire les foufous et lancer Mata dans l’axe. Bon, ça marche plutôt bien, mais le petit Juan manque d’un appui solide lorsqu’il arrive aux abords de la surface, et il est donc assez rare qu’il parvienne à combiner et se mettre en position de frappe. Au moins, son activité attire l’attention des défenses, et permet à Herrera de bénéficier de pas mal d’espace, comme sur son but à la 30è : Ander est absolument seul dans la surface sur le centre de Young, tout le monde suivant la touffe de Fellaini, bien sur, mais surtout, Mata multipliant les fausses pistes pour mettre Monreal dans le vent, et ce avec succès. Hop, 1-0.

Dans l’axe, Falcao n’a pas grand chose à se mettre sous la dent et descend assez bas pour toucher des ballons, mais même ça, il ne le fait pas très bien. En cause, des glissades à répétition, qui me laissent penser que ce bougre n’est pas foutu d’avoir chaussé les bons crampons, alors que ses chances d’être conservé sont déjà réduite à quantités négligeables depuis pas mal de temps. Sans gloire, il traversera la première période avec une seule frappe à son actif, détournée par Ospina.

Au milieu, ça tapine plutôt correctement, en revanche. Si Fellaini joue toujours les cases verticales aux mots croisés, c’est surtout dans l’horizontalité qu’on retrouve Blind, et ça marche bien. Les allers-retours incessants du Belge et du Hollandais perturbent la fluidité habituelle du jeu gunner, la défense est délestée de la charge de la relance, et nos attaques peuvent partir d’assez bas. J’attendais beaucoup de voir comment la hype Coquelin allait se comporter sur ce match, j’ai surtout vu un boucher sacrificateur à la ramasse, infoutu de résister à l’impact physique de Fellaini, systématiquement en retard et pour couronner le tout, mauvais esprit. Belle trouvaille, Père Fid’.

Dans l’axe de la défense, le constat est toujours un peu le même : on a beau avoir de la qualité (Smalling dans la lecture du jeu, Jones aux duels), ça ne respire toujours pas la sérénité. Chris arbore néanmoins avec les honneurs son brassard, et confirme ses progrès de fin de saison, un peu comme l’année dernière. De son côté, Jones fait étalage de tout son panel : prêt à se damner dans l’effort et à sombrer dans les arcanes du ridicule le plus crasse, il se paye une imitation de John Terry pour enlever le ballon des pieds de Giroud…de la tête grâce à un plongeon digne des plus grands stage-divings des concerts de punk de Manchester (21è).

Enfin bon, lui, contrairement à John,  il touche la balle, au moins…

Puis après ce coup d’éclat, le Philou manque filer une crise cardiaque à 76 000 personnes (et plus en content les streamo-spectateurs) en lançant une passe en retrait aveugle à De Gea sans s’être rendu compte que ce dernier était monté contrer l’attaquant gunner qui lui mettait la pression. L’accident bête est évité de justesse grâce aux réflexes de félin de notre David, mais putain que c’était chaud (27è). En tout cas, il a éteint Giroud le beau gosse tout le match, et ça, rien que pour voir ce que Thierry Henry va en dire ensuite, ça n’a pas de prix.

En seconde période, les Gunnars semblent bien décidés à effacer une stat qui fait un peu tache : ils n’ont pas tiré une seule fois en première mi-temps !

Après quelques nouvelles percées de Mata et un Falcao plus combatif qu’en première qui parvient enfin à garder le ballon plus de 7 secondes, Alexis Sanchez gratifie donc les supporters les plus riches d’Angleterre (du monde ?) d’une superbe mitasse du gauche qui fait lever un sourcil à Valencia. Tiens ? Un des gars d’en face aurait donc lui aussi une capacité approchant les 2000 méga tonnes de pression dans les jambes ? Et la précision qui va avec ? Intéressant (50è).

On rigole on rigole, mais pendant ce temps là, Arsenal a réellement pris le jeu à son compte, et commence à se créer de plus en plus d’occasions. Quel prétexte n’est-ce pas là pour notre David de commencer à se montrer à son avantage, lui qui n’avait strictement rien fichu de toute la première période. Il commence donc par retirer un ballon du genou devant Giroud, qui était parti dans le dos de la défense (60è), puis il nous gratifie d’une chose moins habituelle (chez un gardien humain, tout au moins) : une relance de 60 mètres à la main dans la course de Young (63è). Ok. Quelqu’un peut lui signer un chèque d’un milliard d’euros tout de suite pour qu’il reste, s’il vous plait ?

À partir de la 70è, une frayeur vient toutefois nous rappeler que De Gea n’est qu’un demi dieu, et pas encore une divinité à part entière. Il faut donc l’intervention de Rojo pour retirer ce ballon brulant à Ramsey, qui était parvenu à lober notre gardien et s’apprêtait à marquer. L’instant d’après, Walcott et Wilshere entrent, et nos ennuis commencent.

Il y en avait au moins un qui ne s’était pas blessé en cours de match cette saison, c’était lui. Celui dont je parle depuis quelques lignes sur un ton légèrement révérencieux, oui. Voilà qui est fait : notre bon David sort en se tenant la jambe ou je ne sais quoi, il a mal, il souffre, il ne peut pas continuer. Putain. Dans toute autre situation j’aurais plutôt vu d’un bon œil l’entrée de l’auguste Victor Valdès à sa place, mais là, ça ressemblait vraiment trop à des adieux à Old Trafford pour que je n’aie pas envie de pleurer. Oui, un pimp pleure, parfois.

À peine la pilule commence-t-elle à être avalée que les Gunners marquent, avec un peu de chatte, il faut bien le dire : à la réception d’une (superbe) transversale de Monreal (?), Walcott commence son numéro de danseuse du ventre surcotée face au massif Tyler Blackett, entré quelques instants plus tôt en remplacement d’un Rojo surcramé. Et nul, faut-il le préciser. Le nabot ne remporte qu’à moitié son duel, mais cela suffit pour que sa frappe parte dans la bonne direction, et selon le théorème toujours vérifié du « pour toute frappe d’un attaquant surcoté face à un de nos défenseur, si talentueux et prometteur soit-il, il existe un coefficient de réussite du tir tel que plus ledit tir est insignifiant et contré, plus il possède de chances de rentrer », cela fait 1-1.

Ceci fait, les Gunners poussent au moins jusqu’à la 84è minute, et nous procurent quelques sueurs froides avec cette dernière attaque de Giroud qui me fait constater a posteriori l’existence d’une large flaque d’huile sous mon siège. Van Persie balance une reprise surpuissante au-dessus, ayant décidé qu’il en était assez d’humilier ainsi son ancien club depuis plusieurs saisons déjà, puis les deux équipes décident d’un commun accord d’en rester là, et se contentent de jouer à la baballe durant les 6-7 minutes qui restent.

Le statu quo (la situation initiale, pas le groupe naze) est donc préservé : Arsenal se qualifie pour la LDC directos, et nous serons forcés d’affronter une équipe chiante en pré-saison lors d’un match de barrage pour participer à la phase de poule.

LES NOTES

De Gea : 5/5 Il nous a offert ses coups d’éclats spectaculaires habituels avant de devoir sortir sur blessure, peut-être pour toujours. Un vrai crève-cœur. Remplacé par Valdès (73è)

Valencia : 3/5 Intéressant surtout en première mi-temps, mais a montré à quel point il était limité tactiquement lorsqu’il est parti à l’abordage en seconde période, alors que les Gunners guettaient le contre de son côté.

Smalling : 4/5 Très bon match de notre cap…capi…purée j’ai encore du mal à l’écrire. Chris n’a pas démérité et a parfaitement supporté le poids du brassard de cap…bordel, impossible. Je vais essayer en acrostiche : CApable du meilleur comme du PIre, TAnt INtransigeant que présent physiquement, il a réalisé un Excellent match. Ala.

Jones : 3/5 À la fois hilarant et super flippant dans ses interventions. C’est un peu le Jim Carrey de notre défense, en fait. À sa décharge, il a tout de même dominé Giroud presque tout le match, ce qui n’est en soi pas négligeable. Quoi, je me répète ?

Rojo : 2/5 Inesthétique, bête et brutal, Marcos n’a pas fait grand chose pour remonter sa cote aujourd’hui. Si en plus il n’a pas le coffre pour survivre tout un match, j’aimerais savoir : où est le guerrier qu’on nous a vendu en début de saison ? Remplacé par Blackett (73è).

Herrera : 4/5 Encore un excellent match de l’Espagnol, qui s’épanouit vraiment lorsqu’il est au plus proche de Mata. Son but est magnifique, ce qui lui vaut + 1 sur la note. Son emprise au pressing a toutefois un peu baissé en fin de match, moment à partir duquel nos adversaires ont commencé à relever la tête. Coïncidence ? Je ne crois pas.

Blind : 3/5 Décrié ces derniers temps au poste de sentinelle, Daley a bien relevé la tête, et a montré qu’avec un milieu solidaire, il n’avait pas grand chose à envier à son illustre modèle.

Fellaini : 3/5 Plus présent à la récupération qu’en attaque, il a grandement contribué à éteindre le milieu de terrain mobile, technique et rapide d’Arsenal. On l’a un peu moins vu devant, du coup. Dommage.

Mata : 3/5 Juan manque cruellement d’un double maléfique en attaque, un Diego Costa ou un Manuel Vals sans pitié qui bonifierait tout son talent et le transformerait le cas échéant en une-deux/petit-pont/roulette/but. En attendant, il se démène et fait de très bonnes choses, mais ça reste souvent en pure perte…

Young : 4/5 Encore une activité débordante pour Ashley, comme décrit plus haut. Aussi fou que cela puisse paraître, le mec a tout de même envoyé DiMaria sur le banc, et attend Depay de pied ferme.

Falcao : 2/5 Bye bye Rada. Remplacé par Van Persie (61è)

SUBS

Van Persie : 1/5 N’a rien fait, alors qu’il avait au moins l’occasion de faire chier Tonton.

Blackett : NN Entré pour rafraîchir notre côté gauche, il n’aura que partiellement réussi sa mission face à Walcott. Rojo l’aurait découpé, Tyler a décidé de le contenir. Et puis le théorème a fait son office…

Valdes : NN Je suis bien content pour lui qu’il ait joué ses premières minutes, moins que ce soit dans ces conditions.

 

Bobby Carlton

2 thoughts on “Manchester United-Arsenal (1-1) La raide et vile academy livre ses notes

  1. Un truc quand même c’est que vous resté plein de thunes avec en plus les droits TV…C’est bien, mais vous savez ce que vous allez récupérer?
    car cette saison Falcao, Herrera, Blind et Di Maria c’est du lourd mais si c’est pour en virer 2/4 au bout d’un an, c’est presque repartir de 0 non?

  2. Ben en fait je pense que les achats seront un peu plus ciblés cet été, et moins « premier jour de soldes à Printemps » que lors du dernier marché.

    Après, si le départ de Falcao est déjà acté, rien ne dit que les trois autres que tu cites partiront. Même Di Maria, malgré ce qu’avance la presse française de qualité (qui se prend pour la cellule de recrutement du PSG)…

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