Bordeaux – Monaco (0-2): La Scapulaire Académie livre ses notes
« Le football est un jeu simple : 22 hommes courent après un ballon pendant 90 minutes et à la fin, c’est la défense bordelaise qui fait une connerie. » Gary Heineken.
Et oui la Ligue 1 a repris et avec elle son cortège de spéculations en tout genre (Paris sera-t-il champion ? Gourcuff retrouvera-t-il son niveau ? Qui va descendre ? Cavani ou Falcao ? Y aura-t-il du pinard au buffet presse du Parc ?) et pour la première journée Bordeaux avait la chance, que dis-je, l’opportunité de lancer sa saison en accueillant un promu, équipe souvent tétanisée à l’idée de faire son entrée dans le grand monde de la L1. Sauf que là le promu c’est Monaco.
Oui Monaco cette année c’est un peu les Avengers avec les X-Men et les Chevaliers de l’Apocalypse, le tout coaché par Ranieri. Bon ok ça manque un peu de gueule pour le coach mais quand tu vois ce genre de truc débarquer sur la pelouse de Lescure t’as le cul qui fait bravo et des gouttes de sueur qui apparaissent à des endroits que t’aurais même pas imaginé que c’était possible. Mais bon parlons un peu de Monaco la ville-état avant Monaco le club.
Monaco c’est nul (dixit Fred Thiriez, JL Triaud et consorts). C’est un rocher tout pourri de 2km², ce qui est à peine plus grand que le Vatican ou l’ego de Samuel Eto’o. Dans les croyances populaires, Monaco est uniquement peuplé de milliardaires, ce qui est totalement faux, parfois on peut croiser des millionnaires et même des gens normaux mais ça ne reste qu’un mythe non vérifiable.
Il y a officiellement 35889 habitants (soit 2 fois la capacité du Stade Louis II qui reste pourtant désespérément) à Monaco (à plus ou moins quelques décès de vieux riches et d’exilés fiscaux qui se sont fait gauler) dont 76 enfants illégitimes (au dernier comptage) du Prince Albert, connu pour sa capacité à la mettre régulièrement au fond, ce qui lui fait un point commun avec Falcao. La langue officielle de Monaco est le pognon, peu importe la provenance de ce dernier, pourvu qu’il y en ait plein.
Si jamais tu vas à Monaco (pourquoi pas, y’a bien des mecs qui vont en vacances à Berck plage après tout), il y a quand même des choses à faire même si ça peut te coûter un testicule, ou 2 voire même 3 pour les mieux dotés d’entre nous :
- Aller te promener sur le port de Monaco, pour aller baver devant des yachts plus grands et mieux équipés que ton T3, ton T4 ou même ta baraque.
- Le Casino de Monaco ou t’iras claquer un demi-RSA en 12 minutes en espérant sortir de là façon Daniel Ocean dans Ocean’s Eleven alors que tu sortiras à poil après avoir vendu ta nana à un mafieux russe.
- Si tu veux impressionner Madame et claquer l’équivalent d’une année de salaire de smicard pour péter dans des draps en soie, l’Hôtel Paris est fait pour toi. Sinon tu peux juste te prendre en photo devant avec un filtre instagram pour faire croire que. De toute façon péter dans draps en soie c’est pas si bien que ça.
- Une fois que t’as compris que t’as aucune chance au Casino ou à l’Hôtel tu peux toujours visiter les églises et les musées de la ville.
Au niveau sport, Monaco est tout de même richement doté, avec quelques événements sportifs parmi les plus cotés :
- Le grand prix de Monaco, avec le virage du Casino et celui de la Rascasse pour le seul grand prix de F1 qui se déroule en ville.
- Le rallye de Monte Carlo, qui, bien qu’il se déroule essentiellement en dehors de Monaco, en a le nom.
- Le meeting d’athlétisme « herculis » qui permet au Stade Louis II d’être comble une fois par an.
- Le masters 1000 de Monte Carlo, qui permet à bien des tennismen d’évoluer une fois par an « à domicile »
- La Supercoupe de l’UEFA, match dont tout le monde se fout en France puisqu’on n’est pas foutus de gagner une Coupe d’Europe (et quand on gagne c’est parce qu’on est des escrocs).
- Et au niveau club, il y a l’AS Monaco, club omnisport avec des sections aussi diverses et variées que le football, le rugby, le volley, le handball et le bobsleigh.
Mais justement, parlons un peu de la section football, parce que hormis être l’objet de critiques du genre « ouin ouin les vilains ils sont avantagés fiscalement », l’ASM c’est quoi ?
L’AS Monaco FC c’est tout d’abord un palmarès : 7 titres de champion de L1, 5 Coupes de France, 2 finales de Coupe d’Europe (C1 et C2) et une Coupe de la Ligue, c’est le genre de palmarès qui montre que t’es pas un club de guignol et que tu fais partie de l’Histoire du football français quoiqu’en disent les mauvaises langues. Mais Monaco c’est aussi un centre de formation très productif qui a fourni à la France quelque uns de ses plus grands joueurs :
- Les gardiens Jean-Luc Ettori (755 matchs sous le seul maillot monégasque, on appelle ça l’amour du maillot messieurs) et Stéphane Ruffier (basque certes, mais qui a tout appris là-bas)
- Les défenseurs Manuel Amoros (longtemps recordman des sélections en Equipe de France), Lilian Thuram (le mec qui se prend pour Malcom X), Julien Rodriguez (spécialiste ès Sécurité Sociale), Nicolas N’Koulou (parce que si on laisse faire les marseillais ils te raconteront dans 10 ans qu’ils ont formé le plus grand défenseur de l’histoire du monde marseillais) ou encore Philippe Christanval (une véritable arnaque vivante)
- Les milieux Claude Puel (l’homme qui ne sourit que lorsque Lyon perd) et Emmanuel Petit (le mec devenu consultant dans les étoiles)
- Les attaquants Bruno Bellone (Champion d’Europe 84), Thierry Henry et David Trézéguet (nul besoin de les présenter).
Monaco c’est aussi des pléiades de grands noms passés au club dont :
- Gardiens : Barthez, Flavio Roma
- Défenseurs : Patrick Battiston, Basile Boli, Eric Di Méco, Martin Djétou, Patrice Evra, Philippe Léonard, Maicon, Rafael Marquez, Willy Sagnol
- Milieux : Lucas Bernardi, Ali Benarbia, Daniel Bravo, John Collins, Youri Djorkaeff, Marcelo Gallardo, Bernard Genghini, Ludovic Giuly, Michel Hidalgo, Glenn Hoddle, Bora Milutinovic, Japhet N’Doram, Nenê, Enzo Scifo, Yaya Touré, Akis Zikos
- Attaquants : Emmanuel Adebayor, Sonny Anderson, Freddy Adu (bon ça va on peut déconner), Oliver Bierhoff, Omar Da Fonseca, Victor Ikpeba, Jürgen Klinsmann, Moussa Maazou (le seul club dont il ne soit pas parti avec pertes et fracas), Roger Milla, Shabani Nonda, Delio Onnis, Dado Prso, Marco Simone, George Weah.
Si avec tout ça t’as pas compris que Monaco a apporté bien plus au football français que certains clubs je ne peux plus rien pour toi si ce n’est te conseiller d’aller sur le site des Mousquetaires. En attendant, parlons de Bordeaux.
Dans la série « Francis le bricoleur », notre ami Gillot doit composer un groupe sans Henrique (suspendu), Faubert, Sertic et Traoré (blessés), sans Jug parti renforcer la CFA mais aussi sans Orban, Rolan, Jussie et Bellion par choix du Francis. Si pour les deux premiers cela semble logique au vu du manque de préparation/entraînements, pour les deux autres, le message de Gillot semble clair : « Barrez-vous, cons de mîmes ! »
Au moment des compos, Francis fait avec ce qu’il a pour nous pondre un onze qui doit tenir la route face à la puissance de feu monégasque :
Grâce au 12ème homme et Orange, votre serviteur était en tribune presse pour ce match. Merci à eux (rendons à César ce qui appartient à Bostjan César) et à Marius mon collègue d’un soir.
Le match :
2ème : Premier débordement du match de Carrasco qui centre pour personne. La soirée va être longue et le buffet presse ne fournit pas suffisamment d’alcool pour me sustenter. Je me dis que j’aurais du rentrer avec un pack en douce.
6ème : Contre bordelais emmené par Maurice-Belay qui trouve Obraniak puis Saivet mais la tentative de Kirikou est hors-cadre. Le match est plaisant et lequipe.fr a embauché Jean-Michel Pasdechute
On notera aussi la syntaxe approximative du stagiaire
10ème : Planus chausse Falcao. C’est à peu près le seul moyen qu’il ait de l’arrêter
22ème : Frappe d’Ocampos sur le poteau, je regrette l’absence de slips propres en tribunes.
28ème : On laisse James Rodriguez s’approcher tranquillement du but comme si c’était un vulgaire Bellion et qu’il n’y avait aucun danger. Heureusement pour mon voisin, Carrasso sort la frappe de l’ex de Porto.
31ème : Le match est loin d’être dégueulasse et Maurice-Belay viole son adversaire direct pour centrer dans la surface. Grâce à sa pointe de lenteur naturelle, Jaroslav Plasil est trop court d’un bon mètre et laisse Subasic s’emparer du ballon.
37ème : Cette catin d’Ocampos sert Rodriguez qui se retrouve seul face à Carrasso. Impressionné par l’aura du gardien bordelais, le jeune colombien ne frappe pas et tente une passe improbable vers Falcao qui ne peut reprendre. C’est tremblant que je pars voler une bouteille de pinard au buffet.
39ème : Falcao tente une frappe Fifa 99 avec effet brossé rétro machin lucarne et tout mais c’est pas ça qui va surprendre Carrasso.
41ème : Un monégasque est au sol et demande un soin. Le soigneur amène du caviar.
43ème : Le retour de Toulalan en L1 c’est surtout le retour des petites fautes « tactiques » à 40m du but.
A la mi-temps, le score est nul, le match est emballant, c’est donc content que je pars casser le buffet en compagnie du gratin de la presse mondiale bordelaise.
49ème : Tacle Planussien de son inventeur sur Falcao. L’arbitre voit une faute là où un Sénac ou un Di Méco ne verraient qu’un « bon tacle d’homme ».
54ème : Avec un demi-foie, Abidal est tout de même facile devant Saivet qui frappe au-dessus.
55ème : Le centre contré de Saivet passe au-dessus du but de Subasic. Oui je m’excite avec pas grand-chose.
58ème : Falcao marche sur Planus après avoir fait faute dans un duel aérien. Mon estime pour ce joueur augmente en flèche.
64ème : Diabaté rentre à la place de Maurice-Belay au grand désarroi de Plasil qui espérait sortir vu son activité sur le terrain. Le grand malien est accueilli tel un super-héros par le public qui l’applaudit comme il se doit.
72ème : James Rodriguez est remplacé par Emmanuel Rivière côté monégasque. Je souris mais bien mal m’en prendra.
76ème : Diabaté festivalise (du verbe festivaler : faire un festival), ressort sur Poko puis vers Obraniak qui remet à Plasil dont la frappe surpuissante à 22km/h frôle le poteau de Subasic.
78ème : Les « Ultras » monégasques semblent avoir séchés les cours de géo au lycée puisqu’ils proposent successivement des relations anales non consenties à Toulouse, Lyon, Paris et la Ligue.
82ème : Le drame, acte 1 : Kurzawa déborde serein et centre vers Rivière. Planus, qui a sorti sa plus belle caravane pour l’occasion, laisse l’ex-Toulousain se retourner et marquer. Monaco, qui commençait à montrer des signes de fatigue, ouvre la marque grâce à une erreur de notre défense. Normal.
84ème : Poko et N’Guémo sortent, Ben Khalfallah et Sacko rentrent. On va donc finir le match avec Obraniak – Plasil à la récupération ce qui, au vu de leur activité, risque de donner l’équivalent des boulevards bordelais à 4h du mat’ un lundi : le vide.
87ème : Ocampos viole Poundjé, son centre est contré, Sané met la tête mais cette dernière est contrée par le dos de Falcao qui se retourne à la vitesse de l’éclair pour glisser le ballon entre les jambes de Carrasso. La messe est dite selon l’expression appropriée que je n’ai jamais comprise. Ça fait 2-0 en tout cas.
89ème : Grâce à l’activité digne de mecs sous GHB de notre paire de récupérateur, Falcao a le loisir d’être seul à 20m du but pour frapper. Carrasso nous évite la valise RTL.
90ème : Enchainement Diabatesque dans la surface monégasque de notre héros local mais Ricardo Carvalho empêche la balle de rentrer.
90ème +2 : « Hi, I am Marc Planus, welcome to Jackass ». Alors que le match est plié, terminé, fini, qu’il y a plus rien à espérer si ce n’est que l’arbitre siffle la fin du match un peu plus tôt, Marc Planus part découper Falcao au milieu de terrain et prend son carton jaune. Moi arbitre je lui colle une beigne en plus du jaune pour être aussi con.
Fin du match, bonjour tristesse pour certains qui imaginent déjà le club en L2. On vient juste d’affronter un des favoris du championnat de France. Allez, place aux notes :
Les gars :
Carrasso (4/5) : A longtemps repoussé le moment où un type le fusillerait à 3m du but. Mais il ne pensait pas que sa défense le trahirait au point de laisser Rivière marquer. Putain de guerre.
Mariano (2/5) : Kurzawa – Carrasco ça galope et c’est compliqué à gérer. Alors quand ton milieu devant (Obraniak pour ne pas le citer) a décidé d’envoyer chier le travail défensif c’est encore plus dur.
Poundjé (2/5) : Lucas Moura la semaine dernière, Lucas Ocampos cette semaine. Pour Maxime, l’apprentissage se fait à grande vitesse mais pas sans difficultés. L’arrivée d’Orban va lui ôter un peu de pression des épaules et lui permettre de souffler un peu.
Planus (non notable) : J’ai envie de lui mettre 4 et même 5 pour avoir tenu Falcao pendant 80 minutes même si c’était au prix d’une filouterie (pour rester poli) que les anciens appelleront : « jouer au métier ». Puis à partir de la 80ème, les 2 neurones se débranchent et c’est un festival de stupidité, notamment à un moment où il peut intervenir sur le ballon mais préfère attendre l’arrivée du monégasque pour le chausser les deux pieds en avant, ce qui me donne envie de lui coller un 0 et de l’insulter copieusement.
Sané (3/5) : Hormis son erreur sur le second but il a livré une prestation solide en étant le seul qui donnait l’impression de dégager de la solidité et de la sérénité dans la défense.
N’GuéPoko (2/5) : Deux joueurs, une seule note : 100 ballons joués à eux 2, seulement 17 récupérés (à peine plus que Poundjé ou Sané) et 23 perdus, ce qui est énorme pour un duo de récupérateurs. Clairement un match à côté de leurs pompes et pourtant ils étaient loin d’être les plus ridicules sur le terrain. Remplacés à la 84ème par Ben Khalfallah et Sacko.
Plasil (0/5) : Un timing dans les airs digne d’une huitre avariée, une activité au milieu du terrain digne de l’encéphalogramme d’un participant aux « Anges de la téléréalité », Jaro n’est plus que l’ombre de l’ombre de lui-même. Pourtant, Gillot le laisse sur le terrain. Pourquoi ?
Obraniak (0/5) : A peine plus d’activité que Plasil pour autant de résultat. Tu veux voir la LDC Ludo ? Prends BeIn Sport alors.
Maurice-Belay (2/5) : Pas encore au top physiquement, il a beaucoup donné en début de match avant de s’éteindre un peu sans pour autant devenir aussi transparent que certains. Remplacé par Diabaté à la 64ème.
Saivet (3/5) : Face à une charnière Carvalho – Abidal il a tout donné et a réussi à se procurer une ou deux occasions. Par contre Henri maintenant faut prendre ce stylo et prolonger son contrat.
Les entrants :
Diabaté (non noté) : En 25 minutes il a apporté plus que certains depuis 6 mois. On attend son retour au top pour casser des défenses.
Ben Khalfallah (non noté) : Il est entré parce qu’il fallait être 11 sur la pelouse
Sacko (non noté) : Aurait mérité un peu plus de temps de jeu.
Les remarques à la con :
- Les 600 « ultras » monégasques présents en tribune visiteur sont repartis pour Arcachon après le match
- Marc Planus n’a pas que la caravane en commun avec les gens du voyage, il en a aussi le look.
- La tribune presse c’est bien mais le Wi-Fi y est encore plus lent que Plasil.
- Le Long Island d’après match au Milo’s me fait largement regretter d’habiter à Toulouse
- Derby de la Garonne justement ce samedi, viendez au stade supporter Bordeaux.
Claude Pèze
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Claude, en père responsable, je te le dis : arrête la picole!!!!
Tu as écris : »Monaco c’est aussi des pléiades de grands noms passés au club dont :…..Evra…. »
Rien ne te choque ???
Tu as oublié de signaler une chose sur Monaco : ils ont été aussi très bon à l’arbitrage, je n’avais jamais vu une équipe où quasiment l’ensemble des joueurs lève le bras à toutes les fautes qu’ils commettent avec une mention spéciale à Toulalan
Ca m’a gonflé tout le match
L’école italienne sans doute
Je suis plutôt surpris cher frère parce que vous vous faites remarquer et négativement. Je vais vous dire quelque chose :
Quand on a fait ce qu’a fait son altesse sérénissime Samuel Le roi de miséricorde Etoo, vous devriez plutôt dire merci, parce qu’on avait jamais vu un Africain du Cameroun jouer comme ça! Je me demande si vous êtes journaliste et je parlerai à votre patron d’Orange parce que vous ne méritez même pas de travailler dans cette merveilleuse maison.
Des gens comme vous vous ne méritez pas d’exister! Vous qui ne voulez pas que l’Afrique avance, vous qui ne voulez pas que le Cameroun avance, vous êtes toujours négatif. Alors, essayez un peu de changer!
l’élévation brachiale non contrôlée est plutôt une mode hispanique dans les dernières années initiée par le barça
Ah bah ça y est vous avez enfin le vrai Obraniak !
Celui qui arrête son effort après avoir merdouillé ou perdu son duel, celui qui parle de ses envies d’ailleurs dans la presse, enfin celui qu’on avait au LOSC quoi !
T’es un bon Cloclo. La blague sur César et la référence à Bernardi, Bravo. Merci aussi de parler de Amoros, Anderson, Rodriguez, N’Koulou. Et Jurietti? Lilian MArtin?
Bon ok, j’arrête.
Un grand merci pour la petite citation…
J’en profite pour juste remarquer la petite touche sur Maazou, pour lequel Monaco est le seul club où il n’est pas parti avec pertes et fracas… C’est valable pour son premier passage.
Pour le second, c’est son genou qui a laché avec pertes et fracas… Et on l’a jamais plus revu …
Pourquoi tu parles pas de Plasil à Monaco ? Il y est resté assez longtemps.
Et c’est bizarre sur BeIn, Di Meco commenté le match et à dit sur le tacle de Planus à la 49eme « Planus joue la balle, on le voit bien qu’il touche le ballon » ou un truc du genre.
Si on devait citer tous ces joueurs qui sont passés à Monaco…Viéri, Saviola, Morientes…
Plaisil, Maurice Belay…
Et tu ne cites pas Amara Simba, le roi de la bicyclette !?
Claude Pèze en tribune de presse, putain de privilégié !