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Ami du peuple grenat, BONSOAR !

Avant-match :

 

Ce week-end à Sinsinforien c’est l’AS Nancy Quiches Lorraine, le club du chardon ! Les forces du bien rencontrent celles du sale. La bite en arc-en-ciel, Rigobert s’apprête à renouer avec son stade au meilleur des moments, tandis que Pablo Nord Coréa et ses semi-hommes viennent défier le Graoully en son antre.

 

Mais malheureusement, alors que l’excitation montait dans l’est de la France, certains experts en matière de fiasco et autres petites putes sensibles en costard-cravatte, ne sont pas restés inactifs en coulisse. Personne ne fût d’abord surpris d’apprendre que le parcage visiteur d’un stade français resterait une nouvelle fois vierge, communsymbole du compteur but nançois lors des deux précédentes confrontations.

 

 

Ensuite, ce fût la direction moustachue du FC Metz qui se signala une nouvelle fois dans son domaine de prédilection : le porte-monnaie. En effet, Bernard Sauron tacla dérechef le chômage les deux pieds décollés, en choisissant de ne proposer à ses légions de supporters, qu’une seule et unique possibilté pour assister à Metz Nancy : acheter un pack de 3 matchs, fermer sa gueule et dire merci poliment. Rigobert ne prétend pas s’y connaitre plus qu’un autre en droit commercial, mais son petit doigt lui souffle qu’il n’est pas totalement exclu qu’il s’agisse là de vente forcée… Shalom.

 

Face à la pression de ses supporters sur les rézo socio, la direction moustachue du FC Metz retourna sa veste, une fois n’est pas coutume, pour admettre finalement une vente sur Metz-Nancy à l’unité, mais uniquement réservée à l’abonné et une semaine avant le Derby. Pour cela, les gentils abonnés n’avaient qu’à gentiment baisser leur froc, payer la dîme présidentielle, décliner nom, prénom, adresse mail/postale, n° de téléphone et de CNI et le tour était joué, ils pouvaient bénéficier de jusqu’à 4 places pour le Derby, avec les félicitations présidentielles et un gobelet Gaëtan Bussmann.

Tout cela, avant de se rétracter une nouvelle fois, et d’ouvrir en dernier lieu une vente à l’unité ouverte à tous, même aux arabes, pour les dernières places disponibles, à condition que de fournir tous les renseignements nécessaires à la bonne digestion de cette petite coquine de Bernard Sauron. Mais il en faut plus pour entamer le sourire de Rigobert à l’approche du match de l’année.

D’autant que la semaine passée, et tandis que Metz défonçait Laval avec la manière (académie du Doc’ à lire par ailleurs), les Nançois de mort recevaient Niort à Marcel Picote. Incapables de faire la différence sur le terrain (1-1), les supporters se distinguèrent quant à eux en tribunes offrant à Jérémy Choplin un message génial dans le fond comme dans la forme.

    C’est donc en pleine confiance que les Chardonneux traversent la Lorraine pour défier un FC Metz invincible. D’autant que les Messins sont prêts. Rigobert ne livrera pas une liste exhaustive des indices qui laissent à penser que le FC Metz va dérouiller Nancy, mais vous donne quand même quelques pistes :      

Les statues des places Nançoises affichent leur préférence et indiquent aux meurthe-et-mosellans la direction de leur prochaine déculottée. Sympa.

 

cc et merci à @Vinalt qui a de bonnes idées.
Kévin Lejeune est manifestement prêt. (cc et merci à @Vinalt qui a de l’humour)

 

 

C’est du vu et revu, mais ça reste indémodable :

 

Petite dédicace à la belle carrière du gros Ped de mort :

 

 

 

Metz que un match :

 

-20 : « Et ils sont où ? Et ils sont où ? Et ils sont où les Nancéiens ? » se demandent des milliers d’amoureux du footbanal.

 

-15 : Compo du soir, bonsoar :

 

-14 : Ikaunieks titulaire c’est dangereux. Le jeune u9 messin n’est pas encore prêt pour ce genre de match.

-10 : Les joueurs nancéiens commencent à comprendre qu’à un moment ou à un autre, il va bien falloir préparer son anus…

 

-8 : On n’oublie pas de saluer JJ Rousseleau comme à chaque derby :

 

-6 : On fait également un gros bisou aux supporters nançois qui s’étaient pourtant bien entraînés pour le Derby…

-4 : Bon, qu’on se le dise, globalement la Lorraine est grenat.

Rigobert en profite pour remercier les copines du GFC pour leurs belles photos.1 :

 

0 : Le coup d’envoi est donné par l’arabe de salon, Monsieur Saïd N’Gijol.

 

1 : Sur le coup d’envoi, deux Nancéiens s’écroulent instantanément et se roulent de douleur. La tactique de Pablo Correa « jouez avec vos qualités » a manifestement été entendue.

 

3 : Dans le 54, des dizaines de supporters condamnés à regarder le match depuis chez eux, ne perdent cependant pas les bonnes vieilles habitudes et s’enfuient en courrant de leur salon.

5 : Mais aussi sales et vils qu’ils puissent être, le plus grand méchant dans l’histoire, ça reste la moustache présidentielle de sa Ligue de fils de putes soumises. Message de soutien de la Horda :

 

6 : Coup franc pour Nancy. Tête d’un noir sur la barre de Didillon. Le FC Metz a la plus grosse chatte du continent en ce début de saison.

 

11 : Balliu se chie littéralement dessus dès que Dalé lui fait attaque Groz’yeux. La formation barcelonaise à ça comme lacune de ne pas préparer ses joueurs à l’éventualité « grand noir sans diplôme ».

 

15 : Le premier turc du FC Metz a le mérite d’être bien chauve et bien luisant. Son seul défaut c’est qu’il est nul au foot.

 

18 : Pedretti met particulièrement bien en valeur le maillot torchon Sopalin de l’ASaNaL.

 

21 : N’Gbakoto en pointe, Kévin Lejeune en milieu relayeur… Manquerait plus que Bussmann soit titulaire avec Mayence et Rigobert ne comprendra officiellement plus rien au foot.

 

25 : Métanire envoie une grosse feinte de corps de noir et accélère avant de se rendre compte qu’il a oublié de prendre le ballon avec lui.

 

32 : Rigobert plisse les yeux pour essayer de voir si Candéias est plus invisible que nul ou si c’est l’inverse.

 

36 : Le Nancéien est un animal nettement plus à laise en position latérale de sécurité que debout comme un homme.

38 : Nouveau Nancéien à terre. Entrée en jeu de 4 joueurs du Montpellier Hérault Sporting Club.

 

39 : On voit bien que la nouvelle philosophie du FC Metz a été adaptée au contexte du Derby : « Des pains et du jeu ».

 

41 : Manque donc plus que le jeu. Car la charnière Nancé-hyènes est apparue plutôt tranquile dans cette première mi-temps.

 

43 : Duel aérien entre Dalé et Balliu. Nouvelle désillusion pour le petit raton espagnol.

 

45 : Métanire n’ayant aucune chance de récupérer le ballon, choisit de claquer un gros tacle d’hérétique et reçoit un jaune foncé avec le sourire.

 

Mi-temps. La France du football envoie un message à l’ASaNaL.

 

46 : C’est reparti à Sinsinf où les quelques 25 000 âmes grenat attendent désespérement une occas’. Ou même un centre. Franchement un centre c’est déjà bien.

 

47 : Et pendant ce temps, José Riga a pris les choses en main en renvoyant le Sovièt’ à son hibernation, et l’a remplacé par un Zambien beaucoup plus haut en couleurs. De plus, Génie repasse dans un couloir et Rigobert a une mi-molle.

 

48 : Muratori et Ikaunieks en train de jouer à « saute-Letton »

 

51 : Métanire fait du hoola-hoop avec le cerveau de Pedretti qui n’était pourtant déjà pas au mieux.

 

54 : Sans rien enlever à la haine viscérale que tout humain normal porte à Nancy, force est de constater qu’aujourd’hui les chardonneux de mort compensent leur déficit de race par beaucoup de courage.

 

58 : Le gros turc chauve est totalement dépassé par le niveau Lugue d’eux et ne sais pas où donner de la tête.

62 : Combinaison intéressante entre Pedretti et Robic.

 

64 : Duel déséquilibré entre Lenglet et Ikaunieks qui obtient malgré tout la faute.

 

66 : Sortie du jeune letton, entrée de Dieudonné Ggribouillé.

 

68 : Première prise de balle du petit brouillon noir du FC Metz, et nouveau festival de danse africaine le long de la ligne. Sinsinf gagne 1° Celsius mais le FC Metz perd 30 secondes.

 

72 : Mayuka n’a pourtant  rien d’autre à se mettre sous les pattes que des grands ballons de Didillon, mais permet à Baldé, resté en tribune, de bien regarder comment doit se comporter un noir sur le front de l’attaque d’un club européen.

 

75 : Sortie de Santos, esthète, entrée de Sassi la famille, esthète. Pedretti lui, a les yeux mi-clos et un filet de bave au lèvres en plus de sa gueule d’esclave de la honte.

 

77 : Encore un duel remporté par Palomino, qui laisse Robic dans un triste état.

 

80 : Rigobert a la sensible impression que Metz pourrait jouer à ce rythme pendant un an et n’arriverait toujours pas à placer une frappe cadrée.

 

82 : Parce que c’est bien joli de vouloir jouer comme le Barça en Ligue d’eux mais au bout d’un moment faut revenir à la raison et envoyer des grosses chandelles vers la surface pour pouvoir marquer. Un peu de respect pour le championnat que diable !

 

83 : D’autant que le FC Metz n’a jamais été très doué pour jouer au ballon comme des petites salopes, et a toujours préféré la percussion subsaharienne à la technique latine.

 

84 : Lusamba et Coulibaly à l’échauffement depuis 40 minutes commencent à montrer quelques signes de fatigue anale.

 

85 : Métanire n’est pas subsaharien lui, mais au moins quand il court il va vers l’avant.

 

88 : Youssouf Hadji seul au 6 mètres devant le but balance une grosse tête plongeante à côté du cadre de la décence. Sinsinf a eu peur, disons les choses franchement.

 

89 : Il y aura 6 mois de temps additionnel.

 

90+1 : Guy Rolland N’Dy Assembé, excusez du peu, s’écroule en dehors de sa surface sans que l’arbitre n’intervienne. Sassi la famille a le ballon dans les pieds et doit choisir entre frapper dans le cadre vide tel que le ferait n’importe quel autre maghrébin ou être le roi des homosexuel fair-play et mettre la balle en touche.

 

90+2 : Renvoi en touche pour l’AS Nancy guiche lorraine.

 

90+3 : Pour la première fois de la soirée le FC Metz pénètre dans la surface rouge et blanche et Mayuka se fait percuter à toute vitesse. Saïb N’Jimmy ne siffle rien d’autre que la fin du match.

 

90+4 : Petite échauffourée des familles entre les joueurs chardonneux et quelques pétards festifs. Retour aux vestiaires. Pluie battante.

 

90+5 : Fin du derby. Les Nancéien repartent de Sinsinf avec un point et leur honneur pour la première fois de l’histoire. Joie des « supporters » Sopalin.

 

 

Les notes :

 

Thomas Didillon, 3/5 :

Un Nardi dans chaque gant, une barre bien solide en ce moment et une aura de gardien fort en couilles. Si Metz n’a encaissé que deux buts misérables depuis le début de la saison, il le doit en grande partie à son dernier rempart, sa citadelle, Monsieur Didillon.

 

Romain Métanire, 3/5 :

Arrière droit intégriste et anti-Nancéien convaincu, Métanire n’a pas eu besoin à une séance de motivation personnelle pour aller claque du gros déboulé de sauvage, ou un tacle à la limite du footballistiquement correct en fin de première mi-temps. Un vrai match de guerrier. Manque plus que le football.

 

Ivan Balliu, 2/5 :

Petite victime espagnole à qui on a présenté un projet de jeu basé sur la possession du ballon et la maîtrise collective, et qui se retrouve coincé arrière gauche, au milieu de gros noirs hostiles ou de chauves féroces, en somme en Ligue d’eux, là où le football n’a que peu de rapport avec le ballon. Cela dit, si Balliu s’est littéralement fait violer par quelques subsahariens, on a pu voir quelques capacités techniques que Bussmann n’avait même pas sur Fifa.

 

José Luis Palominal, 4/5 :

Palomino fait le boulot de 2, si ce n’est pas plus, avec calme, assurance, force et intelligence. En 39, si à la place de faire les petites salopes derrière la ligne Maginot, les Français avaient fait les petites salopes derrière Palomino, Rigobert parie son slip que les nazis ne seraient pas passés. Mais du coup y’aurait plus de Juifs et ça c’est non.

 

Le gros Turc de base, 1/5 :

Bien chauve et bien luisant. Bien nul surtout, le Turc de base du FC Metz a rappellé à tous à quel point Guido Milan nous manque. Entre le tapis portugais Nuno Reis et la saucisse turque ambulante, le coeur de Rigobert balance. Si encore Sezer Ozmen avait la décence de claquer des gros tacles barbares sur les petits babtous fragiles de l’ASaNaL pour sauver les meubles, on pourrait admettre ce néant de technique, mais le défenseur centranal messin n’assume même pas son double statut de chauve et de Turc, qui devrait faire de lui la violence incarnée, et qui à la place en fait l’idiot du village, tout heureux d’être pourri.

 

André Santos, 3/5 :

Empereur en son royaume, l’entre-jeu, André Santos régale la chique en distribuant des petites passes soyeuses à gauche comme à droite. Petit bémol, le Portugesh n’arrose que peu ses attaquants, la faute sûrement à ce gros Baldé qui a finit de convaincre Santos que mettre le ballon devant c’était le perdre. Dans un registre de premier relanceur, Santos fait le boulot, sans zèle ni coup d’éclat, mais avec la maîtrise tranquile de ceux qui savent.

 

Kévine Lejeune, 2/5 :

Capitaine charismatique d’un FC Metz qui aurait bien eu besoin d’un leader, Kévine a fait du Lejeune, très impliqué défensivement mais plutôt brouillon quand il s’agit d’utiliser son cerveau. Dommage que Sahid Hainejimi n’ait pas pensé à mettre son putain de siffler dans sa bouche de semi-gros en fin de match, pouvant offrir ainsi au capitaine grenat son 18ème but en Ligue d’eux cette saison.

 

Serguey Krivets, 1/5 :

Le mystère anal le plus insoluble de l’ère Rigobert. Comment un biélorusse, qui n’a donc pas d’émotion, peut-il passer de future révélation du fooball mondial à vieille milf surranée qui n’a rien d’autre à proposer à ses amoureux que le vague souvenir de comme c’était bien avant ? Krivets a traversé cette première période sans peser d’une quelconque manière sur quoi que ce soit et s’est donc légitimement fait renverser à la pause par le grand capital José Riga.

 

Janis Ikaunieks, 1/5 :

Egaré jeune prodige letton, Janis Ikaunieks, 7 ans et demi. Merci de contacter Rigobert en cas d’informations.

 

Daniel Candeias, 1/5 :

Insipide, terne, et effacé. Sans être nul, Candeias a un statut qui devrait lui permettre de faire mieux que les 3 passes et demi qu’il a données dans ce match médiocre. Parce que si t’es pas content de jouer pour Metz mon bonhomme, ben tu retournes faire comme papa et maman, construire des maisons en salopette. Enculé va !

 

Génie N’Gbakoto, 2/5 :

Génie endormi. La faute à José Riga notamment qui place son détonateur dans un registre où son talent est en berne, condamnant ainsi les espoirs offensifs grenat en première période. Repositionné ensuite sur le côté, N’gbakotal n’a pas rayonné comme depuis le début de saison. La faute à José Riga on vous dit putain ! Rigobert scanderait bien Riga démission, mais ce n’est pas la peine, José finira quoiqu’il arrive en prison, avec des mecs beaucoup moins poli que lui dans les douches. Et là tu paieras pour avoir mis Yéni en pointe espèce de fautif.

 

Les remplaçants :

 

Emmanuel Mayuka, 3/5 :

Le Zambien a le rythme dans la peau, et même sans prépa physique, même avec son gros cul de black des ténèbres, Mayuka a fait danser la samba à la défense nançoise. Avec trop peu de ballons exploitables, le récent vainqueur de la CAN a réussi à foutre un peu de zbeul dans la mauvaise herbe meurthe-et-mosellane. C’est donc déjà 92 fois mieux que Baldé en 8 matchs. Et mieux que Moussa Gueye en 6 ans. Par contre c’est moins bien que Kwamé N’Sor qui lui n’a besoin que de 12 minutes de jeu pour claquer une Bundesfrappe dans l’anus des visiteurs. Prends-en de la graine Manu.

 

Dieudonné Gbaclé, 2/5 :

Encore un beau gribouillis de football offert par la bête immonde. En une mi-temps, Dieudonné a réussi à donner quelques sueurs froides à Muratori sans pour autant avoir un impact considérable sur quoi que ce soit d’autre que le sourire de Rigobert. Parce que notre jeune malien prend les choses très au sérieux et fait tout un tas de petits mouvement bizarres avec ses petites pattes avant ou arrière, espérant sans doute ensorceler son vis-à-vis, jusqu’au jour où il va tomber sur un défenseur qui n’a pas de second degré et va passer sa nuit aux urgences, avant d’être vendu à Beveren, puis de finir en D2 hongroise.

 

Ferjani Sassi la famille, 3/5 :

Ferjani Sassi ou l’assurance de voir enfin un peu de beau dans une soirée bien fadasse. Quelques minutes après son entrée en jeu, Sassi la famille chatouille l’honneur du gros Ped puis envoie une lourde bien pure sous la barre. Sinsinf est content, Sassi est resté et bientôt il servira mieux les Grenat que depuis le band de touche, devenant vraissemblablement le joueur le plus racé de l’histoire de la Ligue d’eux. Ex aequo avec Adama Tambouré qui était bien racé aussi mais de manière différente.

 

Allez, pour conclure, Rigobert est sympa et vous offre le résumé de la rencontre :

 

Le FC Metz revient bientôt. Portez vous tant bien que mal d’ici là. Shalom.

 

Rigobert.

4 thoughts on “Le Derby lorrain (0-0) : La Metz que un club Académie petit zizi

  1. Comment peut-on faire une acad aussi drôle avec un match aussi chiant ? on en viendrait presque à souhaiter plus de 0-0 pour Metz !

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