Le Onze Anal Historique de l’Olympique Lyonnais

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Fin tacticien ce Torben. Faire du sale avec du sale il fallait y penser.

Du mauvais, du bête, du méchant et de l’incompétent. Si l’on pense encore à eux, c’est pour  rire, ou pour frémir. Là aussi un 3-4-3, pour coller avec l’équipe du Onze de légende. Par contre, ici, pas mal de chèvres, du vrai, parfois d’élevage d’ailleurs. Des stars, de la polyvalence dans le saint triptyque (divas, nuls à chier, en verre), une vraie équipe pour vous faire frissonner…

Une formation surprise: deux défenseurs centraux et un arrière gauche pour une défense à trois, deux ailiers sur la même aile, aucun meneur et trois buteurs qui se veulent au centre de l’attaque. Dont un sur la ligne de touche, en train de se faire soigner…


Gardiens:

Titulaire:

Gilles Rousset (1990-1993): Peut-être pas le pire qui soit, mais le plus visible. Il pourrait prétendre que celui qui en a pris sept quand il est venu à Gerland avec Sochaux, l’année avant son arrivée, pourrait être un bien meilleur titulaire. Pas de bol, il en a pris sept à Marseille lui, sans cesser de combattre, mais sans cesser de se rater… Il pourrait se défendre sur ses sélections en Equipe de France, notamment son envol pour la Suède avec la sélection composée par Platini pour l’Euro 92, sauf que cette sélection-là s’est trouée et être second gardien c’est juste boucher le trou derrière Bruno Martini. Le problème est qu’en dépit d’un sacré gabarit, Gillou n’était pas franchement rassurant et sa spéciale « les genoux devant » n’était pas un gage de réussite. Entraîneur des gardiens des U16 à la CFA, il a donc aussi commis les Vercoutre, Puydebois et autres Hartock…

Remplaçants:

François Lemasson (1987-1990): On avait parlé de l’autre qui en avait pris sept face à Rousset, époque sochalienne. Bah le voilà. Là non plus, pas de problème de comportement, mais un sacré boulet aux cages. Gardien de l’une des pires équipes de l’histoire de l’OL, il intègre logiquement cette sélection. Et comme Rousset, il pourra remercier ses coéquipiers pour cette nomination.

Joan Hartock (2004-…): Jacques Crevoisier trouvera indigne de sélectionner un joueur blessé. Le problème est que cela l’excuse pour les derniers mois, pas pour les cinq années précédentes. Conseillé par Bernard Lama, ce qui est déjà douteux vu ce que fume l’ancien gardien, coaché par Gilles Rousset, il réussit à synthétiser le pire des deux pour être un espoir vite déchu, ne s’imposant même pas comme numéro 2 à Lyon et se voyant piquer sa place de numéro 3…

Ont raté le train: Nicolas Puydebois, Rémy Vercoutre.

Défenseurs:

Titulaires:

Un peu de partout, surtout ailleurs, mais en fait à droite: Thomas Pfannkuch (1991-1992): L’un des défenseurs les plus célèbres de l’ère Aulas. Oubliez Cris, Caçapa et les autres, voici une légende, une vraie. L’OL avait peu de sous à l’époque Domenech et le RayDo devait trancher entre lui, meilleur défenseur de D2 allemande à ce qu’on disait, et un Portugais pour combler un vide défensif. Pfannkuch se présentant comme polyvalent, théoriquement milieu défensif et défenseur, il fut choisi. Sa polyvalence réelle ?  Performances immondes et expulsions, quand il ne mélangeait pas les deux dans son match. Une seule saison pour marquer les esprits, mais mon dieu que ce fut génial…

Au centre de tout, surtout les galères: Mick Mc Carthy (1990-1991): vendu à Lyon comme le meilleur libéro du monde, en pleine bourre avec l’équipe d’Irlande, Mick a démontré pour sa première sortie, contre l’OM, qu’il n’avait pas tout à fait compris comment jouer le hors-jeu. Résultat? Trois buts en un quart d’heure. Son but contre Metz le sauva un peu, mais il se démontra largement surcôté, ou pas motivé pour l’OL d’où il partit vite pour Millwall.

A gauche, à gauche, à gauche! Jean Zuang (1974-1975): le Luxembourgeois est quasiment inconnu et c’est normal. Chaud bouillant lors d’un match international contre Haïti, il tape dans l’oeil des recruteurs lyonnais qui le recommandent chaudement. Zuang, qui n’intéressait personne, se voit proposer un contrat de cinq ans quasiment pour ses vingt-deux ans. Au bout du compte, trois petits matchs avec l’OL et puis on l’a vite refourgué… à Dudelange.

Remplaçants:

Cleber Anderson (2007-2008 puis 2009-2010): Le Trou de la Sécu. 4,8M d’euros pour ça… Ca, c’est le parfait cobaye pour tester votre staff médical, m’sieurs-dames. Imaginez une blessure, bah vous êtes en retard sur Cleber Anderson qui réussit à être mauvais, même au Brésil, pour rester à l’OL jusqu’à la fin de son contrat.

Nadir Belhadj (juin 2007- décembre 2007): Vous êtes jeune, vous êtes prometteur et un champion du monde, certes pas fringant, vous devance dans la hiérarchie de l’équipe. Que faites-vous? 95% des gens répondront qu’ils bossent jusqu’à montrer qu’ils valent mieux que Fabio Grosso. Bah Nadir Belhadj fait un caprice, exigeant du temps de jeu, allant au conflit. Quelques mois pour flinguer une carrière, passant pour une diva capricieuse. Lyon l’éjecte pour qu’il aille pourrir la saison lensoise (le RCL descendra d’ailleurs…), puis Portsmouth après un nouveau caprice, où il finira aussi par descendre. Il végète désormais à Al-Sadd au Qatar…

Fabio Grosso (2007-2010): Grosse cote à l’OL qui recrute un champion du monde. Après avoir longuement été lié à Camoranesi, c’est Grosso que l’OL choisit pour remplacer Abidal. Présenté comme aussi bon défensivement et meilleur offensivement, il confirme qu’une moitié de ce pronostic. En même temps, Abidal passait rarement le milieu de terrain donc… Complètement à l’ouest en défense, surtout quand il est seul, il se montre rarement digne de son statut et est plutôt une surcôte qu’un vrai échec sportif…

Y étaient presque: Marc Corian, Lamine Diatta, Sylvain Monsoreau, Mathieu Bodmer.

Milieux:

Titulaires:

Au centre de la moindre boulette : Jean-François Larios (1984-1985): Recruté alors qu’il avait enchaîné trois clubs en un peu plus d’un an, à savoir l’Atletico de Madrid, Montréal (oui, oui, les Canadiens…) et Neuchâtel, il arrive à Lyon pour faire remonter le club. A part la manche du derby à Lyon, il ne s’illustre guère. Et encore, ce derby, ce n’est pas de la meilleure des manières… Vaincu 5-1 par ses anciens coéquipiers, il se fait siffler par Gerland, notamment pour son jeu fantomatique. Grand seigneur, il adresse une série de bras d’honneur aux supporters.

Félix Lacuesta (1984-1985): Arrivé à la demande exprès d’Herbin, comme son compère Larios, Lacuesta avait fait preuve de talent, mais surtout présentait un CV assez foireux avec beaucoup de changement de clubs. A vingt-six ans, son arrivée à Lyon était son sixième transfert… Parce que le problème de Lacuesta, c’était le professionnalisme. Au point qu’il sera l’un des rares joueurs de l’OL virés en cours de saison. Et dire que la paire Larios-Lacuesta était sensée guider l’OL vers le haut du tableau….

Sur les ailes:

Alfonso Fernandez Leal (1991-1993): Autre membre d’une chouette cuvée niveau recrutement avec Pfannkuch, il est annoncé comme un milieu créateur, très technique. Ce qu’il est, on ne remettra pas cela en cause. Il ferait aussi un excellent formateur, puisqu’il était tellement lent qu’il pourrait offrir des mouvements décomposés sans ralentis. Pas sûr qu’il soit plus rapide que Just Fontaine… L’actuel de Justo, pas celui de 1958. Fernandel pour les intimes de Gerland

Kader Keita (2007-2009): Son talent balle au pied reste perplexe. La joie des supporters lillois à l’idée de la montagne de pognon qu’il rapporte face à ses intermittences aurait dû faire sentir le piège. Troisième plus gros transfert de l’histoire de l’OL, derrière Lisandro et Sonny Anderson, à égalité avec Bafé Gomis, il constitue le plus gros échec du recrutement depuis Torben Franck. Un joueur à chier, complètement à l’ouest sur le terrain et au talent aussi alternatif que le moral de Fred.

Remplaçants:

Marc Crosas (janvier-juin 2008): Marc qui? C’est un peu ce que penseront les fans pas vraiment habitués aux joueurs lyonnais. Marc Crosas est formé à Barcelone et avait été vendu comme un soit-disant remplaçant en devenir, mais d’Iniesta quand même. Bah à Lyon, ce fut l’homme invisible, avec un manque de talent flagrant, au point que même Bodmer et Makoun paraissaient plus crédibles que lui…

Michel Valke (1987-1988): Lui l’est devenu formateur, puisqu’il a fait partie du staff du Feyenoord  au début des années 2000 Fritte et Rhinit vous en diront sans doute plus. Le même modèle que « Fernandel », à savoir un ailier doué techniquement, mais qui tire des trente-six tonnes derrière lui…

Alou Diarra (2006-2007): L’OL avait recruté ce joueur pour son profil athlétique, afin de remplacer le départ de Mahamadou Diarra. Arrivé en même temps que Jérémy Toulalan, se croyant sans doute indiscutable, il va vite tomber des nues, perdant sa place à la régulière contre la Toule. Dès lors, Alou sort de son arsenal sa seconde arme après la suffisance, la prestation de diva. Il multiplie les bouderies, les pleurnicheries jusqu’à avril 2007 où il refuse de jouer avec la réserve. Il part très vite l’été suivant.

Fabio Santos (2007-2009): Quelques bons matchs et puis c’est tout. Récupérateur caractériel, mais pas franchement sanguin, il vit mal la séparation d’avec sa femme, qui est restée au Brésil pour accoucher. Prêté là-bas, il reviendra boosté. Puis, sa dernière saison à l’OL est catastrophique. Très mauvais, voire pitoyable, il en vient aux mains avec Claude Puel qui le met à pied puis obtient son départ en mai 2009. Un an plus tard, à 29 ans, Fabio Santos arrêtait sa carrière.

N’ont pas tout fait pour être là: Alexandre Hauw, Benoît Pedretti, Hatem Ben Arfa, Reynald Pedros, Daniel Bravo.

Attaquants:

Torben Frank (1992-1995): Ou comment oser mettre un joueur qui tourne à deux buts par match sous le maillot lyonnais. Le Danois sortait d’un Euro victorieux quand il avait été contacté par l’OL. Ni lui, ni Lyngby FC, son club, n’avaient prévenu d’une certaine fragilité. Pourtant, les emplâtres d’un bon mètre carré sur le genou auraient dû alerter. L’équipe d’Aulas, encore assez tendre à l’époque (quoique… Vu Bodmer…), ne le fit même pas passer une visite médicale complète pour s’assurer que le genou allait bien. Torben avait une fragilité congénitale du genou, qui avait tenu sans trop de soucis les dernières années. A Lyon, ce fut une autre histoire. Son premier match amical le vit marquer son seul but, puis sortir blessé. Il ne rejouera quasiment plus jamais et Lyon sera obligé de le payer, malgré la dénonciation du contrat. L’UEFA tranchera en faveur du club danois et du joueur. Une légende, mais pas dans le sens voulu.

Marco Grassi (1998-1999): sorti de Rennes avec une étiquette de buteur efficace, il vient s’enterrer à Gerland après avoir démontré qu’il avait déjà du mal à rebondir loin de la Bretagne, se ratant notamment à Monaco. Huit petits buts, un caractère de merde, un con fini et des flopées de boulettes (agrémentées de pas mal de cartons), Marco n’a jamais été détrôné dans mon coeur par Tony Vairelles qui aurait pu correspondre à ce profil lui aussi.

Pombolo Sadi Wa (1985-1987): disons qu’il doit sa place au duo qu’il forma avec Thomas Remark, que les supporters cannois trouvèrent risibles. Passé par Seraing, là où l’OL avait pioché le génial Eugène Kabongo, Sadi Wa était un attaquant pour qui le terme finesse signifiait coller une mine. Une seule variété dans son jeu, l’angle de tir de sa frappe en force. Des bilans honorables, mais un joueur bien loin des attentes.

Remplaçants:

Tony Vairelles (1999-2001, 2001-2002, 2002-2003): Des joueurs qui ont des débuts difficiles, cela existe et pour Vairelles, le contexte est effectivement pénible, pris dans le conflit entre le public et Lacombe qui a mis l’icône Caveglia sur le banc pour faire de la place à lui et Anderson. Brillant en Coupe d’Europe, il est nettement plus terne en championnat et paie très vite cela. Caractériel, il se rebelle même contre Santini, alors que ses performances sont en baisse, y compris lors de son passage à Bordeaux, prêté en 2001. Après avoir flambé en prêt à Bastia entre janvier et juin 2002, il est de nouveau le bienvenu à Lyon, mais passera encore à côté. Même échec à Rennes, puis Lens. Bref, Vairelles est à Lyon synonyme de joueur surcoté…

Stéphane Paille (1994-février 1995): Jeune talentueux, mais désespérant. Fêtard, mais peu impliqué sur le terrain, il est recruté comme attaquant et buteur. Quatre buts en dix neufs matches, de très mauvaises fréquentations et habitudes extra sportives. Stéphane Paille, c’est un peu le modèle à ne pas suivre. Ou alors faut être Sylvain Wiltord…

Pierre Sinibaldi (1954-1955): Sinibaldi est auréolé d’une réputation flatteuse quand il arrive à Lyon qui vient de remonter de D2. S’il a perdu son poste à Reims, c’est en grande partie dû à l’explosion de Kopa et d’Appel. On a connu pire. Il part de Reims pour Nantes, une fois qu’on lui préfère le jeune René Bliard, autre bon goléador rémois. Arrivé à Lyon, avec une envie de prouver qu’à trente ans, il n’a pas perdu grand chose de son instinct de buteur, il ne pourra jamais le prouver, puisqu’il se blesse et ne jouera qu’un match sous les couleurs lyonnais…

Ils n’ont pas été assez mauvais ou ont trouvé pire qu’eux: Fred, Carew, Debbah, Bryan Bergognoux, Demba Touré, Roberto Cabanas, Giovane Elber, Frédéric Fouret.

Entraîneur:

Robert Herbin (1982-1984): Une saison et demie pour couler définitivement Lyon. Sa méthode stéphanoise n’a jamais marché, son discours presque jamais pris. S’il est le Sphinx, pour les supporters de l’époque l’énigme c’est de savoir pourquoi on l’a gardé si longtemps, jusqu’à ce qu’on coule. Nouzaret fera bien mieux, c’est dire…

Par contre, le Onze Mondial de Torben envoie du méchant très méchant. Cette phrase ne veut pas dire grand-chose mais qu’importe. C’est ici.

15 thoughts on “Le Onze Anal Historique de l’Olympique Lyonnais

  1. Des stars qui ont marqué le club, y’a pas à dire. Ah Marc Crosas… A mon avis, manque Frederic Née quand même !

  2. « Entraîneur des gardiens des U16 à la CFA, il a donc aussi commis les Vercoutre, Puydebois et autres Hartock… »

    Biiiiip. Rousset est arrivé après les Vercoutre, Puydebois et autres Vercoutre…

    …Et Vercoutre n’a certainement pas été formé à Lyon.

    A part ça, je suis fan de ce site.

    Bravo à vous.

    Bande de grands malades.

  3. Ouh oui, je me suis planqué sur Rousset, je l’ai cru arrivé en 2003… Donc Puydebois, il n’y a effectivement pas touché, Vercoutre sans doute pas non plus à moins que Remy ait passé du temps avec la CFA. Au temps pour moi…

    Née aurait pu effectivement. Mais il m’a moins traumatisé que les ratages de Debbah et avait un meilleur état d’esprit que Fred ou Elber, donc j’ai préféré le mettre à part, comme Frau.

  4. Jah ne commentera pas cette rubrique qui est une escroquerie.
    Ce n’est pas l’OL mais la 5ème colonne stéphanoise.

  5. Le pire est que finalement, c’est ce que certains pensaient ou pensent toujours au sujet de l’arrivée de Lacuesta et Larios… Par contre, on a quand même de la constance pour recruter les foirages médicaux: de Sinibaldi à Bodmer-Cleber on couvre l’histoire entière du club là…

    (et évidemment, c’était planté et pas planqué dans mon message précédent…).

  6. Et Frederic Piquionne, c’est du pâté? Dans le style « je n’ai strictement rien réussi au club », il est pas mal quand même!
    A part ça, rien.

  7. Piquionne n’a jamais existé. Piquionne est un mythe, un truc qui n’a jamais eu la moindre existence à l’OL. Il n’est jamais venu, on ne l’a jamais vu. Il n’existe pas de Frédéric Piquionne sous les maillots de l’OL, c’est une rumeur de la cinquième colonne verte, rien de plus.

  8. Bergougnoux, Fouret… La vache.

    Claude-Arnaud Rivenet, il valait quoi au juste?

    J’ai juste le souvenir de sa carte Panini que j’avais en triple et ça m’énervait.

  9. Il ne valait pas forcément grand chose, ni en très bon, ni en mal ça a été un honnête joueur de D2 dirons nous. Un peu limité pour l’évolution du club, mais quelqu’un qui était quand même bosseur et j’ai pas de souvenir de « scandales » qui lui soient collés aux baskets…

  10. Purée, quelle déprime ce onze pour les annales. Marrant mais j’ai pensé très fort à Chelito et à Boum à la lecture de ton post. Je ne sais absolument pas pourquoi…

    Sinon, apparemment entre 2006 et 2008, ça n’allait pas fort du tout du tout niveau recrutement (l’exode des cadres est une chose mais je pense surtout à la défense). Je me demande si on ne continue pas de payer tout ça en ce moment, entre Lovren retrouvé dans un placard à balais, Diak troqué, sans parler du Claudie qui sous-entend qu’il va recycler ce qui traîne au centre de formation et à l’infirmerie…

  11. Toujours défaitiste cette Eva ! « Recycler » qu’elle dit ! Cris, Toulalan, Ederson, Lacazette, etc. je n’appelle pas ça du recyclage. L’effectif est tout de même pléthorique si tu exclues toutes les blessures.
    J’attends surtout de voir le retour d’Ederson pour savoir s’il va revenir à son plus haut niveau (il était bien parti, mais sa blessure en sélection a tout gâché).

  12. @Jorgie

    « Toujours défaitiste cette Eva ! »

    Absolument !
    Ca sert à quoi de faire reluire sans arrêt ta TVR, tes deux Porsche et ta Corvette et de les avoir toujours au garage où personne peut les voir ? Non parce que c’est bien joli de frimer avec de jolies caisses mais si tu ne peux pas rouler avec, hein ?!

  13. (Je préfère, j’idolâtre la GT40 donc bon…)

    Disons que je rejoins partiellement Eva. Sur le papier, on a une équipe de tueurs, largement valable pour gagner le titre avec n’importe quel entraîneur. Même Luisse serait foutu de bien s’en tirer. Par contre, avec les blessures, c’est largement plus compliqué. Puel s’en tire parce que le centre de formation pond des joueurs plus que valable, mais ce serait quasiment la « promo » Fouret-Bardon-Fiorèse-Patouillard, ce serait largement plus gênant.

  14. « Entraîneur des gardiens des U16 à la CFA, il a donc aussi commis les Vercoutre, Puydebois et autres Hartock… »

    Euh… Vercoutre est arrivé de Montpellier à 22 ans !!!!

  15. Personne ne parle d’Alain Gouaméné, champion d’Afrique des nations acheté en 92 et qui n’a jamais joué un match professionnel…je ne me souviens plus de la raison exactement..trop d’étrangers dans l’équipe (pas de loi bosman)..ou autres, mais il jouait avec l’équipe 3, à l’époque en honneur…et oui on avait une équipe en honneur..les moins de 19

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