OM-Lorient (3-5), La Canebière Académie se saborde

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Gignac 1/5 : A eu du mal à se situer y compris dans l’académie

Aioli les sapiens,

Alors, on va poser les choses tout de suite : dans la vie, il y a deux sortes de personnes, ceux qui veulent voir Bielsa rester et ceux qui ne veulent pas. Moi, je le veux.

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Il y a quelques semaines, les arbitres nous ont collé un extenseur dans le fion, on ne va pas y revenir. Non seulement on ne l’a toujours pas extirpé, mais en outre on lui donne un tour supplémentaire à chaque match, jusqu’à avoir l’anus comme la Porte d’Aix sans que les hommes en jaune n’y soient plus pour grand-chose. Notre nullité générale depuis quelques rencontres, l’entraîneur y a sa part de responsabilité, comme les autres, on y reviendra.

Pour autant, n’espère pas me voir rejoindre la cohorte des retourneurs de vestes professionnels ou, pire, ceux à qui la présence de l’Argentin a donné un ulcère rectal depuis son arrivée et qui sont aujourd’hui trop heureux d’emplir de leur bile les colonnes de ce qui se voudrait être le journal de référence. Oui, sous Baup, on avait fini deuxièmes : est-ce que tu veux vraiment revivre cette saison chiantissime, à l’issue aussi miraculeuse que notre saison présente est malchanceuse ?

Bien sûr, le rôle de l’entraîneur est aussi d’emporter l’adhésion de son groupe, de le mobiliser pour qu’il donne le meilleur de lui-même. Puisque nos joueurs se comportent désormais comme un ramassis de viers marins frits, on doit bien reconnaître l’échec de Bielsa dans cette dimension. Dans d’autres circonstances, j’aurais considéré que, ne parvenant plus à être suivi, l’entraîneur doit partir pour permettre à l’équipe d’entamer un nouveau cycle.

Sauf que.

Sauf que je ne veux pas entendre un seul de ces encatanés pleurer sur la méthode Bielsa. OH BANDES DE FIFRES ! Rappelez-vous, quand vous avez fait sauter Elie Baup, ce navet à casquette qui ferait passer Laurent Blanc pour un modèle de finesse et de classe. Rappelez-vous, quand vous étiez sous les ordres de José Anigo, cette anomalie qui dirige une équipe de football comme Max Pécas dirige un plateau de cinéma. Vous aviez des incompétents et vous étiez nuls. ET MAINTENANT ON VOUS OFFRE UNE LEGENDE VIVANTE, ET VOUS VOUS METTEZ A JOUER COMME DES MERDES AU PREMIER VENT CONTRAIRE ? MAIS VOUS VOUS PRENEZ POUR QUI BANDE DE PLEUREUSES ? Baupanigo n’étaient pas bons, et maintenant Bielsa serait trop exigeant pour vous tas de chochottes ? IL VOUS FAUT QUI ALORS, BORDEL ? MERE TERESA ? GOLDORAK ? BERNARD-HENRI LEVY ?

Alors oui, Bielsa partira peut-être, oui son entêtement est sans doute inadapté à des joueurs qui depuis deux ans au moins montrent qu’en dépit de leur qualité ou de leur potentiel, ils ne sont pas prêts à fournir les efforts qu’exige le très haut niveau. Que les circonstances soient favorables, et cette équipe marche sur l’eau ; qu’elles soient contraires, et les joueurs se sabordent au lieu de lutter. Alors oui, avec l’effectif tel qu’il est, obtenir des résultats imposerait de renoncer à beaucoup d’ambitions en matière de jeu offensif. Cela imposerait se concentrer sur des fondamentaux censés être acquis depuis longtemps, mais en réalité oubliés plus rapidement qu’une promesse de campagne socialiste. Cela ne serait pas forcément possible avec Bielsa, du moins si l’effectif ne progresse pas : soit par une prise de conscience des joueurs actuels, soit par des apports judicieux (ce qui est le contraire de gonfler le melon d’apprentis-champions à coups de recrutements surévalués).

Mais penses-en ce que tu veux, personnellement j’ai pas choisi d’aimer le football, et a fortiori l’OM, pour choper des deuxièmes places à coups de 1-0 pourris en ayant l’impression de passer toute la saison devant un spectacle aussi chiant qu’un énième film sur les déboires sentimentaux du trentenaire parisien. La qualité de nos joueurs et les efforts qu’ils produisent ne les autorisent pas à se rêver en tant que champions : le génie de Bielsa, c’est de nous l’avoir pourtant fait croire.

Et si la suite veut que l’on remercie Bielsa ou qu’il décide de lui-même de partir, puisse en tout cas l’OM continuer à construire sur son héritage.

Pour illustrer mon propos, par exemple, ça c’est non. Non, non, non et non. NON.

 [MàJ – cette académie a été écrite avant la sortie anale de Pascal Dupraz et les éditos bengoussesques de La Provence. Il y aurait beaucoup à en dire, mais c’est déjà assez long comme ça]

L’équipe

Pour tenter d’y voir plus clair dans ce bordel, je te mets l’évolution du score parallèlement à l’évolution de la composition d’équipe.

En l’absence de Mendy, Bielsa ne se risque pas à replacer Morel à un poste d’arrière-gauche où il avance comme une 4L au circuit du Castellet : place donc à un pari, en la personne d’André Ayew. Morel est cependant repêché dans l’axe, l’entraîneur n’ayant apparemment pas le même sens de l’humour que Rod Fanni, depuis le match à Nantes.

Gignac (1-/5) : Au temps pour moi, la note d’André-Pierre est partie trop tôt.

Romao est également mis sur la touche, d’où il revient rapidement suite à la blessure de Djé Djédjé.

Devant, Alessandrini occupe l’aile en compagnie d’un trisomique dépressif ressemblant vaguement à un joueur que l’on a recruté pour 20 millions d’euros. Ocampos entre à la pause pour corriger l’erreur de la nature, avant que la rencontre ne sombre dans le n’importe quoi en milieu de seconde période, avec une sorte de 3-1-4-2 du plus bel effet.

Notre mise en place défensive était pourtant travaillée.

 

Le match

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Tout commence pourtant comme un match normal, c’est-à-dire une rencontre où l’OM, supérieur techniquement, défonce une équipe très bien organisée mais coupable de faiblesses criantes. A la 5e minute, un ballon récupéré au milieu envoie au but un myopathe blond évoquant de loin un jeune espoir du football français. Evidemment, sa dégénérescence musculaire congénitale l’empêche de frapper correctement. Payet envoie ensuite quelques délicieuses galettes dont l’une sur corner, aurait sans doute fait mouche si elle avait été reprise par quelqu’un d’autre que l’autiste à tumeur du tronc cérébral dont l’allure n’est pas sans similarités avec un joueur ayant laissé de bons souvenirs à Lille.

Sur la première attaque bretonne, nous avons peut-être le tort d’envoyer au duel cet enfant souffrant de la maladie des os de verre qui, sans son handicap, aurait sans doute valu 14 millions d’euros sur le marché des transferts. L’espace ouvert à Gassama lui permet de centrer pour Philippoteaux ; celui-ci remet en retrait à Jo le Sconse, dont le déplacement n’a été pris en compte ni par Morel ni par Lemina, ni par son frère. Comme il se doit, Jordan nous colle la reprise de volée que l’on a attendue de lui quasiment en vain pendant des années (0-1, 9e).

Gignac (1-/5) : Pardon, je ne suis pas assez attentif, cette note est encore hors-jeu.

Morel et Lemina continuent à égaler Michel Serrault et Ugo Tognazzi sur l’échelle de la mésentente homosexuelle comique quand, sur un coup franc concédé par Ayew, nos deux mastres se montent dessus et, sous la pression de Jo le Sconse, renvoient le ballon sur Bellugou (0-2, 14e).

Assommé, l’OM ne parvient pas à gêner le 4141 lorientais qui, s’il ne nous presse pas haut, se montre compact et explosif dès la récupération. Le mouvement est très faible et, tendance allant en s’aggravant au cours de la saison, Thauvin et Alessandrini ne semblent plus effectuer les efforts défensifs qu’ils produisaient auparavant. Cerise sur le gâteau ou plutôt glaire sur l’étron, Dja Djédjé se blesse : l’occasion de rapatrier Romao au milieu de terrain, histoire de faire ressembler ce secteur de jeu à autre chose que le bac à sable où s’ébrouait jusqu’ici Lemina.

Peu de choses se produisent jusqu’à la fin de la mi-temps, si ce n’est le traditionnel surnombre gâché par Jo le Sconse et, à l’ultime minute, un beau centre de Payet repris juste à côté par Gignac.

 

A la mi-temps, la métastase hémorroïdaire se faisant passer pour notre numéro 14 est enfin euthanasiée. Que l’on me permette ici une parenthèse dans le flot d’insultes : nous restons convaincus que ce jeune dispose d’un talent potentiel certain. Cependant, il devient urgent a minima de le prêter, tellement le climat marseillais ne semble avoir pour effet que d’emplir son cerveau d’un curieux mélange d’idées noires, de stress et de flotte boueuse. Nous rappellerons donc que, si nous nous surprenons plus qu’à notre tour à lui souhaiter d’entretenir des relations anales avec sa mère ou son chien, ces insultes s’adressent avant tout aux prestations et non à l’homme, dont nous sommes persuadés qu’il est en réalité bien moins abruti qu’il ne s’en donne l’air. Fin de la parenthèse et, donc, entrée d’Ocampos, lequel se signale rapidement en envoyant un ballon sur la tour France3 alors qu’il se trouve seul à deux mètres du but.

Il est permis de voir dans le séisme népalais une probable réplique de la causerie de Bielsa à la mi-temps ; en tout cas, nos joueurs ont enfin reçu la secousse qu’il leur fallait et perturbent bien davantage le bloc breton. Mieux épaulé par Romao, Imbula se porte enfin à l’attaque, nos duels sont enfin gagnés et les attaques se font plus perforantes. Les coups-francs s’accumulent : sur l’un d’eux, obtenu par Ayew, Payet envoie une passe délicieuse de vice qui, reprise par dégun, échoue sur le poteau. André conclut alors en talonnade et lance la folle remontée (1-2, 59e).

Gignac (1-/5) : Non, cette note n’est toujours pas en position valable. Je vais y parvenir, promis.

Quelques minutes plus tard, André obtient un nouveau coup-franc, excentré cette fois-ci : nouveau caviar de Payet, qui trouve la tête de Jérémy Morel (2-2, 66e). Alors que les tweets « j’ai toujours cru en toi Jérémy » fleurissent (pour ma part, je célèbre plus sobrement l’égalisation en me masturbant sur une photo de terre-neuve), Bielsa annule immédiatement l’entrée en jeu prévue de Batshuayi.

Facétieux, nos défenseurs ne laissent guère le temps à Michy de poser son boule sur le banc. Une relance #JeSuisFanni de Nkoulou pour Ocampos offre la balle à Philippoteaux. Celui-ci circule entre le Camerounais, Lemina et Morel comme son quasi-homonyme navigue entre BFM et I-Télé, c’est-à-dire en bénéficiant d’une bienveillance à la limite de la prestation sexuelle tarifée (traduire : il en fait ses putes). Malgré un plongeon très décoratif, Mandanda n’empêche pas sa frappe croisée de réussir (2-3, 68e).

Puisque le match part en couilles, autant y aller jusqu’au bout : El Loco fait donc entrer Batshuayi à la place de Lemina. La défense passe à trois, Imbula se démerde seul au milieu et quatre joueurs à vocation offensive se chargent d’alimenter André-Pierre et Michy.

Gignac (1-/5) : Cette note est hors-jeu. De peu.

A un quart d’heure de la fin, le posage de couilles évolue en miracle : une ouverture de 40 mètres de Romao surprend une déf… pardon, je la refais, l’événement mérite les capitales : UNE OUVERTURE DE QUARANTE METRES D’ALAIXYS ROMAO surprend une défense mal alignée, Michy n’ayant alors aucun mal à tromper Lecomte de la tête (3-3, 76e).

Evidemment, une fois l’égalisation acquise, il ne saurait être question de gérer la rencontre. De toute façon, nous n’y arrivons pas avec un bloc équipe posé : alors, avec ce schéma à la one again, prétendre maîtriser quoi que ce soit équivaut à négocier un prêt en se rendant à la banque la bite à l’air tout en portant des pinces à tétons Hello Kitty.

Tout à l’attaque, donc, pour ce dernier quart d’heure : si Payet continue à régaler, la construction est forcément plus aléatoire. Cela nous oblige également à négocier des contres, tel celui qui envoie Jo le Sconse sur notre côté droit dégarni. Excentré et à 35 mètres de notre but, le Ghanéen se balade tranquillement malgré la présence de plusieurs de nos défenseurs. Dépassé comme une sombre merde, Nkoulou notamment aurait difficilement pu se montrer plus accommodant avec Jordan, sauf à lui caresser la bite en prime. Le petit piqué qui conclut l’action est si humiliant que sur l’instant, nombreux sommes-nous, supporters à croire avoir reçu une giclée de son foutre sur la joue (3-4, 84e).

Gignac (1-/5) : Non mais on va bien finir par y arriver, hein.

La fin du match n’est utile qu’à Mandanda, afin qu’il nous prodigue sa spécialité : « je fais un arrêt parfait une fois que cela ne sert plus à rien ». Sauf que ce soir, Steve n’est même pas capable de ceci : servi d’une longue balle, Autret profite du non-alignement de la défense pour le tromper en deux temps (3-5, 86e).

En accord avec l’éditeur, ce bel homme, la Canebière académie a utilisé l’argent de vos abonnements pour offrir à Monsieur Lapin un emplacement plus en rapport avec l’exploit olympien.

 

Locoscopie

Revenons sur le dernier remplacement (Lemina pour Batshuayi), faisant évoluer l’équipe vers un schéma « tout ou rien ». Certes, l’évolution du score a donné tort à l’entraîneur, mais replaçons l’événement dans le déroulement du match : cette modification tactique intervient alors que nous sommes menés 2-3 à 20 minutes de la fin, dans une rencontre où nos défenseurs montrent des failles énormes. Aussi, sur le moment, il me semble que cette prise de risque était à saluer :

  • Nous avons assez gueulé quand, contre le PSG, Bielsa a sorti Gignac (bien meilleur qu’hier) pour Batshuayi : enfin les deux ont-ils été associés en attaque ;
  • Le maintien du même nombre joueurs défensifs aurait-il été moins risqué pour autant, sachant que de toute façon c’est dans les duels que nous avons failli avant tout ? Rappelons en effet que seul le 5e but est causé (et encore) par une infériorité numérique.

Non mais c’est vrai, on manquait de défenseurs pour endiguer la déferlante Jo le Sconse (le 1er but est cocasse aussi, vu de haut).

 

Les joueurs

Mandanda (1/5) : Ah il est beau, le capitaine exemplaire. Un demi-arrêt, cinq but encaissés dont un piqué de Jordan Ayew. UN PUTAIN DE BALLON PIQUE DE JORDAN AYEW, NON MAIS ELLE EST OU, TA DIGNITE, LA ?

Notre équipementier a proposé à Steve un brassard plus adapté à ses prestations.

Morel (2-/5) : Courageux mais il s’est régulièrement fait passer dessus pendant une heure, jusqu’à ce qu’il trouve la rédemption en marquant notre deuxième but, un peu comme Marie-Madeleine en rencontrant Jésus. Sauf qu’elle, elle n’est pas retournée écarter les cuisses dans la demi-heure qui a suivi.

Nkoulou (1-/5) : La seule personne au monde pouvant coller une tarte à Jordan Ayew sans que ce ne soit volontaire. Ce qui fut d’ailleurs son principal duel remporté, vu qu’il a passé le match à se toucher en pensant qu’il lui suffirait d’apparaître pour que les attaquants et le public soient éblouis pas son charisme. S’il faut foutre sur le banc tous les abrutis qui sabotent le match en ratant des passes évidentes, on va vite devoir rappeler Doria, Lucas Mendes et Bernard Bosquier.

Dja Djédjé (NN) : Un début de match plus honorable que ses camarades, qu’une blessure à la cuisse l’a empêché de confirmer.

Romao (29e, 2/5) : « Puisque c’est un match de tarés, je vais essayer de me prendre pour Andrea Pirlo pour voir ce que ça fait ». Bilan : une magnifique passe décisive, un apport correct au milieu (même si succéder à Lemina n’est pas un gage d’exigence), et une belle imitation du géranium en pot sur le 4e but breton.

Ayew (3-/5) : Après une première mi-temps anale à un poste qui n’est pas le sien, André s’est mis en colère, a décidé de se rouler les consignes tactiques en papillotte et de se les carrer au maffre avant de faire parler sa combativité. A part un marquage lâché sur le 5e but, la balance est plutôt positive.

Lemina (1/5) : Il est jeune, il aura le temps de progresser. A Niort.

Batshuayi (69e) : Il a fait sa part du boulot en égalisant à 3-3.

Imbula (2-/5) : Seul au milieu, c’est non. Avec Lemina au milieu, c’est seul, donc c’est non. Avec Romao derrière lui, c’est mieux, mais on sent clairement que le contexte n’incite pas Gianelli à se lâcher.

Alessandrini (2+/5) : Alors que chacun aura marqué le match d’un beau geste ou d’une cagade, Romain a été le plus anonyme des joueurs, sans influence directe sur le déroulement malgré quelques belles percées.

Thauvin (0/5) : En ce 24 avril, vibrant hommage du Vélodrome à Vanik Hetemorflorian, dont le nom a été scandé sans discontinuer pendant 45 minutes.

Ocampos (45e, 2-/5) : Combatif, mais ne reste finalement en mémoire que l’occasion monstrueusement salopée peu après son entrée.

Payet (4-/5) : Surnageant en première mi-temps, il prodigue ensuite au ballon des attouchements dignes d’être compilés dans une vidéo de fétichisme pédestre.

Gignac (1/5) : Sa note est enfin prête, il ne me reste plus qu’à la cadr

 

L’invité zoologique : Jo le Sconse

Qui d’autre ? Il est sorti de son hibernation semestrielle contre nous et peut se rendormir jusqu’à notre prochaine rencontre.

  • Les autres : Solides, vifs malgré des faiblesses, bref l’exemple type de l’honnête équipe se servant de nous pour se sortir de la merde. Ah oui, Lecomte a fait un beau match, aussi.
  • Vu d’en face : Que devient Tristan Bourrepif ?
  • Le classement : Vos gueules.
  • Les enculés : Ceci ne doit pas passer inaperçu.
  • Les images : pour patienter avant les images officielles.
  • La page abonnement: Pour que vive l’Alterfoot cananal historique
  • Les réseaux : ton dromadaire préféré blatère sur Facebook et sur Twitter.


Bises massilianales,

Blaah

17 thoughts on “OM-Lorient (3-5), La Canebière Académie se saborde

  1. Belle acad’ comme toujours. Merci j’ai plus rigolé à sa lecture que devant le match pourtant à fort potentiel comique

  2. Si Bielsa est dans la catégorie Légende, alors dans quelle catégorie marseillaise Blaah range t’il les entraineurs suivants :
    Lippi, Ancelotti, capello, Higgins, Heynckes, Guardiola, Mourinho?
    Pour Wenger c’est facile, c’est démission

    Et puis Thauvin « en réalité bien moins abruti qu’il ne s’en donne l’air » ???

  3. Je crois que la note de Thauvin va me faire l’aprèm’.
    Merci encore pour cette cagacad’.
    (et coeur avec les doigts pour le lapin)

  4. Souley est aux baumettes… c’est juste à côté, il ne peut pas venir mettre un coup de pression à ces gamins ??

  5. Je ne regrette pas l’argent donné pour payer cette place de choix à Mr Lapin…
    @Waynedt12 : N’importe lequel de ces coachs fini aux baumettes pour homicide ou comme Bielsa…
    Par curiosité je suis allez voir et l’an dernier on a fini avec 60 points et les mêmes moins Valbuena, Diawara et Lucas…
    Si par bonheur on gagne nos 4 derniers matchs on aurait autant de points que Baup…Mais quand on a vécu Baup et Bielsa…

  6. @wayne il est juste un penseur du jeu, c’est la ref de Guardiola comme Sacchi a été la référence de Capello.
    Apres il y a une part d’irrationnel entre ce qu’il transmet et les résultats. Mouthino est souvent critiqué car il n’a jamais vraiment inventé un système où une façon de jouer.
    Bielsa en a une ce pressing haut agressif offensif est une vrai marque de fabrique

  7. Tout ce que je peux dire, c’est que Jordan me fait bien rigoler de week-end en week-end.

  8. Slt à toi bravo pour ton article sache que tu n’est pas le seul à penser cela, je suis le créateur du groupe Facebook , « la révolte olympienne » un groupe ouvertement anti direction, plus précisément anti Labrune et MLD, et nous sommes convaincus que Bielsa est le coach qu’il faut à ce club , je t’invite donc à nous rejoindre ou simplement passé pour découvrir le groupe, ;-)

  9. Mauvais trip, descente difficile, l’héritage de Bielsa après cette nouvelle performance repoussant une fois encore les limites de l’anal : un champ de ruines. Et dire qu’à la mi-temps contre Paris nous rêvions encore de titre. Un doublé de Joe le Sconse en guise de quenelle, la coupe est pleine.
    Pas de happy end comme nous l’avons longtemps espéré mais plutôt une descente aux enfers, cette saison restera dans les mémoires pour autant de bonnes que de mauvaises raisons. 5 buts encaissés au Vélodrome par un relégable, 4ème défaite d’affilée alors que nous sommes dans le sprint final, doublé par les stéphanois et leur football champagne, talonné par les bordelais tiki taka pipi caca…very bad trip.

  10. Cette défaite ne signifie pas que Bielsa n’avait pas raion. C’est simplement Lorient qui a eu tort.

  11. Donc en fait, si l’on écoute un peu les Gringos pourfendeurs d’Argentin bon teint, il faudrait que l’OM se jette un peu moins dans la bagarre et bétonne davantage histoire d’assurer un point de ci de là ??
    C’est à dire: faire confiance à une mauvaise défense pour assurer le score qu’une bonne attaque devrait ne pas chercher à obtenir…
    Lumineux!

  12. Groupe anti-MLD et anti-Labrune, ça fait rêver… Mais c’est que MLD fait chier à être infoutu d’assurer la moindre passe à 3 mètres et d’offrir des buts aux adversaires. Quant au Labrune qui fait des appels de merde et des contrôles américains, faut aussi le dégager.

    Et augmenter Gignac pour qu’il reste. Ce que cette tanche de Labrune refuse.

    Révolte olympienne !!!

  13. L’idéal pour les sardines serait la 6° place à la fin du championnat et ce qui va avec, c’est-à-dire le tour préliminaire et les barrages de la petite coupe d’Europe : joueurs blessés ou cramés avant le début du championnat. Heureusement pour eux, il y a beaucoup plus con avec Bordeaux qui fait tout pour avoir cette sixième place et se ramasser en beauté.

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