OM-Sporting du Portugal de Lisbonne (4-1) : La Canebière Académie fait sa cueillette

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À quoi ça tient, parfois.

Aïoli les sapiens,

Encore neuf. Neuf, c’est le nombre de matchs qu’il nous reste à jouer dans la série dantesque qui nous mènera à la prochaine trêve internationale. De manière tout à fait étonnante, l’OM n’a pas explosé dès le décollage et a plutôt bien négocié les deux premières étapes, contre Angers tout d’abord et ce soir, donc, contre le Sporting du Portugal de Lisbonne (pour nom exact du club, veuillez rayer les mentions inutiles ou vous prendre la tête avec Homerc dans les commentaires).

Toutefois, objecterez-vous, les circonstances particulières de cette dernière rencontre ont été telles que l’OM n’a eu qu’à se baisser pour ramasser cette victoire. Certes, mais encore fallait-il y parvenir sans se donner un tour de reins. L’homme du match avait beau se trouver dans les buts adverses, on ne saurait trop savourer la fin d’une série négative qui commençait à virer à la franche malédiction.


Les Longorious Basterds 

Lopez
Mbemba – Bailly (Gigot, 77e) – Balerdi
Clauss (Kaboré, 32e) – Guendouzi – Veretout (Rongier, 62e) – Nuno Tavares
Ünder (Gueye, 62e) – Harit (Gerson, 77e)
Sanchez

L’infirmière a tout juste eu le temps de faire un bisou d’adieu à Éric Bailly, que Kolasinac vient à son tour solliciter ses services pour trois semaines. Balerdi se trouve donc exilé à ce poste de stoppeur gauche qui a déjà posé tant de défis insolubles aux lessiviers phocéens. Igor Tudor semble avoir tiré les leçons de l’échec contre Francfort et ne se passera désormais de Mattéo Guendouzi que sous la torture.


Le match

La rencontre débute dans un contexte inhabituel, ce qui n’est pas forcément un mauvais présage quand on connaît les habitudes de l’OM en Ligue des Champions. Premièrement, le match se joue dans un Vélodrome à huis-clos, faute pour certains d’entre nous de comprendre que « c’est les autres qui ont commencé » n’était pas un argument valable devant la directrice de l’école primaire, ne l’était pas non plus devant le CPE du collège, et ne l’est toujours pas devant les instances disciplinaires de l’UEFA.

Quant à avoir programmé le match à l’heure où les Néerlandais sortent de table, nous n’avons guère d’explication si ce n’est d’emmerder les honnêtes peuples latins. Nos adversaires portugais ne se privent d’ailleurs pas de faire connaître leur mécontentement, en arrivant en retard au prétexte d’embouteillages, puis en mettant une éternité à sortir des vestiaires pendant que nos joueurs patientaient dans le couloir depuis un bon quart d’heure.


Igor Tudor se laisse aller à un légitime agacement, tant la scène tient davantage du tournoi de sixte des cheminots saint-cannadens que de la Ligue des Champions. Bailly, Balerdi et Veretout sont d’ailleurs parfaits dans les rôles de Riton le boucher, Nico le primeur et Jojo l’idiot du village, réputés dans tout le bourg pour arriver au coup d’envoi régulièrement torchés à deux grammes. Les deux derniers notamment, titubent tellement devant Trincao que la seule crainte que l’attaquant puisse éprouver à leur égard serait de les voir lâcher une galette sur ses crampons. Le Portugais ne traîne pas dans le secteur et se dépêche d’effacer les deux pitres puis d’enrouler sa frappe : on joue depuis cinquante-et-une secondes, et la soirée promet déjà d’être trop longue (0-1, 1re). L’implication des joueurs dans les duels serait déjà insuffisante contre l’Association sportive forézienne Andrézieux-Bouthéon ; en Ligue des Champions, elle nous promet un carnage. Comme sur le premier but, notre milieu est transpercé en deux passes et Gonçalves est lancé dans le dos de la défense, Pau Lopez remportant alors un face-à-face salutaire.

Bref, si l’on se demandait qui aurait le plus à souffrir de cet avant-match chaotique, la réponse paraît évidente. Pourtant, il s’avère finalement que de tous les joueurs, c’est le gardien Antonio Adan qui n’aime pas, mais alors vraiment pas, qu’on lui brise sa routine. Antonio Adan, c’est un peu comme le Roi Charles quand son porte stylo est placé trois pouces trop à droite du bureau ou que sa pâte dentifrice a été versée sur la brosse à dents royale avec un angle de 25 degrés et non 33 degrés. Quand Sa Majesté voit sa routine bousculée, sa Majesté est colère. Bah Antonio Adan c’est pareil. Pas qu’il soit colère, hein, c’est un très gentil garçon, mais bon, voilà, sa routine a été bousculée et le voici tout bouleversé. Notez, voilà encore une preuve éclatante de la théorie du chaos quand on y pense. Je m’explique : si Ali B., de la Cabucelle, ne s’était pas disputé avec sa femme, il n’aurait sans doute pas été énervé en prenant le volant ce soir pour aller voir ses potes à la Pointe-Rouge (on peut aussi digresser sur les événements ayant conduit Ali à devoir prendre sa voiture pour traverser la deuxième ville de France du Nord au Sud, mais cela nous ferait plonger trop profondément dans la théorie du chaos : je connais des bac +12 qui dissertent sur la stochastique des gluons comme qui rigole, mais qui ont fait une tentative de suicide quand on leur a demandé d’expliquer 75 ans de deffero-gaudinisme). Bref, Ali B. n’a pas vu la connasse en Fiat 500 qui coupait la Corniche en sortant de la Réserve et oui, bon, d’accord, si l’assistance venue en nombre a vite conclu à un match nul entre les quartiers sud et les quartiers nord pour ce qui est de la vigueur du langage et du volume sonore, il a en revanche fallu un certain temps pour établir le constat. Manque de bol, Joël M., chauffeur du bus du Sporting, a de la famille à Marseille et prétend donc connaître la ville comme sa poche. Aussi a-t-il jugé pertinent de faire le cacou en prenant l’itinéraire touristique pour se rendre au stade (« non, les boulevards c’est saturé à cette heure-là, eh oui, à Marseille il faut connaître les astuces quand on conduit »). Bref, bordel monstre sur la Corniche, arrivée en retard au stade, faut se changer en quatrième vitesse et Antonio Adan n’a pas le temps de procéder à son rituel du slip fétiche dans le vestiaire. « On n’a pas encore deux minutes, là ? J’ai pas eu le temps de faire mon rituel du slip fétiche. – Non Antonio, là ça va vraiment finir par se voir, qu’on traîne. T’inquiète pas champion, tu vas tous les avoir ! ». Arrive sur ces entrefaites une passe en retrait consécutive à l’un de nos ballons balancés n’importe comment. Le premier Marseillais est à vingt mètres du gardien, il n’y a aucun risque, voici un bon ballon pour se mettre en confiance après ces péripéties d’avant-match, tiens, l’attaquant est à quinze mètres maintenant, heureusement le contrôle est bon, je vais pouvoir faire la passe à un équipier tout proche, en fait il court vite vers moi cet Alexis Sanchez, faut que je me dépêche quand même un peu mais est-ce que je vais y arriver, j’ai pas pu faire mon rituel du slip fétiche il s’approche encore qu’est-ce que je fais, je veux ma Maman AAAAAAAAAH. Le gardien ferme les yeux et dégage au hasard, sur Alexis qui a opportunément tendu la jambe et, avec un beau coup de bol au passage, contre le ballon dans le but. Pour tout dire, on n’avait pas vu de cagade annoncée aussi longtemps à l’avance que le CSC de Bruce Harper dans Olive et Tom (1-1, 13e).

Surpris mais heureux de constater qu’il existe des fragiles capables de se liquéfier de manière encore plus spectaculaire qu’eux, les Olympiens commencent à croire en leurs chances. Veretout se met ainsi à réussir des récupérations hautes, ce qui aboutit à un tir d’Harit repoussé sur Sanchez, largement hors-jeu. En plein stress post-traumatique, Adan expédie le coup-franc directement sur Guendouzi : le ballon est aussitôt transmis à Clauss, qui adresse une merveille de centre en profondeur pour la tête d’Harit. Prostré, le gardien n’essaie même pas de combler le trou béant laissé à notre milieu de terrain (2-1, 16e).

Quoique dotés d’un esprit collectif à toute épreuve, les Portugais commencent à manifester de légères réserves quant à la fiabilité de leur dernier rempart. De son côté, celui-ci ne maîtrise pas la méthode de rétablissement psychologique du légendaire Rémy Vercoutre (qui consiste, après s’être rendu coupable d’une cagade, à aller hurler sur ses défenseurs en disant que c’est leur faute). Bref, quand un nouveau ballon en profondeur leur parvient, défenseur et gardien voient chacun défiler leur vie dans les yeux de l’autre. Nuno Tavares leur subtilise le ballon de la tête et se voit intercepté par la main d’Adan un bon mètre hors de sa surface. Notre ailier aurait pu tenter de conclure dans le but vide, mais préfère s’arrêter pour offrir au gardien adverse une sortie digne de son chef d’œuvre.

Suite à ce carton rouge, le gardien remplaçant Franco Israel prend place dans les buts, pour une prestation bien moins chatoyante mais qui nous aura néanmoins offert de bons moments : tout d’abord, quand Stéphane Guy passe tout près d’un nouveau licenciement flamboyant après avoir invité les Olympiens, je cite, à « continuer à artiller Israel » ; ensuite, quand ledit Israel rate sa sortie sur ce corner d’Harit, au profit d’un Balerdi occupé à dévorer ses opposants (3-1, 28e).


Devant cet enchaînement cauchemardesque, le Sporting du Portugal de Lisbonne recourt à une tactique éprouvée, dite « des grosses putes ». Embrouilles, brutalités, toute la panoplie y passe et n’est pas loin de porter ses fruits, quand toute notre équipe vient mêler un Portugais ayant commis la faute de trop. Pédagogue quoi qu’un peu trop tolérant avec ces petites frappes, l’arbitre distribue les cartons avec parcimonie. Nous avons donc le plaisir de regagner les vestiaires au complet, à l’exception de Clauss dont la blessure musculaire ne doit rien à personne (sauf peut-être aux mastres qui ne l’ont pas laissé se reposer pendant la trêve précédente).

La seconde période peut grosso modo se diviser en deux temps. Le premier voit l’OM relativement apathique, laissant les Portugais manier la balle dans leur camp et continuer leur tournée de gestes de salopards. Des changements se produisent à l’heure de jeu et aboutissent à un OM plus conquérant, mené par Guendouzi placé un cran plus haut. Après une éternité à subir le couillemolisme de Villas-Boas puis Sampaoli, l’OM semble comprendre enfin que le meilleur moyen d’être en sécurité face à un adversaire que l’on domine, c’est d’aller le chercher dans son camp, de ne pas le laisser reprendre ses esprits et de tenter de pousser son avantage. Rincés par près d’une heure d’infériorité numérique, les Portugais abdiquent, et seuls nos trop nombreux hors-jeux nous empêchent de nous mettre définitivement à l’abri. Témoin de notre état d’esprit, Mbemba continue d’aller mettre le oai dans la surface adverse, l’une de ses chevauchées de bison offrant une situation de tir à Sanchez. Dans un angle fermé Alexis voit sa frappe repoussée sur Chancel, qui nous montre à l’occasion toute la finesse dont il sait aussi faire preuve : d’un petit dribble, il met la défense adverse sur le cul avant d’achever la bête (4-1, 84e).

La soirée se clôt sur un raté assez cocasse d’Alexis, qui tire à côté après avoir pourtant éliminé le gardien. Pas de quoi gâcher la fête, l’OM remportant ce soir presque tous les suffrages : on réservera simplement le trophée d’homme du match à ce gardien adverse qui, il faut bien l’avouer, nous a sortis à lui tout seul de ce qui se profilait pourtant comme un nouveau bourbier.


Les joueurs

Lopez (4/5) : De l’importance de rester concentré malgré la quasi-certitude de passer une énième soirée de merde, puisque c’est précisément son arrêt à 0–1 qui nous a évité de passer une énième soirée de merde.

Mbemba (4/5) : « Bon, Chancel, on mène, on est un de plus, donc la priorité c’est d’être prudent, donc tu restes derrière, tu attends les attaquants et tu t’assures de ne pas faire d’erreur.

– Coach ? Vous êtes sûr que ça va ?

– …

– Coach ?

– Huhuhuhu

– Ah ah, vous alors, coach, vous m’aviez bien eu, j’ai vraiment cru que vous étiez sérieux, j’ai eu peur moi !

– Allons, tu m’as pris pour Villas-Boas ou quoi ? Allez, va me les défoncer, va. »

Bailly (2/5) : Des duels tout mous qui laissent à penser qu’Éric n’était peut-être pas tout à fait confiant dans son état de forme.

Gigot (77e) : « Bonjour Messieurs les Lisboètes. Y en a-t-il parmi vous qui seraient encore disposés à commettre une vilaine faute sur l’un de mes camarades ? Plus personne ? C’est bien ce que je pensais. Je vous remercie. »

Balerdi (3/5) : Part sur les bases absolument horribles qu’on lui connaît à ce poste, avant de découvrir stupéfait qu’on pouvait faire nettement pire que lui en matière de craquage mental. C’est bien connu, quand on se trouve dans la difficulté, il n’existe rien de mieux pour la confiance que de voir les autres en chier encore plus à côté de soi.

Clauss (3+/5) : Nous avons le malheur de disposer d’un médecin intègre, le seul à ne pas faire comme tout le monde et à ne pas délivrer de certificats d’une durée deux semaines débutant le premier jour de la trêve internationale. On en voit le résultat. Bref, à l’avenir, boycott Qatar, boycott la sélection nationale, boycott la promenade du chien, bref, boycott tout ce qui risque de solliciter tes petits muscles pour autre chose que l’Olympique.

Kaboré (32e, 3/5) : Très à l’aise pour cette première précipitée en Ligue des Champions, peut-être même plus encore que contre Angers. Le fait d’affronter une équipe mentalement réduite à l’état de serpillière a sans doute aidé, mais on n’en salue pas moins la performance.

Guandouzi (4/5) : Une maîtrise de soi inattendue, qui le conduit à répondre aux brutalités et provocations adverses par un simple sourire. On l’a d’ailleurs entendu répondre à un Portugais qui venait de le charcler : « la paix soit sur toi, mon frère. Je désapprouve le chemin de la violence que tu es en train d’emprunter, puisses-tu en moi trouver un ami qui t’accompagnera vers une voie plus harmonieuse ». Et de consacrer toute son énergie au jeu, et rien qu’au jeu, montrant l’exemple et emmenant son équipe vers l’avant. Oui, c’est un Mattéo apaisé que nous avons vu rentrer au vestiaire, d’où s’est échappé un peu plus tard une voix suraigüe : « Putain mais coach, laissez-moi sortir, je vais me les faire ces enculés ! Non, je me calmerai pas, je vous ai obéi et je suis resté tranquille tout le match mais maintenant je vais sortir m’en fumer un, de ces fils de putes, je vais leur ravaler la gueule à coups de crampons ils vont pas chuinter les « s » pour rien ces connards. »

Veretout (2/5) : Igor Tudor a avoué avoir surjoué sa colère d’avant-match afin, je cite, de « réveiller les joueurs ». Astuce louable et qui fonctionne avec la quasi-totalité des joueurs mais bon, quand on en a un qui reçoit cinquante messages l’accusant de soutenir des pédophiles à chaque fois qu’il ouvre Twitter, c’est pas une gentille colère de l’entraîneur qui va pouvoir le faire renoncer à sa sieste.

Rongier (62e, 3/5) : Ce genre d’entrée, on va la noter au papier pH. On a un petit 7,5 vert clair : basique, proche du neutre.

Nuno Tavares (3+/5) :  Particulièrement heureux de retrouver ses compatriotes, il a pu non seulement se faire démonter par les joueurs du Sporting mais également comprendre leurs insultes à sa mère.

Ünder (2+/5) : Pas mauvais mais tout de même bien tristounet au regard de ses coéquipiers.

Gueye (62e, 3/5) : Un règne sur le milieu de terrain favorisé par la désertion de la quasi-totalité des combattants adverses.

Harit (4/5) : Holà, malheureux, faut pas marquer et faire des passes décisives en Ligue des Champions, comment veux-tu encore déclarer vouloir devenir l’égal de Payet, sinon ?

Gerson (77e) : L’avenir dira si cette entrée relevait du dilettantisme ou de la décontraction.

Sanchez (4/5) : Être un attaquant de classe, on l’a ou on l’a pas. Par exemple, Valère Germain aurait tout à fait été capable, lui aussi, d’aller contrer le dégagement du gardien. Sauf que quand c’est Valère, le ballon lui rebondit dans le pif et ça fait rigoler tout le monde. Alexis Sanchez, ça fait poteau rentrant et ça nous sort de la mouise, c’est tout.


L’invité zoologique : Antonio Adâne

La solution du concours zoologique, c’est pareil que la victoire de ce soir : il suffisait de se baisser pour la ramasser.

  • Les autres : Les circonstances particulières de la soirée ne nous ont pas permis d’appréhender sérieusement le jeu de cette équipe. Aussi allons-nous traiter du seul aspect pouvant être objectivement évalué ce soir, à savoir leur mentalité de salopes.
  • Le classement : Le match nul de Francfort et Tottenham nous laisse certes derniers du groupe, mais à un seul point désormais de ces deux équipes.
  • Coming next : Évidemment, l’ennui dans tout cela, c’est qu’on ne peut plus balancer la Ligue des Champions en alignant l’équipe B. Du coup, il ne reste guère qu’Ajaccio ce samedi pour tâcher de remporter des points en reposant les cadres.
  • Les réseaux : ton dromadaire préféré blatère sur Facebook, sur Instagram et sur Twitter. Atmane H. remporte le concours zoologique.

Bises massilianales,

Blaah

6 thoughts on “OM-Sporting du Portugal de Lisbonne (4-1) : La Canebière Académie fait sa cueillette

  1. Excusez-moi, je suis oublieux, pourriez-vous me rappeler le nombre de points « Dehors » qu’il reste à Igor Tudor s’il vous plaît ?

    1. Si vous étiez attentif vous auriez lu dans une précédente académie que le cuistre qui a eu cette idée idiote a été dûment châtié par nos services. Personnellement, nous avons toujours cru en Igor.

  2. Moi je dis toujours Sporting Lisbonne car :
    – ça rend fout les supporters de ce club
    – ça me fait marrer que personne ne les respecte
    – Si vous aviez lu mes académies depuis toutes ces années, vous sauriez que c’est une équipe de petites merdes avec option faute de salopes

    1. J’avais bien saisi, j’avais seulement un doute sur le fait que le mot « salopes » dût ou non être réservé à ceux en rouge.

      1. ça doit être un truc propre aux habitants de la ville qui supportent un club de la cité…
        D’ailleurs pour info zoologique c’est le club des lions pour leur fans mais de lézards pour les autres.

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