La Blue Moon Academy s’est remise les idées en place et fait le bilan de la saison
Nigel pleure la fin de saison.
Lorsqu’il y a neuf mois de cela, Nigel lisait la demande de nouveaux académiciens formulée par l’éditeur, ce bel homme, Nigel eut tout de suite l’envie de faire partager son amour du football et des Citizens, ainsi que sa haine de Samir et autres raides et vils, aux lecteurs attentifs et de si bon goût de horsjeu.net. Nigel faisait à l’époque partie de ce côté du miroir, et rêvait de faire apparaître ses analyses du ballon rond aux côtés de ceux qu’il considérait à l’époque comme des idoles inaccessibles : Claude Pèze, Michel Panini et autres PLF… C’est maintenant chose faite, et cette première saison à la tête de la Blue Moon Academy est à présent terminée. Et pour une première saison, quelle saison ! Nigel sera, durant ces neuf mois, passé par toutes les émotions. Si Nigel a dorénavant grandement besoin de vacances, histoire de s’en remettre, il ne vous laissera malgré tout pas filer sans un bilan de cette saison (ou du moins bilan des matchs que Nigel aura eu la chance de suivre dans son emploi du temps de prostituée en soldes). En effet, Nigel reviendra compétition par compétition, et joueur par joueur sur ce qu’il faudra retenir de cette saison historique pour les Citizens.
F.A. CUP :
Nigel a décidé d’effectuer ce bilan de façon crescendo dans l’excitation, et commencera donc par vous parler de la Cup. Après plusieurs tours sans grand intérêt, les Citizens se déplaçaient à Old Trafford mi-janvier pour le grand choc de cette Cup. Deux mois après le viol collectif en championnat (ne soyez pas impatients, nous y reviendrons), et alors que City connait son premier (et seul, d’ailleurs) passage à vide de la saison, cette rencontre semblait des plus excitantes pour des Citizens souhaitant absolument garder ce titre. Menés 3-0 à la mi-temps, suite à l’exclusion de Cap’tain Vinz, les Citizens effectueront une seconde période pleine de courage leur permettant de revenir à 3-2 malgré l’infériorité numérique… Bon, bien aidés par des raides et vils loin d’être sereins, il faut l’avouer… Ce match aura apporté beaucoup d’informations :
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Cap’tain Vinz est devenu quasi-indispensable aux Citizens.
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Les raides et vils semblent vraiment loin d’être sereins cette saison, et, dirait-on, flippent, pour la première fois depuis très longtemps, vraiment des Citoyennes.
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Si Joe Hart se blesse, les Citizens seront vraiment dans la merde… Pantilimon, c’est marrant comme nom, mais c’est loin d’être rassurant.
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Premier 0 d’une longue série pour Samir, et déjà des interrogations sur son recrutement.
Champion’s League :
Intraitables en Angleterre, les Citizens auront eu cette saison beaucoup de mal à exporter leurs bons résultats. Tombés dans le groupe de la mort, avec le Napoli, Villareal et le Bayern, les Citizens avaient fort à faire, et avaient, là, l’occasion de montrer à l’Europe entière le fruit des investissements de Mansour… Eh bah raté… Malgré quelques bons matches, notamment en Espagne ou à l’Etihad face au Bayern (futur vainqueur de l’épreuve, excusez du peu… Comment ? Chels-qui ?), la plupart des performances Citoyennes ne seront pas au niveau, et obligeront les hommes du beau Roberto à jouer la coupe de l’UEFA (Nigel reste vieux jeu). Nigel relativise pas mal ces prestations minables en Champion’s League. En effet, si les Citizens avaient passé ce putain de groupe, ils auraient surement pu faire quelque chose de pas dégueu par la suite ; mais auraient-ils alors pu soutenir le train d’enfer imposé en championnat ? D’autant que les raides et vils étaient également éliminés de la compétition. Si El Kün n’avait pas offert le titre, le discours de Nigel aurait surement été tout autre (extrait : « Lescott, ta mère suce des b***s en enfer »… Aucun rapport avec Luke Seafer n’est, ici, à voir). Mais pour le coup, cette situation sied à Nigel. Cup l’an dernier, championnat cette saison, nous verrons la saison prochaine pour la Champion’s League…
Coupe de l’UEFA :
Du coup, les Citizens étaient donc reversés en coupe UEFA (M. Platini aurait surement detesté voir les mercenaires Citizens soulever cette coupe… De là à y voir un complot, il n’y a qu’un pas) où ils n’auront finalement pas fait long feu. Directement opposés à Porto dans une rencontre alléchante, les Citoyennes auront tenu leur statut et atomisé les portistes, pour s’offrir une autoroute pour Bucarest. Lorsque le tirage au sort offrait aux Citizens le Sporting Portugal au tour suivant, Nigel se frottait déjà les mains… Imaginez, encore des portos, mais en plus faibles, ç’aurait dû se passer comme sur des roulettes… Malheureusement, ces dernières furent carrées : Trois mi-temps sur quatre ignobles et les Portos éliminaient les Citoyennes. Au final, Nigel garde quelque peu le même discours : c’est pas plus mal, vu qu’on a gagné le championnat…
Premier League :
Les coupes, qu’elles soient nationales ou continentales, c’est sympa, mais personne ne s’en souviendra cette saison côté Citizen (Nigel le premier). Une tuerie dans une école primaire, un homme politique accusé de viol, un nouveau président… Tout, sur les neuf derniers mois, semble secondaire tant la victoire des Citizens en Premier League fut exceptionnelle. De l’émotion, des larmes, de la douleur puis enfin une jouissance inégalée. Non, Nigel ne vous parle pas ici de sa première sodomie, mais bien de ce championnat historique. La conclusion a maintenant été vue et revue, analysée et reanalysée, tellement qu’aujourd’hui, Nigel est stérile pour les dix prochains mois (une surproduction fatale), Nigel s’arrêtera donc sur certaines dates, qui auront été, pour lui, les tournants de cette saison.
Le premier rendez-vous important de cette saison aura évidemment été le derby aller, à Old Trafford. Ce match fut une véritable boucherie et aura certainement fait beaucoup de mal mentalement à l’équipe raide et vile (cf leur formation au retour) et beaucoup impressionné en Angleterre et partout dans le monde. De choses à retenir, il y en aurait des dizaines à citer, Nigel n’en retiendra que quelques-unes :
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Pour ceux qui ne s’en souviennent pas, le score fut de 1 à 6.
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« Why always me ? » demandait alors Super Mario. « A ton avis, connard ? » était tenté de lui répondre Nigel.
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Au fait, Nigel vous a-t-il dit que le score avait été de 1 à 6 ?
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Une équipe qui se prend un doublé de Super Mario puis un doublé de Dzeko et qui finit la saison avec 83 points, ça forcerait le respect… Si c’était une autre équipe, évidemment…
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David Silva aura, ce jour-là, fait tellement de mal aux raides et vils que sa photo fait, aujourd’hui encore, pleurer Carrick et Fletcher.
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Enfin, Nigel a complètement oublié de vous rappeler le score de ce match : United 1-6 City.
Le deuxième tournant fut beaucoup moins positif pour les Citizens : la défaite à Sunderland le premier janvier… Avec le recul, étant donnée la victoire finale en championnat, ce match ne fut pas vraiment un tournant… M’enfin, il aurait pu l’être. Ce match fut un quasi-tournant, donc, car :
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Jusque-là, les Citizens tournaient à quatre buts de moyenne par match et n’ont pas été foutu d’en mettre un à Sunderland.
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Quand tu as 75% de possession, 20 tirs à 2, qu’en face, il y a Bendtner/Sessegnon en pointe, et que tu perds 0-1 à la dernière seconde sur un but hors-jeu(.net), tu peux te poser des questions quant à la volonté divine de te voir gagner…
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Les Citizens perdaient ce jour-là leur première place acquise lors de la deuxième journée.
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Après ce match, les Citizens enchaineront une série cauchemar avec l’élimination en Cup et de nombreuses contre-performances en championnat.
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Ce match sera également un tournant pour Silva qui ne sera plus jamais le même par la suite.
Après une période Mars/Avril des plus dégueus (défaite à Stoke, nul face à Sunderland), c’est dans l’obligation de finir sur un sans-faute que les Citizens accueillaient Chelsea à l’Etihad, en ce mercredi 21 mars. Un match dégueu avec des Citizens brouillons face à des Blues regroupés en défense, mais tout de même un match plein d’informations, car en plus d’arracher une victoire in extremis, Nigel aura noté de cette rencontre que:
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Ca match marquera le retour de Carlito qui aura fait le plus grand bien aux Citizens dans cette fin de saison canon.
- Malgré la victoire, Silva y recevra une de ses deux seules notes sous la moyenne.
- La victoire sur le fil sera donnée par Samir après une bonne combinaison avec Carlito, commun symbole de… Bah de vraiment rien du tout, en fait…
- Comme l’a si bien dit Michel Panini à l’époque, cette rencontre aura été LE match de l’année pour Samir, rendez-vous en 2013.
- Battre un Chelsea regroupé en défense, même en 180 minutes, le Barça n’y est pas parvenu… Samir, lui, l’a fait…
Enfin, s’il y a bien une date qui a fait tourner la donne en faveur des Citizens, c’est le derby retour à l’Etihad. Annoncés champions un mois plus tôt, les raides et vils avaient durant ce mois d’avril fait preuve de beaucoup de fair-play, et permit, grâce à de superbes performances (perdre à Wigan tout de même), aux Citizens de leur remonter cinq points et ainsi offrir une finale du championnat. Comme dit précédemment, les raides et vils aborderont cette rencontre dans un 4-5-1 très « petit bras » (et Nigel reste poli), qui permettra aux Citizens d’avoir une emprise totale sur la rencontre et d’offrir finalement à Nigel un derby sans changement de sous-vêtements. Commun symbole, c’est Cap’tain « Univers » Vinz qui marquera le seul but du match (sur une passe déc. de Silva, commun double symbole) et Sœur Alex sera ainsi puni de la plus belle manière qui soit de sa couardise. Car comme on dit : « Petit bras, petit chocolat »… Ce derby en trois points, donc :
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Même quand Silva est mauvais, il est décisif. La marque des grands.
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Un duel Samir/Evra durant toute une rencontre… Commun symbole d’un combat peste/choléra.
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Sur ce match, G.Clichy a normalement pris une place de titulaire en EdF. En espérant que Lolo suive la Premier League.
Voilà, voilà. Il y aurait tant à dire sur ce championnat. Seules deux choses restent et resteront gravées dans l’esprit de Nigel : on a gagné – on a sodomisé du raide et vil… La lutte fut longue, acharnée et pleine de rebondissements, pour finalement un dénouement magnifique… Enfin du bon côté de Manchester, du moins… Nigel comprend d’ailleurs fort bien la déception d’en face : Finir la saison avec 83 points et ne pas être champion, ça n’arrive qu’en Espagne normalement… Eh bah non. Ah ah (Nigel a parlé de compréhension, jamais de compassion). En bref, après cette fin de saison extraordinaire, il restera aux Citizens de confirmer la saison prochaine et essayer d’être performants sur plus d’un tableau à la fois.
Le Onze Mondial des Citoyennes 2011/2012 :
Nigel vous propose ici son onze mondial de la saison (équipe créée simplement sur la volonté et la mauvaise foi de Nigel, et non sur les valeurs des moyennes arithmétiques), avec notation des joueurs composant l’équipe, la notation des autres joueurs, qui auront également apporté leur pierre à l’édifice… Et puis celle de Super Mario.
« Le beau » Roberto Mancini : Si, bien évidemment, il est plus facile d’entrainer une équipe qui dépense 200 millions par an, Nigel pense qu’il est tout de même indispensable de noter la belle saison du technicien italien. Si sa gestion de certains dossiers (Carlito, Super Mario) entraina quelques railleries (d’ailleurs, paye tes dossiers… Qui aurait pu les gérer autrement ?… « Pascal le grand frère », peut-être… Surement d’ailleurs…), certaines de ces décisions auront eu des répercussions positives non négligeables, notamment en fin de saison lors du derby ou à Newcastle. Le beau Roberto n’aurait pas gagné le titre avec Norwich, c’est une chose sure, mais est-ce que les Citizens auraient été champions sans le beau Roberto ? La question se pose légitimement…
Joe Hart (20 notes, 3.30/5 de moyenne) : L’Angleterre cherchait un mec comme lui depuis David Seaman. Et encore, ce dernier frimait bien derrière sa moustache mais n’était pas avare de boulettes. Joe est vif, Joe est souple, Joe est fort, Joe est étincelant… Non, Joe n’est pas un Super-Sayen (ni un taxi d’ailleurs…), il est simplement le meilleur gardien de Premier League. Mais alors, pourquoi simplement 3.30, direz-vous à Nigel… Allez, dites-le… Merci. Eh bah pour deux raisons, vous répondra Nigel. D’une part, le jeu au pied de Joe n’est pas encore parfait et a souvent fait pester Nigel. D’autre part, lors de 80% de ses matchs, Joe touchait trois ballons en 90’… C’est sûr qu’il y a mieux pour briller…
Capt’ain « Univers » Vinz (17 notes, 7.59/5 de moyenne) : Cap’tain Vinz, lui par contre, est bien un Super-Sayen, un chevalier d’or, ou un truc du style… C’est la seule explication logique que trouve Nigel tant le belge a été monstrueux durant toute la saison. Non content d’être le défenseur le plus solide du pays, Vinz’ a également marqué quelques « goals » (comme disent si bien nos amis belges), dont ce fameux but face aux voisines (lui octroyant d’ailleurs la note de 67/5 expliquant sa moyenne démesurée). Le seul des onze titulaires à avoir porté le maillot Citizen lorsqu’il ne valait pas encore grand-chose (Vous savez, quand City était pauvre et alignait Bellamy, Ireland et Shay Given aux buts… Cette époque semble si loin à Nigel) soulève le trophée tant attendu, comme un symbole. Merci Cap’tain Vinz. Et d’ailleurs, soit dit en passant, Nigel met une petite pièce sur l’équipe belge dans les années à venir.
Joleon « Tumeur » Lescott (19 notes, 2.47/5 de moyenne) : Le pendant parfait pour Cap’tain Vinz. L’un est tactiquement génial ; l’autre a le sens du placement d’un autiste. L’un, en plus d’être physiquement monstrueux, est doté d’une technique au-dessus du lot ; l’autre a simplement un physique de monstre. Le « grand-moche », comme aime à l’appeler Nigel, aura tout de même effectué une saison relativement solide, avec un impact dans les duels dont les attaquants de Premier League risquent de se souvenir pas mal de temps. Il aurait pu, malgré lui, devenir le héros des raides et vils… Malheureusement pour Luke Seafer et ses copines, El Kün est passé par là.
Aleksandar « Left David Beckham » Kolarov (10 notes, 3.67/5 de moyenne) : En concurrence toute la saison avec Gaël Clichy, le serbe aura plus souvent fait banquette que le français (surtout sur la fin de saison), mais c’est malgré tout lui que Nigel conserve sur le côté gauche de sa défense. Si sa note n’est pas tout à fait représentative de ses prestations (un 8/5 à Old Trafford l’aidant particulièrement), Nigel aura, toute la saison, été très impressionné par sa qualité de centre. Habitué depuis quelques années à suivre Clichy ou encore Sagna, Nigel avait presque oublié ce que pouvait être l’apport d’un latéral sachant centrer (sans son centreur est un bon latéral…).
Micah « El camion » Richards (12 notes, 2.75/5 de moyenne) : Le choix le plus compliqué à faire pour Nigel, à n’en pas douter. En concurrence avec le Zab’, auteur d’une fin de saison canon, Micah est finalement choisi par Nigel pour s’occuper de l’aile droite de ce onze mondial Citizen. Nigel vous avoue avoir eu un petit coup de cœur pour l’anglais, dont la puissance n’a d’égal que l’opulence de l’arrière train. Si sa qualité de centre n’a pas toujours été divine, ses déboulés sur le côté droit auront rappelé à Nigel la belle époque de Thu-thu (la belle époque, a dit Nigel, lorsqu’il ne se prenait pas encore pour Martin Luther King). Micah aura, enfin, quelque fois dépanné dans l’axe, notamment face à Chelsea, match durant lequel il aura fait passer Torres pour un poussin (comment ça c’est son niveau depuis deux ans ?).
Gareth « Mister Proper » Barry (18 notes, 3.22/5 de moyenne) : Gareth aura été le vrai baromètre de cette équipe. Lorsqu’il était en forme, les Citizens gagnaient en général ; lorsqu’il était moins bien, on le ressentait directement ; et lorsqu’il descendait de son échelle, un orage était à prévoir. Le jeu Citizen, cette année, a beaucoup tenté de ressembler au jeu barcelonais (toute proportion gardée, bien entendu), avec un jeu tourné sur la possession de balle, l’écartement des lignes adverses avec des latéraux très offensifs, et beaucoup de permutations au milieu. Si la maitrise technique est indispensable à cette stratégie, elle nécessite également un mec énorme pour récupérer rapidement le ballon (Busquets au Barça… Toute proportions gardées, encore une fois…), lorsqu’il est perdu (étant donné que tout le monde est devant). C’est donc dans ce rôle que Gareth aura fait la loi cette saison. Un des grands artisans de la victoire Citizen.
James « L’homme de l’ombre » Milner (13 notes, 3.46/5 de moyenne) : Nigel vous l’avoue, s’il titularise James dans ce onze mondial Citizen, c’est en grande partie car il refuse catégoriquement d’y intégrer Dzeko, Super Mario ou Carlito (pour des raisons diverses, et que Nigel exposera par la suite). En effet, James aura passé la majeure partie de la seconde moitié de la saison à faire banquette, malgré une première partie d’année plutôt intéressante. Que ce soit dans l’axe pour épauler Gareth ou sur un côté pour foutre Samir sur le banc (ce qui évidemment est toujours un très bon point), James aura toujours fait le taff, et sa moyenne s’en ressent, d’ailleurs.
Yaya « qu’est-ce qu’il y a sous ton grand chapeau ? » Toto (17 notes, 2.76/5 de moyenne) : Nigel n’aura pas toujours été tendre avec Yaya, le trouvant souvent bien trop offensif et voulant faire la décision tout seul. Le « problème », c’est que lorsqu’il l’a faite, cette dite différence, et que c’était sur les deux derniers matchs de la saison, Nigel ne pouvait plus que dire « bravo, merci, et voilà mon 06, appelle moi quand tu veux, je te ferai ce que tu veux… ». Un doublé à Newcastle plus la passe déc. contre QPR auront, dans le cœur de Nigel, rattrapé tout ce qu’il avait pu lui reprocher précédemment.
Samir « la chèvre » Nasri (18 notes, 2.06/5 de moyenne) : Nigel anticipe déjà ce que vous pourriez vous dire : « Le mec, il passe son année à insulter Samir pour finalement le mettre dans son équipe-type. Ce mec n’a aucune allure, qu’il aille se faire refaire, l’alien ». Nigel vous félicitera tout d’abord pour votre bon goût cinématographique et répondra ensuite en deux points :
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Tout d’abord, Nigel, travesti dans ses temps libres depuis maintenant plusieurs années, refuse catégoriquement d’être appelé « mec ». Il préfèrera un bon vieux « Mademoiselle », voire un plus direct, mais toujours charmant, « coquine ».
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Ensuite, Nigel vous expliquera son choix de titulariser Samir par des remerciements. En effet, si, comme tout le monde a dû le comprendre, Nigel n’est pas un grand fan de Samir, il lui doit, malgré tout, des remerciements pour l’avoir bien fait rire tout au long de la saison, et pour lui avoir offert la possibilité de bien s’amuser en le notant lors de chaque Academy.
David « Eric Carrière avec la coiffure de Justin Bieber » Silva (22 notes, 3.73/5 de moyenne) : Si Cap’tain Vinz a été le joueur le plus constant durant la saison, si Yaya sort une fin de saison énorme, si Samir a été mauvais toute l’année, personne dans ce championnat n’aura atteint le niveau de Classe (avec un grand « c », messieurs-dames) qu’a atteint Silva lors de la première moitié de la saison (particulièrement à Old Trafford lors du viol). Une qualité de passe que Nigel n’a vue ces dernières années qu’en sortie de Masia, une esthétique savoureuse dans chacune de ses prises de balle, une qualité à faire briller les autres que pourrait lui envier n’importe quelle brosse à reluire ; Silva aura étalé son aisance technique tous les weekends dans ce championnat qui en manquait terriblement. David aura, malheureusement, été quelque peu à bout de souffle sur la fin de saison, mais est également un des grands artisans de la victoire Citizen.
Kün « Yohann Diniz » Agüero (21 notes, 3.29/5 de moyenne) : Recruté à prix d’or l’été dernier, la pression était énorme sur les épaules de « Sergendre », pour sa première saison en Angleterre. L’argentin n’aura que très peu déçu et aura largement justifié son transfert de plus de 35 millions d’euros (Bon… Si on part du principe qu’un être humain peut valoir autant d’argent… Nigel en doute, mais n’est pas là pour philosopher…). Auteur d’un triplé dès son arrivée, « Sergendre » finira la saison troisième meilleur buteur de Premier League, et avec, bien entendu, le but le plus important depuis de nombreuses années pour les Citizens. Nigel notera enfin à quel point il a été, tout au long de l’année, impressionné par l’opiniâtreté dont a pu faire preuve El Kün. Doté d’une accélération et d’une technique au-dessus du lot, l’argentin aurait pu, comme beaucoup de joueurs dans son cas (Paf dans les dents, Messi), se contenter d’attaquer quand le ballon arrivait sur lui, il n’en fut rien. « Sergendre » se battait de la première à la dernière minute de chacune de ses rencontres, et a pour le coup vraiment conquis le cœur de Nigel.
La Banquette Mondiale des Citoyennes 2011/2012 :
Costel « inutile, et qu’il le reste longtemps » Pantilimon (1 note, 2/5 de « moyenne ») : Nigel n’aura noté qu’une prestation du roumain et ce n’est pas plus mal. Si Nigel ne peut pas vraiment tabler sur le niveau du roumain, il ne le souhaite pas vraiment pour être honnête. Nigel misera plutôt sur le fait que Joe ne se blesse pas. Costel aura été totalement inutile cette saison, pour preuve, Nigel vient à l’instant d’apprendre à écrire son nom (Nigel écrivait jusque-là « Pantimillion », commun symbole de ce qu’il ne doit même pas couter…).
Gaël « la bonne surprise » Clichy (15 notes, 2.53/5 de moyenne) : Lorsqu’il y a quelques mois, Nigel voyait les arrivées de Samir et Gaël à l’Etihad, Nigel soupçonnait Tonton Arsène d’avoir bien baisé le beau Roberto. S’il n’y a eu de surprise à propos du premier suce-cité, Nigel aura été agréablement surpris par Clichy, qui finalement aura effectué une saison plus qu’acceptable. Malgré des débuts qui ont fait perdre pas mal de cheveux à Nigel (cf Community Shield), Nigel aura appris à apprécier les débordements du français. Sans aller jusqu’à dire que Gaël sait effectuer un centre (mais est-ce vraiment une nécessité à ce niveau ? Sagna étant toujours censé être international à ce poste), Nigel avoue qu’il peut finalement être une bonne solution sur le côté gauche.
Stefan Savic (5 notes, 1.40/5 de moyenne) : Dans les recrues de l’été dernier, chacun des protagonistes aura eu son utilité. Plus besoin de le préciser pour El Kün, Clichy aura effectué une saison bien au-dessus de ce qui était espéré et même Samir fait gagner un ou deux matchs importants. S’il y a bien un transfert qu’on peut catégoriser de « de merde », c’est bien celui de Savic. Annoncé comme le prochain Vidic (super pour une recrue Citizen, z’ont rien compris les mecs) à son arrivée, le serbe aura été minable à chacune de ses rares (Zizou, merci) apparitions. Bon le mec est jeune, donc Nigel veut bien lui laisser une seconde chance, mais ce sera, par définition du mot « seconde », la dernière.
Kolo Touré (4 notes, 1.75/5 de moyenne) : Premier en date à avoir parcouru le, devenu si courant, voyage Arsenal à City, Kolo nous aura prouvé lors de ses rares apparitions qu’il est vraiment sur la fin. Ne devant certainement ses apparitions qu’à l’influence de son frère dans le vestiaire (et, bien entendu, au fait qu’il était en concurrence avec Savic dans le rôle du « bouche-trou »), Kolo ne devrait plus faire très long feu à l’Etihad, et Nigel ne connait pas grand monde qui s’en plaindra.
El Zab’ (14 notes, 3.00/5 de moyenne) : Doublure de Micah lors de la première partie de la saison, l’argentin aura eu plus sérieusement sa chance lors de la blessure de l’anglais, pour finalement laisser ce dernier sur le banc pour les toutes dernières journées. Comme Clichy, le Zab’ semble tout de même assez fragile défensivement mais apporte beaucoup devant… Et étant donné que les latéraux Citizens étaient, cette saison, plus ailiers qu’autres choses, il y a largement sa place.
Nigel « l’homo » de Jong (11 notes, 3.27/5 de moyenne) : Le public se demande aujourd’hui qui a copié l’autre pour le nom (Nigel peut bien s’envoyer quelques fleurs), votre serviteur vous rappellera donc que le Nigel, premier du nom, celui qui moissonne-bat à tout va, celui qui peut briser un tibia-péroné sans provoquer de faute (Bim HBA), celui qui peut asséner un coup de semelle dans le plexus sans être expulsé d’une finale de coupe du monde (Bim Zidane), celui qui est vice-champion du monde et champion d’Angleterre avec la technique d’un teckel, est et restera toujours Nigel de Jong… Le seul, le vrai… Quel Artiste !
Owen Hargreaves (0 note, -/5 de moyenne) : Nigel n’aura pas noté Owen, mais tenait simplement à préciser qu’Owen Hargreaves a fait toute la saison sans se blesser et ainsi passé un petit salut anal aux préparateurs physiques des équipes précédentes dans lesquelles a joué l’anglais… Bon ok, il a dû jouer 90’ dans la saison, mais il fut un temps où ça lui était amplement suffisant pour se blesser…
David Pizarro (1 note, 3/5 de moyenne) : Se sentant obligé de dépenser à chaque marché des transferts (problème d’addiction, certainement…), Mansour a posé quelques millions en janvier pour s’offrir Pizarro… Quelques apparitions prometteuses, mais pas de quoi sortir une analyse très poussée malgré tout…
Adam Johnson (6 notes, 3.17/5 de moyenne) : Le jeune anglais n’a pas beaucoup eu l’occasion de se montrer cette saison, mais fut intéressant à chaque fois… Bon, il est évidemment essentiel de préciser qu’Adam n’aura joué que des matchs de merde, durant lesquels il était forcément plus facile de briller.
Edin « technique d’un enfant de trois ans » Dzeko (10 notes, 2.10/5 de moyenne) : Total inverse de Gaël Clichy, Edin aura été la sale surprise de l’année. Après six mois pas trop dégueus l’an dernier, Nigel misait pas mal sur la grande Edin en cette nouvelle saison, surtout à la vue de ses stats en Allemagne les saisons précédentes. Nigel fut très déçu. Doté d’une technique digne d’un perroquet cul-de-jatte, d’un sens du but digne d’un Gilbert Montagné et d’une intelligence de jeu digne d’un Brandao, le Bosnien devrait faire ses bagages dès cet été. Malgré tout, Nigel finira sur une note plus positive : la grande Edin aura tout de même marqué des buts très importants, notamment le but égalisateur lors de la dernière journée.
Carlito « âge mental d’un enfant de deux ans » Tevez (4 notes, 2.50/5 de moyenne) : Quel dommage ! Avant son retour en fin de saison, Nigel avait presque oublié le talent de Carlito. Son retour aura fait tellement de bien, que Nigel s’est souvent mis à imaginer la saison Citizen si l’argentin avait été présent et impliqué du début à la fin. Malheureusement, Carlito est con comme une bite et aime le prouver à tout le monde. Nigel ne sait toujours pas s’il va rester cet été, mais sait que si c’est le cas et si l’argentin travaille un peu sur l’utilisation de son duo de neurones, il peut redevenir un élément indispensable des Citoyens. Notons enfin que Carlito est depuis peu critiqué pour la pancarte qu’il a brandi lors de la fête du titre… Nigel trouve les gens bien durs, Carlito mériterait plutôt des encouragements. Il est en Angleterre depuis maintenant six ans, et a formulé sa première phrase en anglais.
Super « âge mental d’un enfant d’un an » Mario (11 notes, 1.64/5 de moyenne) : Que dire ? Que dire sur Super Mario qui n’a pas encore été dit ? Consanguin et fier de l’être, Nigel en a connu des attardés, des trisomiques, des malades congénitaux, mais des mecs à ce niveau… Jamais… Nigel ne s’attarde même plus sur le niveau technique de l’Italo-Connard tant il est secondaire. Ce mec est une apologie du racisme, et Nigel s’insurge toujours du fait que l’image d’un mec comme ça soit censée être prise pour exemple par beaucoup de jeunes aujourd’hui. Ce type est une honte pour l’image de son équipe, de son pays (bon, ça, Nigel n’en a particulièrement rien à foutre) et de son sport. Qu’il parte loin… Loin… Et qu’il ne revienne jamais, commun symbole de Simba.
L’an prochain :
« […] Vous n’allez donc pas voir de changements majeurs à l’intersaison, il y aura des améliorations, mais des améliorations très raisonnables. » Mansour
Nigel n’y croit pas une seconde, et sait bien que Mansour signera encore de gros chèques cet été, afin de pouvoir être vraiment compétitif sur tous les tableaux la saison prochaine… Et puis, bon ce qui est pratique avec ce mec, c’est qu’il est tellement loin de ses sous, qu’il permet aux journalistes d’imaginer toutes les recrues, avec (dans un ordre de crédibilité croissant) : Hazard (le mec qui explique que « la beauté de la ville et la météo sont importants » dans son choix de club, et qui choisit Manchester…), Llorente, Van Persie (Nigel adorerait ça… Rien de tel qu’énerver encore du Gunner…), Cavani ou encore Zlatan (non, mais bon, le « fair-play financier », c’est sympa Mich-Mich… Mais ne pourrait-on pas instaurer une moyenne de QI minimum pour une équipe, parce que là…). En tout cas, si toutes les rumeurs sont fondées, le beau Roberto pourrait dès août prochain lancer une superbe (et surtout très équilibrée) équipe :
Sur ce, Nigel vous souhaite un bon Euro, de bonnes vacances et vous donne rendez-vous au plus tard en août pour le Community Shield.
La bise anale
Nigel de Jonc
Malgré tes aspects pas du tout objectifs, je trouve ce bilan quant à lui tout à fait pertinent.
Profite de ces moments de bonheur car l’année prochaine Liverpool va mettre les deux Manchester d’accord.
PLF, idole inaccessible ? Tu rigoles, t’as même pas besoin de bander pour poser ton pénis sur sa tête au gamin.
« celui qui peut assener un coup de semelle dans le plexus sans être expulsé dans une finale de CdM (Bim Zidane) »
Attends, c’était pas plutôt Xabi Alonso le victimé ?
Bon, ayant dormi 2-3 heures, je me suis remis quelques idées en place moi aussi, du coup je comprend mieux pour le Bim Zizou :)
Par contre, je maintiens pour PLF..
Oxianor, pourquoi t’es méchant comme ça avec moi?
@oxianor : je tiens à préciser que je n’ai pas dit que qui que ce soit était une idole accessible, mais simplement, je les considérais à l’époque comme tel.
Sinon, merci de me permettre d’économiser l’explication en ce qui concerne Zidane.
L’équipe pour l’an prochain est magnifique!
Mais Jones les arrêtera à cloche pied.