Naples – Torino (2-1) : la Napoli académie présente ses vœux

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Mes couilles sur 2016

 

Bonne année les pédés. La Fiorentina, la Juve, l’Inter avaient gagné, il fallait en faire autant. Malgré la nullité abyssale des arbitres, nous y sommes parvenus. Forza Napoli sempre!

 

Les notes :

Reina (3/5) : un bel arrêt réflexe, il aurait pu sortir le penalty de Quagliarella ça s’est joué à rien. Au passage, si nos anciens attaquants pouvaient arrêter de nous mettre des buts, ce serait bien. Pédés.

Hysaj (3/5) : une erreur bien rattrapée par ses coéquipiers, un match consistant à part ça – mention spéciale à sa passe décisive annulée par Callejon, pleine de précision, de spontanéité, de couilles.

Albiol (4/5) : le taulier de la défense sur ce match, il sauve nos miches suite à la glissade de Koulibaly, en jouant très bien le coup face à Maxi Lopez. Après il prend certes un carton jaune, mais vu le niveau du corps arbitral on s’abstiendra de toute critique.

Koulibaly (3/5) : très solide, toujours à la retombée du ballon, il a néanmoins souffert quand Maxi Lopez est entré en jeu, et sa glissade aurait pu nous coûter la victoire.

Ghoulam (2/5) : même en passant sur le penalty, qui n’est pas franchement évident (ceci est un euphémisme), on peut affirmer qu’il a fait un match de merde. Faut arrêter de se vider les c(r)ouilles devant la cathédrale de Cologne.

Valdifiori (4/5) : il est clairement au niveau et Jorginho peut se faire expulser quand il veut. Plaque tournante du milieu de terrain, il a fait preuve d’un grand courage en fin de match, quand il s’agissait de courir après le ballon.

David Lopette (2/5) : je suis désolé mais je peux pas. Il me fait pitié comme une idiote qui essayerait de se mettre au niveau, en lisant le Capital, « tu sais, de Groucho Marx ».

Hamsik (4/5) : la piètre gastronomie slovaque est visiblement une garantie contre les excès de table. Début janvier, notre capitaine court toujours, et continue d’être décisif. Nous t’aimons. Nous ne sommes pourtant pas des Nîmois assoiffés de gang-bang géant.

Callejon (3/5) : c’est toujours la même chanson : en panne sèche devant les buts adverses (il a pourtant eu deux grosses occasions en début de match), il se rattrape par son abnégation, son travail défensif ô combien précieux.

Insigne (4/5) : le repos lui a fait du bien : il commence 2016 par un but (et quel but) et une passe décisive (et quelle passe).

Higuain (3/5) : soyons juste : il ne peut pas marquer à tous les matchs. Surtout quand il a deux joueurs sur le dos pendant 90 minutes, dont un Polonais assoiffé de sang – une sorte d’hybride de Russe et d’Allemand. Il a quand même réussi à trouver quelques espaces, à obtenir des coups-francs, et à distiller de bonnes passes en une touche de balle.

 

Les remplaçants :

Mertens : à une longueur de frite près, il marquait.

Allan : je l’ai réclamé en substitution de Lopette, jusqu’à ce qu’il arrive.

Chalobah : et sa démarche chaloupée.

 

Baci les Nîmois,
2LF.

2 thoughts on “Naples – Torino (2-1) : la Napoli académie présente ses vœux

  1. Ils t’ont fait quoi les arbitres italiens ? On dirait que tu en serais presque à vouloir faire une échange erasmus avec nos terreurs françaises

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