Real Zaragoza-Celta Vigo (0-1) : La Galicia Académie livre ses notes

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Dudu est en fait croyant

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Les notes :

Javis Varas (5/5) : Il a participé activement au hold-up avec des parades décisives devant Edu Oriol et Aranda. Une aubaine de se l’être fait prêter par Sévilla FC, maintenant faut organiser son kidnapping.

Mallo (3/5) : A défendu, à défaut d’avoir des poils au cul. De rien pour la rime, si je te prends je te lime.

Cabral (3/5) : Continue sa course effrénée aux cartons jaunes, et a tendance à oublier que 1 + 1 = 2. Ça va pour cette fois, mais si quelqu’un pouvait se dévouer pour lui expliquer les règles… merci !

Tuñez (3/5) : Les deux centraux ont fait montre d’une belle complémentarité, Tuñez davantage sollicité mais relativement intraitable lui aussi ; il a bien profité de son Cabral avant retour de permission – comme un symbole de la charnière du Nîmes Olympique.

Lago (4/5) : De droite à gauche, la ceinture de chasteté ; Roberto Lago en fut le dernier verrou contre Zaragoza. Avec ce détail qui fait la différence : il est passeur décisif sur le but de Aspas, en adressant un centre en retrait au timing parfait.

Oubiña (4/5) : Un match émaillé par quelques fautes, c’est vrai, mais beaucoup de ballons récupérés et plutôt bien distribués derrière – tout en jouant vers l’avant, ce qui est très fort. Et puis c’est le capitaine attends, il a une dérogation : pas besoin de sucer pour avoir plus de 3/5.

Alex Lopez (3/5) : Il est capable de beaucoup mieux que cette partie en demi-teinte. Mais on est habitué à son irrégularité chronique, rien de nouveau sous le soleil des tropiques avec Gilbert Montagné et Antoine, qui a attendu vingt ans pour se faire couper les cheveux. Vingt ans !

Krohn-Delhi (5/5) : Très axial dans son positionnement, le Danois était un chien au milieu du champ – vous l’avez ? – et a été à l’origine de nombreuses occasions de but. Cela ne l’a pas empêché de faire par ailleurs, un bon travail de pressing.

Augusto Fernandez (2/5) : C’est un Albiceleste qui n’avait pas le talent de Maradona, ni le doigt de pied – vous l’avez ?

Bermejo (3/5) : Il a joué assez bas sur le champ, et n’a fait que défendre ou presque. Très discret, trop discret, mais je l’aime bien…

Iago Aspas (5/5) : Ce n’est pas un homme, ce n’est pas un héros demi-Dieu, c’est un Dieu. Certes il a été souvent beaucoup trop personnel, mais peut-on en vouloir à Dieu de ne pas connaître les limites de son potentiel technique, étant donné qu’il n’y en a pas ???!!!! De toute façon on s’en fout : Dieu a marqué, Dieu a offert les trois points, c’est ça la morale de l’histoire !

 

Les remplaçants :

Park : L’homme invisible est donc chinois. Ou coréen. Mais invisible.

Bustos : C’est cadeau, c’est Polnareff (aucun rapport avec Bustos, ce qui s’appelle enculer les mouches en plein vol) .

 

Dudu

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