Metz – Dijon (1-2) : La Metz Que Un Club Académie cherche un nouveau club

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Hommage (et défaite)

L’annonce est déjà sur Leboncoin.

(Note de Kast : Quoi de plus gracieux que d’offrir un parricide à notre nouvel éphèbe Messin ? Je vous le demande. Dans l’attente que vous ne trouviez pas de réponse à cette question rhétorique, tas de chomeurs, je vous invite à accueillir chaudement LeGrasAuLLy, gras dans la cour des gros, fréquemment présent à Saint-Symphorien et nouvel académicien Grenat. Gloire à lui pour sa première.)

Savez-vous ce qui est plus risible qu’une petite grosse qui a trop la flemme d’aller se chercher un kebab ? Un supporter messin qui paye sa place à SinSinf pour voir du « spectacle ».

Maillot sur le dos, l’âme grenat pleine de bleus et une anxiété sans équivoque, je monte les marches de ce stade où la victoire se fait trop rare. Me comprendront tous ceux qui supportent une équipe de bas de tableau. Se motiver à aller encourager une équipe qui nous déçoit mais qu’on aime, c’est comme entendre sa mère qui pleure : Cela va nous déchirer le cœur, on le sait, mais il faut qu’on aille voir…

 

Maman ? Mon dieu… Mais qu’est-ce qui t’es arrivé maman ? Enfin, mais qui t’a fait ça ?

 

Excusez mon emphase, mais il est tard et après une pareille branlée, je n’ai pas le cœur à la modération. Je repense à ma vie. Pas très brillante, mais bon, vu que c’est vous qui me lisez, la votre doit être pire. Je me reprends, je me reprends… Pourquoi cette haine en moi ? Parce qu’il y a peu de choses dans ma vie que j’ai embrassé de tout mon amour. Il y a les livres et le FC Metz. Ouais, foutez-vous de moi, Luke l’a assez fait sur Twitter. Mais c’est vrai. Alors quand je vais voir un match de Metz, je veux voir quelque chose, du jeu. Et tout ce que j’ai vu pour l’instant, c’est huit défaites en neuf matchs…

 

Ma candidature ? Elle a été accueilli comme ça. J’aimerais remercier l’équipe de Horsjeu.net pour m’avoir humilié et accordé cette chance, qu’ils sachent que si je les croise je me ferais une joie de jouer du tam-tam sur leurs derches avec ma batte. Oui, les deux. Cela s’appelle l’ambivalence messine.

 

 

10e journée : FC Metz – Dijon FCO

-1 : Les ultras s’échauffent. La vie s’anime petit à petit entre ces quatre murs sans virage. Je vois le Hinsch, debout, qui regarde au sol… Et je me demande ce qu’il a en tête à ce moment. J’essaye vraiment…

*** Dans la tête du Hinsch #1 : « T’as plus le droit à l’erreur mec, ta place de coach, elle ne tient plus qu’à un fil, et un fil déjà très mince. Tout doit être parfait. La moindre erreur, et tu prends la porte. Tu le sais ça ! Tu as intérêt à assurer ! Tu peux le faire ! Attends… C’est qui que j’ai mis à gauche encore ? Nguette ? Meeeerde… »

8 : A ce moment, j’aurais voulu connaître la possession messine… Enfin, cela ne doit pas être dur franchement, je crois qu’on a gardé la balle dans nos pieds pas plus de 84 secondes. Je me demande bien ce que l’avenir nous réserve… Humm…

9 : But pour Dijon. 0-1.

*** Dans la tête du Hinsch #2 : « … Ok… Alors, il faut que je note… il me faut mes trois dernières fiches de salaire, un justificatif de domicile, prendre rendez-vous auprès de ma conseillère Pôle Emploi… »

11 : On avait cru à un réveil messin, on avait la balle dans les pieds, mais en fait ce n’était que la remise en jeu parce que très vite, les Dijonnais en transe font la passe à dix dans la moitié de terrain messine. Visiblement, un pressing correct c’est une exigence encore trop ambitieuse pour nos SerinBoys. D’ailleurs, je jette un coup d’œil sur notre président. Il est au téléphone, ma taupe m’informera plus tard qu’il venait de recevoir un mail d’un certain José Riga : « Hi Moustache ! Je peux être coach ? ».

14 : Avec un avis objectif, on a l’impression que notre adversaire est très fort, mais non, c’est juste nous qui sommes très nuls. Mais… OH NON ! Un Dijonnais ! Tout seul ! Qui se pointe devant Kawashima ! … Niakhate qui tente le tacle de l’impossible ! … ET OUI ! Enfin un geste défensif réussi. Il commence à nous faire oublier Simon Lavette celui-ci ! Bravo mon gamin.

24 : MON DIEU FRAPPE DE NGUETTE !! C’EST SI MOCHE !!! ET CA PART TELLEMENT HAUT !!! C’est juste magnifiquement dégueulasse… J’ai des insultes dans toutes les langues qui me viennent à l’esprit.

Le Hinsch est furieusement remonté. Il donne de la voix. Il va et vient, façon dynamo, tellement électrique le mec qu’avec une ampoule dans le bec, il aurait pu faire lampadaire. (Note de Kast : Ca n’en ferait tout de meme pas une lumière). Possible reconversion vu que coach, c’est bon, on a vu que cela ne donnait rien.

28 : OH LA LA ! Dossevi qui parvient à centrer à la limite de la sortie de but ! Nolan Roux qui veut claquer une tête… mais qui finit tranquille sur le goal dijonnais… et au final, c’est Nolan Roux qui se claque la cuisse… Je présume que viser le gardien lui a demandé trop d’énergie.

Le téléphone de Serin vibre encore. Ma taupe dans le staff m’informera que c’était un SMS d’Albert Cartier : « Salut Moustache. Je peux être coach ? »

30 : Metz retrouve un peu d’honneur et de style. Les garçons se donnent la balle, dézonent, changent d’aile, reviennent, élaguent, tentent de pénétrer la défense dijonnaise… Tous les supporters attendent qu’il se passe quelque cho… ET OUI ! ENFIN UNE BONNE ACTION ! Une tête de Chris Phillips ? Volontaire ? « VOLONTAIRE OU PAS CETTE TETE ? » Voilà que je hurle aux personnes autour de moi : « ELLE ETAIT VOLONTAIRE CETTE TETE DE PHILLIPS ? », on me regarde en souriant : « Franchement, je ne crois pas ! ».

Tant pis…

Mais quand même, quelle action…

Il fallait voir ça… En dehors de la surface de réparation, Chris Phillips, le Andréa Pirlo luxembourgeois, qui reçoit le ballon, en pleine tête, celui-ci rebondi et se dirige tout droit vers le but dijonnais… Le goal se sent lobé, il se détend, et d’une claquette miraculeuse, parvient à détourner la balle en corner. Les supporters vont mal. On sait tous lire les signes évidents : l’équipe va vraiment mal si c’est Chris Phillips qui apporte les meilleures actions…

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On revoit la tête de Phillips, sous un autre angle. 

 

41 : Rivierez qui met toute sa force dans une frappe à vingt mètres du but adverse… la balle part à ras-terre… et le goal dijonnais qui finit de tuer le respect en l’arrêtant d’une main…

44 : … Wow… Centre de Dossevi… Nolan Roux s’élance… ET IL MARQUE DE LA TËTE ! Tout est relancé, mon âme de supporter brille à nouveau ! J’enlace tous les mecs debout à côtés de moi ! La soirée redevient intéressante ! 1-1 !

*** Dans la tête du Hinsch #3 : « Et bordel, mon RSA… M’en fous, je reste ici jusqu’au mercato d’hiver ! »

Mi- temps. Ma taupe, toujours elle, m’informera que dans les vestiaires, le Hinsch a axé sa causerie sur son crédit, ses petites primes de licenciement et à la fin… quand même, sa conviction dans la grandeur de cette équipe… Cette team, elle pouvait réaliser de grande choses. Il a dit tout ce qu’il avait à dire, le reste, c’était à son équipe de le réaliser… FORCE ET HONNEUR ! Tout le monde est hyper motivé ! Hurle ! Tape du pied et des mains, et…

49 : But pour Dijon, 1-2.
Une vieille balle molle d’un dijonnais surprend Kawashima qui n’avait fait qu’un pas chassé pour s’élancer. Forcément, il est trop court. Forcément, il y a but.

Appel visio de Frédéric HANTZ pour Serin : « Dis Moustache, je peux être coach ? »

53 : Riviere qui se la joue façon Ruud Van Nistelrooy avec une talonnade pour essayer de marquer, mais il n’est pas le génie néerlandais, alors c’est à côté.

54 : Changement ! Mes aïeux. C’est Niane qui se prépare à entrer sur le terrain, j’entends mon voisin de droite qui souffle : « Enfin ! ». Le panneau se lève, et c’est Nguette qui sort. J’entends mon voisin de droite qui souffle encore : « Enfin ! ». Deux bonnes nouvelles au FC Metz, c’est suffisamment rare pour être souligné.

68 : Diagne corrige un Dijonnais à coup de chausson taille 46. Ah oui, j’ai failli oublier : Sous les yeux de l’arbitre. Carton rouge ! Je dis rien. Je dis rien… MAIS BORD****** DE ***** PU**** TON*** ET PR**** CON DE TES MORTS  (Oups…) !!!!

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On revoit la faute de Diagne, sous un autre angle. 

J’aperçois un pigeon voyageur qui se pose sur l’épaule de Serin. Il détache la lettre de sa pa-patte… C’est de Raymond Domenech : « Comment tu vas mon vieux Moustache ? Je peux être coach ? »

71 : Frappe de Niane qui confirme les espoirs que les Messins ont placés sur lui. Bel arrêt du goal dijonnais.

73 : Rivierez, inspiré, veut faire pareil. Bah oui pourquoi pas ? Bah parce que tu n’as pas de talent au pied mec… Le ballon s’envole en direction du parking.

74 : But pour Dijon ! Non ! Horsjeu.net. Sinon, au passage, c’est juste la troisième fois que l’on se fait défoncer notre défense sur un seul centre. La défense refuse de sauter, ou de s’impliquer… A ce niveau, j’ai l’impression que c’est volontaire.

83 : Un Dijonnais, seul, qui tente un retourné, bien sûr sans être gêné, bien sûr c’est cadré… et… le Hinsch qui revoit le fil de sa vie… il chausse ses crampons sur les terrains vagues d’Algrange… sa première petite amie qui lui dit qu’il a un faux air avec Mel Gibson… Mais Kawashima est dessus !

87 : Encore une erreur dans la défense messine… Un Dijonnais, le même, est à nouveau seul… Le Hinsch refait sa vie… il se souvient de sa première voiture, une R5 flambant neuve payée par ce club où il a fait toute sa carrière… Mais Balliu est bien revenu !

91 : Un Dijonnais, pas le même, mais encore tout seul… mais cette fois-ci vraiment ENCORE PLUS SEUL qu’avant… (J’en ai marre… Sérieusement, c’est trop pour moi… Je repense à ma mère qui voulait que je fasse de grandes choses dans la vie : HAHAHAHAHA!!)… Le Hinch, lui, se rappelle qu’un jour il a failli être prof, il voulait aussi être chanteur, danseur dans des bals musettes… Soudainement, sous les vibrations incontrôlable de son téléphone devenu fou, le portable de Serin explose… mais Balliù revient, encore une fois, IN EXTREMIS !

 

 

Metz Que Des Notes :

(Note de Kast : C’est bien Nimois d’utiliser des notes décimales, mais pardonnons le, c’est sa première).

Kawashima 2,5/5 : C’est déjà assez dur de flinguer sa place de titu en sélection nationale pour nous… Respect à toi.

Balliù 2,5/5 : Il monte bien, il descend bien. Et c’est vrai, il nous sauve… Deux fois… Mais j’ai dans l’idée que c’est un peu de sa faute aussi…

Niakhaté 3/5 : C’est bien. Mais attention, car il apparait juste bon car ses collègues sont des buses. Donc c’est nettement plus facile.

Diagne 0,5-/5 : Parce que bon, on ne peut pas cautionner ce comportement… Il aurait chaussé un 39, j’aurais pu dire ce n’est pas grave… Mais il a littéralement fait décoller le Dijonnais avec son 46 ferme.

Rivierez 1-/5 : Je crois que c’est le premier joueur que je vends sur FIFA quand je prends en charge l’équipe du FC Metz…

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On revoit la carrière de Rivierez, sous un autre angle. 

 

Chris Phillips 3+/5 : Il m’étonne. Il est solide. Pas loin d’avoir un bon niveau. C’était souvent lui qui partait aussi en premier de mon équipe FIFA… Mais là… je suis presque tenté de le mettre sur le banc.

Cohade 3+/5 : Des moments de grandes classes. Des moments justes insupportables. Il y avait plus de bons que de mauvais dans ce match.

Nguette 0,5+/5 : Juste parce que je ne peux pas décemment lui mettre la même note que Diagne. Mais il est affligeant dans tous les secteurs du jeu. En défense, il a perdu la balle qui a permis le deuxième but. Il tire… toujours à côté. Soit il court tout droit, soit il oublie de défendre. J’ai envie de le suivre un match entier, la caméra braquée sur ses déplacements, comme avec Zidane face au Brésil en 2006, mais pas pour les mêmes raisons…

Dossevi 4/5 : Reviens défendre parfois gamin.

Rivière 2-/5 : Repars sur le banc gamin.

Roux 2/5 : Oui, un but… Ok. Mais le reste du temps ? C’est vrai, il vient défendre, bien, bien, bien. Mais le reste du temps ? Hein ?

Les remplaçants : Niane qui revient ça fait du bien, mention spéciale pour le duo argentin Poblete et Fernandez. Bah oui ! Déjà que la sélection nationale peine à gagner, pourquoi ne pas faire jouer ceux qui ne sont même pas sélectionnés ? LES DEUX EN MEME TEMPS ! BONNE IDEE ! Mais là, en vrai, je suis juste méchant parce que je l’ai mauvaise…

 

 

La conclu du barbu :

Et voilà, c’est la fin de l’ère Hinschberger. Je ne sais pas si tu nous lis Philippe… Je sais, je suis convaincu même, que tu aurais voulu que tout cela se passe autrement… Tu as donné du temps, de l’énergie et des années à ce club, en tant que joueur (430 match de 1977 à 1992 quand même) et en tant que coach. On se souviendra de ton implication dans la fameuse victoire historique contre le Barça en coupe des coupes 84. On se souviendra de ton aide pour la remontée en ligue 1, et de la 14eme place en ligue 1 l’année dernière… Malheureusement, on en pouvait plus de ton 4-2-3-1 aussi visionnaire qu’un poulet sans tête. De tes changements de joueurs incompréhensibles pour se faire égaliser quelques minutes après. De tes choix tactiques trop prévisibles… Et aussi, que bien souvent tu as été sauvé par des exploits individuels (Sarr forcément, Yéni Nbagkoto, le coup franc de Jouffre contre Marseille, le but de Métanire à la 90e contre Nancy en ligue 2, et j’en passe…).

Tous les Messins se souviennent que tu nous as offert une des remontée les plus pétées de l’histoire de la Ligue 2. Avec ce fameux moment de lucidité où tu as hurlé à tes joueurs : « MAIS FAITES VOUS DES PASSES POUR VOUS RASSURER ! ». Tu as agis en coach, un qui sait analyser les problèmes de son équipe : Elle ne savait pas faire de passes…

C’était un tel soulagement la fin de ce match… mais c’était aussi si dur de faire la fête après… Malheureusement, ça aussi on s’en souvient. On se souvient aussi de la branlée contre Monaco, le fameux 7 à la maison. Et le pire de tout, cette défaite impardonnable 4-0 contre ces enflures de l’autre côté de ce beau département qu’est la Moselle.

On se souviendra de toi en bien, on se souviendra de toi en mal. On t’en veut sur le coup parce qu’il nous faut un responsable, et que tu étais UN des responsables…

Tu vas pouvoir repenser à tout ça, et nous on va essayer de ne retenir que tes bons moments. Tes beaux yeux bleus profonds qui ont fait un effet si étrange à l’entre jambe de mon ami Kast&Deuch (Note de Kast : C’est totalement faux, nous n’avons jamais croisé les regards). Ta voix usée aux commentaires d’après match. Ta manière de gratter gauchement ta guitare sur les plateaux de Canal. Dans l’ensemble, ton passé joue pour toi, c’est juste qu’on ne voulait plus de toi dans notre présent ni dans notre futur…

 

On te pardonne, et on te remercie. Oui, on appelle ça l’ambivalence messine. Prends soin de toi.

 

(Note de Kast : R.I.P. Philippe. Nous enterrerons ton génie tactique dans le jardin, à côté du cadavre de Médor. Tu as fait parti des légendes du club. Mais pas en tant qu’entraineur. Nous t’oublierons au bout du 3e verre. Bisous). 

 

Au revoir.

LeGrasAuLLy

15 thoughts on “Metz – Dijon (1-2) : La Metz Que Un Club Académie cherche un nouveau club

    1. Merci, je ne m’attendais pas à un tel accueil… C’est juste parce que c’est le premier n’est ce pas ? Je m’en doutais…

  1. Attendez. Moi je lis que c’est le compte Horsjeu qui s’est moqué de vous Gra (on peut vous appeler Gra ?).
    Il n’y a aucune preuve contre moi.

    1. On sait tous que cela vient de toi. De toute façon, tous les Luke que j’ai connu étaient perfides, vils et impuissants. Tu confirmes ?

      Signé, le Gra, oui, ça me va bien.

    1. Doucement sur les menaces, Gromerdier.
      On veut bien avoir un comportement éco-responsable, mais on tient pas à devenir une poubelle Verte.

        1. La verveine, ça va, la menace d’une arrivée de Théo-Cath m’effraie bien d’avantage…

  2. À lire ces humiliations publiques dignes des plus sombres bizutages de facs de médecine, on va finir par croire que cette campagne de recrutement Horsjeu.net n’était en fait qu’une couverture pour l’organisation du prochain dîner de cons du comité.
    Bien belle acad’ sinon, camarade, mais gare, tu vas empiéter sur la niche animalière (rires) de Blaah avec toutes ces bestioles.

    1. Merci Georges, le concept animalier, c’est l’ami Kast qui s’est découvert un amour extra-inter-extra-inter-extra-espèces. L’affaire a été étouffée, mais les animaux du zoo d’Amnéville ont gardé des séquelles…

  3. En tant que supporter rennais, je ne peux qu’avoir un regard attendri façon Ma Dalton envers Averell quand je lis que le grand Fallou Diagne a pris un rouge. Quel esthète. Bienvenue, cher Gra.

    1. Merci Marco, Diagne a du style, Diagne est beau. L’esthète et la compassion à son égard sont sauf à Sinsinf. Mais il faut qu’il se calme sur l’aplatissage d’adversaires à coups de crampons…

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