Sara Carbonero peut se rhabiller
Mais qu’est-ce qui nous arrive…
Le journalisme d’investigation équatorien va au fond des choses, en témoignent ces images de cette journaliste ne demandant rien d’autre qu’un autographanal à ce joueur de football franchement gêné. Sans doute la pression du public. Une bien belle leçon pour ses collaboratrices européennes.
1/ Paganelli a encore du boulot
2/ N’est pas Isabelle Moreau qui veut
3/ Rhinit, on t’a vu derrière le cul de la demoiselle.
4/ C’est pas un pute, elle porte quand même un string. Elle aurait pu ne rien porter du tout.
5/ Elle a son étiquette qui dépasse dans le dos, franchement, ça fait grosse tâche.
6/ Le journalisme sportif a de beaux jours devant lui.
Encore un Pedretti, je vois pas d’autre explication.
Chulo l’aurait amener dans le vestiaire pour signer avec ses copaings en bon capitaine qu’il est :)
ah la garse!! désolé c’est sorti tout seul…
Ibra likes her sister.
Un bon coup de stylo et de l’encre plein la tronche pour finir.
Porqué ?
C’était quoi son école de journanalisme ?
Maintenant je sais quoi répondre à la seconde question du questionnaire proustballe.
Elle est plate comme un lac > éliminatoire
je lui boufferais bien le cul, ou volontiers déja pour commencer.
Moké, +1.
c’est normal que les 2 protagonistes bombent le torse?
Et le leger grattage de gesticule à la 19eme secondes
Ce cul mérite du respect, ainsi qu’une bonne petite fessée.
C’est un trav’…
Il fut un temps pas si lointain elle n’aurait jamais osé faire ça.
Avec un vestiaire reiziger cocu kluivert pitu abelardo, elle fini la journée en rampant la grande…
en tout cas, elle sait comment se mettre les supporters dans la poche !
et le gars en blanc derrière il est vraiment glauque
Sans haine aucune, elle est pas loin de mériter un stage de rééducation au Pakistan…
La pudeur est sauve : elle eu moins ne couche pas avec les joueurs pour obtenir une interview exclusive.
Et ce con de cameraman qui lui filme le dos au moment où elle fait péter le …
J’aime bien le photographe, placé en embusacde juste derrière la nana, attent le moment fatidique pour shooter en rafale le cul de la demoiselle pas farouche. Du journalisme d’investigation impeccable.
Et merci au cameraman qui trouve le moyen de zoomer sur sa nuque au moment le plus intéressant, du travail de pro