Pogba-Griezmann, le vrai poème.
C’est avec des mots très compliqués
En octobre passé, nul ne te connaissait,
Pourtant un feu en toi naissait,
Bientôt l’heure arrivait d’enfin le mettre aux poudres.
En novembre déjà, sur le pré tu brillais,
Tu t’immisçais par des œillets
Avant de transpercer les gardiens de tes foudres !
Noël se rapprochant, sans cesse tu marquais
Des buts valant trois points : acquêts
Qui étaient pour ton club de bien belles étrennes !
En janvier, tous avaient les yeux rivés sur toi :
Tu provoquais partout l’émoi
Quand tu dictais ta loi d’arènes en arènes.
En février, l’Espagne entière connaissait
Ton talent qui étourdissait
Tous les témoins massés au stade le dimanche ;
Quand le printemps poignit, visant le Mondial,
Tu lorgnais des Bleus l’arsenal :
Sur tes imprécateurs tu prenais ta revanche !
En avril, les espoirs ont été confirmés,
Tes exploits nous avaient charmés.
La France présageait un glorieux baptême,
Et c’est ainsi qu’en mai, elle te fit jouer ;
Alors, n’ayant pas déjoué,
Tu pus être des Bleus le chanceux vingt-troisième.
Vos beaux succès, en juin, firent longtemps rêver,
L’affront de Knysna fut lavé ;
Heureux peuple français que tes matchs solacient !
En juillet on comprit, en contemplant ton pleur,
Qu’un grand footballeur a du cœur ;
Et pour cela Griezmann, les Bleus te remercient !
Votre poétesse, Delphine
Je comprends pas l’idée là
Pogba avait écrit un poème pour Griezmann après le Mondial. J’ai simplement repris le fond en adaptant la forme au style classique.
Vas-y Delpine, tu déchires
J’ai connaissance du poème de Pogba, mais ce que je ne comprends pas, c’est que je ne vois pas où est la déconne dans ce poème. Du coup, je ne saisis pas l’idée du concept en fait
C’est classe ! On dirait la renommée qui nous parle. Ca change des gros mots.
Et j’adore le nichons de la joueuse de flutine.
Février mars avril
Tous seuls sur une île
Amour
Fragile