Metz – Épinal (2-0) : La Metz que un club Académie comme si de rien n’était
Le nouveau derby de la Lorraine

Salut Madame,
Nancy pue le caca. Ça, tout le monde le sait(même les pauvres). Du coup, à l’époque où c’était mieux avant, le Graoully messin adorait venir poser ses testicules sur le chardon nancéen lors des derbys lorrains. Mais malheureusement, après que Metz a été relégué en Ligue d’Eux, les Grenats n’ont eu que le Racing Club de Strasbourg-Palette à se mettre sous la dent. C’est bien aussi, mais ça a un vieux goût de saucisse allemande, donc nazie, et c’est moins rigolo.
Pendant longtemps, Rigobert a cru que Metz pourrait retrouver la Liguain et son voisin qui sent pas bon, pour un duel chauvicide entre Puygrenier et Guerriero ; qui à coup sûr, aurait marqué l’avènement d’une nouvelle ère footballistique. Sauf que, plutôt que de remonter, Metz a choisi de descendre encore plus bas : là où on n’y voit plus rien. Là où il y a Uzès-Pont-Du-Gard-Montparnasse (première équipe à venir chiper un point au leader de Natianal).
Pendant ce temps-là, le Borussia Werder Club de Strasbourg 04 croupit encore plus bas : en CFAnal. Du coup, on comble les manques comme on peut : c’est le Stade Athlétique Spinalien qui devient le grand méchant du gros derby lorrain. Tout ça pour ça.
Épinal, c’est quoi ?
Épinal est une ville moyenne des Vosges (un département alcoolique où la sœur de quelqu’un a de bonnes chances d’être aussi sa mère, et parfois même son père dans des cas plus extrêmes). On appelle ses habitants les Spinaliens et ses habitants femelles les Spinaliennes. Pour ce qui est du football, le club de foot de ces gens-là évolue donc en Natianal depuis deux ans. Ses joueurs sont surnommés les boutons d’or. Rigobert se fend la poire. Des chardons, des Kartofelsalad nazies et maintenant des boutons d’or…
Les observations d’avant match :
Métanire suspendu, c’est Inèz qui le remplacera à droite. Cartier veut voir comment son équipe réagit lorsqu’elle est en difficulté.
Les Consanguino-Vosgien ne sont pas beaux.
On ne change pas un dispositif qui gagne (sauf à Uzès-Pont-du-Gard-au-Gorille) : 4-4-2 à plat des familles.
Les observations pendant match :
Bouna Sarr est tout mignon dans son maillot 16 ans trop grand pour lui
Des petites passounettes, des petits driblounets, … : le Gobert connait la musique
Qu’il essaie du droit, du gauche, de la teinture fluo, du sternum ou de la queue, Sakho ne pouvait pas marquer ce soir face à Olivier Robin des Bois
Par contre Grégory El Mago Proment si. Après avoir muté en Steven Gerrard, le capitaine messin expédie un missile dans les bois de Cherwood : 1-0
Comme attendu Inèz s’amuse à jouer à « regardez tous, je suis une couille de loup !». C’est chiant comme jeu
A la 45ème, les visiteurs sont toujours un peu à cran : une expulsion pour un consanguino-vosgien
Tous les tirs du SAS, partent dans les airs, dans l’eau laissent une trace, dont les écumes font la beauté
Il a dû se passer quelque chose de grave à la mi-temps pour qu’au retour des vestiaires ce soit 21 grands invalides civils qui reviennent sur la pelouse
Même Grégoire Margotton aurait été obligé de reconnaître qu’on se fait chier
Samy Kehli : foutre diable mort génocide Gilbert Montagné varicelle Fukushima 2-0
Les observations d’après match :
22 points sur 24 possibles : même Elie Baup ne peut pas faire ça
Grégory Proment en équipe de France !
Le néant est bien moins ennuyeux que la deuxième mi-temps de Metz-Epianal
Toutes des putes
Jugement dernier :
Johann Carrassocisson, non noté : FAR il n’a rien à faire. Pas un arrêt, nenni. On aurait pu mettre sa femme, sa mère, Benoit XVI, ou un chat mort, pour le même résultat.
Romain Inèz, 1/5 : Footballeur sans pied doublé d’un débile profond. Dès qu’y a de l’embrouille, Romain court voir s’il peut imposer son charisme t’as vu ! Bilan, un jaune et un 1. (pour attribuer cette note, Rigobert a multiplié le nombre de neurones de Romain, par son nombre de ballons envoyés en touche/six mètres et a divisé le tout par le nombre de spectateur présents ce soir ; soit : 1*9200/9200=1).
Gaétan Bussmann, 3/5 : Qu’il y ait des travaux en ville, l’homme-bus s’en tamponne le klaxon. L’ancien Spinalien a tout pété en première période, avant de moins tout péter en seconde. Et cette fois en plus, il a conduit sans les mains !
Ali Bamba (et les 40 voleurs), 1/5 : Ali se sent comme une Bamba triste. Latéral gauche de métier, Cartier l’a essayé en charnière, sous la protection du Guido. Bilan : Ali n’est soit pas fait pour ce poste, soit nul à chier dans la colle. Bambacar Gueye va !
Guido Dado Milan, 3/5 : Prenez un auroch, rajoutez lui des muscles et une queue de cheval en plus de sa queue d’Auroch et vous voici en présence de Guido Milan. Enchanté. Par contre n’oubliez pas de dire à l’auroch en question, qu’il a le droit de courir.
Grégorinédine Proment, 4/5 : Tagadatsointsoin.
Mayorototo N’Doye, 3/5 : Il met l’ambiance, y’a pas de problème ! même pas fatigué, ce soir il faut danser, il va tout donner. Y’a pas de haine.
Roi Bouna Sarr et Yéni Sursamoto, 3/5 : Les deux larrons ont de la chance : ils n’auraient eu que la moyenne s’il n’en tenait qu’à Rigobert mais la moyenne aurait supposé une note à virgule. Et Rigobert ne veut pas se faire tabasser pas son Editeur Bel Homme, du coup il gonfle un peu. Parce que Bouna et Yéni ont joué comme pour un match caritatif où tout l’argent de la rencontre serait reversé aux enfants de Vosgiens qui sont aussi les cousins de leur mère. Serait reversé à tous les Vosgiens quoi.
Moussa Gueye, 3/5 : Grand échalas sauvage, Moussa Gueye fait des retournés. Mais rate le ballon. Sinon il se bat comme un beau diable pour agiter ses grandes guiboles l’une par dessus l’autre ou quelque chose comme ça.
André-Pierre Sakho, 3/5 : Communsymbole de Gignac (moins 64kg), Sakho a beaucoup tenté, mais n’a pas marqué. Un bon match tout de même pour le blondinet.
Remplaçage :
Kévin Lejeune Vieux, non noté : Rigobert s’en lave les mains.
Ahmed Kashi, non noté : Rigobert avait déjà les paupières lourdes et ne saurait dire ce que Kashi a foutu à Sinsinf’ ce soir là monsieur l’inspecteur.
Samy Kehli, 0/5 : 20 minutes de jeu, 6 ballons touchés, 5 ballons perdus, 1 but. Rigobert aurait levé le drapeau.
Rigobert Pirès, pour vous servir.
Toujours aussi bon ces académies. L’intro (du moins la première phrase) m’a fait marrer.
Bel homme, le Gobert.
« le Racing Club de Strasbourg-Palette ».
Ok, ça c’est drôle.
Formidable.
Lu sur les internets : Le Quichelorrainico
je suis spinaliens mais ca m’a bien fait marrer lol
Quel bel homme ce Gobert ! Qu’on l’envoie chez Ruquier relever le niveau !
Grégorinédigne de toi Rigobert ;)