AC Milan – Napoli (1-1) : L’Accademia Piemontese livre ses notes

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Mathieu Flamini est une salope

REGARDEZ BIEN NOTRE CUL LES ROSSONERI ON A TOUJOURS QUATRE POINTS D’AVANCE ET VOUS NOUS RENIFLEZ LES COUILLES COMME DES CHIENS EN CHALEUR ET FLAMINI VA T’ACHETER UN CERVEAU TU PARTAGERAS AVEC MEXÈS CE SALE GROS PORC PLEIN DE MERDE MAL CHIÉE.

Titolari :

De Sanctis (4/5) : Un match référence. Il a commencé par sauver la baraque, d’un magnifique arrêt réflexe sur sa ligne, alors que Cannavaro avait dévié une frappe rossonera. Il a ensuite dominé les attaquants adverses, dans les airs notamment. Avant de s’incliner devant Flamini – et ça, c’est très dangereux quand on connaît les mœurs du garçon – comme l’aurait fait n’importe qui, Gordon Banks et Thomas Price compris. Sanctionné d’un carton jaune pour avoir gagné du temps, hué par un public de mange-merde.

Campagnaro (3/5) : Tranquille comme Baptiste, il est venu reconnaître le stade dans lequel il évoluera la saison prochaine (avec l’Inter).

Cannavaro (3/5) : Massacre à la tronçonneuse dans une forêt de jambes. Le WWF et Yann Arthus-Bertrand peuvent aller se faire enculer par Mathieu Flamini.

Britos (3/5) : Des relances à la Zubar, un trouage sur le but milanais, et le physique disgracieux de Mister Spock. Mais beaucoup d’application dans ses duels avec Pazzini, notamment en deuxième période.

 misterspock

Maggio (2/5) : Ben quoi. Il a certainement fait beaucoup d’efforts, mais cela ne suffit pas à ce niveau. A-t-il apporté une seule fois le danger dans le camp adverse, alors même qu’il a été trouvé à plusieurs reprises dans cette zone ?

Behrami (4/5) : Le monstre qui te mange les chevilles aux quatre coins du terrain. Il faut pour cela, de bonnes aptitudes physiques, mais aussi une certaine intelligence tactique. Il a, de plus, relancé proprement dans l’ensemble, même si on peut lui reprocher, peut-être, d’avoir un peu trop porté le ballon en fin de match.

Dzemaili (3/5) : Une influence assez positive sur le jeu, mais pas écrasante. À part ça, on a des nouvelles de Gokan Inler ; il a décidé de tenter sa chance à Fort Boyard :

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Zuniga (3/5) : Une timide entrée en matière. Mais une fois déniaisé par Mireille, il a fait chanter Tatiana. Ben quoi ? Comme dirait Seth Gueko, « je fais tellement de métaphores et d’images que, quand j’envoie un son, je te demande pas si tu l’as entendu mais si tu l’as vu ».

Hamsik (4/5) : Un génie. Quelle passe décisive, mamma mia ! Ne pas le reconnaître, c’est pire que de donner le prix Goncourt à Guy Mazeline en 1932. Et s’exposer à des représailles céliniennes : « Les critiques se sont toujours inévitablement gourés.. leur élément c’est l’Erreur… Ils n’ont jamais fait autre chose dans le cours des temps historiques : se gourer… Par connerie ? Par jalousie ?… Les deux seuls plateaux de ces juges. La critique est un condé fameux des Juifs.. La grande vengeance des impuissants, mégalomanes, de tous les âges de décadence… Ils cadavérisent… La tyrannie sans risque, sans peine… Ce sont les ratés les plus rances qui décrètent le goût du jour !… Qui ne sait rien foutre, loupe toutes ses entreprises possède encore un merveilleux recours : Critique !… Trouvaille inouïe des temps modernes, plus aucun compte jamais à rendre. Critique ne relève que de son propre culot, de ses sales petites gardiens des plus fienteux égouts… Tout en ombres, baves, toxines, immondices, curées… ». Palmerin approuve ce message, qui s’adresse également à Pierre Ménès, Vincent Duluc, Mangiacaca, Fistoculo, et tant d’autres.

céline
Ma, vaffanculo Pierre Ménès!

Pandev (3/5) : On avait annoncé un triplé de Pandev pour déconner, comme quand on envoie une claque au cul de l’infirmière, histoire de laisser une trace de notre passage sur le globe terrestre. Et ben mon con, il a marqué. Une fois, c’est déjà pas mal. Quelle dynamique. À part ça, il ne sait toujours pas faire une passe, mais chaque chose en son temps ; on va pas mettre la charue avant les bœufs non plus, euh là !

Cavani (3/5) : Un appel + contrôlé + lob par dessus Abbiati, qui malheureusement a des bras pour prolonger son envergure. Également une occasion manquée au point de penalty, en deuxième période, alors qu’il choisit de faire ROND + R1, au grand dam de Jean-Michel Larqué. Et les habituels efforts pour participer au jeu et presser.

Sostituzioni :

Insigne : Une bonne entrée, il a apporté du dynamisme sur le côté gauche.

Armero : Il a bien combiné avec Insigne, et a été à l’origine, à partir d’un débordement dont il a le secret, de la dernière occasion du match pour le Napoli.

Calaio : Donc si on vend pas Cavani, et si le Matador se pète la jambe façon Hatem Ben Arfa, on est pas dans la merde.

Baci a tutti,

Mangiacaca e Fistoculo

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Ciao ragazzi

1 thought on “AC Milan – Napoli (1-1) : L’Accademia Piemontese livre ses notes

  1. Ca fait plaiz que la vieille génération écoute du si bon hip-hop!

    Très bonne acad, pour une fois jai vu le match
    La « célébration » de but de Pandev m’a bien fait marrer, il est réellement flippant. Par contre les coups de putes entre Britos et Pazzini c’était d’un navrant …

    Pour finir, je pense que les vannes « va te faire enculer » etc iront bcp mieux à Mexès. Vu sa manière de marcher on dirait qu’il met vos suggestions en application au vestiaire.

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