Monaco-Troyes 3-2 : la Monte-Carlo poétise.
Simple, basique

Miné par une interminable série de résultats d’une laideur sans noM
On vit samedi soir, fort tard, les yeux embrumés, gîter le bateau MonacO.
Non que Troyes fut un adversaire bordelaisque : son jeu est bien mignoN.
Absolument tout ce que la bande à Jardim, mais surtout Subasic, tentA
Chut, échoua, merda, planta, finitcommeBérégovoy, catastropha, etC.
Oh les dieux du football avaient abandonné la principauté. Mais ZorrO….
Malgré deux buts de retard pleins de désespoir à la 70 èM
On vit sortir de nulle part et puis du banc le grand CarillO.
Nul ne l’avait vu rentrer, nul il semblait, mais, pff enfin boN
Avec le titre de sauveur de la micronation il sortit de lA.
Comme si de son chapeau le magicien en short et en toC
Ouvrait le passage, génial, inattendu, à un lapin en vélO.
(humble hommage au lapin de la Canebière académie)
Bravo !
La prochaine Acad en palindrome ?
Mon Dieu que ce texte est beau
On dirait de l’Arthur Rimbaud
Non vraiment, à peindre par Géricault
Aux couleurs de votre drapeau
Comme je suis à fleur de peau
On peut mettre les bordelais sur le radeau ?
Un mec qui se tape les matchs d’Alexandre Mendy sait de quoi la beauté est faite. Merci !