Impact Montréal – Kansas City (1-2) : L’Impact Académie pleure ses notes

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Du Grand Jacques, ou l’abbé brêle

Non mon Impact, t’es pas tout seul

Mais arrête de t’faire humilier

Comme ça devant tout le monde

Avec un but de merde

Avec un but immonde

Que tu as encaissé

Non l’Impact t’es pas tout seul

Mais tu sais que tu me fais honte

À t’faire violer comme ça

Bêtement devant tout le monde

Parce qu’un trois quarts nain

T’a encore claqué deux buts

Non mon Impact t’es pas tout seul

Mais tu fais honte à voir

Les gens se paient ta tête

Foutons le camp de ce stade

Allez viens mon Impact, viens, viens…

Viens, il me reste un ballon

On va aller faire des frappes

Au terrain d’entraînement

Viens, il me reste des chasubles

Et si c’est pas assez

Ben on s’trouvera un vrai coach

Puis on ira culbuter

Le Crew et puis le Fire

Les Galaxy ou les Red Bull

Et même Kansas City

Et si t’es pas en playoffs

On gagnera la CONCACAF

En mettant une branlée

À tous les Mexicains

On rechantera comme avant

On sera bien tous les deux

Comme quand on était jeunes

Comme quand c’était le temps

Que j’marquais en finale…

Non mon Impact t’es pas tout seul

Mais arrête tes boulettes

Prends plus d’buts sur touche longue

Ne concède plus la défaite

J’ai plus d’anus à la longue

C’est pire que dans un gangbang

Non l’Impact t’es pas tout seul

Mais arrête de d’espérer

De ne plus te faire prendre

Si tu continues à jouer

Petit bras en fin de match

Ou c’est l’bras qu’on va t’enfiler

Non mon Impact, t’es pas tout seul

Mais c’est plus un match de foot

Ça devient une parodie

Que les gens ne viennent plus voir

Allez viens mon Impact, viens, viens…

Viens il me reste mes crampons

Je les mettrai pour toi

Et on sera Allemands

Comme contre le Brésil

Même qu’on en mettra partout

Tu feras l’hélicobite

Puis en Ligue des Champions

On parlera du Mexique

Où c’est qu’on va aller

Mettre des gros coups de trique

Et si ça suffit pas

Avec le Canada

Je te raconterai comment

On sera Champions du Monde

On sera bien tous les deux

On rechantera comme avant

Comme quand on était beaux

Comme quand c’était le temps

D’avant qu’on soit ridicules

Allez viens l’Impact viens viens

Oui, oui mon Impact, oui viens !

Alignement

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Les cons damnés.
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Les bourreaux.

Un pack de Montréal

Troy Perkins (1/5) : Non Troy, t’es pas tout seul. Mais arrête de pleurer comme ça, comme une femme violée, adossé à ton poteau. Sortie complètement loupée sur une touche longue en début de match. Pas aidé par le marquage de Ferrari, il se fait devancer par le petit Dwyer qui prend un malin plaisir à nous retourner le trou de balle à chaque visite. Une super parade à la 60e qui n’excuse pas le manque de communication sur le second, dans les arrêts de jeu. Perkins sort à la rencontre de Pearce qui ne dégage pas en touche, le portier lui botte dedans offrant à Dwyer le doublé et à Kansas City la victoire.

Hassoun Camara (2/5) : Le moins qu’on puisse dire, c’est quand même qu’on a un côté droit qui marche plus que correctement avec Camara et Mapp. C’est solide, ça se projette vers l’avant et ça ne rechigne pas à l’effort. Il a malheureusement été pris dans son dos une paire de fois, dont une qui a bien failli être fatale, permettant à Perkins de s’illustrer pour la seule fois du match ou presque.

Matteo Ferrari (1/5) : Matteo et Heath les joyeux compères. Je me disais bien que ça n’allait pas suivre cette affaire. Matteo endormi avec son mètre 90 se fait bouffer par la vivacité et la détente du petit Dwyer sur le premier but. Matteo défend en trottinant, toujours le short en mode NBA et oublie ses marquages. Faites revenir les Académiciens (ceux de l’Impact, pas d’Horsjeu.net) s’il vous plait.

Heath Pearce (0/5) : MAIS DÉGAGE EN TOUCHE MERDE ! Ton ballon file vers le but, ton gardien sort sans te parler visiblement, tu sens le pressing de Sapong dans ton dos. Alors soit tu t’effaces pour Perkins, soit tu bottes en touche en fermant les yeux et tu restes pas devant la balle comme un âne. C’est quoi ce travail, c’est la 90e woh ! Et si c’était tout, mais non ! Des couvertures immondes, des marquages pas suivis… Affreux. Affreux, affreux, affreux…

Krzysztof Krol (2/5) : Première titularisation pour le Polonais, et première bonne impression dans un match difficile. Il a mis un peu de temps à prendre ses marques et son carton jaune, mais on sent qu’enfin, on possède un joueur arrière-gauche dont c’est le poste de prédilection. Il ne sera donc pas nécessaire de tenter de tout lui apprendre, comme on faisait d’habitude.

Patrice Bernier (3/5) : Capitaine Bernier. Capitaine abandonné ? Au milieu du terrain, il semble que oui. Avec un Felipe fantôme et des ailiers qui se contentent de défendre leur côté (c’est déjà pas mal), Pat’ est un peu seul à se manger les assauts adverses dans les dents. Alors certes, il fait comme il peut et fait énormément, mais il ne peut pas non plus se dédoubler. (Là je pense à une équipe avec deux Bernier’s en milieu déf’… Je vais changer de bobettes, je reviens.) Il donne un amour de ballon à Mapp pour l’égalisation. (Là je repense à l’amour de ballon… Je vais changer de bobettes, je reviens.)

Justin Mapp (2/5) : Se déboite en deux pour offrir une remise sublime à MDV pour l’égalisation. Pas loin d’emmener le second but de l’Impact sur la deuxième et dernière grosse occasion montréalaise. S’est contenté de défendre en deuxième demie, comme les consignes l’ordonnaient. Salopes de consignes.

Felipe (0/5) : Nouveau festival de Felipe. Ballons perdus plein axe, il préfère s’effondrer que tenter de mettre la balle au fond devant le but, braille puis disparaît complètement de la partie. Une performance d’une analité totale dans la lignée de ce qu’il a pu proposer ces derniers temps.

Andres Romero (2/5) : En phase descendante, les dribbles passent moins, les frappes qui rentraient avant manquent de punch, mais toujours autant d’envie et de volonté, ce qui n’est pas négligeable quand on se souvient de son niveau l’an passé. Ça reste assez limité et décevant, comme le sex-appeal d’une cul-de-jatte.

Jack McInerney (1/5) : Deux matches de suite moins bons pour Jack Mac, ce qui est compréhensible puisqu’il a juste un peu porté l’équipe sur ses épaules ces derniers mois. Un coup de mou qui n’est pas sans me rappeler ma dernière aventure sexuelle en Californie. Je le voyais bien mettre le deuxième but en seconde demie, mais il a été décevant, clairement à court de jus. Ah tiens, comme lors d’une de mes dernières expériences sexuelles également. COMMUNSYMBOLE.

Marco Di Vaio (2/5) : Marco revient et enfile encore un but. Une belle tête d’ailleurs, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 2011 si mes calculs sont bons. Plus en vue que Jack Mac, et plus efficace aussi, il a remis, avec Mapp, l’Impact dans la course. Mal servi en deuxième demie et de toutes façons, Klopas avait mis en place sa tactique dite de la Ligne Maginot, avec un résultat similaire.

Substituts

Issey Nakajima-Farran : Un bon déboulé, qui aurait mérité un meilleur résultat, mais non.

Gorka Larrea : On rentre Gorka en fin de match pour perdre. Il doit se demander où il est tombé, pour c’est jamais sa faute. Mérite du temps de jeu dans de meilleures conditions.

Calum Mallace : Dans le même autre d’idée. On a parqué l’autobus mais on a oublié de pas être con.

Retrouvez les faits saillants en vidéo après l’avertissement ici

Le tableau

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Le titre de champion à l’envers se rapproche.

Encore une défaite dans les dernières minutes, encore loin du compte à jouer la défense. Il faut maintenant gagner une douzaine de match d’ici la fin pour espérer quelque chose, ou jouer la ligue des champions à fond. En attendant, Lopez s’est repété le genou après 45 minutes sous les couleurs de l’Impact. Le chemin de croix continue. Priez pour nous.

Becs anaux,

Mauricio Vincello.

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