Et voila, le comité est parti en vacances après une année de dur labeur (entrecoupée de deux mois de dures vacances mais c’est un détail). Mais pour vous faire patienter jusqu’à leur retour, nos trois gros membres et leurs supers lutins vous ont préparé minutieusement de jolis « best-of » thématiques. N’oubliez pas de signaler vos favoris en commentaires, ça servira pour la grande sélection des Francis Van nobel 2016.

Enfilez vos lunettes : 

« Vous voulez un aperçu des rendez-vous de Lyon prochainement ? Je veux bien ouvrir la caisse du cinéma, et en prime vous donner l’esquimau pour vous aider à méditer. En championnat, Lyon va se frotter à Bordeaux, Angers, Caen, Lille, Paris d’ici la fin février, avec à l’entracte, un match de Coupe de France le 10 février au Parc des Princes. Il est d’ailleurs facile de noter que si Lacazette veut donner un coup de main à son club formateur pour être Européen, le match de Coupe au Parc, s’il s’apparente à un rendez-vous digne de mission impossible, pourrait en cas d’exploit, faire de la Coupe de France, une proie accessible pour Jean-Michel Aulas, dont on se demande si intérieurement, il croit encore au miracle. »
Même si le comité est content de vous retrouver, Denis Balbir, ça reste de courte durée, la migraine revenant assez vite.

« bravo au Psg pour sa victoire : ls erreurs sur Sam qui sera suspendu .les h J sur 2 et 3 Ème :manque de chance? »
De plus en plus cryptique les tweets de Jean-Michel Aulas.

« En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »
Un pavé de Balbir à point, un.

« Finie la triste besogne footballistique des mois Benitez, enfin du pain et des jeux avec Zidane. Les thuriféraires thuriféraient, les flatteurs flattaient, les menteurs mentaient et les critiques étaient considérés comme de vils sycophantes. »
Vous allez rendre son dico à Pascal Praud, Bruno Roger-Petit, merci. Surtout que vous en faites des tonnes, vous avez écrit « thuriféraires » au moins trois fois dans l’article.

« Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »
Clairement Jérôme Rothen, clairement…

“Je me souviens de cette “une” de l’Equipe, il y a quelques mois, avec une superbe photo de Thiago Silva, et ce titre “Héroïques” qui me saute aux yeux, quand je vais chaque matin, réveiller le fiston pour aller à l’école…..”
Qué Denis ?

« Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

« Dembélé, il est interventionniste »
Sans doute que Stéphane Guy a des infos sur le bac ES que prépare Ousmane.

“J’étais Cruyff quand il jouait.
Je l’aimais sans jamais l’avoir vu de visu.”
Dès sa deuxième ligne, Bernard Morlino nous éblouit les rétines des yeux.

“Il faudra aussi tout de même, avec tous les moyens dont se glorifie parfois le club richissime de notre championnat se demander comment un garçon comme Verratti ou plutôt son état de santé peut rester aussi longtemps un vrai mystère. Sa reprise trop hâtive a coûté très cher à Laurent Blanc, mais au lieu de jouer au poker sur sa présence dans le groupe, sur le banc ou la pelouse, il eut été plus judicieux de travailler sur les points forts de sa propre équipe et non de donner comme alibi, une densification défensive de l’axe pour contrer en plus un Yaya Touré, qui devait bien rigoler car …. sur son banc.”
Allez, cul sec, c’est Denis Balbir qui régale.

“Si il y a encore deux Coupes à jouer pour le club, il est évident que comme des grands le staff de Paris a fissuré les murs du vestiaire, et que la soupe à la grimace additionnée au mercato estival sûrement agité, fera nos choux gras des prochains jours.”
Est-ce que quelqu’un peut l’arrêter, par pitié.

« Mais il n’y a pas de fumée sans feu, et les choses de bouger en coulisses. À ce titre, la fin de la collaboration avec son entraîneur Michel officialisée hier s’inscrit dans un grand remue-ménage qui vient peut-être ce matin d’atteindre son point d’orgue. »
Le festival des poncifs Footmercato remettait aujourd’hui ses prix dans la catégories « expressions éculées ».

“Car oui, aujourd’hui, alors que la sanction est attendue et même si [Sakho] est encore jeune, c’est un coup de frein digne d’un pilote de bolide debout sur le frein qui va le bloquer pour un moment. “
Attention à la rupture du frein, Denis.

“Il est évident que l’épanouissement de Rabiot conjugué à l’éclatement total d’Ibra est plutôt bon signe avant demain de reçoit les Citizens, eux aussi, comme Paris, très riches, et qui attendent depuis un trop long moment déjà qu’un trophée majeur, donc Européen, vienne garnir la vitrine, d’un club frustré par tant d’argent dépensé pour… rien.”
A se demander si Denis Balbir n’a pas lui aussi un niveau Ligue des Champions en prose, pour les grandes occasions.

« Je surveille consciencieusement ce que je dit sur le match et l’arbitrage », a bouillonné le technicien argentin tout en se contrôlant pour éviter de déraper. »
Footmercato cumule les exploits, entre cette retranscription toute pétée des propos de Simeone (alors qu’il affirme surveiller ce qu’il dit, belle mise en abyme), « bouillonner » en verbe d’élocution, et un bon gros pléonasme pour conclure.

« Je me prépare dès maintenant à joueur ce match. On est au coude à coude, ce sera intéressant de revenir à Nice pour joueur une Coupe d’Europe. »
C’est pas qu’on ne vous fait pas confiance Le Progrès, mais le comité est quand même presque sûr que ce n’est pas vraiment ce qu’a dit Valentin Eysseric.

« C’est ma saison la plus enrichissante mais aussi la plus enrichissante »
C’est pas qu’on ne vous fait pas confiance MediaFoot Marseille, mais le comité est quand même presque sûr que ce n’est pas vraiment ce qu’a dit Steve Mandanda.

“Gabi, Saul, Carrasco, Griezmann, Torres, ils n‘ont pas les pieds palmés !”
Omar Da Fonseca nous laisse coi-coi.

“Javi Martinez par Gimenez, qui aurait pu demeurer comme l’homme maudit de la soirée, celui par qui le malheur est survenu.”
Malediction et maudissement Vincent Villa.

“leurs supporters se préparaient déjà à exulter, à laisser échapper des cris libérateurs de leurs poitrines enfiévrées”
Et est-ce qu’ils allaient crier à l’aide de leurs cordes vocales qui font du bruit avec le son qui sort par la bouche, Vincent ?

“Deux minutes auparavant, en revanche, il avait regardé passer, impuissant, le coup franc frappé par Xabi Alonso, auteur d’un but (1-0, 31e) qui, comme tous les autres, a une histoire, petite ou grande, avec ou sans paroles.”
PUREE Vincent Villa, c’est le Van Nobel de la prose exaspérante que vous cherchez ?

« Jeudi soir, sur les coups de 20 heures, dans le journal de TF1, Deschamps égrènera les heureux élus, et leurs sept réservistes. »
Et il en fera quoi, Sports.fr ? De l’arabica ?

“L’ancien Lorientais Lamine Koné a été l’homme du match en inscrivant les deuxième et troisième buts des Black Cats. Le premier juste avant la pause sur un deuxième ballon remis par M’Vila après un corner (42e), le second de près sur un nouveau corner (59e), ses deux premiers en Premier League.”
Oui mais le premier, c’est le deuxième marqué avant le troisième qui l’était sur un deuxième corner, c’est bien ça L’Equipe.fr ?

« la valse des entraineurs est la première à se lancer, et il ne faudra pas louper le train sous peine d’être la victime de ce petit jeu des chaises musicales. »
Foot01 pratique aussi la métaphore foireuse.

Sans surprise, Didier Deschamps n’a pas attendu pour savoir. Fekir a perdu le pari insensé de postuler à l’Euro que beaucoup de sirènes lui avaient pourtant laissé croire.”
Régulièrement dénoncé par un lecteur, Antoine Osanna (Hosanna ?!) du Progrès, est en train de devenir un chouchou du comité. Son style de pachyderme poétique ne laisse pas indifférent.

« Depuis quelques jours, c’est plus une surprise, Zlatan Ibrahimovic pourrait être la première recrue de José Mourinho à Manchester United. »
Footmercato remporte haut la main le prix de la phrase la plus laide du jour.

« Didier Deschamps, comme tout sélectionneur, à la veille d’une telle compétition veut que ses joueurs aient l’esprit le plus tranquille possible, et que des limites soient tracées pour passer le cap des intérêts personnels, pour faire bloc. L’union fait la force et Didier Deschamps connaît assez son sujet pour ne pas être aveuglé par une victoire certes, mais difficile, tout en ayant été acquise par 3 buts exquis. »
Le comité ne trouve plus les mots Denis. Plus du tout.

“Mais à l’intérieur, forcément, une sûre marmite dont le contenu régala un stade tout acquis à sa cause déjà au coup d’envoi”
C’est vous qui nous régalez Denis Balbir ne faites pas le modeste.

“Pour ajouter à la satisfaction de l’entraîneur francais, c’est un autre Gunner, Koscielny qui a de la tête salé un peu plus l’addition.”
Parce qu’il a des péliculles, Denis ?

“Fini Laurent Blanc et son staff, Nasser Al Khelaifi allant qualifié cette saison de sa « pire saison « au club. Il en a tout à fait le droit, et en lisant entre les lignes si le besoin s’en fait sentir, le constat est clair…”
Le constat qui est clair quand on le décrypte… C’est un peu comme vos papiers Denis : une fois qu’on change les mots, qu’on met des points pour raccourcir les phrases, qu’on fait abstraction de votre orthographe, on arrive sur trois-quatre lignes compréhensibles.

“Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”
Mais vous aussi Pascal Praud ? Mais que ?

“L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
Presque Manu Petit, presque…

« Monaco, après avoir été mon coup de gueule il y a quelques mois, est redevenu mon coup de cœur, comme ce fut le cas en 2004 et même avant. J’aime cet effectif. J’ai appris à apprécier le travail de Jardim et on peut penser de manière assez légitime que Leverkusen à Monaco, sans doute régénérer en Bundesliga par une victoire à Mayence, est malgré tout en danger. L’équipe allemande, déjà un peu décrochée en championnat reste un sérieux rival, expérimenté. »
Entre ses retournements de vestes, ses confessions anachroniques sur un effecitf qui serait supposément le même depuis 2004, Leverkusen qui gagne mais qui ne sait pas conjuguer et une équipe qui est en danger mais on ne sait pas trop laquelle, Denis Balbir a envoyé le comité dans les cordes.

« La League Cup se poursuivait avec un 3e tour alléchant puisque le hasard du tirage au sort nous a offert de belles affiches comme ce Leicester-Chelsea, ou encore Arsenal qui se déplaçait à Nottingham Forest. Mais tout de suite, nous nous arrêtons du côté du King Power Stadium où le dernier champion d’Angleterre alignait une équipe remaniée. »
Nouveauté Footmercato : le style micro-trottoir adopté à l’écrit. Voilà qui ne manque pas de panache. En vrai, ils ont piqué ça à notre service transfert, mais qui lui travaille presque dans les conditions du direct.

“Le discours qui veut que l’essentiel soit de se créer des occasions a fait long feu et depuis le Qatar, on aimerait sûrement voir le ballon au fond des filets un peu plus d’une fois par match… Surtout quand parfois, cette impression se dégage que même notre gamin de 10 ans pourrait faire frémir les filets. Argument de comptoir ? Sans doute. Mais ceux qui sortent ces arguments sont ceux qui paient leur place ou leur abonnement et qui sont tous prêts à hurler leur soutien à une formation qui le mériterait.”
On a rien compris, Denis.

« j’en ai marre que les spécialistes du foot me disent « Ouais, mais il fait des appels… » Qu’il (Cavani ndcvm) fasse des râteaux et il sera bon pour aller bosser chez Leroy Merlin. »
La preuve que Pierrot est en forme : il trouve même le moyen de placer un subtil « Vas te faire branler, trotskard », à Cavani grâce à une audacieuse métaphore.

“En effet, le duel direct arrive et Mourinho, avant d’atterrir à United, mouillait les draps de… suées, tellement son objectif en signant là-bas était tendu vers les 2 dates où il allait enfin recroiser le fer avec Pepe Guardiola, son pire ennemi. Il reste 48 heures pour se concentrer sur ce vrai duel des bancs.”
Il se passe trop de chose dans cette phrase pour savoir par où commencer Denis.

“La bonne parlote, ceux qui aiment ces weekends chauds, où chaque enceinte où ils ne sont pas, peut devenir un laboratoire de dissection, où tout peut se dire, puis le lendemain, une fois la nuit passée, son contraire.”
La phrase sans sujet véritable a été brevetée par Denis Balbir, n’essayez pas de lui piquer.

“Comme un symbole du divorce annoncé : mardi soir, à quelques centaines de mètres l’un de l’autre, dans le XVIe arrondissement de Paris, deux dîners réunissant les différents clubs pros se déroulaient au même moment.”
PAN. Première phrase de votre article Arnaud Hermant. Première !

« Deux coéquipiers d’Eibar, Sergi Enrich et Antonio Luna, ont réalisé une sextape qui a jailli sur internet mercredi. »
Le choix des mots, le choc de l’info : Europe 1 Sports.

Qu’ont donc bien pu vous faire mes amis footballeurs pour que vous soyez ainsi, tout marri ? Trompé. »
L’UNFP doit avoir un Spooner dans ses rangs.

“La carrière d’un joueur n’est pas seulement conditionnée aux performances sportives car beaucoup se sont cassés les dents par gourmandise mal placée si je puis dire.”
Se casser les dents par gourmandise mal placée arrive par exemple quand on veut goûter un parpaing, sans doute, Miloud.

“Un entretien est alors programmé quelques jours plus tard entre toutes les parties. Mais Passi, dont le nom a été couché sur les feuilles de match dans l’attente de l’homologation du contrat de Garcia, le zappe et mate la suite des événements en passant à l’offensive.”
La Provence avait une référence culturelle et a tenu à tout prix à la faire rentrer de force dans son article

“Le « Deschampsisme » est un pragmatisme, qui compte sur des vedettes porteuses d’exploits individuels pour se tirer d’affaire.”
Non Bruno Roger-Petit, non. “Deschampisme” à la rigueur (et encore que le comité vous tomberait dessus quand même, parce qu’il n’a que ça à faire). Vous préférez quoi, vous, “Roger-Petisme” ou “Roger-Petitisme” ?

“Mais, trois jours plus tard, après la victoire catastrophique contre Bastia en L 1 (2-1), le soupçon de l’entre-soi à la lyonnaise a (un peu) volé en éclats.”
La victoire catastrophique, un concept meilleur que vous puisqu’il vient du meilleur d’entre eux : Vincent Duluc.

“Il a débarqué en métropole sans filet et avec l’insouciance de ses rêves pour seul bagage.“
Michel Berger ? Ah non Bilel Ghazi.

« Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quand à mes ennemis, je m’en charge », avait déclamé Antigone II, roi de Macédoine. José Anigo, qui n’est pas le roi de Marseille, pourrait également s’appliquer cette formule »
Quand soudain, un rédacteur de Foot01 confond son travail avec le bac blanc à venir.

« Titulaire une seule fois depuis le début de la saison avec le Paris SG, Jesé Rodriguez commence à trouver le temps. »
Footmercato.net nous fait perdre le notre.

“… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.

“Ceux qui me connaissent ou suit le football m’auront vu refuser champagne pour homme du match des spectacles à cause de mon attachement à ma religion”
Rassurez-vous Yaya Touré, le traducteur d’Europe 1 Sports semble encore plus bourré que vous.

Le comité a aussi lu que “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”
En ouvrant avec Denis Balbir, difficile de ne pas vouloir refermer ce best-of sur du Denis Balbir.

31 thoughts on “Lé 53 plu belles prozes 20016

  1. a pré-voté

    « Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »
    Clairement Jérôme Rothen, clairement…

    « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    “leurs supporters se préparaient déjà à exulter, à laisser échapper des cris libérateurs de leurs poitrines enfiévrées”
    Et est-ce qu’ils allaient crier à l’aide de leurs cordes vocales qui font du bruit avec le son qui sort par la bouche, Vincent ?

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    “La carrière d’un joueur n’est pas seulement conditionnée aux performances sportives car beaucoup se sont cassés les dents par gourmandise mal placée si je puis dire.”
    Se casser les dents par gourmandise mal placée arrive par exemple quand on veut goûter un parpaing, sans doute, Miloud.

  2. “Je me souviens de cette “une” de l’Equipe, il y a quelques mois, avec une superbe photo de Thiago Silva, et ce titre “Héroïques” qui me saute aux yeux, quand je vais chaque matin, réveiller le fiston pour aller à l’école…..”
    Qué Denis ?

    “J’étais Cruyff quand il jouait.
    Je l’aimais sans jamais l’avoir vu de visu.”
    Dès sa deuxième ligne, Bernard Morlino nous éblouit les rétines des yeux.

    “Car oui, aujourd’hui, alors que la sanction est attendue et même si [Sakho] est encore jeune, c’est un coup de frein digne d’un pilote de bolide debout sur le frein qui va le bloquer pour un moment. “
    Attention à la rupture du frein, Denis.

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    “Le « Deschampsisme » est un pragmatisme, qui compte sur des vedettes porteuses d’exploits individuels pour se tirer d’affaire.”
    Non Bruno Roger-Petit, non. “Deschampisme” à la rigueur (et encore que le comité vous tomberait dessus quand même, parce qu’il n’a que ça à faire). Vous préférez quoi, vous, “Roger-Petisme” ou “Roger-Petitisme” ?

    “Il a débarqué en métropole sans filet et avec l’insouciance de ses rêves pour seul bagage.“
    Michel Berger ? Ah non Bilel Ghazi.

  3. « C’est ma saison la plus enrichissante mais aussi la plus enrichissante » (MediaFoot Marseille)

    « Deux minutes auparavant, en revanche, il avait regardé passer, impuissant, le coup franc frappé par Xabi Alonso, auteur d’un but (1-0, 31e) qui, comme tous les autres, a une histoire, petite ou grande, avec ou sans paroles. » (Vincent Villa est un académicien comme les autres, sauf qu’il n’a pas le droit de dire « Allez vous faire foutre, je trouve pas d’adjectif »)

    « Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim. » (Praud)

    « L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx » (Petit)

    « J’en ai marre que les spécialistes du foot me disent « Ouais, mais il fait des appels… » Qu’il (Cavani ndcvm) fasse des râteaux et il sera bon pour aller bosser chez Leroy Merlin. » (Ménès)

    « Deux coéquipiers d’Eibar, Sergi Enrich et Antonio Luna, ont réalisé une sextape qui a jailli sur internet mercredi. » (Europe 1)

    « La carrière d’un joueur n’est pas seulement conditionnée aux performances sportives car beaucoup se sont cassés les dents par gourmandise mal placée si je puis dire. » (Miloud)

    « Le « Deschampsisme » est un pragmatisme, qui compte sur des vedettes porteuses d’exploits individuels pour se tirer d’affaire. » (BRP)

    Le Challenge Balbir :

    « Je me souviens de cette « une » de l’Equipe, il y a quelques mois, avec une superbe photo de Thiago Silva, et ce titre « Héroïques » qui me saute aux yeux, quand je vais chaque matin, réveiller le fiston pour aller à l’école… »

    « Mais à l’intérieur, forcément, une sûre marmite dont le contenu régala un stade tout acquis à sa cause déjà au coup d’envoi. » (La marmite sûre de Denis)

    « Pour ajouter à la satisfaction de l’entraîneur francais, c’est un autre Gunner, Koscielny qui a de la tête salé un peu plus l’addition. »

    « Le discours qui veut que l’essentiel soit de se créer des occasions a fait long feu et depuis le Qatar, on aimerait sûrement voir le ballon au fond des filets un peu plus d’une fois par match… Surtout quand parfois, cette impression se dégage que même notre gamin de 10 ans pourrait faire frémir les filets. Argument de comptoir ? Sans doute. Mais ceux qui sortent ces arguments sont ceux qui paient leur place ou leur abonnement et qui sont tous prêts à hurler leur soutien à une formation qui le mériterait. »

    « L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle. »

  4. Balbir MVP :

    « bravo au Psg pour sa victoire : ls erreurs sur Sam qui sera suspendu .les h J sur 2 et 3 Ème :manque de chance? »
    De plus en plus cryptique les tweets de Jean-Michel Aulas.

    « En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »
    Un pavé de Balbir à point, un.

    « Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »
    Clairement Jérôme Rothen, clairement…

    « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    “Si il y a encore deux Coupes à jouer pour le club, il est évident que comme des grands le staff de Paris a fissuré les murs du vestiaire, et que la soupe à la grimace additionnée au mercato estival sûrement agité, fera nos choux gras des prochains jours.”
    Est-ce que quelqu’un peut l’arrêter, par pitié.

    “Deux minutes auparavant, en revanche, il avait regardé passer, impuissant, le coup franc frappé par Xabi Alonso, auteur d’un but (1-0, 31e) qui, comme tous les autres, a une histoire, petite ou grande, avec ou sans paroles.”
    PUREE Vincent Villa, c’est le Van Nobel de la prose exaspérante que vous cherchez ?

    « Sans surprise, Didier Deschamps n’a pas attendu pour savoir. Fekir a perdu le pari insensé de postuler à l’Euro que beaucoup de sirènes lui avaient pourtant laissé croire.”
    Régulièrement dénoncé par un lecteur, Antoine Osanna (Hosanna ?!) du Progrès, est en train de devenir un chouchou du comité. Son style de pachyderme poétique ne laisse pas indifférent.

    “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”
    Mais vous aussi Pascal Praud ? Mais que ?

    “La bonne parlote, ceux qui aiment ces weekends chauds, où chaque enceinte où ils ne sont pas, peut devenir un laboratoire de dissection, où tout peut se dire, puis le lendemain, une fois la nuit passée, son contraire.”
    La phrase sans sujet véritable a été brevetée par Denis Balbir, n’essayez pas de lui piquer.

    “Le « Deschampsisme » est un pragmatisme, qui compte sur des vedettes porteuses d’exploits individuels pour se tirer d’affaire.”
    Non Bruno Roger-Petit, non. “Deschampisme” à la rigueur (et encore que le comité vous tomberait dessus quand même, parce qu’il n’a que ça à faire). Vous préférez quoi, vous, “Roger-Petisme” ou “Roger-Petitisme” ?

    « Titulaire une seule fois depuis le début de la saison avec le Paris SG, Jesé Rodriguez commence à trouver le temps. »
    Footmercato.net nous fait perdre le notre.

    Le comité a aussi lu que “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”
    En ouvrant avec Denis Balbir, difficile de ne pas vouloir refermer ce best-of sur du Denis Balbir.

  5. “J’étais Cruyff quand il jouait.
    Je l’aimais sans jamais l’avoir vu de visu.”
    Bernard Morlino

    « Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quand à mes ennemis, je m’en charge », avait déclamé Antigone II, roi de Macédoine. José Anigo, qui n’est pas le roi de Marseille, pourrait également s’appliquer cette formule »
    Foot01

    Tout le reste est horsjeu.net face à Balbir

  6. “J’étais Cruyff quand il jouait.
    Je l’aimais sans jamais l’avoir vu de visu.”
    Dès sa deuxième ligne, Bernard Morlino nous éblouit les rétines des yeux.

    “… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
    Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.

    « Monaco, après avoir été mon coup de gueule il y a quelques mois, est redevenu mon coup de cœur, comme ce fut le cas en 2004 et même avant. J’aime cet effectif. J’ai appris à apprécier le travail de Jardim et on peut penser de manière assez légitime que Leverkusen à Monaco, sans doute régénérer en Bundesliga par une victoire à Mayence, est malgré tout en danger. L’équipe allemande, déjà un peu décrochée en championnat reste un sérieux rival, expérimenté. »
    Entre ses retournements de vestes, ses confessions anachroniques sur un effecitf qui serait supposément le même depuis 2004, Leverkusen qui gagne mais qui ne sait pas conjuguer et une équipe qui est en danger mais on ne sait pas trop laquelle, Denis Balbir a envoyé le comité dans les cordes.

  7. Denis Balbir est hors catégorie mais le cul de Pascal Praud sur la commode pourrait tout rafler.

  8. Je suis en train de finir une anthologie de Balbir. Je pensais pas faire plus épais que Guerre et Paix, et pourtant ! Sortie prévue en 2017. 2 achetés, 1 offert pour vous faire un magnifique marchepied.

    « Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »
    Clairement Jérôme Rothen, clairement…

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    « Je surveille consciencieusement ce que je dit sur le match et l’arbitrage », a bouillonné le technicien argentin tout en se contrôlant pour éviter de déraper. »
    Footmercato cumule les exploits, entre cette retranscription toute pétée des propos de Simeone (alors qu’il affirme surveiller ce qu’il dit, belle mise en abyme), « bouillonner » en verbe d’élocution, et un bon gros pléonasme pour conclure.

    “Je me souviens de cette “une” de l’Equipe, il y a quelques mois, avec une superbe photo de Thiago Silva, et ce titre “Héroïques” qui me saute aux yeux, quand je vais chaque matin, réveiller le fiston pour aller à l’école…..”
    Qué Denis ?

    Il faudra aussi tout de même, avec tous les moyens dont se glorifie parfois le club richissime de notre championnat se demander comment un garçon comme Verratti ou plutôt son état de santé peut rester aussi longtemps un vrai mystère. Sa reprise trop hâtive a coûté très cher à Laurent Blanc, mais au lieu de jouer au poker sur sa présence dans le groupe, sur le banc ou la pelouse, il eut été plus judicieux de travailler sur les points forts de sa propre équipe et non de donner comme alibi, une densification défensive de l’axe pour contrer en plus un Yaya Touré, qui devait bien rigoler car …. sur son banc.”
    Allez, cul sec, c’est Denis Balbir qui régale.

    “Si il y a encore deux Coupes à jouer pour le club, il est évident que comme des grands le staff de Paris a fissuré les murs du vestiaire, et que la soupe à la grimace additionnée au mercato estival sûrement agité, fera nos choux gras des prochains jours.”
    Est-ce que quelqu’un peut l’arrêter, par pitié.

    “Car oui, aujourd’hui, alors que la sanction est attendue et même si [Sakho] est encore jeune, c’est un coup de frein digne d’un pilote de bolide debout sur le frein qui va le bloquer pour un moment. “
    Attention à la rupture du frein, Denis.

  9. Jean-Michel Aulas
    « bravo au Psg pour sa victoire : ls erreurs sur Sam qui sera suspendu .les h J sur 2 et 3 Ème :manque de chance? »

    Balbir
    « En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »

    Bruno Roger-Petit
    « Finie la triste besogne footballistique des mois Benitez, enfin du pain et des jeux avec Zidane. Les thuriféraires thuriféraient, les flatteurs flattaient, les menteurs mentaient et les critiques étaient considérés comme de vils sycophantes. »

    Jérôme Rothen
    « Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »

    Bernard Morlino
    “J’étais Cruyff quand il jouait.
    Je l’aimais sans jamais l’avoir vu de visu.”

    Denis Balbir
    “Mais à l’intérieur, forcément, une sûre marmite dont le contenu régala un stade tout acquis à sa cause déjà au coup d’envoi”

    Pascal Praud
    “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”

    Bruno Roger-Petit pour son homage au flim sur pas le cyclisme
    “Le « Deschampsisme » est un pragmatisme, qui compte sur des vedettes porteuses d’exploits individuels pour se tirer d’affaire.”

    Vincent Duluc
    “… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”

    Denis Balbir
    “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”

  10. « En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »
    Un pavé de Balbir à point, un.“Il faudra aussi tout de même, avec tous les moyens dont se glorifie parfois le club richissime de notre championnat se demander comment un garçon comme Verratti ou plutôt son état de santé peut rester aussi longtemps un vrai mystère. Sa reprise trop hâtive a coûté très cher à Laurent Blanc, mais au lieu de jouer au poker sur sa présence dans le groupe, sur le banc ou la pelouse, il eut été plus judicieux de travailler sur les points forts de sa propre équipe et non de donner comme alibi, une densification défensive de l’axe pour contrer en plus un Yaya Touré, qui devait bien rigoler car …. sur son banc.”
    Allez, cul sec, c’est Denis Balbir qui régale.“Car oui, aujourd’hui, alors que la sanction est attendue et même si [Sakho] est encore jeune, c’est un coup de frein digne d’un pilote de bolide debout sur le frein qui va le bloquer pour un moment. “
    Attention à la rupture du frein, Denis.“Il est évident que l’épanouissement de Rabiot conjugué à l’éclatement total d’Ibra est plutôt bon signe avant demain de reçoit les Citizens, eux aussi, comme Paris, très riches, et qui attendent depuis un trop long moment déjà qu’un trophée majeur, donc Européen, vienne garnir la vitrine, d’un club frustré par tant d’argent dépensé pour… rien.”
    A se demander si Denis Balbir n’a pas lui aussi un niveau Ligue des Champions en prose, pour les grandes occasions.“L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…“… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
    Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.Le comité a aussi lu que “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”
    En ouvrant avec Denis Balbir, difficile de ne pas vouloir refermer ce best-of sur du Denis Balbir.

    Too much Balbir kills the Balbir

  11. « En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »
    Un pavé de Balbir à point, un.
    “Il faudra aussi tout de même, avec tous les moyens dont se glorifie parfois le club richissime de notre championnat se demander comment un garçon comme Verratti ou plutôt son état de santé peut rester aussi longtemps un vrai mystère. Sa reprise trop hâtive a coûté très cher à Laurent Blanc, mais au lieu de jouer au poker sur sa présence dans le groupe, sur le banc ou la pelouse, il eut été plus judicieux de travailler sur les points forts de sa propre équipe et non de donner comme alibi, une densification défensive de l’axe pour contrer en plus un Yaya Touré, qui devait bien rigoler car …. sur son banc.”
    Allez, cul sec, c’est Denis Balbir qui régale.
    “Car oui, aujourd’hui, alors que la sanction est attendue et même si [Sakho] est encore jeune, c’est un coup de frein digne d’un pilote de bolide debout sur le frein qui va le bloquer pour un moment. “
    Attention à la rupture du frein, Denis.
    “Il est évident que l’épanouissement de Rabiot conjugué à l’éclatement total d’Ibra est plutôt bon signe avant demain de reçoit les Citizens, eux aussi, comme Paris, très riches, et qui attendent depuis un trop long moment déjà qu’un trophée majeur, donc Européen, vienne garnir la vitrine, d’un club frustré par tant d’argent dépensé pour… rien.”
    A se demander si Denis Balbir n’a pas lui aussi un niveau Ligue des Champions en prose, pour les grandes occasions.
    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…
    “… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
    Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.
    Le comité a aussi lu que “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”
    En ouvrant avec Denis Balbir, difficile de ne pas vouloir refermer ce best-of sur du Denis Balbir.

  12. “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”

    celle ci est vraiment magique

  13. « la valse des entraineurs est la première à se lancer, et il ne faudra pas louper le train sous peine d’être la victime de ce petit jeu des chaises musicales. »
    Foot01 pratique aussi la métaphore foireuse.

    « Depuis quelques jours, c’est plus une surprise, Zlatan Ibrahimovic pourrait être la première recrue de José Mourinho à Manchester United. »
    Footmercato remporte haut la main le prix de la phrase la plus laide du jour.

    “Gabi, Saul, Carrasco, Griezmann, Torres, ils n‘ont pas les pieds palmés !”
    Omar Da Fonseca nous laisse coi-coi.

  14. J’hésite entre Balbir et Balbir. Il est tellement loin. Mais revoir le grand Manu Petit fait quand même bien plaisir.

  15. « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    Balbir est définitivement hors catégorie, il faudrait peut être envoyer ce best of à ses employeurs pour qu’ils se rendent compte.

  16. « bravo au Psg pour sa victoire : ls erreurs sur Sam qui sera suspendu .les h J sur 2 et 3 Ème :manque de chance? »
    Hole Ass

    « En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »
    Balbir

    « Finie la triste besogne footballistique des mois Benitez, enfin du pain et des jeux avec Zidane. Les thuriféraires thuriféraient, les flatteurs flattaient, les menteurs mentaient et les critiques étaient considérés comme de vils sycophantes. »
    B(u)RP fait du Praud et c’est encore plus indigeste.

    “L’ancien Lorientais Lamine Koné a été l’homme du match en inscrivant les deuxième et troisième buts des Black Cats. Le premier juste avant la pause sur un deuxième ballon remis par M’Vila après un corner (42e), le second de près sur un nouveau corner (59e), ses deux premiers en Premier League.”
    Le meilleur site de sport du monde de l’univers.

    “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”
    Praud.

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Le grand Manu Petit

    “Le discours qui veut que l’essentiel soit de se créer des occasions a fait long feu et depuis le Qatar, on aimerait sûrement voir le ballon au fond des filets un peu plus d’une fois par match… Surtout quand parfois, cette impression se dégage que même notre gamin de 10 ans pourrait faire frémir les filets. Argument de comptoir ? Sans doute. Mais ceux qui sortent ces arguments sont ceux qui paient leur place ou leur abonnement et qui sont tous prêts à hurler leur soutien à une formation qui le mériterait.”
    Balbir. Purée, ce bordel que ça doit être dans son cerveau…

    “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”
    Den’s la Balb’, pour conclure, normal.

  17. Balbir est taré avant même d’être un enculé. Et pourtant c’est difficile d’être plus un enculé que lui. Et le pire, c’est qu’il va encore tout rafler, le mec. C’est le Kusturica des proses : jamais tu ne le vois dans une autre catégorie, mais il remporte le titre suprême à chaque fois.

    « Finie la triste besogne footballistique des mois Benitez, enfin du pain et des jeux avec Zidane. Les thuriféraires thuriféraient, les flatteurs flattaient, les menteurs mentaient et les critiques étaient considérés comme de vils sycophantes. »
    Vous allez rendre son dico à Pascal Praud, Bruno Roger-Petit, merci. Surtout que vous en faites des tonnes, vous avez écrit « thuriféraires » au moins trois fois dans l’article.

    « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    “Il faudra aussi tout de même, avec tous les moyens dont se glorifie parfois le club richissime de notre championnat se demander comment un garçon comme Verratti ou plutôt son état de santé peut rester aussi longtemps un vrai mystère. Sa reprise trop hâtive a coûté très cher à Laurent Blanc, mais au lieu de jouer au poker sur sa présence dans le groupe, sur le banc ou la pelouse, il eut été plus judicieux de travailler sur les points forts de sa propre équipe et non de donner comme alibi, une densification défensive de l’axe pour contrer en plus un Yaya Touré, qui devait bien rigoler car …. sur son banc.”
    Allez, cul sec, c’est Denis Balbir qui régale.

    “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”
    Mais vous aussi Pascal Praud ? Mais que ?

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    “La bonne parlote, ceux qui aiment ces weekends chauds, où chaque enceinte où ils ne sont pas, peut devenir un laboratoire de dissection, où tout peut se dire, puis le lendemain, une fois la nuit passée, son contraire.”
    La phrase sans sujet véritable a été brevetée par Denis Balbir, n’essayez pas de lui piquer.

    “Un entretien est alors programmé quelques jours plus tard entre toutes les parties. Mais Passi, dont le nom a été couché sur les feuilles de match dans l’attente de l’homologation du contrat de Garcia, le zappe et mate la suite des événements en passant à l’offensive.”
    La Provence avait une référence culturelle et a tenu à tout prix à la faire rentrer de force dans son article

    “Le « Deschampsisme » est un pragmatisme, qui compte sur des vedettes porteuses d’exploits individuels pour se tirer d’affaire.”
    Non Bruno Roger-Petit, non. “Deschampisme” à la rigueur (et encore que le comité vous tomberait dessus quand même, parce qu’il n’a que ça à faire). Vous préférez quoi, vous, “Roger-Petisme” ou “Roger-Petitisme” ?

    Le comité a aussi lu que “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.” Balbir.

  18. Trop dur de choisir sa DenisBalbirure. Trop… comment dire… Démerdez vous… Pour accompagner cette cuvée de Denis, je joins quand même quelques faire valoirs, qui n’ont pas démérité :

    “J’étais Cruyff quand il jouait.
    Je l’aimais sans jamais l’avoir vu de visu.”
    Dès sa deuxième ligne, Bernard Morlino nous éblouit les rétines des yeux.

    « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”
    Mais vous aussi Pascal Praud ? Mais que ?

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    j’en ai marre que les spécialistes du foot me disent « Ouais, mais il fait des appels… » Qu’il (Cavani ndcvm) fasse des râteaux et il sera bon pour aller bosser chez Leroy Merlin. »
    La preuve que Pierrot est en forme : il trouve même le moyen de placer un subtil « Vas te faire branler, trotskard », à Cavani grâce à une audacieuse métaphore.

  19. J’ai une pensée nostalgique pour Surlacommode. Quelqu’un sait ce qu’il devient?
    Praud, enfoiré.

  20. « Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »

    « C’est ma saison la plus enrichissante mais aussi la plus enrichissante »

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”

    “La bonne parlote, ceux qui aiment ces weekends chauds, où chaque enceinte où ils ne sont pas, peut devenir un laboratoire de dissection, où tout peut se dire, puis le lendemain, une fois la nuit passée, son contraire.”

  21. Alors je vais prendre un peu de Balbir :

    « En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »

    Celle là c’est la mieux. Verbiage Achille Talonnesque, virgule à la Jean-Michel Apeuprès, Image de poète à la Arthur Rambo in. Mes Poésies les Plus Profondes au Calibre 12

  22. Ensuite il nous faut du Manu, sobre, précis, challenger :

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”

  23. Et pour conclure ce championnat à deux vitesses (il y a Balbir, mais aussi, et surtout du coup, étant donné leur valeur importante mais, on ne le sait que trop, par trop insuffisante : les autres) je prends le poète :

    “… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
    Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.

  24. “J’étais Cruyff quand il jouait.
    Je l’aimais sans jamais l’avoir vu de visu.”

    “Si il y a encore deux Coupes à jouer pour le club, il est évident que comme des grands le staff de Paris a fissuré les murs du vestiaire, et que la soupe à la grimace additionnée au mercato estival sûrement agité, fera nos choux gras des prochains jours.”

    « Mais il n’y a pas de fumée sans feu, et les choses de bouger en coulisses. À ce titre, la fin de la collaboration avec son entraîneur Michel officialisée hier s’inscrit dans un grand remue-ménage qui vient peut-être ce matin d’atteindre son point d’orgue. »

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”

  25. « Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »
    Clairement Jérôme Rothen, clairement…

    « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    “Car oui, aujourd’hui, alors que la sanction est attendue et même si [Sakho] est encore jeune, c’est un coup de frein digne d’un pilote de bolide debout sur le frein qui va le bloquer pour un moment. “
    Attention à la rupture du frein, Denis.

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    “Il a débarqué en métropole sans filet et avec l’insouciance de ses rêves pour seul bagage.“
    Michel Berger ? Ah non Bilel Ghazi.

    “… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
    Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.

  26. « Je ne suis pas sûr que si l’ASSE n’avait pas été mieux physiquement qu’elle n’aurait pas gagné ce match »
    Clairement Jérôme Rothen, clairement…

    “Si il y a encore deux Coupes à jouer pour le club, il est évident que comme des grands le staff de Paris a fissuré les murs du vestiaire, et que la soupe à la grimace additionnée au mercato estival sûrement agité, fera nos choux gras des prochains jours.”
    Est-ce que quelqu’un peut l’arrêter, par pitié.

    « Jeudi soir, sur les coups de 20 heures, dans le journal de TF1, Deschamps égrènera les heureux élus, et leurs sept réservistes. »
    Et il en fera quoi, Sports.fr ? De l’arabica ?

    “Mais à l’intérieur, forcément, une sûre marmite dont le contenu régala un stade tout acquis à sa cause déjà au coup d’envoi”
    C’est vous qui nous régalez Denis Balbir ne faites pas le modeste.

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    “La carrière d’un joueur n’est pas seulement conditionnée aux performances sportives car beaucoup se sont cassés les dents par gourmandise mal placée si je puis dire.”
    Se casser les dents par gourmandise mal placée arrive par exemple quand on veut goûter un parpaing, sans doute, Miloud.

    “Il a débarqué en métropole sans filet et avec l’insouciance de ses rêves pour seul bagage.“
    Michel Berger ? Ah non Bilel Ghazi.

    “… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
    Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.

  27. « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    « Je surveille consciencieusement ce que je dit sur le match et l’arbitrage », a bouillonné le technicien argentin tout en se contrôlant pour éviter de déraper. »
    Footmercato cumule les exploits, entre cette retranscription toute pétée des propos de Simeone (alors qu’il affirme surveiller ce qu’il dit, belle mise en abyme), « bouillonner » en verbe d’élocution, et un bon gros pléonasme pour conclure.

    « Jeudi soir, sur les coups de 20 heures, dans le journal de TF1, Deschamps égrènera les heureux élus, et leurs sept réservistes. »
    Et il en fera quoi, Sports.fr ? De l’arabica ?

    “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”
    Mais vous aussi Pascal Praud ? Mais que ?

    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    « Monaco, après avoir été mon coup de gueule il y a quelques mois, est redevenu mon coup de cœur, comme ce fut le cas en 2004 et même avant. J’aime cet effectif. J’ai appris à apprécier le travail de Jardim et on peut penser de manière assez légitime que Leverkusen à Monaco, sans doute régénérer en Bundesliga par une victoire à Mayence, est malgré tout en danger. L’équipe allemande, déjà un peu décrochée en championnat reste un sérieux rival, expérimenté. »
    Entre ses retournements de vestes, ses confessions anachroniques sur un effecitf qui serait supposément le même depuis 2004, Leverkusen qui gagne mais qui ne sait pas conjuguer et une équipe qui est en danger mais on ne sait pas trop laquelle, Denis Balbir a envoyé le comité dans les cordes.

    « j’en ai marre que les spécialistes du foot me disent « Ouais, mais il fait des appels… » Qu’il (Cavani ndcvm) fasse des râteaux et il sera bon pour aller bosser chez Leroy Merlin. »
    La preuve que Pierrot est en forme : il trouve même le moyen de placer un subtil « Vas te faire branler, trotskard », à Cavani grâce à une audacieuse métaphore.

    “En effet, le duel direct arrive et Mourinho, avant d’atterrir à United, mouillait les draps de… suées, tellement son objectif en signant là-bas était tendu vers les 2 dates où il allait enfin recroiser le fer avec Pepe Guardiola, son pire ennemi. Il reste 48 heures pour se concentrer sur ce vrai duel des bancs.”
    Il se passe trop de chose dans cette phrase pour savoir par où commencer Denis.

    « Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quand à mes ennemis, je m’en charge », avait déclamé Antigone II, roi de Macédoine. José Anigo, qui n’est pas le roi de Marseille, pourrait également s’appliquer cette formule »
    Quand soudain, un rédacteur de Foot01 confond son travail avec le bac blanc à venir.

    “… une nuit où les quais de Saône étaient noyés de vert et blanc, et réciproquement”
    Ah, les vert et blancs étaient noyés de quais de Saône ? Sale histoire Vincent Duluc.

  28. “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

    « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”

    “Deux minutes auparavant, en revanche, il avait regardé passer, impuissant, le coup franc frappé par Xabi Alonso, auteur d’un but (1-0, 31e) qui, comme tous les autres, a une histoire, petite ou grande, avec ou sans paroles.”
    PUREE Vincent Villa, c’est le Van Nobel de la prose exaspérante que vous cherchez ?

  29. Balbir est tellement puissant qu’il faut bien aller voir ailleurs, mais pas trop.

    « Lui il n’est pas manchot avec ses pieds »
    Le comité a découvert hier que Frédéric Piquionne commentait la Youth League sur Canal +. Il y reviendra.

    « Mais il n’y a pas de fumée sans feu, et les choses de bouger en coulisses. À ce titre, la fin de la collaboration avec son entraîneur Michel officialisée hier s’inscrit dans un grand remue-ménage qui vient peut-être ce matin d’atteindre son point d’orgue. »
    Le festival des poncifs Footmercato remettait aujourd’hui ses prix dans la catégories « expressions éculées ».

    “Bref, DD, il doit bien se marrer. Le jeu, les joueurs, Matuidi ou Sissoko, Griezmann qu’est cuit, Pogba qui se prend pour un autre, mon cul sur la commode et tout le toutim.”
    Mais vous aussi Pascal Praud ? Mais que ?

    “Gabi, Saul, Carrasco, Griezmann, Torres, ils n‘ont pas les pieds palmés !”
    Omar Da Fonseca nous laisse coi-coi.

    “Ceux qui me connaissent ou suit le football m’auront vu refuser champagne pour homme du match des spectacles à cause de mon attachement à ma religion”
    Rassurez-vous Yaya Touré, le traducteur d’Europe 1 Sports semble encore plus bourré que vous.

    Le comité a aussi lu que “L’OM signe une troisième victoire consécutive et se mêle à ce championnat à 3 vitesses où le titre semble promis à Monaco, Nice ou Paris et où les sièges pour les accessits ressemblent à un complexe cinématographique avec Lyon, Rennes, Saint-Etienne ou d’autres comme cette belle équipe de Guingamp où le travail d’Antoine Kombouaré colle à ce club qui ne se trompe jamais dans son puzzle.”
    En ouvrant avec Denis Balbir, difficile de ne pas vouloir refermer ce best-of sur du Denis Balbir.
    (ah ben oui, il est inévitable ce gaillard-là)

  30. Après le money-time, du Balbir (mais comment le titre peut-il lui échapper?):

    « Vous voulez un aperçu des rendez-vous de Lyon prochainement ? Je veux bien ouvrir la caisse du cinéma, et en prime vous donner l’esquimau pour vous aider à méditer. En championnat, Lyon va se frotter à Bordeaux, Angers, Caen, Lille, Paris d’ici la fin février, avec à l’entracte, un match de Coupe de France le 10 février au Parc des Princes. Il est d’ailleurs facile de noter que si Lacazette veut donner un coup de main à son club formateur pour être Européen, le match de Coupe au Parc, s’il s’apparente à un rendez-vous digne de mission impossible, pourrait en cas d’exploit, faire de la Coupe de France, une proie accessible pour Jean-Michel Aulas, dont on se demande si intérieurement, il croit encore au miracle. »
    Même si le comité est content de vous retrouver, Denis Balbir, ça reste de courte durée, la migraine revenant assez vite.

    « En clair, si le PSG ne le savait pas, ce qu’on ne peut admettre, plus que jamais, c’est Paris qui a la pression et qui en un match, peut gommer les questions qui se posent sur la digestion des événements qui ont fait le tour de la planète, où se mettre à douter, ce qui serait une première cette saison. »
    Un pavé de Balbir à point, un.

    Et parce que celle-ci est d’un grand:
    “L’Espagne va renaître de ses cendres, comme un Sphinx”
    Presque Manu Petit, presque…

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