Napoli – Genoa (2-0) : L’Accademia Piemontese livre ses notes

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L’AC Merda leur colle un peu moins au cul

Nous voici donc à trois victoires de rang, alors que l’AC Merda a trébuché sur les Toscans en babouches de la Fiorentina (2-2). Prochain rendez-vous précisément : l’AC Merda. Un match important dans la course à la Ligue des Champions, alors que la Juventus pourra se consoler de son élimination contre le Bayern – on se mouille, on a l’habitude de se pisser dessus de toute façon – en remportant pour la deuxième année consécutive, le titre de champion d’Italie.

BayernM
ché!

Titolari :

De Sanctis (3/5) : Il s’est peu employé, mais il a été assez irréprochable lors de ses quelques interventions. Un clean sheet, ça fait du bien après les deux matches précédents (victoire 3-2 contre l’Atalanta, et victoire 3-5 sur la pelouse du Torino).

Campagnaro (3/5) : Le sang froid de Fabian Cancellara sur Paris-Roubaix, ou la référence parfaite pour pisser au cul de Pierre Ménès en visant le milieu. Auteur, en outre, de deux trois montées dont il a le secret, Hugo a été sanctionné d’un carton jaune pour une simulation dans la surface de réparation génoise – l’arbitre enculé.

Cannavaro (3/5) : Rarement pris en défaut, si ce n’est une fois, par un Ciro Immobile trop supporter du Napoli pour réduire la marque. À noter aussi, quelques belles ouvertures dans le dos de la défense adverse.

Britos (2/5) : Clairement, à force d’être le maillon faible de l’équipe, il va se faire assommer par Laurence Bocollini à grands coups de nichons dans la gueule. Des prises de risque inutiles, des fautes évitables après avoir mal contrôlé le ballon… Il n’est pas en confiance, et ça se voit.

Maggio (2/5) : Bof. Au moins les efforts défensifs sont là.

Behrami (3/5) : La VMA de Charles Kaboré. Moins les oreilles. Plus le talent. Il a harcelé sans relâche le porteur du ballon, pour peu que celui-ci osait s’aventurer dans sa zone d’expression.

Dzemaili (4/5) : Il a encore marqué, cette fois pied gauche, bien servi par Hamsik – on regrettera toutefois, une célébration de but digne de Cristiano Ronaldo. Et que dire de ses retours défensifs incessants, propres, parfaits…

Italy Serie A Soccer

Armero (3/5) : Un diesel sur ce match. Minable au départ, bien meilleur en deuxième période, notamment dans le camp adverse.

Hamsik (4/5) : Toujours aussi impressionnant. Déjà gagnant à l’élection du meilleur joueur du Napoli de la saison 2012-2013 – évidemment, le physique ne compte pas. Remballez mesdames, avant que Bernard Lacombe ne s’empare du dossier. Il joue toujours juste, c’est impressionnant ; sur l’action du deuxième but, il joue le contre avec brio. Le Slovaque a même bien failli être l’auteur d’un but maradonesque après avoir slalomé entre quatre joueurs dans la surface de réparation. Bref, c’est un génie.

Pandev (4/5) : Attention aux pluies de météores annonciatrices du crash de l’astéroïde au large du Yucatán, synonyme de l’extinction des dinosaures à petit et grand feu. Je ne voudrais pas le répéter deux fois. Oui, Pandev a marqué. Oui, Pandev a fait un gros match.

Cavani (3/5) : Un Cavani à 50 % de ses capacités techniques. C’est déjà pas mal – passeur sur le premier but, il joue bien le coup. Mais c’est tout de même gênant, tous ces penaltys manqués. Et puis Sébastien Frey, aussi, c’est gênant…

Sostituzioni :

Insigne : Une bonne entrée, mais il a applaudi Pandev. Faut pas non plus déconner.

Inler : Il vous avez manqué ? À nous, pas vraiment.

El Kaddouri : Peuchère.

gilles simon

Baci a tutti,

Mangiacaca e Fistoculo

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