Ce ne sera pas long. À cause des affaires que l’on sait, Naples a perdu 5 points contre Bologne, et se retrouve cinquième? On ne sait pas si le club dérange, mais certainement plus que Pescara? Les points d’interrogation sont pour faire joli, pour donner l’impression d’avoir des doutes, et, justement, des interrogations. Mais on est au fait du complot. Dans leur QG les pontes de la Juventus font des parties de bilboquet avec les familles qui comptent en Italie, les Milanais donnent le change mais en vérité se livrent à des parties fines avec les mêmes salopards. Alors les chromosomes des fils de chiennes sont mixés, brassés, et c’est dégueulasse, les dinosaures partouzeurs de droite. Y en a marre! Aujourd’hui on a probablement perdu Paolo Cannavaro pour la vie. Il nostro capitano. Aujourd’hui nous sommes décapités, aussi notre âme ne pourra-t-elle hanter les fils de chiennes jusqu’à ce que les fils de chiennes (que ce soit bien compris) ne se précipitent dans les bras de la mort pour échapper à leurs souffrances. Seule bonne nouvelle, Naples a refourgué Salvatore Aronica, le joueur clutch contre son camp, aux pigeons de Palerme (t’as qu’à regarder leur logo de pédérastes). Maintenant les notes :

 

De Sanctis (2/5) : 3 buts de Bologne merde. Merde.

Gamberini (3/5) : Buteur opportuniste, nouveau visage de la défense du Napoli. Avec sa tête de grec. Merde.

Cannavaro (300/5) : Au revoir et merci. Dommage de terminer par une prestation médiocre.

Britos (2/5) : Sorti à la mi-temps pour Pandev, pour tenter un coup mais aussi parce qu’il était trop mauvais.

Maggio (2/5) : Percute comme Brandao dans la chatte du diable. Oui mais ce n’est pas suffisant, encore faudrait-il que ses mouvement ne se concluent pas systématiquement par des pertes de balles.

Behrami (4/5) : Malgré la régularité de ses performances stratosphériques (quelle présence dans la récupération!) et une coupe de cheveux particulièrement dégueulasse pour se distinguer des autres joueurs, on ne parle pas assez de Valon Behrami. Indignez-vous, bande de tarlouzes pédérastes.

Inler (3/5) : Un match moyen, quelconque, fade, comme la femme que tu t’es finalement résigné à épouser. Qu’à cela ne tienne, tu pourras toujours niquer ta meilleure copine d’enfance, la concierge, ou ta belle-soeur la femme de ton connard de beau-frère.

Zuniga (3/5) : Deux trois montées en première période. C’est peu, mais cela a suffit pour que Zuzu apporte plus de danger que Maggio. En deuxième période, il a davantage défendu après l’entrée de Pandev.

Hamsik (3/5) : Un match correct donc insuffisant. On n’a pas vu le slovaque fuoriclasse. On a vu un personnage de Foot 2 Rue au mieux.

Insigne (4/5) : Assez brouillon mais décisif sur les deux buts. Il veut devenir le nouveau Paolo Cannavaro? Alors à lui de jouer, ça commence maintenant.

Cavani (3/5) : Il a eu l’occasion d’achever Bologne, mais, après avoir donné l’avantage au Napoli, El Matador a manqué l’estocade. Épée en travers de la bête dans les poumons, vomissure sanglante, retrait de l’épée, mouvements de cape alentours, changement d’épée, nouvelle tentative, nouvel échec, gêne des spectateurs, envie de rire et de se barrer.

 

Sostituzioni :

Pandev : ne faisait pas tâche dans un océan de merde.

Dzemaili : va te jeter à la mer. Dans l’océan de merde.

 

Bast’. Baci a tutti,

Mangiacaca e Fistoculo

2 thoughts on “Naples-Bologne (2-3), la Piemontese Académie livre ses notes

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