Les déchirants adieux de Djibril aux Grecs

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Djib’, consolé par Barracuda.

C’est pas que Djib est une fiotte, mais quand même, l’international français est très ému lors de cette soirée d’adieu top clubber-tuning à Athènes. « Vous serez dans ma vie toute ma vie » qu’il a même dit avec une voix révélant que derrière sa crète, il y a un petit coeur qui bat. Acclamé une dernière fois, le natif d’Arles restera aussi sans doute dans celles de tous ses supporters grâce à ses 55 buts en 89 matches, ce qui prouve qu’il n’était pas venu pour beurrer les sandwichs. Le service lui souhaite bonne chance dorénavant avec les sympathiques supporters de la Lazio.

18 thoughts on “Les déchirants adieux de Djibril aux Grecs

  1. Joliment placé le paradoxe entre « sympathique supporters » et « supporters de la Lazio » aka les supporters les plus racistes d’Italie.

  2. C’est encore plus beau en anglais. Mais même quand on se moque de Djibril on a pas envie d’être méchant…

  3. @tiot biloute : Sois sympa. Fais un cahier Passeport pendant tes vacances. C’est pour ton bien et le nôtre.

  4. Haha Moké, t’es mon héros. Celle là est trop belle sur la cahier Passeport, faut que je la replace. Merci, beau policier.

  5. Cissé il quitte la Grèce parce qu’il est allergique à la nourriture ? Sinon pourquoi il a cette maladie de peau…

  6. « Vous serez dans ma vie toute ma vie », non non il dit bien dans mon coeur, le faites pas passer pour plus con qu’il ne l’est.

  7. Et moi je veux voir les adieux de Govou, je suis sûr qu’il aura l’alcool moins triste que Djib.

  8. Quand il faut faire la fête y a du monde, quand il faut payer les impots y a plus personne

  9. « in my heart for my life », si on traduit bien de l’anglais au français ça ne donne pas « dans ma vie pour la vie », mais « dans mon coeur pour la vie » je crois… Alors on peut se moquer de ce que Djibril a sous la crète, mais on peut aussi se poser des questions sur le service traduction d’Horsjeu.net

  10. Si Horsjeu avait les moyens de se payer un « service traduction », les gros membres se serait déjà payer des putes et du champagne pour fêter leurs dépucelages respectifs et l’éditeur, ce bôgosse pédé de droite n’en serait pas réduit à faire la manche auprès de ses lecteurs qu’il sait pourtant plus pauvre que lui, ce salaud, en usant de -faux- bons sentiments bien dégueulasses.

    Bien sûr, il y a toujours Google Translate qui est gratuit mais quand même assez approximatif, ça traduit aussi bien l’anglais que JP Raffarin aka The Yes Win The No But The No Against The Yes, ou presque.

  11. A Oxianor: je crois que c’était « the yes needs the no to win against the no ».

    Raffarin, Djibril, in my heart, tout ça va finir par me faire dégueuler.

  12. A vrai dire, je n’ai jamais trop compris ce qu’il disait, en anglais comme en français. On parle quand même d’un type qui bossait les slogans de Jacques Vabre à l’époque ou Grand Mère faisait déjà un bon kawa…

    Tiens, une dernière pour t’achever (désolé) :
    « La route est droite mais la pente est forte ».

    Et puis, faut pas déconner, le Djib est bien moins gerbant que l’autre empaffé.

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